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La presse algérienne accuse le Maroc et israel de soutenir le terrorisme en algerie

2 participants

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Idris

Idris

وفي تجني على
الشرعية الدولية وعلى الأعراف الدولية والحقائق التاريخية والمنطقية بات
يلوح بنتائج المفاوضات المقبلة حين يشترط تحييد اسبانيا وفرنسا والولايات
المتحدة وكل الدول الغربية وجعل الإشراف على المفاوضات بين يد دول
اسكندنافية، لأن الأخيرة لا تجمعها علاقات اقتصادية بالمغرب أو بالأحرى
لأنها تعتقد الدفاع عن طروحات الجزائر الانفصالية


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_____________________________________________________________________

Les pauvres ils tirent toujours sur la même corde:
- Renvoi de l'ambassadeur Israélien de Caracas
- Retrait ambassade du Maroc au Venezuela
- Donc relation entre le Maroc et Israel
- Après cet amalgame
- Le Maroc et Israel n'en sont pas à leur premier coup ensemble, ils sont responsables des tuerie en Algérie après l'arrêt du mousalsal Addimou9rati, donc si il y a eu des femme enceintes éventrées et des enfants égorgé, c'est la main du Maroc et d'Israel.

Alors que les ex du DRS témoignent maintenant que c'est eux qui sont
derrière le GIA et que Djamal Zitouni a été recruté par la DRS après
qu'il ai été surpris entrain d'avoir des relations homosexuels avec un
autre prisonnier dans les camps du DRS au Sahara Oriental Algérien.

Slimani9002



l'algerie coopere deja avec israel via l'armée americaine

LA BASE SECRETE DE L'ARMEE U.S. DANS LE DESERT ALGERIEN

Et comme par hasard, au moment où le public pose des questions génantes sur cette base secrète, les braves petits gars d’Al Qaïda viennent nous faire une “piqure de rappel” en enlevant des touristes occidentaux… la peur du “terroriste”, ça marche toujours pour faire taire les critiques…

Et comme par hasard la base militaire est tenue par des mercenaires qui ont déjà trempé dans des sales coups en Afrique (Executive Outcomes) ainsi que par certains des officiers qui ont trempé dans la sale guerre algérienne des années 1990 (cf. Qui a tué à Benthala de Yous Nesroulah et Salima Mellah)

Comme par hasard…
cette base militaire se trouve à une centaine de kilomètres seulement de la zone d’action de “Al Qaïda au Maghreb”.
La base américaine en Algérie précisément localisée

Différentes source d’informations se recoupant permettent maintenant de localiser précisément cette base américaine.

Elle est située à côté de l’oasis d’Ihérir, à 110 km nord-ouest de Djanet, et à 220 km de la frontière libyenne dans le Tassili des Adjer. A 120 km au nord, se trouve la bourgade d’Illizi, l’endroit exact où les touristes, allemands, suisses et autrichiens avaient été enlevé le 18 août 2003.

Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement de cette base :

- Le général Kamel Abderrahmane, ancien colonel à la DRS du CPMI. Il dirige aujourd’hui la deuxième région militaire, celle d’Oranie. Il a été chargé de la couverture médiatique de l’affaire des otages et de celle de l’installation de la base américaine. Il aurait acheté le “Quotidien d’Oran” en se servant d’un prête-nom. Ceci expliquerait les “révélations” faites par ce journal sur le prétendu plan anterroriste américain.

- Le général Abdelmajid Saheb, qui dirige depuis 1999 la 4ème région militaire, comprenant Ouargla et Djanet. Il a reçu pour mission d’assurer la coordination du transport des engins et équipements nécessaires à l’installation de la base. Chef de la région depuis quatre ans, il la connaît bien pour avoir été l’adjoint du commandant précédent. Il a en outre effectué plusieurs déplacements aux Etats-Unis pour recevoir des instructions.

