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L'Algérie dans la Presse Marocaine

4 participants

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IDRISSIDE

IDRISSIDE

Voyons un peu comment est traité le Quotidien Algérien dans la Presse Marocaine :

L'Algérie au bord de l'explosion: Des émeutes sanglantes dans les quartiers défavorisés d'Alger.

Mercredi, 24 Novembre 2010 17:10 Jalil

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La ville d'Alger vient de connaitre son mardi noir surtout dans le quartier périphérique de Kouba. A l'origine de cette flambée de violence, les revendications légitimes et non satisfaites par les responsables algériens des populations déshéritées concernant leur droit à un logement décent dans un pays dont les caisses débordent de pétro-dollars et des revenus colossaux de la vente de gaz.Des milliers de jeunes et moins jeunes de ce secteur sont sortis dans les rues pour dire leur ras-le-bol et dénoncer le laisser-aller de l'état qui continue à engraisser les généraux et les notables sans se soucier de la mal-vie et de la détresse de ses citoyens laissés à l'abandon. Ce qui ne devait être qu'une manifestation pacifique a tourné à des affrontements avec les forces de l'ordre qui ont utilisé la manière forte pour charger avec brutalité les manifestants parmi lesquels on relèvera des dizaines de blessés. Voitures calcinées, des dégâts matériels considérables, des rues désertes et enfumées par les pneus brûlant, de vrais scènes d'anarchie et de pillage, tel était le spectacle désolant et terrifiant de cette partie de la capitale algérienne.La température dangereuse n'est pas prête de redescendre car la police, fidèle à son habitude a attendue la nuit tombée pour procéder à l'arrestation de plusieurs centaines de manifestants embarqués manu militari et emprisonnés sans aucune forme de procès au grand désarroi de leurs proches. Autant dire que les prochaines heures et les prochains jours seront placés sous le signe de la résistance alors que les autorités s'attendent à une nouvelle flambée de violence et une extension de cette révolte à d'autres quartiers de la capitale et d'autres villes dont les habitants souffrent de l'habitat précaire et d'autres crises toutes liées à la dégradation de leurs conditions de vie comme les coupures très fréquentes d'eau et d'électricité ainsi que la raréfaction des produits de première nécessité.Les autorités indifférentes, plus occupées à semer le trouble et la terreur dans les provinces sahariennes de son voisin marocain feraient mieux de prendre en charge sérieusement les problèmes matériels de sa population qui promet de mettre à feu et à sang tout le pays si des solutions urgentes ne sont pas prises pour qu'elle puisse aspirer à des conditions de vie plus dignes.Jalil Nouri

Selon "ACTU-MAROC" du 24/11/2010

MJB



IDRISSIDE a écrit:Voyons un peu comment est traité le Quotidien Algérien dans la Presse Marocaine :

L'Algérie au bord de l'explosion: Des émeutes sanglantes dans les quartiers défavorisés d'Alger.

