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BRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE

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admin"SNP1975"

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Etranger (Dimanche 02 Mars 2008)



Sécurité au Maghreb

Les menaces militaristes du Maroc

Par :Abdelkamel K.
Lu : (6314 fois)

À deux semaines du quatrième round de négociations de Manhasset entre le Maroc et les Sahraouis, Rabat fait monter la tension d’un cran dans la région à travers un communiqué de son ministère des Affaires étrangères menaçant directement le Front Polisario, et de manière à peine voilée l’Algérie.
Dans un communiqué rendu public hier Rabat prévient, dans une menace à peine voilée en direction d’Alger, le Front Polisario de “sa nette détermination à préserver, par tous les moyens, son intégrité territoriale sur l'ensemble de son Sahara et à sauvegarder, de manière légitime, sa sécurité nationale”. En effet, sans citer Alger nommément, le Makhzen “interpelle l'ensemble des parties qui procèdent, accompagnent ou encouragent les actes gravissimes ainsi annoncés”. “Ces parties, ajoute le communiqué, doivent, toutes, assumer, seules, les conséquences multiples d'une telle inacceptable évolution sur la sécurité régionale.” C’est une nouvelle tentative d’impliquer l’Algérie dans ce conflit de décolonisation, qui intervient deux jours après les déclarations du Premier ministre marocain, qui avait appelé jeudi l'Algérie et le Polisario à être “positifs” lors de la quatrième série de négociations sur le sort du Sahara occidental à Manhasset près de New York sous l'égide de l'ONU, prévue du 16 au 18 mars. “Le gouvernement appelle les autres parties, particulièrement l'Algérie sœur, à s'inscrire positivement dans les négociations sur le fond du projet d'autonomie”, avait-il notamment affirmé à la presse. Cette fois-ci, se basant sur les écrits de “certains organes de presse, qui ont rapporté que le Polisario a confirmé son intention de procéder au peuplement et à la construction d'infrastructures dans la zone du Sahara marocain à l'est du dispositif de défense, précisément à Tifariti, où de soi-disant cérémonies de pose de premières pierres aurait été organisées”, le Maroc pousse à l’escalade en se déclarant prêt à toutes les éventualités. Pour rappel, déclarée “démilitarisée” par l'ONU, la zone de Tifariti se trouve dans une “zone tampon” du Sahara occidental, selon Rabat, et dans une “zone libérée” selon le Front Polisario. Sur un ton provocateur, Rabat avertit qu’il “ne saurait en aucune manière tolérer toute rupture du statu quo ou fait accompli dans cette zone qui a été depuis la proclamation du cessez-le-feu en 1991 exempte de présence ou d'infrastructures”. En fait cette réaction marocaine n’est qu’une réponse à la menace du Front Polisario, lors de son récent congrès en décembre dernier dans cette même ville de Tifariti, de reprendre les armes pour obtenir son droit à l’autodétermination.
Il y a lieu de lier cette réaction à la déclaration du secrétaire général de l’ONU jeudi sur les cas de décolonisation, devant le comité spécial chargé d’étudier la situation de l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux, en estimant que “le chapitre de la décolonisation n’est pas encore achevé”.
À l’ouverture des travaux de la session 2008 du comité spécial chargé d’étudier la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, le secrétaire général de l’ONU, a insisté sur le fait que seize territoires non autonomes, dont le Sahara occidental, demeuraient inscrits à l’ordre du jour des Nations unies. “Jusqu'à ce que leur statut soit réglé de manière satisfaisante, les idéaux de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance n’auront pas été réalisés”, a plaidé Ban Ki-moon. Se sentant dos au mur, le royaume marocain tente une fois de plus de brouiller les cartes, toujours dans l’espoir de gagner du temps.
K. ABDELKAMEL



Dernière édition par Admin le Mar 11 Mar - 21:58, édité 4 fois

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admin"SNP1975"

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POINT DE PRESSE DU PRÉSIDENT SAHRAOUI
[size=16]«Les Marocains veulent aller vers le pourrissement»
BRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE TP080302-05

Si l’option de la guerre sera imposée aux Sahraouis, ces derniers ne lésineront sur aucun moyen pour défendre leur territoire et faire valoir leurs droits.

Le président de la République sahraouie (Rasd) a dénoncé, hier, lors d’une conférence de presse, la montée de l’esprit belliqueux chez les Marocains. Ces derniers s’adonnaient, depuis quelque temps, à un véritable jeu de haute voltige avec les marchands d’armes, en l’occurrence la France et les USA.
«Nous exprimons nos vives préoccupations quant aux recours répétitifs du Maroc à l’armement, au moment où la voie de la paix est recommandée par les Nations unies», laissa entendre Mohamed Abdelaziz, hier, clôturant une semaine de festivités consacrée au 32e anniversaire de la proclamation de la Rasd.
Mais Mohamed Abdelaziz, sur un ton ferme, n’a pas hésité à répondre du tac au tac pour dire que «si l’option de la guerre sera imposée aux Sahraouis, ces derniers ne lésineront sur aucun moyen pour défendre leur territoire et faire valoir leurs droits».
Mohamed Abdelaziz a fait remarquer que depuis l’arrivée du roi Mohammed VI, le Maroc n’a cessé de privilégier la voie militaire, tournant carrément le dos à la légalité internationale et les résolutions des Nations unies sur le Sahara occidental.
«Il y a bel et bien une réelle volonté d’aller, de nouveau, vers une nouvelle escalade contre le peuple sahraoui.»
Le président sahraoui, sans détours ni faux-fuyants, s’est dit convaincu que toutes les actions d’armement et de réarmement entreprises par le Royaume chérifien tendent à être utilisées contre le peuple sahraoui. Depuis les contrats des F-16 conclus avec les USA, le Maroc ne s’est pas arrêté à ce stade.
Des sources militaires du Royaume chérifien ont révélé, récemment l’intention du Maroc d’acquérir un matériel de surveillance infrarouge hautement sophistiqué, acheté auprès d’une société américaine spécialisée dans l’équipement militaire. Ce genre d’équipements est utilisé surtout dans les opérations d’espionnage.
Les mêmes sources ont fait savoir que le Maroc a également signé d’autres contrats militaires avec les partenaires américains, dont le montant s’élèverait à quelque 250 millions de dollars.
Il s’agit surtout de l’achat des avions de guerre de type F-1 et F-5, dotés de matériel de surveillance infrarouge. Interrogé précisément sur cette montée de l’esprit belliqueux chez les Marocains, le président sahraoui a expliqué que le Maroc a choisi de s’enliser encore dans sa politique expansionniste au Sahara occidental pour imposer le fait accompli par la guerre.
Nous apprenons également que le Royaume chérifien a signé d’autres convention militaires avec la France pour l’achat des missiles de type Mirage. Un deuxième contrat avec la société française Sagem tend à équiper l’armée royale avec d’autres appareils de guerre.
Face à cette frénésie d’armement chez les Marocains, le président sahraoui a conclu que la responsabilité d’un éventuel dérapage incombera au Maroc et à ses parrains traditionnels ainsi qu’à l’ONU qui, pourtant, est sur les lieux pour veiller au maintien de la paix.
Le marché d’armement conclu avec les Américains est évalué à 2,4 milliards de dollars et les 24 avions de combat qui seront livrés au Maroc devront placer le pays de Sa Majesté à la 25e place des Etats possesseurs des F-16. Il y a bel et bien, bruit de bottes et le spectre de la guerre risque de prendre corps.
Mohamed Abdelaziz, lors d’une conférence de presse tenue à Rabouni, le Quartier général du Front Polisario, a interpellé l’ONU pour assumer ses pleines responsabilités dans le dossier sahraoui et faire respecter les résolutions du Conseil de sécurité sur le Sahara occidental.
Sur sa lancée, le président sahraoui a appelé les Marocains à réviser leurs positions aux fins de surmonter l’impasse dans laquelle se sont embourbées les négociations de Manhasset. Mohamed Abdelaziz a réitéré la position inchangeable de son pays, à savoir l’urgence d’organiser un référendum d’autodétermination dans lequel le peuple sahraoui devra choisir sa destinée.
«Le choix et le dernier mot reviennent au peuple sahraoui. Ce dernier aura, le jour du référendum, toutes les solutions possibles, mais son choix devra être respecté en fin de compte», a expliqué encore le secrétaire général du Front Polisario.
82 pays reconnaissent actuellement la République sahraouie, selon Mohamed Abdelaziz, qui a appelé les pays ayant reconnu le Kosovo à faire de même pour la République sahraouie.