Mais il y a encore plus surprenant. L’armée américaine ne peut suffire à la tâche, assignée par le commandement, de quadrillage de la planète. Ceci explique le recours à une entreprise, fournissant des mercenaires, pour assurer la sécurité de la base.

Il s’agit “d’Executive Outcomes,” ou du moins de ses héritiers. Cette société jouit d’une unité de travail à la caserne algéroise de Ben Aknoun, là où se tient la DRS. Elle dispose aussi d’un bureau de liaison à Ouargla, siège de la 4ème région militaire dirigée par le général Abdelmajid Saheb.

Nous avons obtenu quelques noms des cadres oeuvrant en Algérie dans le cadre de cette opération :

Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.

Le capitaine Stefan Desmond. Ancien officier du contre-espionnage sud-africain. Expert en armes chimiques et en explosifs, il aurait supervisé le largage de gaz de combat sur des maquis islamistes en Algérie. Chargé de la sécurité intérieure d’Executive Outcomes, on le présente aussi comme un spécialiste de la torture dite “scientifique.”

Les Français ont quelques raisons de lui en vouloir car il a monté des mises en scène macabres de prétendus charniers de l’armée française. Les squelettes, supposés remonter à l’époque coloniale, avaient les mains attachées dans le dos par du fil de fer. Étrangement, et en dépit des années, aucune piqûre de rouille ne marquait le métal.

Desmond est très proche du colonel Othman Tartag, dit Bachir, le chef du CPMI (3) et successeur à ce poste du général Kamel Abderrahamane (voir plus haut). Très brun et les cheveux frisés, Desmond se fait passer pour un Égyptien quand il doit se fondre dans l’environnement.

Le commandant Uri Barsony. Il met en valeur une autre facette de la politique algérienne: les liens tissés entre Alger et les Israéliens. Si Barsony est un ancien officier supérieur sud-africain, il a aussi la nationalité israélienne. Il supervise l’entraînement des hommes d’Executive Outcomes et celui des Forces spéciales algériennes à Biskra. Mais, surtout, c’est lui qui effectue les achats d’armement sur le marché israélien, en particulier les lunettes de vision nocturne, autrefois fournies par les Français, et le napalm, plusieurs fois utilisé dans les montagnes de Kabylie. Barsony travaille en étroites relations avec le Shin Beth, le contre-espionnage israélien. Il s’est rendu à de nombreuses reprises sur l’île de Jerba (Tunisie), afin d’y enquêter, après l’attentat commis contre la synagogue (avril 2001, 21 morts).
En outre, Barsony apparaît comme l’un des principaux responsables des liens nouvellement tissés entre l’Algérie et Israël. Très proche du général Sadek Kitouni, ancien ambassadeur d’Algérie en Afrique du Sud, il a travaillé avec lui à la création d’une “Association d’amitié et de solidarité économique Algérie-Israël,” installée à Alger.
Barsony n’est pas seul à s’activer en faveur du rapprochement entre Israël et l’Algérie. Déjà cité, son collègue Damink a organisé un voyage en Italie au cours duquel Abdelaziz Bouteflika, le Président de la République, a rencontré Dany Yatom, l’ancien patron du Mossad (5). Il a aussi mis sur pied des stages de formation d’officiers de la DRS (2) au centre du Mossad basé dans la banlieue de Tel-Aviv.

On mesure l’importance prise par les mercenaires sud-africains en Algérie. On se demande cependant la raison de leur présence autour d’une base perdue dans le désert.

Uri Barsony donne, à qui veut l’entendre, trois raisons: La lutte contre l’islamisme, la protection des champs de pétrole, et celle des gisements d’uranium.

Manque de chance. L’affaire d’otages est sans doute montée par les services algériens dans la région de la base d’Ihérir, et quant aux champs de pétrole, ils sont à plus de 300 km et les mines d’uranium sont dans un autre pays, le Niger, à 700 km.

