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Anwar Malek repond à la presse mensongère du Makhzen

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Atavisme

Atavisme

Sur El Chourouk, Anwar Malek repond à la presse mensongère du Makhzen et à sa propagande.

http://www.echoroukonline.com/ara/aklam/analyses/anoir_malek/57279.html

admin"SNP1975"

admin
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«Qui tue qui ?» : une invention des services français
Hichem Aboud confirme ce que La Nouvelle République a toujours soutenu.



Dans une série d’articles parus dans un quotidien arabophone algérien, le journaliste et ex-réfugié politique, Hichem Aboud, auteur d’un célèbre réquisitoire contre le pouvoir algérien, La Mafia des généraux (2002), lève un voile sur les manigances ayant conduit, en France notamment, à accentuer les attaques contre l’Algérie sur la tragédie des années 1990 avec le fameux «Qui tue qui?» dont l’auteur lui-même fut un fervent partisan. D’où, d’ailleurs, l’intérêt de ces révélations, confirmant au passage tous les soupçons que la presse algérienne n’avait cessé d’émettre sur la nature de ces accointances.


L’ex-capitaine des services de renseignement évoque un cas assez illustratif de cette campagne orchestrée contre l’Algérie et son armée, celui du responsable des éditions La Découverte, François Gèze. Ce dernier est connu pour avoir publié des témoignages à charge contre l’Algérie (dont le fameux La Sale guerre de Habib Souaidia), participé activement à la campagne de dénigrement dans les médias, et pour s’être distingué par un zèle sans égal lors du procès intenté par Khaled Nezzar contre Souaidia, en juillet 2002, où était présent Hichem Aboud ! D’entrée, Aboud écrit : «François Gèze a reçu une gifle qu’il n’oubliera pas toute sa vie de la part du lieutenant-colonel Bellazoug Abdelali, qui lui avait proposé de publier un livre dans lequel il entendait mettre en cause l’institution militaire. Après avoir lu l’ouvrage, Gèze lui a demandé de procéder à une révision du contenu par une de ses assistante, Salima Mellah, une Française d’origine algérienne au passé douteux.» Peut-on seulement oublier qu’à l’époque des faits, Aboud faisait partie du même lot ? Il ajoute que l’auteur de l’ouvrage, qui, selon lui, «a quitté l’armée algérienne pour des convictions personnelles», a constaté que son éditeur avait complètement modifié l’esprit du texte. «Cela dit, explique-t-il, Gèze croit avoir mis la main sur un trésor qui devrait lui permettre de se gargariser devant ses maîtres dans les services de renseignement français.» Preuve que, durant ses rencontres avec Bellazoug, François Gèze «tentait toujours de l’amener sur des questions qui n’avaient à rien à voir avec l’objet du livre ; ses questions avaient trait à la nature de l’armement algérien, aux sites des radars et de la défense aérienne, et aussi à l’implantation des forces armées le long des frontières avec le Maroc…» Sur cette affaire, on sait que Bellazoug a poursuivi Gèze pour subornation de témoin, comme ce fut le cas avec Mohamed Sifaoui.