Mercredi, 24 Novembre 2010 17:10 Jalil

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La ville d'Alger vient de connaitre son mardi noir surtout dans le quartier périphérique de Kouba. A l'origine de cette flambée de violence, les revendications légitimes et non satisfaites par les responsables algériens des populations déshéritées concernant leur droit à un logement décent dans un pays dont les caisses débordent de pétro-dollars et des revenus colossaux de la vente de gaz.Des milliers de jeunes et moins jeunes de ce secteur sont sortis dans les rues pour dire leur ras-le-bol et dénoncer le laisser-aller de l'état qui continue à engraisser les généraux et les notables sans se soucier de la mal-vie et de la détresse de ses citoyens laissés à l'abandon. Ce qui ne devait être qu'une manifestation pacifique a tourné à des affrontements avec les forces de l'ordre qui ont utilisé la manière forte pour charger avec brutalité les manifestants parmi lesquels on relèvera des dizaines de blessés. Voitures calcinées, des dégâts matériels considérables, des rues désertes et enfumées par les pneus brûlant, de vrais scènes d'anarchie et de pillage, tel était le spectacle désolant et terrifiant de cette partie de la capitale algérienne.La température dangereuse n'est pas prête de redescendre car la police, fidèle à son habitude a attendue la nuit tombée pour procéder à l'arrestation de plusieurs centaines de manifestants embarqués manu militari et emprisonnés sans aucune forme de procès au grand désarroi de leurs proches. Autant dire que les prochaines heures et les prochains jours seront placés sous le signe de la résistance alors que les autorités s'attendent à une nouvelle flambée de violence et une extension de cette révolte à d'autres quartiers de la capitale et d'autres villes dont les habitants souffrent de l'habitat précaire et d'autres crises toutes liées à la dégradation de leurs conditions de vie comme les coupures très fréquentes d'eau et d'électricité ainsi que la raréfaction des produits de première nécessité.Les autorités indifférentes, plus occupées à semer le trouble et la terreur dans les provinces sahariennes de son voisin marocain feraient mieux de prendre en charge sérieusement les problèmes matériels de sa population qui promet de mettre à feu et à sang tout le pays si des solutions urgentes ne sont pas prises pour qu'elle puisse aspirer à des conditions de vie plus dignes.Jalil Nouri

Selon "ACTU-MAROC" du 24/11/2010
.
Tout le monde serait d'accord si on dit ou on prétend qu'il y eu des égorgés, des éventrés , des viols et quoi encore pour la simple raison que c'est une spécialité bien connue des locataires de MOURADIA.

Atavisme

Atavisme

Voilà une reponse très simple aux marrokis.

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slimane

slimane

ETANT DONNE QUE VOUS AVEZ L'INFORMATION ET QUE BIEN SUR C'EST en grossissant les faits que vos journaux font passer la propagande du MAKHZEN , vous semblez oublier l' état d'urgence qui existe dans les villes Sahraouis avec le lot d'arrestations de torture et le climat d'insécurité flagrant tous les jours que Dieu fait.........!!!

Les marocains n'ont aucun remord quand il s'agit des honnêtes gens et ils poussent le bouchon de la bêtise en s'occupant des histoires d'autres peuples...........!!!

Nos histoires nous les assumons avec fierté car nous sommes aguerris à cette lutte de tous les jours ....!!!
Qu'en est-il de ce pauvre maroc qui plie sous le joug d'un***** roi qui le misérabilise de plus en plus tout en se remplissant les poches lui et sa famille et les miettes ramassées par les semblants de vizirs à la gomme ...!!!
LUI qui a vendu la moitié de son territoire aux étrangers avec terre et esclaves à leur solde ....Faut-il toujours lui faire la courbette ???? C'est le remercier du dépeçage de votre pays mais en êtes-vous conscients ??? OU alors ....
" à plat ventre tous " semble ou plutôt C'EST votre DEVISE ...!

A quoi bon faire de la propagande merdique quand vous êtes dans la vase jusqu'au cou ...........????

PEUT-ËTRE QUE CES MESSIEURS ONT ENVIE DE BOIRE LA TASSE ???
Alors nous les encourageons et nous leur souhaitons bon appétit .

MJB



[quote="slimane"
A quoi bon faire de la propagande merdique quand vous êtes dans la vase jusqu'au cou ...........????

PEUT-ËTRE QUE CES MESSIEURS ONT ENVIE DE BOIRE LA TASSE ???
Alors nous les encourageons et nous leur souhaitons bon appétit .[/quote].
A MON TOUR JE TE SOUHAITE UNE BONNE LECTURE.
Bentalha, le récit de dix heures de tuerie
Un habitant raconte le carnage du 22 septembre, à moins d'un kilomètre des blindés de l'armée.