De notre envoyé spécial Ali TITOUCHE

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Sahara Occidental Le discours de guerre de Rabat
par M. Saâdoune
BRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE Spacer Le Maroc veut-il «réchauffer» le conflit avec les Sahraouis en prenant prétexte de l'installation à Tifariti d'un nouveau Conseil national sahraoui, d'un projet de construction d'un complexe sportif financé par l'Afrique du Sud et d'un barrage pour l'alimentation en eau potable financé par la mairie de Séville ? Le ministère marocain des Affaires étrangères a publié, hier, un communiqué au ton très martial affirmant qu'il ne saurait tolérer la construction d'infrastructures dans ce qu'il appelle la « zone tampon » de Tifariti. Ce raidissement guerrier paraît surtout lié au fait que les Sahraouis, après trois rounds de « négociations » à New York et à l'approche du 4ème round, n'entendent pas transiger sur la question du droit à l'autodétermination. Alger, en dépit des pressions occidentales en faveur du plan d'autonomie marocain, n'a pas changé également de position. Récemment, l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara Occidental, Peter Van Walsum, constatait que les positions étaient «encore très éloignées» et qu'il ne disposait pas de solution alternative pour sortir de l'impasse. Les discussions de New York, voulues par certains pays occidentaux comme un moyen de faire passer le plan marocain, n'ont pas atteint ce but. Le Polisario, qui a le droit pour lui, n'a pas cédé à la pression.

C'est dans ce contexte qu'il faut lire ce communiqué guerrier où le gouvernement marocain annonce qu'il ne « saurait en aucune manière tolérer toute rupture du statu quo ou fait accompli dans cette zone qui a été depuis la proclamation du cessez-le-feu en 1991 exempte de présence ou d'infrastructures». Cette affirmation est assortie d'une menace d'agir par «tous les moyens» pour préserver ce qu'il appelle son « intégrité territoriale» et sa «sécurité nationale». Le Maroc est-il sur le sentier de la guerre ? Il est en tout cas dans un discours de la guerre à usage diplomatique. Les infrastructures à construire à Tifariti, qui n'ont rien de militaire, il faut le préciser, servent en effet de prétexte pour essayer de relancer une bataille diplomatique à l'issue incertaine en dépit du soutien des Américains et des Français. Le message que le Maroc ne cesse de marteler - «l'autonomie, rien que l'autonomie» -, est en train de muer vers «l'autonomie ou la guerre».



Un choix risqué



Ce message ne s'adresse pas au Polisario qui est prêt à relever le défi et qui a déjà fait valoir que le retour à la lutte armée reste une de ses options si les efforts destinés à mettre en application les résolutions de l'ONU sur l'autodétermination n'étaient pas couronnés de succès. Ce discours guerrier est plutôt dirigé vers l'ONU qui, de facto, a transformé la Minurso en instrument de préservation du cessez-le-feu. Le but étant de créer une situation dramatique pour donner des arguments aux puissances occidentales afin de redoubler les pressions au sein du Conseil de sécurité et de faire avaliser le plan d'autonomie. Les amis occidentaux du Maroc, ceux-là même qui viennent de créer le précédent du Kosovo, n'ont aucun argument à opposer aux Sahraouis et aux Etats qui défendent l'autodétermination. Et apparemment, le Maroc cherche à leur en fournir un, celui d'une reprise du conflit... à un niveau large puisqu'il met en cause les parties «qui procèdent, accompagnent ou encouragent les actes gravissimes ainsi annoncés». Le Maroc va-t-il se contenter de cette manoeuvre diplomatique et médiatique pour essayer de forcer le chemin à son plan d'autonomie ?

Les chances de succès de la manoeuvre étant quasiment nulles, serait-il enclin à aller au-delà de la gesticulation diplomatique ? C'est un choix risqué. Le cessez-le-feu en vigueur a surtout servi à ligoter le Polisario et il a profité au Maroc qui, avec l'appui de certaines puissances occidentales, a évité l'application des résolutions de l'ONU sur l'autodétermination. S'il prend l'initiative de rompre le cessez-le-feu, l'ONU sera mis hors du coup après avoir gelé le conflit à son profit depuis le début des années 90. Tout dépend en réalité de la nature des «conseils» de ses amis occidentaux. Ils ne sont pas toujours de bons conseils.




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Le Maroc a réaffirmé vendredi qu'il ne saurait, en aucune manière, tolérer toute rupture du statu quo ou fait accompli dans la zone tampon de Tifariti, au Sahara marocain, et ce en réaction aux informations rapportées par certains organes de presse faisant état de l'intention du polisario de procéder au peuplement et à la construction d'infrastructures à Tifariti.






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Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération indique que le Maroc réitère avec force sa position ferme, claire et connue de tous, déjà exprimée par le passé et dénonçant publiquement les intentions du polisario.
Voici le texte intégral de ce communiqué :

"Certains organes de presse ont rapporté, vendredi, que le polisario a confirmé son intention de procéder au peuplement et à la construction d'infrastructures dans la zone du Sahara marocain à l'est du dispositif de défense, précisément à Tifariti, où de soi-disant cérémonies de pose de premières pierres aurait été organisées.
A cet égard, le Royaume du Maroc tient à préciser les éléments importants suivants :
1 - Le Maroc a déjà dénoncé solennellement et publiquement cette intention et déclaré, en son temps, qu'il ne saurait en aucune manière tolérer toute rupture du statu quo ou fait accompli dans cette zone qui a été, depuis la proclamation du cessez-le-feu en 1991, exempte de présence ou d'infrastructures.
2 - Aujourd'hui, le Royaume réitère avec force sa position ferme, claire et connue de tous.
3 - Il réaffirme sa nette détermination à préserver, par tous les moyens, son intégrité territoriale sur l'ensemble de son Sahara et à sauvegarder, de manière légitime, sa sécurité nationale.
4 - Le Royaume du Maroc interpelle l'ensemble des parties qui procèdent, accompagnent ou encouragent les actes gravissimes ainsi annoncés. Ces parties doivent, toutes, assumer, seules, les conséquences multiples d'une telle inacceptable évolution sur la sécurité régionale.
5 - Enfin, le Royaume du Maroc s'interroge sur les véritables raisons et les réelles motivations de ces actions projetées sur le terrain - nouvelles dans leur nature, dangereuses dans leur portée et accompagnées, depuis peu, par de menaces de reprise des hostilités - en particulier dans le contexte du processus de négociations engagé au sein de l'ONU, à la faveur de la présentation par le Maroc de son initiative d'autonomie, encouragée par la communauté internationale".
Par MAP

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لـ''الخبر''
''المغرب يلوح بالحرب وسندافع عن أرضنا مهما كلف الأمر''



BRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE Mohamed-salemBRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE Img-ombre-haut-droit
BRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE Img-ombre-bas-gaucheBRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE Img-ombre-bas-droit
شدد رئيس الدبلوماسية الصحراوية، في اتصال هاتفي أمس مع ''الخبر''، على أن ''المغرب يتسابق نحو التسلح من خلال شراء الطائرات والذخائر والتحضير لحرب، بعد أن تراجع عن الاستفتاء، ولم يترك أمام الصحراويين أي سبيل إلا الاستعداد للحرب... ونحن لا نجد أي خيار سوى الدفاع عن أنفسنا وعن أرضنا''. وكانت وزارة الشؤون الخارجية المغربية قد أصدرت بيانا، يوم الجمعة، جاء فيه ''المغرب يؤكد بأنه لن يقبل بأي حال من الأحوال المساس بالوضع القائم أو بفرض الأمر الواقع في المنطقة العازلة بتيفاريتي... والمملكة تجدد عزمها الراسخ على صيانة وحدتها الترابية بمجموع صحرائها، بكل الوسائل، وعلى حقها المشروع في حماية أمنها الوطني''. وفي هذا السياق أكد وزير الخارجية الصحراوي ''لن نقبل بسياسة الأمر الواقع ونحن في تيفاريتي وأغوينيت وميجك.. في أرضنا.. نحن سنبني أي جزء يتم تحريره وسندافع عن هذه الأرض مهما كلفنا ذلك من ثمن''

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yaz



il aurais fallut souligner à quel moment et ou l Algerie aurais du avoir peur ?..:arrow:

deporté75

deporté75

سبب كل هذا الشرّ و هذه الطبول التي تُقرع و تُنذر بحرب قادمة سببها الجزائر لأن الجزائر هي من تأوي هذه العصابة و هي من تدعمها في المحافل الدولية و هي من ترسم سياستها حتى تعرقل المغرب و تُثنيه في المضي قُدثما نحو النماء و التقدم
على المغرب أن يتبنى سياسة الملاحقة في حالة إن إندلعت الحرب و أن يعمل كما فعلت تركيا مع حزب العمال الكردي الذي انطلق من شمال العراق و أن يصفّي منابع هذه الشرذمة و لو إقتضى الحال أن يدخل في مواجهة مع الجزائر حتى نطوي هذا السجّل كطيّنا للكتب

http://jamalelatmani@yahoo.fr

deporté75

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وزارة الخارجية ترد على ''البوليساريو''


أكد المغرب أنه ''لن يقبل بأي حال من الأحوال المساس بالوضع القائم أو القبول بفرض الأمر الواقع في منطقة تفاريتي، التي ظلت منذ الإعلان عن وقف إطلاق النار في 1991 خالية من أي وجود بشري أو بنيات تحتية''، جاء ذلك في بيان لوزارة الخارجية والتعاون ردّا على إعلان ''جبهة البوليساريو'' تدشين بنيات تحتية ومؤسسات بالمنطقة المذكورة، أقامت لها احتفالات لوضع الحجر الأساس.


وقال نص البيان إن المغرب يجدد ''عزمه الراسخ على صيانة الوحدة الترابية بمجموع صحرائه بكل الوسائل، وعلى حقه المشروع في حماية أمنه الوطني''. ووصف البيان ما تقوم به جبهة البوليساريو ''بالأعمال ذات المنحى الخطير''، محذرا ''كافة الأطراف التي تقوم وتواكب وتشجع على القيام بها''، منبها لها بأنه عليها أن ''تتحمل لوحدها الانعكاسات المتعددة لمثل هذا التطور غير المقبول بالنسبة لأمن المنطقة''. وختم بيان وزارة الخارجية، الذي أعلنت عنه يوم الجمعة الماضي، بالتساؤل عن ''الأسباب والدوافع الحقيقية لهذه الأعمال التي يجري تنفيذها على الأرض-الجديدة من حيث طبيعتها والخطيرة من حيث حمولتها وما رافقها منذ مدة من تهديدات بالعودة إلى المواجهة المسلحة-''، خاصة وأن الطرفين المغربي و''البوليزاريو'' دخلا منذ شهر غشت من السنة الماضية، في مفاوضات تحت إشراف الأمم المتحدة، وذلك على إثر الإعلان عن مبادرة الحكم الذاتي، التي قدّمها المغرب كأرضية للتفاوض من أجل إيجاد حلّ لمشكل الصحراء الذي عمّر أزيد من 30 سنة.
3/3/2008

عن جريدة التجديد

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Version en français du communiqué:
Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères et de la coopération indique que le Maroc réitère avec force sa position ferme, claire et connue de tous, déjà exprimée par le passé et dénonçant publiquement les intentions du polisario.
Voici le texte intégral de ce communiqué.
"Certains organes de presse ont rapporté, vendredi, que le Polisario a confirmé son intention de procéder au peuplement et à la construction d'infrastructures dans la zone du Sahara marocain à l'est du dispositif de défense, précisément à Tifariti, où de soi-disant cérémonies de pose de premières pierres aurait été organisées.
A cet égard, le Royaume du Maroc tient à préciser les éléments importants suivants :
1- Le Maroc a déjà dénoncé solennellement et publiquement cette intention et déclaré, en son temps, qu'il ne saurait en aucune manière tolérer toute rupture du statu quo ou fait accompli dans cette zone qui a été, depuis la proclamation du cessez-le-feu en 1991, exempte de présence ou d'infrastructures.
2 - Aujourd'hui, le Royaume réitère avec force sa position ferme, claire et connue de tous.
3 - Il réaffirme sa nette détermination à préserver, par tous les moyens, son intégrité territoriale sur l'ensemble de son Sahara et à sauvegarder, de manière légitime, sa sécurité nationale.
4- Le Royaume du Maroc interpelle l'ensemble des parties qui procèdent, accompagnent ou encouragent les actes gravissimes ainsi annoncés.
- Ces parties doivent, toutes, assumer, seules, les conséquences multiples d'une telle inacceptable évolution sur la sécurité régionale.
5- Enfin, le Royaume du Maroc s'interroge sur les véritables raisons et les réelles motivations de ces actions projetées sur le terrain - nouvelles dans leur nature, dangereuses dans leur portée et accompagnées, depuis peu, par des menaces de reprise des hostilités - en particulier dans le contexte du processus de négociations engagé au sein de l'ONU, à la faveur de la présentation par le Maroc de son initiative d'autonomie, encouragée par la communauté internationale ".
Source : MAP
- Actualité concernant la question du Sahara occidental/Corcas -

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BRUITS DE BOTTES ENTRE LE MAROC ET L'ALGERIE Shraiw6

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Démonstration de force de Rabat près de Tifariti

Par :Abdelkamel K.

Sous le commandement du général de corps d’armée, Abdelaziz Benani, et avec la participation des corps de l’aviation, la marine et des forces terrestres, des manœuvres militaires marocaines se déroulent depuis hier à Ousserd, pas loin de Tifariti, ville objet d’un contentieux entre le Maroc et le Front Polisario.

Citant des sources bien informées, le journal marocain As Sabah a annoncé, dans son édition de lundi dernier, que le général de corps d’armée, Abdelaziz Benani, devait arriver le même jour à Dakhla, dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc, pour s’enquérir de l’état d’avancement des préparatifs des manœuvres militaires. Celles-ci devaient débuter, hier, à Ousserd, une localité proche de Tifariti, ville qui se trouve à l’extérieur du mur construit par Rabat, avec l’aide des États-Unis et d’Israël, pour faire face aux incursions du Front Polisario.

Tous les corps des forces armées royales devaient prendre part à ces manœuvres. Selon la même source, des avions mirages de types F1 et F5, ainsi que des hélicoptères de marque The Finder Flyer et Gazelles ont atterri à Dakhla, où deux frégates de la marine royale avaient également accosté.