Slimani9002



Bouteflika et Israel*

Georges Marion, Le Monde, 1 août 1999

Le président algérien Abdelaziz Bouteflika aime parfois donner à ses compatriotes des leçons de réalisme politique. Lors d'un récent déplacement à Oran, il a, une fois encore, disserté sur sa philosophie de la vie : « Si j'ai un malade qui agonise à la maison, que j'ai besoin d'un médicament, que tous les pharmaciens sont fermés, sauf l'Israélien, je ne sais pas ce que vous faites, mais moi, j'achète. »

Clin d'oeil d'un responsable politique qui en sait plus qu'il n'en dit ? La réalité est en tout cas plus vraie que la fiction : en cinq ans, depuis un premier contrat conclu secrètement avec une société israélienne, l'Etat hébreu est devenu une pharmacie où Alger se fournit discrètement en médicaments, appareillages médicaux et techniques sanitaires diverses.

MÉDICAMENTS DE QUALITÉ

Dans les milieux spécialisés, en France et en Europe, où l'on se heurte désormais à un concurrent inattendu, ces transactions sont connues ; en Israël, où l'on tente de demeurer discret, certains affirment que, de fait, leur pays est devenu le premier fournisseur d'Alger en produits de santé. Chacun paraît trouver son compte à ce commerce qui prend à contre-pied les idées les mieux ancrées : Israël fait des affaires et satisfait son besoin d'être reconnu par le monde arabe ; l'Algérie achète à bon prix des médicaments de qualité, redevient acteur sur une scène (le Moyen-Orient) que ses ennuis intérieurs l'avait conduite à abandonner et espère bénéficier des retombées nécessaires à sa reconstruction en courtisant les juifs, qu'elle croit mythiquement puissants. La spectaculaire poignée de main entre Abdelaziz Bouteflika et Ehoud Barak, lors des obsèques du roi du Maroc, a montré qu'Alger, qui a longtemps campé sur des positions intransigeantes, entend ne plus rester en marge du mouvement.

Cela fait en réalité longtemps que les deux pays se cherchent. Entre 1986 et 1988, un haut responsable algérien - « un ex-militaire proche du président Chadli, toujours en fonctions » - aurait rencontré à Paris, une demi-douzaine de fois, Shimon Pérès, alors ministre des affaires étrangères. « L'émissaire algérien voulait que son pays joue un rôle de bons offices dans le conflit israélo-palestinien », explique l'organisateur de ces rencontre, l'ambassadeur d'Israël en France de l'époque, Ovadia Soffer. « Nous, nous avions intérêt à entretenir des relations avec les Algériens, qui occupaient une place importante au sein des non-alignés, du monde arabe et aux Nations unies. Ils ne nous demandaient qu'une seule chose pour poursuivre : que nous reconnaissions l'OLP. A l'époque, nous n'étions pas mûrs et les rencontres se sont arrêtées. » Elles devaient reprendre en 1994, avec l'arrivée à Alger d'une délégation secrète du ministère israélien de la santé chargée de signer un premier contrat commercial . Un an auparavant, Israéliens et Palestiniens avaient signé à Oslo les accords qui lancèrent le processus de paix ; Yasser Arafat et l'OLP étaient désormais reconnus des Israéliens . Pour Alger, le principal obstacle à des contacts avec Israël était du même coup levé.

« Cela s'est fait très simplement, explique l'un des médecins de la délégation. Depuis plusieurs mois, l'euphorie régnait : nous étions désormais invités à des congrès médicaux où nous côtoyons nos confrères arabes et, notamment, maghrébins. Dans l'un de ces congrès, un haut fonctionnaire algérien nous a demandé si Israël était prêt à leur vendre des médicaments. L'Algérie était en pleine guerre civile ; elle se méfiait de la France et de l'Europe, qui faisaient la fine bouche devant la répression anti-islamiste. Ils ont dû penser qu'avec nos problèmes d'attentats, nous pourrions les comprendre. Ils ne mettaient qu'une condition : que le contrat, orgueil national oblige, soit signé à Alger. »