Recueilli par Florence Aubenas, Libération, 23 octobre 1997

Un jour, ils savent que quelque chose va arriver. Ce sont des riens, des camionnettes bourrées d'hommes qui traversent le quartier à toute allure, des bruits étranges pendant la nuit. Les signes peuvent se multiplier sur quelques jours. Mais ils savent, tout le monde sait. On dit: «Ça va taper.» A Bentalha, en banlieue d'Alger, l'atmosphère s'est ainsi appesantie pendant une semaine, à la mi-septembre, explique cet habitant. Appelons-le Yahia, il s'est réfugié à Bruxelles, depuis le massacre où ont péri 400 habitants sur 2 ou 3 000. «Je ne fais pas de politique et pas de religion. Ce que je vais vous dire, je ne l'aurais pas cru moi-même avant que cela arrive.»

Huis-clos. «Ça a tapé» le 22 septembre, entre 18 et 19 heures. «Moi, j'ai vu surgir une cinquantaine d'hommes, mais d'autres affirment qu'ils étaient cent. Ils ont commencé par faire sauter quelques portes de maison un peu partout et se sont installés à table. Ils se sont fait servir à manger et après s'être bien régalés, ils ont dit: "Aujourd'hui, c'est votre fête." Puis ils ont massacré tout le monde. En récupérant les bombonnes de gaz dans la cuisine, ils faisaient sauter la porte suivante, tuant chaque famille l'une après l'autre.» Yahia parle sans émotion apparente. Et puis d'un coup, il s'arrête, perdu au milieu d'une phrase. «Qu'est-ce que je viens de dire? Où j'en suis?» Il a des larmes plein les yeux.

«Vers 21 heures environ, les femmes se sont mises à crier: "Voilà l'armée. On est sauvés." Sur la route nationale, la seule qui mène à Bentalha, des militaires se sont postés avec plusieurs petits blindés. Ils ont allumé des projecteurs. On les voyait depuis nos maisons. Ils étaient à un kilomètre, pas plus. Mais au bout d'un moment, les militaires ont éteint leur lumière. Des policiers et des gardes municipaux de Baraki, le quartier à côté, sont venus offrir de l'aide. L'armée les a bloqués . Les soldats disaient que personne n'avait le droit d'intervenir, parce que le capitaine n'était pas là et lui seul pouvait donner l'ordre. Des ambulances étaient garées un peu plus loin, attendant elles aussi.»

Dans le huis-clos de Bentalha, la peur atteint son comble parmi les habitants, barricadés chez eux. Personne n'a d'armes, ou presque. Quelques-uns en avaient bien demandé à la caserne, après plusieurs massacres massifs dans la «ceinture verte» d'Alger, ce cordon de cités autour de la capitale qui avaient majoritairement voté pour le Front islamique du salut (FIS) aux élections de 1991. «Un officier leur a donné trois fusils à cinq balles. Il disait qu'il ne pouvait pas faire plus. Au ministère, on leur a répondu: "Quand vous donniez à manger aux terroristes, quand vous les logiez , vous ne veniez pas. Maintenant, débrouillez-vous", continue Yahia. Ce soir-là, on n'a même pas songé à fuir. Pour aller où? Certains se regroupaient juste dans une même maison. Chacun attendait en espérant que les tueurs n'arriveraient pas jusqu'à chez lui.»

Cagoules. De sa terrasse, Yahia voit un jeune assaillant s'affoler en apercevant les militaires. «C'était le seul, tous les autres étaient très calmes. Le chef a dit au jeune: "Fais ton travail tranquillement, prends ton temps. Ils n'interviendront pas."» Ce qui frappe Yahia, c'est l'extrême organisation des hommes armés. «Ce sont des gaillards robustes, habillés normalement. Quelques-uns seulement portent des cagoules noires, d'autres sont déguisés en Afghans, avec une barbe et des cheveux longs. Chacun fait son boulot: un groupe est chargé du guet, un autre défonce les portes, un troisième massacre. Ils tuent par petit morceau, une jambe, un bras, la tête. Ils se frottent les mains en faisant cela. Parfois, c'est comme un spectacle. Dans une maison, on a trouvé une femme agenouillée qui serrait contre elle ses deux enfants. Tous les trois n'avaient plus de tête.» Yahia s'arrête. Précise que les tueurs disent aussi «des choses aux gens»: «Mais cela, je ne peut pas le répéter.» Il faut insister. Yahia, qui sans broncher peut parler de la mort, s'embrouille et baisse les yeux. Puis lâche: «Ce sont des gros mots qu'on ne dit pas devant les femmes.»