Deux mille cinq cents hommes, dont des pilotes d’avions de combat, des experts du génie militaire et des officiers du renseignement militaire participent à ces manœuvres, apprend-on également. Cette démonstration de force a été précédée, samedi dernier, par des entraînements auxquels ont pris part des avions de combat, qui ont décollé de l’aéroport militaire de Dakhla. Des soldats de la deuxième section de la marine royale de Arkoub ont été déplacés vers la région de Mehiziz, proche de la frontière avec la Mauritanie, pour prendre part à ces manœuvres.

Celles-ci ont fait l’objet d’une réunion présidée par le général Benani lundi dernier au siège du commandement général de la zone militaire du Sud avec la participation de tous les chefs des unités des FAR. Ont aussi pris part à cette rencontre, le général Ahmed Abou Taleb et Yacine Mansouri, le directeur général de la Direction des études générales et de la documentation, pour discuter en profondeur des manœuvres.

Cette réunion a été précédée une semaine auparavant par une autre à Rabat entre le général Abdelaziz Benani et le général Hosni Benslimane, le puissant patron de la Gendarmerie royale marocaine. Quelle interprétation peut-on donner à cette opération militaire, si ce n’est une démonstration de force à l’approche du quatrième round des négociations entre le Maroc et le Front Polisario, qui doit avoir lieu à partir du 16 mars prochain à Manhasset, près de New York. En effet, c’est le seul sens que peuvent avoir ces manœuvres, qui ont lieu près de la ville de Tifariti, laquelle fait l’objet d’un contentieux entre les deux parties.

Ce litige a failli prendre d’autres proportions, après la dernière visite du président sahraoui à Tifariti, qui a engendré une menace directe du Maroc, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, de recourir à tous les moyens pour ramener cette ville sous sa souveraineté.

Ceci étant, c’est un nouveau coup qui est porté au processus de négociations, auquel le secrétaire général des Nations unies et son envoyé personnel pour le Sahara occidental accordent peu de chances de succès en affichant publiquement leur pessimisme.

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Maroc Algérie : la guerre inévitable ?

Depuis une année de grandes manœuvres militaires des FAR (Forces Armées Royale du Maroc) ont eu lieu au Maroc principalement dans le sud du royaume chérifien au Sahara, les réunions aussi des grands stratèges des FAR se succèdent. Le mur de défense marocain ou les FAR font leurs manœuvres et un mur de plus de 3 mètres de haut et de 2.720 km de long ,érigé par le Maroc de 1980 a 1987 pour stopper les incursions des combattants sahraouis du front Polisario , le fameux mur de défense marocain a été édifié par les marocains aider par les renseignement de la CIA qui ont fournie au Maroc leur allié traditionnel les photos aérienne des reliefs et en général la situation géographique du Sahara fournie par des satellites américains de l'époque (1979). Les manœuvres militaires des FAR se succèdent de plus en plus a Haouza Aouserd ,Mahbas .... Des manœuvres a grande échelle (terre air mer) qui inquiètent la Mauritanie compte tenu de la politique un peu pro sahraoui du nouveau gouvernement mauritanien , et inquiéte aussi le Polisario principal ennemie du Maroc mais aussi l'Algérie le pays responsable de tous les maux et les problèmes du Maghreb,déja les journaux algériens ces derniers temps s'alarment et certains paniquent en tirant la sonnette d'alarme et parlent de guerre a grande échelle , la semaine dernière les manœuvres ont commencé à Aouserd à l'extrême sud est du Sahara alors que quatre grandes frégates ont accosté a Dakhla. Avant ces manœuvres il ya eu des manœuvres à Mahbas, Guéltat-Zemmour... ), des réunions ont été tenues la dernière en date à peu prés d'une semaine à Dakhla à laquelle beaucoup de généraux ont pris part, parmi eux les généraux: Bennani (4étoiles),Hosni Bensliman (4 étoiles), Boutaleb (3 étoiles), Amer (3 étoiles), respectivement commandant de la zone sud (Sahara) et aussi inspecteur général des FAR terre-air-mer, commandant de la Gendarmerie Royale, inspecteur de l'armée de l'air, inspecteur de l'armée de terre.
A noter que le Maroc a signé d'importants contrats d'armement ces derniers temps, il s'agit de 1.200 véhicules blindés d'Espagne pour 600 millions $ ,1 frégate "Fremm" multi-missions et qui est un gros navire, de 137 mètres de long et 5.500 tonnes il est anti-aérien anti-sous marins avec porte hélico et artillerie légère.... pour 500 millions $, 3 croiseurs acheté de la Hollande multi-missions avec aussi comme options anti-aérien anti-sous marins, avec porte hélico et artillerie légère.... Qui font 105 mètres de long chacun, sans compter le fameux contrat avec les Etats Unis pour l'achat de 24 avions bombardiers F-16 C/D Block 52 neuf pour 2 milliards d'euros, il y'a aussi des contrats avec la Russie pour l'achat de Tunguska 2s6M (porte missiles anti-aérienne).
Cela reste une réponse si ce n'est un avertissement a l'égard de l'Algérie qui a conclu elle aussi d'importants contrats d'achats d'armements avec la Russie pour 7 milliards de $,Cela est d'autant plus inquiétant que le problème du Sahara n'est toujours pas réglé.
Le Maroc a présenté un plan d'autonomie jugé par la France de crédible ,de base de discussion, jugé par les Etats Unis comme crédible, et applaudi par la communauté international sauf l'Algérie qui reste attachée aux idées de révolution, décolonisation.... des années 60,et qui dépense des milliards dans l'armement au lieu de les investir dans l'économie et dont le peuple algérien en a vraiment besoin.
Le bruit de botte dans les frontières algéro-marocaine n'augure rien de bon, s'il devrait y avoir un conflit qui opposerait le Maroc et le Polisario il faut s'attendre à une confrontation Maroc Algérie car il semble que le Maroc ne tolère plus que les combattants sahraouis attaquent le Maroc à partir de l'Algérie sans qu'il fasse usage de son droit de poursuite c'est a dire dans les terres algérienne, ce que bien sûr l'Algérie n'acceptera jamais. Donc une guerre éclatera. Dernièrement le président Bouteflika a affirmé qu'il n'y aura jamais une guerre avec "le Maroc frère" mais une attaque du Polisario contre le Maroc sera sûrement la cause d'une guerre inter-maghrébine .Pour le moment les Etats Unis calment le jeux, mais jusqu'a quand ?
Publié dans Maroc Actualités (14 mars 2008)

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militaires marocaines à la veille des négociations avec le polisario
Rabat menace la paix dans la région