Aussitôt rentré, l'Israélien prévint les autorités , qui entreprirent une étude de risques. Finalement, Itzhak Rabin donna son feu vert et , au printemps 1994, via la Tunisie et Ouargla, dans le Sud-Est algérien, une première délégation israélienne arrivait à Alger, logée dans une résidence discrète pour hôtes étrangers. « Nous étions une demi-douzaine, plus une équipe de protection armée qui avait été autorisée à nous accompagner, poursuit notre interlocuteur qui a demandé le respect de son anonymat. La consigne était de ne pas parler un mot d'hébreu, mais comme la plupart d'entre nous étions originaires du Maghreb, nous parlions arabe et français. »

SOCIETES ECRAN

Le 10 juillet 1994, la première commande faite à une société écran israélienne qui possédait des bureaux au Maroc était officiellement passée : dix mille tests de grossesse à 11,34 dollars l'unité, frais de manutention et d'expéditions compris. Le produit, baptisé fictivement Prélude, avait été réemballé pour apparaître comme un produit français expédié de Marseille ; l'argent de la transaction fut versé dans une banque marocaine.

Dans les années qui suivirent, le système se perfectionna et les expéditions se diversifièrent : antibiotiques, tests génétiques, mais aussi hôpitaux de campagne, scanners, appareillages divers et médicament spéciaux pour porter secours aux victimes d'attentats. Des Algériens seraient même venus en Israël pour apprendre les techniques particulières pour soigner in situ les victimes et reconnaître les corps.

Haut fonctionnaire israélien au ministère de la science, Albert Benabou, francophone et arabophone, mène de son côté, tout aussi discrètement , plusieurs projets de coopération où sont impliqués des Algériens. « Depuis 1996, nous avons des contacts réguliers avec la société civile algérienne, dit-il. On se rencontre, on fait des projets, mais jamais publiquement. Nos gouvernements respectifs sont au courant. » Sous sa houlette, des journalistes algériens ont été invités en Israël (lire ci-contre), d'autres ont participé à des séminaires conjoints aux Etats-Unis ; des scientifiques et des industriels sont également en discussion avec leurs homologues israéliens.

Si tout se passe comme prévu, une délégation israélienne devrait se rendre en Algérie, pour la première fois officiellement, à l'automne. Elle examinera avec ses hôtes divers projets de coopération dans des domaines où

les Israéliens ont un savoir-faire : distribution et exploitation des eaux,

agriculture en milieux désertique, informatique et haute technologie.

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Des références dans la presse algérienne dès octobre Les officiels algériens n'ont pas réagi aux récentes informations quant aux contact établis depuis quelques années avec Israël. Mais, depuis l'automne, des journaux avaient commencé d'habituer leurs lecteurs à l'idée d'une évolution de l'attitude algérienne envers l'Etat hébreu. « Des relations avec Israël, pourquoi pas ? », titrait La Nouvelle République, quotidien considéré comme très proche des milieux militaires, le 25 octobre. A la question « établir des relations avec Israël est-il dans l'intérêt de l'Algérie ? », le quotidien répondait par l'affirmative, se demandant ensuite « comment annoncer (une telle décision) à une opinion publique globalement hostile ? » Le 16 novembre, puis le 3 décembre, le même titre, dans un article signé d'un pseudonyme et dont l'auteur était en réalité un responsable américain à Alger, revenait à la charge. Sous le titre « Où sont les intérêts de l'Algérie ? », l'auteur dénonçait les « positions figées des diplomates algériens (...) au moment où Israéliens et Palestiniens sont en contact permanent ».

Le 28 juillet, enfin, un rédacteur en chef d' El Watan racontait dans son journal son séjour dans l'Etat hébreu en 1995, à l'invitation du ministère israélien des affaires étrangères.

* Titre donné par algeria-watch

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