Vers 4 heures du matin, les tueurs commencent à se replier. Alertés par le vacarme, des familles du voisinage sont accourues, venues mains nues à travers champs, pour voir si elles peuvent aider les leurs. «Il y a encore des courageux, dit Yahia. Une heure plus tard, les hommes armés sont partis en criant: "Adieu Bentalha, bienvenu à Baraki (la localité voisine, ndlr). C'est seulement alors que l'armée est entrée.»

Parmi les cadavres, ceux de deux tueurs. «L'un était habillé en Afghan, avec des seringues dans sa ceinture. Leurs complices leur avaient coupé la tête à tous les deux et les avaient emportées pour ne pas qu'on les reconnaisse.»

Nouveaux tueurs. En six ans de conflit, le quartier de Bentalha était, pour son malheur, habitué à la violence.«Mais jusqu'en1996 environ, c'était autre chose», reprend le réfugié. Il esquisse un sourire, plaisante lui-même d'avoir l'air de regretter les massacres d'avant, par rapport à ceux d'aujourd'hui.«Au début, beaucoup de jeunes montaient au maquis, mais ils ne s'en cachaient pas. La nuit, ils revenaient parfois manger chez leur mère. On savait les choses sans les dire. Chaque mort était ciblée: policier, journaliste... Parfois, toute une famille y passait, des anciens partisans par exemple, qui avaient retourné leur veste. Maintenant, les premières vagues de recrues sont mortes. Les nouveaux tueurs sont différents.»

Yahia dit qu'aujourd'hui, dans ce quartier qui l'a vu grandir lui et ses enfants, il ne comprend plus rien. Qui a tué, le 22 septembre? Yahia répond: «On est perdu, on est perdu, on est perdu.» Au cimetière de Bentalha, un homme est resté huit jours roulé en boule sur la tombe de tous les siens .

Source:
Algérie: Bentalha, le récit de dix heures de tuerieA Bentalha, en banlieue d'Alger, l'atmosphère s'est ainsi appesantie pendant ...
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slimane

slimane

et alors ???.....TU VEUX QUE JE TE RACONTE CE QUI C'EST PASSE A SIDI-IFNI ???...........MAIS TU DOIS LE SAVOIR ....COMME TU SAIS CE QUI S'EST REELLEMENT PASSE A LAAYOUNE SMARA ET AUTRES .............!!!

IDRISSIDE

IDRISSIDE

في حوار مع رشيد فارس، جمعية «أصدقاء الصحراء المغربية بإسبانيا» الجزائر رصدت ما يقارب 300 مليون دولار لدعم اللوبي والإعلام الاسباني المساند للبوليساريو
الاتحاد الاشتراكي




} ما هي قصة التهديدات التي تلقيتها مؤخرا بسبب مواجهتك مع الانفصاليين في إسبانيا ؟< لقد تلقيت اتصالا من إذاعة كنارياس ، تزامن

مع تدخل السلطات العمومية المغربية لرفع الحصار عن المغاربة المحتجزين من قبل بعض مليشيات موالية للانفصاليين من «البوليساريو» بمخيم «ايزك أكديم».
وقد تم حينها، تزامنا مع تنفيذ السلطات العمومية المغربية تدخلها للافراج عن المواطنين، الترويج لعدد من المغالطات بدأت تتبلور في الاعلام السمعي البصري والمكتوب الاسباني تفيد أن الامر كان «هجمة قوية».

والتهديد، بالدرجة الأولى كان سببه كوني اخترت الحديث إلى هذه الإذاعة ، لأفند كل هذه الادعاءات ومزاعم الانفصاليين في اسبانيا، بناء على معلومات مؤكدة تنفي كل ما تم الترويج له.