Le Maroc crée un climat de guerre, dans les territoires occupés du Sahara occidental, à la veille du quatrième round de négociations, prévu à partir de demain jusqu’au 18 de ce mois à Manhasset (New York).
Des forces terrestres, aériennes et de la marine royale marocaines participent depuis mardi dernier à des manœuvres à Aousserd (sud-est du Sahara occidental) et Dakhla (sud-ouest), alors que des positions militaires dans d’autres parties occupées du territoire sahraoui sont le théâtre de mouvements frénétiques de troupes. Ces opérations militaires se déroulent sous le commandement du général de corps d’armée, Abdelaziz Benani, avec la participation des corps de l’aviation, à quelques encablures de Tifariti, ville située à une centaine de kilomètres du mur de la honte, érigé par Rabat, avec l’aide des Etats-Unis et d’Israël, et où étaient organisées souvent les festivités du Front Polisario. Par ces manœuvres, le royaume chérifien a franchi un pas de plus par rapport à sa menace, brandie par son ministre des Affaires étrangères au lendemain du 12e congrès du Front Polisario qui s’est tenu à Tifariti, celle de recourir à tous les moyens pour ramener cette ville sous sa souveraineté. Ce qui constitue une sérieuse violation du cessez-le-feu instauré par les Nations unies en 1991. Cette démonstration de force marocaine porte aussi un nouveau coup au processus de négociations, engagé sous les auspices des Nations unies, entre les deux parties, le Front Polisario et le Maroc, sur la base des résolutions 1754 et 1783. Cela dénote en tout cas un entêtement et un maintien de la position figée que le Maroc a toujours eue et qui ignore totalement les résolutions du Conseil de sécurité. Cette énième menace marocaine a amené le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, à appeler l’ONU à intervenir d’urgence pour arrêter ces manœuvres militaires, déplorant une telle « provocation » à la veille du 4e round des négociations entre les deux parties. M. Abdelaziz avertit dans une lettre adressée jeudi au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, d’« une volonté réelle de surenchère militaire dans la région ». « Nous vous adressons un appel urgent pour faire en sorte que le gouvernement marocain mette fin à ces préparatifs et à l’implantation d’armes de destruction et de troupes au Sahara occidental, qui relève de la responsabilité de l’ONU dans l’attente d’y organiser un référendum d’autodétermination, pour l’intérêt de la paix, la sécurité et la stabilité de la région », a-t-il ajouté dans la lettre, dont une copie a été également adressée à l’actuel président du Conseil de sécurité, le Russe Vitaly Churkin. Le SG du Front Polisario déplore « une volonté belliqueuse du gouvernement marocain en contradiction flagrante avec la l’énergie dépensée par le Polisario et le peuple sahraoui pour la paix et la recherche d’une solution pacifique que préconise l’ONU depuis son implantation dans le territoire en 1991 ». Pour M. Abdelaziz, le gouvernement marocain a déclenché « une guerre réelle contre le peuple sahraoui, l’ONU et le droit international », partant de ces manœuvres militaires, des « pratiques répressives barbares et des atteintes flagrantes aux droits humains contre les civils sahraouis, ainsi que du black-out médiatique et militaire imposé au Sahara occidental, majoré de son refus d’organiser un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui ». Les prochaines négociations « doivent s’accompagner d’un strict respect du cessez-le-feu instauré par les Nations unies en 1991 », estime pour sa part le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. « Je ne veux pas penser à une reprise des hostilités entre le Maroc et le Front Polisario », a-t-il ajouté dans une interview à Reuters, reprise par l’APS, estimant que la reprise des hostilités représenterait « une évolution dangereuse et dramatique pour l’ensemble de notre région ». « La décolonisation du Sahara occidental n’est pas un casus belli entre l’Algérie et le Maroc », a-t-il martelé, ajoutant que « cette décolonisation relève exclusivement de la responsabilité des Nations unies et du Conseil de sécurité », a encore affirmé le chef de l’Etat. Il a en outre réitéré que la négociation reste « la seule voie pour permettre à notre région de trouver définitivement sa sérénité et s’engager résolument sur la voie de l’intégration pour pouvoir relever les multiples défis de la globalisation ». Interrogé au sujet d’un éventuel échec des négociations entre le Front Polisario et le Maroc, M. Bouteflika a estimé qu’« il n’est pas dans la nature de la diplomatie d’accepter l’échec ». « Je suis certain que les deux parties en présence, le Maroc et le Front Polisario, n’ont pas encore épuisé toutes les possibilités qu’offrent la négociation et l’avantage de pouvoir se parler directement sans pré-conditions, comme l’a demandé de Conseil de sécurité de l’ONU pour trouver une solution durable au conflit dans le respect de la légalité internationale et du droit imprescriptible du peuple sahraoui de choisir librement son destin.
Rabah Beldjenna

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''تيفاريتي''

أكد تاج الدين الحسني، أستاذ العلاقات الدولية والقانون الدولي، أن تصريحات المسؤولين الجزائريين المتوالية إزاء المغرب في مواضيع مختلفة، بالحملة الدعائية الناتجة عن توتر مستمر بين المغرب والجزائر، وفسّر الحسيني ذلك، في تصريح لـ''التجديد''، بعدم التغيير على مستوى القيادة السياسية في الجزائر، وكذا فيما يتعلق بالقيادة العسكرية، التي لها مواقف متصلبة وضد مصالح المغرب ووحدته الترابية، وتسعى الجزائر من وراء حملتها إلى إثارة البلبة عند الطرف المغربي.


جاء ذلك تعليقا على ما ذهب إليه الصحافة الجزائرية التي نقلت أن المغرب يحضّر لغزو منطقة تيفاريتي، وأنه قام بطرد 30 ضابطا عسكريا محسوبين على التيار الإسلامي، استنادا إلى معلومات استخباراتية.


وأكدت صحيفة ''الخبر'' الجزائرية، التي تعد بمثابة تيرمومتر لقياس العلاقة بين المغرب والجزائر، أنها علمت مصادر دبلوماسية أن ''العديد الأجهزة الاستخبارية قد رصدت تحركات عسكرية مغربية منذ أسابيع قد تكون تحضيرا لمغامرة عسكرية مغربية جديدة''. ونقلت أن ''الرباط بدأت التحضيرات لهذا الانتشار المحتمل عن طريق تصفية قيادة القوات العسكرية المنتشرة في المناطق الصحراوية المحتلة من العناصر الإسلامية التي قد تشكل إعاقة عملياتية في مثل هذه المرحلة الحاسمة. حيث تمت إحالة حوالي ثلاثين ضابطاً محسوبين على التيار الإسلامي على التقاعد المسبق''.


وعلّق الحسيني على ذلك بالقول إنه عادة في علم الحرب، أن من يهيء للحرب ويعدّ نفسها لها، غالبا ما يتهم الطرف الآخر له بأنه يستعد للحرب، حتى يبرّر سلوكاته فيما بعد، أو يوجّه الأنظار عن الأسباب الحقيقية للنزاع.


وقال الحسيني إن الانتصار الذي حقّقه المغرب دبلوماسيا بخصوص ملف الصحراء في الأمم المتحدة ومجلس الأمن، بشكل لم تتوقعه الجزائر، أثار ولا يزال نوعا من الصدمة لديها، تعبّر عنها بسلوكات غير مفهومة.
إسماعيل حمودي
23/5/2008

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Actualité (Mercredi 28 Mai 2008)


supervisées par le général-major Ahmed BousteÏla
Manœuvres antiterroristes à la frontière ouest
Par :Farid Belgacem
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Ici même, les troupes se sont déployées, avec en appoint une hiérarchisation des tâches, une coordination de tous les services de la Gendarmerie nationale et une préparation à l’affrontement direct pour intercepter et neutraliser les contrebandiers armés, et riposter à une embuscade et à la destruction d’un groupe de terroristes.