La mission de François Gèze


Ces accusations directes viennent mettre à nu les accointances d’un certain nombre d’activistes français, longtemps décrits comme des faiseurs d’opinion, avec les services de renseignement de leur pays (la DGSE), déjà soupçonnés de «manigances» dans tant d’affaires liées à la crise algérienne. La dernière tentative «à succès» de ce conglomérat d’activistes remonte à 2004, avec la sortie en France de Françalgérie : crimes et mensonges d’Etat édité chez la même Découverte. L’ouvrage est cosigné par un certain Jean-Baptiste Rivoire, journaliste à «90 minutes» (Canal Plus), connu pour ses nombreux documentaires «bien inspirés» sur la tragédie algérienne, dont Bentalha, autopsie d’un massacre (1999), Algérie : la grande manipulation (2000) et Attentats de Paris, enquête sur les commanditaires (2002). Avec un sous-titre déclamatoire : «Histoire secrète, de la guerre d’indépendance à la «troisième guerre d’Algérie» et étalé sur 700 pages, la dernière découverte de François Gèze était visiblement destinée à relancer l’exaltante polémique ayant pour slogan générique la fameuse question du «Qui tue qui ?» après une période de vaches maigres pour un certain nombre de faiseurs d’opinion, mais avec ceci de particulier qu’il survint à un moment de grandes retrouvailles franco-algériennes à la faveur des élections présidentielles en Algérie. Le patron des éditions de la Découverte, qui n’est que trop connu sur ce registre d’essais pamphlétaires classés, ici chez nous, dans la case d’entreprises anti-algériennes pour avoir édité entre autres le célèbre Sale guerre (2001) du sous-lieutenant Habib Souaidia, organisait au mois de juin de la même année, avec le député vert Noël Mamère, une conférence à Paris portant sur le même thème, et s’appuyant sur l’ouvrage sus-cité. Le nom de François Gèze a toujours été cité comme le pivot de toute cette opération téléguidée par la DGSE et applaudie par Rabat avec qui il entretient des relations privilégiées, notamment avec André Azoulay, le conseiller de Hassan II et maintenant de Mohammed VI.


Notre journal a eu la primeur de dévoiler la nature de ses accointances, sur la base de documents exclusifs. Dans une correspondance, Gèze avouait son échec dans la mission qui lui avait été confiée, pour «enfoncer le grand Turc d’Alger (code désignant le général Nezzar) et le malmener en justice dans un but de dissuasion et de pédagogie…» Le même éditeur s’était distingué par le parrainage de témoignages «explosifs» comme celui d’un certain Nasroulah Yous : Qui a tué à Bentalha, co-écrit avec une journaliste algérienne, Salima Mellah, et lui-même présenté comme étant «un survivant de la plus grande tuerie de la deuxième guerre d’Algérie». La thèse qui y est corroborée procède d’une analyse des plus stéréotypées : «Le sale boulot, expliquera-t-il à la presse, était fait par les groupes armés mais l’encadrement était militaire. Tout le monde sait que les groupes armés étaient noyautés par les services secrets algériens.»


L’année 2004 a connu aussi, on s’en souvient, d’autres épisodes tout aussi mouvementés, avec l’apparition sur scène de nouveaux pourfendeurs de l’armée algérienne : le cas d’un «ancien diplomate», Larbi Zitout, au ton particulièrement hargneux, fréquemment invité sur les plateaux des chaînes satellitaires arabes. Il y est souvent accompagné d’un certain Mohamed Samraoui, se présentant comme «commandant dissident» des services de renseignement, auteur lui aussi d’un brûlot mettant en cause son ancienne hiérarchie dans les massacres des populations, Chronique des années de sang, paru en 2003. L’homme est sous menace d’expulsion après le lancement, par Alger, d’un mandat d’arrêt international à son encontre. Il revient cette semaine pour dérouter l’opinion française sur ses témoignages contradictoires sur l’affaire Mécili… Finira-t-il, lui aussi comme Hichem Aboud, par faire son «mea-culpa» et se résoudre à lever le voile sur d’autres pans de cette grossière machination ? Mussa A. Voir sur Internet ..


La Nouvelle République, 31/8/2010


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admin"SNP1975"

admin
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C’est ainsi que la sécurité algérienne a infiltré l’Elysée

C’est ainsi que la sécurité algérienne a infiltré l’Elysée et a préparé la nationalisation des hydrocarbures
Hicham Aboud raconte Kasdi Merbah: 17 ans sont passés depuis la disparition du colonel Abdallah Khalef, alias Kasdi Merbah, assassiné le 21 août 1995, lui, son fils, son frère, son chauffeur et son garde du corps. En ce triste anniversaire, Hicham Aboud revient sur les réalisations de l’Algérie à l’époque où Kasdi Merbah était le premier responsable de la sécurité et de la stabilité du pays.

* «L’enfant du Djurdjura, Abdallah Khalef a rejoint le corps de sécurité le 31 décembre 1957, après avoir effectué une formation militaire de six mois, alors qu’il avait à peine 19 ans. Les 70 jeunes qui avaient pris part à cette même formation avaient été répartis sur les différentes régions de la Wilaya V. certains éléments du groupe, dont le défunt Kasdi Merbah, ont été affectés à l’organe de renseignements relevant du ministère de l’armement et des liaisons générales (MALG). Peu de temps après, en 1960, il prend les commandes du service des renseignements de l'Etat-major de l’ALN».
*
* «Son habileté à mener les hommes et ingéniosité dans l’évaluation des situations ont fait de lui la personne la plus qualifiée pour diriger la sécurité militaire en 1962. Sa direction se termine le 5 mai 1979, lorsqu’il est nommé secrétaire général du ministère de la défense nationale au cours du premier mandat présidentiel de Chadli Ben Djedid».
* «L’homme avait une profonde vision stratégique. Il a jeté les premiers jalons de l’organe de sécurité se basant sur sa longue expérience acquise durant la guerre de libération et sa participation en tant qu’expert militaire aux négociations de Rousse et d’Evian.
*
* Cette participation lui a permis de démasquer les intentions dissimulées de la France qui voulait garder la mainmise sur le pays. Pour contrecarrer de tels projets, Kasdi Merbah a œuvré pour que l’organe de sécurité soit solide et imperméable à toute tentative d’infiltration, en adoptant le principe de "pas de discussion" quelque soit la situation. Le défunt a interdit le recrutement des anciens de l’armée française et de ceux mariés à des étrangères. Même pour la génération de l’indépendance, il a éloigné ceux qui étaient apparentés à des français, des harkis, ou leurs sympathisants. Les portes de la sécurité militaire sont restées fermées devant tous ceux qui avaient des comportements troubles ou des antécédents judiciaires».
* «Si beaucoup de gens imaginent que les officiers de la sécurité militaire considérés comme l’élite du pays, vivaient dans l’opulence, c’était loin d’être le cas au moins jusqu’aux débuts des années 90. De nombreux officiers et officiers supérieurs souffraient de la crise du logement, logeaient dans des conditions difficiles au niveau des casernes et avaient du mal à économiser pour s’acheter un véhicule. Mais tous ceux qui ralliaient l’organe se sentaient honorés et étaient déterminés à servir la patrie en dépit des difficultés».
* «A l’époque de Kasdi Merbah, les renseignements algériens ont porté plusieurs coups durs aux renseignements français au cours d’une guerre secrète qui se poursuit jusqu’à présent. Impossible de l’oublier vu son impact sur la stratégie française. Le coup le plus sévère était la nationalisation des hydrocarbures annoncée officiellement le 24 février 1971 par le président défunt Houari Boumediene. Le choix du président Boumediene de dire "Nous avons décidé" n’était pas irréfléchi ou inconscient. Et il savait que la décision de nationaliser les hydrocarbures aurait un impact profond, non seulement sur la France, mais aussi sur tous les pays consommateurs de pétrole, se rappelant même la chute du gouvernement de Téhéran en 1953 lorsque pareille décision avait été prise. Ce qui a poussé feu Boumediene à annoncer avec beaucoup d’assurance la nationalisation des hydrocarbures, sans craindre le contrecoup de la France, c’est qu’il détenait toutes les informations concernant la réaction de l’Etat français. Il savait pertinemment que ce dernier n’oserait pas procéder à une attaque militaire contre l’Algérie. Ces informations lui avaient été fournies par le service de la sécurité militaire dirigé alors par Kasdi Merbah. Ce n’était pas le fruit de suppositions, mais les renseignements algériens avaient réussi à s’infiltrer aux fins fonds de l’Etat français et jusqu’au secrétariat général du Palais de l’Elysée, en envoyant pour cette mission l’officier Rachid Tabti».
«Le lieutenant Tabti avait infiltré le secrétariat général de l’Elysée après avoir séduit la première responsable du staff des dactylographes des rapports qu’envoyait alors le président français aux différentes institutions et organes de l’Etat. Il s’était fait passer pour un émir arabe, et la comblait de cadeaux. En contrepartie, il avait obtenu toutes les informations sur les intentions des responsables de l’Etat français au cas où l’Algérie viendrait à nationaliser ses hydrocarbures.