La situation, qui prévaut actuellement à la frontière terrestre algéro-marocaine, n’est pas du tout reluisante à se fier aux donnes des services de sécurité. Si la contrebande est devenue monnaie courante au niveau de cette bande frontalière, la menace terroriste constitue une autre filière, qui a toujours lié les groupes armés aux trafiquants de tous genres et qui ont eu recours, durant ces dernières années, à l’usage des armes pour trouver d’autres palliatifs afin d’introduire la drogue, constituer des cartels et menacer la sécurité, l’économie et la stabilité du pays. Sur ce point précis, un volet souverain par excellence, les services de sécurité ne badinent pas avec le sujet. Et c’est dans ce climat assez tendu, accentué par la jonction entre les contrebandiers et les terroristes que la Gendarmerie nationale a exécuté, hier, un exercice tactique planifié, et dans l’esprit de préparer ses unités, au titre de la formation continue, au niveau du Groupement des garde-frontières (GGF) de Mekmen-Ben-Ammar, dans la commune d’El-Kasdir, relevant de la wilaya de Naâma. Objectif : “Interception et neutralisation d’un groupe de contrebandiers armés, riposte à une embuscade et destruction d’un groupe terroriste”. Selon le commandement de la Gendarmerie nationale, ce thème n’est pas fortuit : “Il s’inspire de l’analyse de la situation réelle qui prévaut dans la zone et des menaces qui pèsent aux frontières.” Et cette manœuvre a été minutieusement conçue de telle façon à enseigner aux troupes l’esprit d’anticipation et une réaction immédiate, loin des improvisations et des ripostes de circonstance contre toutes mauvaises surprises. “La date du déroulement de l’exercice est fixée pour le jour J entre 10h et 12h”, à l’image “d’une attaque qui pourrait survenir à n’importe quel moment de l’année”, nous dit-on, comme pour préciser que le contrebandier armé ou le terroriste choisit ses moments, ses moyens et son itinéraire pour tenter de s’introduire sur le territoire national depuis le Maroc. Le cap étant d’arriver à “zéro surprise” au niveau de cette frontière, la Gendarmerie nationale a alors désigné le GGF de Mekmen-Ben-Ammar comme groupement opérationnel chargé de l’exécution de cet exercice tactique tant délicat, connaissant les reliefs et la densité de la bande frontalière. Ce groupement a été renforcé par l’escadron des garde-frontières d’El-Aricha et de Aïn Sefra par toutes les unités territoriales organiques et les unités spécialisées (section de recherches et cellule de police technique) du groupement de Gendarmerie nationale de Naâma, ainsi que les moyens aériens de la Gendarmerie nationale afin de simuler une opération basée sur un travail de renseignements précis et rapide, une parfaite coordination et une intervention sans faille qui mettrait hors d’état de nuire ces groupes armés.

El-Khourchefia, le théâtre des opérations
La zone d’El-Khourchefia, relevant du 7e groupement des garde-frontières, a été choisie comme le théâtre des opérations pour “préparer les unités à l’exercice des misions de lutte contre la criminalité sous toutes ses formes et le terrorisme, initier les cadres des différents niveaux hiérarchiques à l’adaptation rapide au changement de situation sur le terrain, préparer les subordonnés à la maîtrise des actes individuels du combattant, à l’exécution des ordres, et les unités à l’action cohérente basée sur la mobilité et, enfin, instaurer des bases de coordination entre tous les acteurs en charge de la lutte contre la criminalité transfrontalière”, nous précise-t-on. Et cette grande opération s'est déroulée sous l'œil vigilant du patron de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Bousteïla, le commandant du corps des GGF, Abdelghani Hamel, du colonel Menad, commandant régional de la IIe Région militaire, et des autorités locales, ainsi que l'Inspection divisionnaire des douanes de Naâma. Ici même les troupes se sont déployées, avec en appoint une hiérarchisation des tâches, une coordination de tous les services de la Gendarmerie nationale et une préparation à l’affrontement direct pour intercepter et neutraliser les contrebandiers armés, et riposter à une embuscade et la destruction d’un groupe de terroristes. Ainsi, suite aux renseignements parvenus au commandement, qui font état d’un groupe de contrebandiers armés, au nombre de dix individus, circulant à bord de quatre véhicules tout-terrain et qui envisagent d’acheminer, le jour J vers le territoire national à partir du Maroc, une quantité importante de drogue, un énorme dispositif, articulé en deux niveaux a été immédiatement mis en place.
La rapidité avec laquelle la première action, définie dans le temps, et à travers le premier échelon constitué des unités territoriales et des unités garde-frontières, a permis de neutraliser ce groupe et la saisie de la marchandise prohibée. Lors de cette opération exécutée avec succès, un escadron est alors tombé dans une embuscade tendue par un groupe de terroristes qui évoluaient dans ladite zone et qui avaient des connexions avec le réseau de contrebande.
C’est dire que cette manœuvre prévoyait tous les scénarios de diversion que pourraient semer les contrebandiers affiliés aux terroristes et vice-versa. C’est alors que la Gendarmerie nationale a fait appel au déploiement des moyens aériens pour détecter aussi rapidement les positions de repli du groupe terroriste qui était embusqué dans les alentours limitrophes à la première opération.
L’engagement du second niveau d’intervention permettra la réduction de cette résistance et la récupération des armes. Mais ce n’est pas fini ! Une fois l’opération terminée, la Gendarmerie nationale, dans le cadre des investigations judiciaires, a engagé une cellule de police technique pour la mise en œuvre des systèmes biométrique (Afis) et balistique (Ibis) qui identifiera les empreintes digitales des personnes arrêtées et se chargera de l’étude balistique des armes récupérées sur les deux groupes. Il faut noter que les Douanes algériennes et les services de la Direction de la concurrence et des prix ont été associés à cette manœuvre pour simuler également des réflexes de coordination de la lutte contre la criminalité organisée à tous les acteurs concernés.

Tout commence aux frontières
Cette manœuvre a démontré de prime abord deux choses : la Gendarmerie nationale a non seulement rajeuni ses rangs au niveau des garde-frontières en privilégiant la compétence et l’expérience du terrain dans l’encadrement des unités, mais a remis au goût du jour la nécessité de mettre le cap sur la sécurité au niveau des bandes frontalières aussi sensibles que celle qui nous sépare, ou qui nous lie, avec le royaume chérifien. Ce volet, qui relève des préoccupations de la sécurité nationale, “dont le concept reste évolutif et élastique, dépasse largement cette définition de la notion de sécurité réduite à un dispositif de garde-frontières à caractère coercitif”, nous explique-t-on encore.
En mai dernier, la Gendarmerie nationale et les Douanes algériennes ont signé un accord de coopération et ont convenu de conjuguer leurs efforts pour combattre le fléau de la contrebande, le marché informel et la criminalité, de la corruption, du blanchiment d’argent et d’atteinte à l’économie nationale. Les échanges d’informations opérationnelles et l’instauration des barrages mixtes de contrôle routier “douanes-gendarmerie”, en plus des patrouilles mixtes aux frontières, ont été également mis en exergue dans cet accord entre les deux institutions militaire et paramilitaire. Sachant que notre pays dispose de 5 000 kilomètres de frontières avec plusieurs pays, tant de l’Afrique subsaharienne que du Maghreb, avec tout ce que cela suggère comme fléau et criminalité transfrontalière, la Gendarmerie nationale “a estimé impératif de renforcer le dispositif sécuritaire au niveau de nos frontières”, avec notamment le redéploiement du dispositif et le renforcement et la modernisation des moyens. Sur le plan sécuritaire, il est plus que jamais nécessaire également d’identifier les menaces potentielles, d’adapter les garde-frontières aux nouvelles formes de la criminalité transfrontalière et, enfin, les doter en équipements de surveillance appropriés.

Repères

- Cet exercice a mobilisé 300 hommes, 3 hélicoptères, 5 camions de transport de troupes et 20 voitures de gendarmes.

- Les systèmes Afis (empreintes digitales) et IBIS (étude de la ballistique) ont été expérimentés dans ces manœuvres.

- Le poste avancé d'Al-Hassiane et le site d'Eregasse, plaques tournantes de tous les trafics, ont été choisis comme terrains de combat des élites des GGF, à titre expérimental, contre l'incursion de terroristes et de narcotrafiquants sur le territoire national.