# Cette infiltration est unique en son genre dans le monde arabe, puisque aucun service de renseignements arabe n’a jamais réussi un tel exploit, ni même moindre. C’était un travail de qualité et professionnel, suivi par d’autres réalisations comme l’infiltration du Mossad dans les années 80, à l’époque de Lakhel Medjdoub Ayat, par deux agents algériens au niveau des représentations des renseignements israéliens à Madrid et Marseille.
# En revanche, les services secrets français ne sont pas parvenus à infiltrer les renseignements algériens. La dernière tentative en date, à ce que je sais, remonte au milieu des années 80 lorsqu’un sous-officier a été enrôlé, puis tout de suite démasqué par ses collègues. Il avait fui vers la France sans récolter la moindre information. D’ailleurs, son rang ne lui permettait pas d’être au courant des affaires importantes. Cet échec pousse encore les renseignements français à tenter par n’importe quel moyen d’infiltrer l’organe de sécurité algérien».
#
# «Pour arriver à leurs fins, les renseignements français œuvrent sur deux échelles. D’abord empêcher une quelconque infiltration de la part des services algériens, d’autant qu’en France, il y a beaucoup de français d’origine algérienne. Parmi cette catégorie, des éléments sont enrôlés pour surveiller étroitement la communauté algérienne établie en France. D’autre part, les services français tentent d’infiltrer les institutions algériennes, particulièrement les institutions souveraines de l’Etat, en usant de différentes incitations. La France ne manque pas de continuer sa guerre psychologique contre l’Algérie en exploitant certains éléments qui vouent une aversion à l’institution militaire et son service de sécurité. En plus de la surveillance des associations qui accueillent les membres de la communauté algérienne, ainsi que les mosquées».
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# «L’éditeur français François Gèze, est considéré comme un expert de la propagande ciblée contre l’Algérie, en particulier son institution militaire, par l’édition d’ouvrages plein de récits pour des ignorants incapables d’aligner deux phases correctes en français et encore moins en arabe, transformant le lâche en héros et le criminel passible d’un jugement en Algérie en opposant politique, même si ce dernier n’est pas au fait de la politique , ni de ses arcanes.
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# Beaucoup s’étonnent de l’hostilité affichée de François Gèze contre l’Algérie et ses institutions. En fin de compte, Pierre Siramy, l’ex sous-directeur des renseignements français, la DGSE, l’a démasqué dans son livre « 25 années dans les services secrets » paru en mars dernier aux éditions Flammarion à Paris : "Le patron de la maison d’édition La Découverte, en l’occurrence François Gèze, travaille pour les services secrets" (voir le dernier paragraphe de la page 245). Et qui pourrait contredire ce témoin bien placé pour être au courant de tout du fait de son métier?
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# « Personnellement, j’étais conscient de cette vérité à partir de l’instant où François Gèze s’est intéressé à la publication de mon livre, « La mafia des généraux », paru en février 2002. Il a beaucoup regretté mes fins de non-recevoir à ses propositions et quand il s’est assuré que je n’étais pas de la même pâte que les auteurs qui se laissent dicter leurs écrits et dénigrent l’Algérie, malgré la dureté de mes critiques envers le système algérien, il était encore plus consterné. Mon livre n’attaque pas l’institution militaire, mais la défend et s’en prend à la cinquième colonne : ceci ne lui a pas plu. La déception fut à son comble quand le grand journaliste Anouar Malek a refusé de se plier à ses propositions alléchantes en 2006, malgré une situation très difficile ; il n’a pas tendu la main aux ennemis de l’Algérie et à leurs plans malveillants ».
chourouk


J'ai eu l'honneur de reconterer ces deux ex militaires (Anouar et Hichem ) à Paris. Ils disent être des opposants au pouvoir.

http://www.marocainsdalgerie.net

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