- Près de 100 stagiaires du centre d'instruction spécialisé dans les interventions rapides des GGF de Djenien Bourezg, relevant d'Al- Aricha, à 100 km de Naâma, ont exécuté des exhibitions spectaculaires dans un terrain vague et accidenté après l'exercice. Ces stagiaires sont des futures élites opérationnelles des GGF.

- Il existe 150 postes frontaliers à l'ouest du pays accessibles sur 1 540 km de pistes et de routes ouvertes pour, notamment désenclaver les villages isolés et limitrophes aux postes avancés.

- Un programme national, qui touchera l'est, mais surtout le sud de l'Algérie, sera lancé très prochainement par la Gendarmerie nationale, en collaboration avec les autorités chargées des infrastructures routières, afin d'ouvrir de nouvelles routes vers les postes frontaliers et mettre fin à l'isolement des populations.

De notre envoyé spécial
à Tlemcen et Naâma
Farid Belgacem


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En cas de guerre entre le Maroc et l’Algérie. Les forces armées en présence

21 March, 2008 07:49:00 Mustapha Sehimi

L’option militaire va-t-elle prendre le dessus dans la région ? Cette hypothèse, présente dans les états-majors de Rabat et d’Alger, paraît revenir au premier plan ces temps-ci. Le blocage de la question du Sahara, illustré par le solde peu encourageant des négociations de Manhasset I, II, et III peut pousser dans ce sens. L’absence de sérieuse perspective que les observateurs relèvent avec Manhasset IV, les 16 et 17 mars 2008, et cela malgré les pressions des Etats-Unis, ne peut que conforter ce sentiment. Enfin, les provocations du Polisario, soutenues par l’Algérie autour de Tifarity font redouter le pire. En tout cas, le Royaume n’entend pas laisser faire et s’accommoder de menaces pesant sur sa sécurité nationale comme l’a nettement souligné un communiqué officiel du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, voici une dizaine de jours.
Effectifs
Cela dit, quel est l’état des forces militaires de chacun des deux pays? Quelques chiffres permettent de procéder à une première évaluation. Ainsi, les effectifs des FAR (Forces armées royales) et de l’ANP (Armée nationale populaire) sont respectivement de 200.000 hommes, contre 140.000; et 340 chars, contre 900. Les budgets militaires, eux, sont également inégaux, avec 2,2 milliards de dollars pour le Maroc et 3,1 milliards de dollars pour l’Algérie. Une “militarisation” du pays voisin, donc, encore illustrée par le budget de la Défense par habitant, qui est de 92 dollars, alors qu’au Maroc ce dernier chiffre n’est que de 66 dollars. Ce fait est davantage amplifié par la comparaison du budget de la Défense par militaire, lequel va du simple au double entre le Maroc et l’Algérie, soit 10.900 dollars contre 22.000 dollars.
La structure des forces armées appelle d’autres traits : ainsi, les effectifs de l’armée de terre marocaine sont de 180.000, alors qu’ils ne sont que de 120.000 dans le pays voisin ; ainsi encore, les effectifs des forces aériennes donnent l’avantage à Rabat, avec 13.000 hommes tandis qu’Alger ne totalise que 10.000. L’aviation algérienne est plus importante (200 avions de combat) alors que celle du Royaume n’atteint que 80. Quant à la marine, les effectifs des deux pays sont pratiquement comparables (8.000), mais le Maroc ne dispose que de 3 frégates face aux 2 sous-marins et aux 3 frégates de son voisin.
Toutes ces indications doivent être complétées par l’effort de surarmement de l’Algérie de ces dernières années. C’est d’autant plus préoccupant qu’il est connu que ce pays continue d’imputer sur des comptes non budgétaires des dépenses militaires opaques pas vraiment visibles dans les statistiques du budget civil de l’État, ni dans sa balance ordinaire ni même dans sa dette étrangère. Une manière donc de déguiser le véritable flux des dépenses de Défense. Une charge que les recettes des hydrocarbures multipliées par l’envol du cours du baril permettant d’assurer sans difficultés.
Front
Reste cette interrogation de principe : que valent les armées de chacun des deux pays ? Depuis l’indépendance, force est de faire ce constat pour l’Algérie : c’est le pays qui, avec la Tunisie, a été pratiquement le moins confronté à la guerre. Et l’on ne peut que noter que les deux seuls épisodes d’affrontements ont eu lieu avec le Maroc, avec la Guerre des sables, en octobre 1963, et à Amgala, dans le Sahara marocain, en janvier-février 1976. Le reste du temps, l’ANP n’a servi qu’à lutter contre ce que l’on pourrait appeler “l’ennemi intérieur” - les maquis du Front des forces socialistes de Hocine Aït Ahmed, en 1963, puis le terrorisme islamiste depuis les années quatre-vingt-dix à ce jour. Au surplus, l’armée algérienne, à la différence de celle du Maroc, ne s’est pas vraiment projetée au dehors et ce malgré des postures diplomatico-bellicistes. Et lorsque l’ANP s’est rendue sur les théâtres d’opération extérieurs, elle est arrivée sur place trop tard : en juin 1967, une force aérienne de 48 Mig dépêchée en Egypte ; trois escadrons de chasse dans ce même pays en octobre 1973 et une brigade blindée de 2.000 hommes alors que les hostilités avaient cessé. Pour ce qui est des missions de maintien de la paix des Nations-Unies, la participation d’Alger a été plus que modeste avec de petits contingents en Angola, au Cambodge, à Haïti aussi, sans que ses effectifs dépassent quelque trois cents personnes.
Les spécialistes restent fortement interrogatifs quant aux capacités opérationnelles de l’ANP dans la mesure où, depuis quatre décennies et demie, elle n’a pas fait la preuve de sa valeur à une grande échelle.
Son modèle d’organisation est largement inspiré de celui de l’ex-URSS, marqué par une grande rigidité opérationnelle, laissant peu de place à des procédures tactiques faites de souplesse et d’adaptation. Ce mode de gouvernance n’a pas permis d’éradiquer les maquis islamistes, même si des corrections y ont été apportées ces dernières années.
Dispositif
Pour ce qui est du Maroc en revanche, c’est un autre profil des FAR qui doit être mis en valeur. Les titres militaires de l’armée sont plus significatifs et couvrent plusieurs séquences : celle de sa participation à la fin 1957 à l’opération Ecouvillon dans l’ex-Sahara occidental ; celle de la répression dans le Rif en 1958 ; celle des frontières avec l’Algérie en octobre 1963 ; celle de l’implication dans la guerre d’octobre 1973 dans le Golan; et, depuis plus de trois décennies, celle menée dans les provinces sahariennes récupérées. Depuis lors, les FAR se sont distinguées par leur opérationnalité, par la souplesse du dispositif tactique et la stratégie de défense autour des murs, sans oublier le succès des deux batailles d’Amgala face à l’ANP. Le Maroc est également présent sous d’autres latitudes dans le cadre d’accords bilatéraux (Arabie saoudite, Emirats arabes unis, ex-Zaïre, Guinée équatoriale…) ou dans celui de forces des Nations-Unies (en Bosnie, en Côte d’Ivoire à Haïti ou en Serbie).
Un capital, une expérience, des moyens et des ressources en mesure de permettre aux FAR d’assurer leur mission constitutionnelle et de faire face à l’ennemi…

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Sidhoum

Sidhoum

Le Maroc n’a pas peur de l’Algérie et l’Algérie aussi n’a pas peur du Maroc. Ce dont l’Algérie (ou le Maroc) ont peur c’est d’actuellement gagner une guerre.

Les lois de l’ONU sont claires : "you break it, you own it!" ( = durant une agression, si tu casses, tu l’achètes!…les USA se ruinent en Irak et s’arrachent les cheveux….imaginons un peu MVI devenu du jour au lendemain responsable de l’Algérie...ou naaari nari....il va se "yet’souicidi"!)

Je voudrais expliquer pourquoi ni le Maroc, ni l’Algérie ne s’engageront dans une guerre et pourquoi Hassan II et Boumediene ont tout fait pour l’éviter.

Nous sommes deux pays condamnés à toujours se bomber le torse et nos accrochages ne se limiteront qu'à des escarmouches et pas plus, parce que chacun sait qu’une guerre n’accomplira en réalité RIEN absolument RIEN, a part quelques morts + une faillite + nos quincailleries de la mort transformées en ferrailles.

Hassan II et Boumediene ont tout fait pour éviter une guerre pour les raisons suivantes et ont accepté, encaissé les coups bas et limité les débordements militaires (Hassan II disait toujours qu’avec Boumediene c’était un jeu de Poker):

Avant de s’engager dans une telle désastreuse et ruinante aventure, il faut d’abord définir l’objectif: si l’objectif est de détruire une base Marocaine ou Algérienne, une division de l’armée, une base aérienne, etc…avec un peu de chance, chacun des deux pourra l’accomplir, mais le "hougd" qui s’en suivra sera énorme et permanent.

Mais si l’objectif est d’occuper l’autre pays, on sait tous que c’est une tache que même la première puissance du monde n’arrive pas a le faire en Irak.

Imaginons un peu, une patrouille Marocaine imposant l’ordre a "el’hamri" ou une patrouille Algérienne imposant l’ordre a "Settat" si l’objectif de la guerre est l’occupation (autrement la guerre n’aurait servit à RIEN, n’est ce pas ?). Le monde assistera à une chose qu’il n’aura jamais vu: Ces patrouilles seront mangées vivantes littéralement!!! C’est pour ça que, souvenez-vous, quand la toute puissante Egypte a frappé la Libye, elle est revenue en 24H a l’intérieur de ses frontières (l’occupation coûte des yeux a la tête + toujours vouée à l’échec garanti).

Donc, il n’y aura jamais de guerre entre Maroc et Algérie, et ni l’un ni l’autre n’ont la capacité ou les moyens d’une occupation (les USA ne l’ont pas ! Irak).

Il n’y aura donc que des escarmouches de paquets de nerfs et des égratignures a moins qu'on ait le courage d'essayer la voie de la paix, du pardon, de la coopération et toute la prospérité qui en découle.



Dernière édition par Sidhoum le Mer 18 Juin - 22:04, édité 1 fois

becharelkhir

becharelkhir

Donc il est sage et même recommandé que nous attelions dans ce sens,et puisqu'il s'agit de "nous",il faut commencer par nous les animateurs de ce forum qui semble-il ,nous dévions de
trajectoires et de lignes de démarcation du sujet fondamental qui est de mettre en exergue la cause des expulsés.
Mais malheureusement on constate de plus en plus, que même les concernés en premier lieu de cette cause,se sont pris en défaut puisqu'ils attachent
toute leurs occupations à d'autres préoccupations (...),au lieu de s'atteler à ce quoi ils prétendaient avancer, que c'est une question de vie ou de mort pour eux!!??

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Sidhoum a écrit:Le Maroc n’a pas peur de l’Algérie et l’Algérie aussi n’a pas peur du Maroc. Ce dont l’Algérie (ou le Maroc) ont peur c’est d’actuellement gagner une guerre.

Les lois de l’ONU sont claires : "you break it, you own it!" ( = durant une agression, si tu casses, tu l’achètes!…les USA se ruinent en Irak et s’arrachent les cheveux….imaginons un peu MVI devenu du jour au lendemain responsable de l’Algérie...ou naaari nari....il va se "yet’souicidi"!)

Je voudrais expliquer pourquoi ni le Maroc, ni l’Algérie ne s’engageront dans une guerre et pourquoi Hassan II et Boumediene ont tout fait pour l’éviter.

Nous sommes deux pays condamnés à toujours se bomber le torse et nos accrochages ne se limiteront qu'à des escarmouches et pas plus, parce que chacun sait qu’une guerre n’accomplira en réalité RIEN absolument RIEN, a part quelques morts + une faillite + nos quincailleries de la mort transformées en ferrailles.

Hassan II et Boumediene ont tout fait pour éviter une guerre pour les raisons suivantes et ont accepté, encaissé les coups bas et limité les débordements militaires (Hassan II disait toujours qu’avec Boumediene c’était un jeu de Poker):

Avant de s’engager dans une telle désastreuse et ruinant aventure, il faut d’abord définir l’objectif: si l’objectif est de détruire une base Marocaine ou Algérienne, une division de l’armée, une base aérienne, etc…avec un peu de chance, chacun des deux pourra l’accomplir, mais le "hougd" qui s’en suivra sera énorme et permanent.

Mais si l’objectif est d’occuper l’autre pays, on sait tous que c’est une tache que même la première puissance du monde n’arrive pas a le faire en Irak.

Imaginons un peu, une patrouille Marocaine imposant l’ordre a "el’hamri" ou une patrouille Algérienne imposant l’ordre a "Settat" si l’objectif de la guerre est l’occupation (autrement la guerre n’aurait servit à RIEN, n’est ce pas ?). Le monde assistera à une chose qu’il n’aura jamais vu: Ces patrouilles seront mangées vivantes littéralement!!! C’est pour ça que, souvenez-vous, quand la toute puissante Egypte a frappé la Libye, elle est revenue en 24H a l’intérieur de ses frontières (l’occupation coûte des yeux a la tête + toujours vouée à l’échec garanti).

Donc, il n’y aura jamais de guerre entre Maroc et Algérie, et ni l’un ni l’autre n’ont la capacité ou les moyens d’une occupation (les USA ne l’ont pas ! Irak).

Il n’y aura donc que des escarmouches de paquets de nerfs et des égratignures a moins qu'on ait le courage d'essayer la voie de la paix, du pardon, de la coopération et toute la prospérité qui en découle.


De Gaule à propos de la guerre des sables en 1963 il disait" Ce sont des arabes il faut les laisser faire . Ces gens là aiment faire la fantasia (shab el baroud wa el karabila)"
Il disait que Ben bella etait possedé par les djounouns.

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becharelkhir

becharelkhir

De Gaule à propos de la guerre des sables en 1963 il disait" Ce sont des arabes il faut les laisser faire . Ces gens là aiment faire la fantasia (shab el baroud wa el karabila)"
Il disait que Ben bella etait possedé par les djounouns.[/quote]
Comme ça est autre manière de dévier le sujet qui est la cause des expulsés.

admin"SNP1975"

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Pour ta gouverne chér ami ,on n'est pas des expulsés On est des déportés.

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becharelkhir

becharelkhir

[b]Il ya un proverde de chez nous qui dit:,et c'est bien se qui s'applique dans ce cas!!??[/b]

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Admin

Merci chér frére pour ton aide précieuse et bonne continuation pour tes traductions.
Oh combien indispensable pour nos amis francophones.
Amicalement
snp Abdel

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becharelkhir

becharelkhir

[quote="Admin"]Pour ta gouverne chér ami ,on n'est pas des expulsés On est des déportés.[/quote]
[b]Dans Les deux cas il n'est question que d''une seule cause,mais il faut s'y maintenir,le déraillement risque de tout perdre .[/b]

becharelkhir

becharelkhir

[quote="becharelkhir"][b]Il ya un proverde de chez nous qui dit:,et c'est bien se qui s'applique dans ce cas!!??[/b][/quote]
[b]Laisse apparaitre le proverbe mon ami.[/b]

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