لقد أكدت، خلال حديثي إلى الصحافة الاسبانية، أن تدخل السلطات العمومية كان قانونيا واحترم كل الضوابط المعمول لأجل ضبط الامن في مثل هذه الحالات، تدخل قابله هجوم لعناصر من مليشيات انفصالية، خارجة عن القانون، كان همجيا في مواجهته للسلطات العمومية.

بعد تصريحاتي الصحفية، تلقيت مكالمة هاتفية تطالبني بأن التزم حدودي، وأن أفكر مليا في ما أتفوه به، وأنه ليس لي الحق في الدفاع عن بلدي المغرب، الذي وصفته المكالمة بأقدح الأوصاف، مما دفعني إلى الاتصال بالشرطة لتسجيل شكاية في الموضوع ، ومن حينها توقفت التهديدات.

{ هل لم يثنك هذا التهديد عن مواصلة التعريف بوجهة النظر المغربية؟

< منذئذ واصلت الحديث دون خوف إلى الصحافة الاسبانية، ولن أبالغ إذا ما قلت أنني كنت المحاور الوحيد للإعلام الاسباني في مواجهة مزاعم الانفصاليين من البوليساريو، ذلك لأنني تمكنت من تأسيس شبكة علاقات متميزة بجنوب المغرب والمناطق الصحراوية التي قمت بزيارتها مؤخرا ساهمت في أن تجعلني على بينة من الحقائق الايجابية والتطور الملموس، الذي عرفته هذه المناطق التي يحاول الانفصاليون إخفاءها عن الرأي العام الاسباني بالدرجة الأولى.

{ كيف كان اللقاء مع التلفزيون الاسباني، خصوصا وأنك كنت الوحيد في مواجهة ضيوف يناصرون الطرح الانفصالي. هل لك أن تقربنا من حيثيات هذا اللقاء؟

< مكنتني علاقتي الجيدة مع الصحافي الاسباني خيسوس بوسانو من قناة «أنتينا تريس»، الذي كان له الفضل في التعريف بمدونة جمعية أصدقاء الصحراء المغربية باسبانيا، وما تتضمنه من معلومات ذات مصداقية من أن تمنحني فرصة لوصول الصحافة الاسبانية لي.
فمن خلال الصحافي الاسباني خيسوس بوسانو توصلت الصحافة الاسبانية الى مدونتنا ورقم هاتفي، وتم ربط الاتصال بي وطلبت مني عدد من المنابر أن أقدم وجهة نظر المغرب المختلفة تماما عن وجهة نظر الانفصاليين من البوليساريو، من بينها اللقاء التلفزي بكنال سور، الذي واجهت فيه قيادات منتمية إلى« جبهة البوليساريو» من بينها احمد حمادي ممثل البوليساريو في منطقة الاندلس، والمساندين للانفصاليين مثل خيسوس فوينتيس . قبلت الرهان ونجحت في كسبه بالرغم من أن اللقاء كان قويا ومتشنجا فقد أحرجت فيه ، بالحجة والدليل، ممثل البوليساريو. كما كان هذا اللقاء مناسبة، تحدث فيها عن وضع مصطفى ولد سلمى وكانت فرصة ليعرف الاسبان الحقيقة بخصوصه ويشاهدون صورته على الهواء، وتمكنت من أن أجعل على الأقل القناة التي استضافتني، تلتزم الحياد في المقاربة.

{ تم رصد أموال من طرف الجزائر كدعم لوجستيكي لبعض وسائل الاعلام وجمعيات إسبانية لمناصرة جبهة البوليساريو.ما هي حقيقة هذا التمويل؟

< إننا على بينة من الحقد الذي تكنه الدولة الجزائرية للمغرب، بالنظر للتقدم الديموقراطي والاقتصادي والاجتماعي الذي حققه، ولم تدخر جهدا في دعم كل المخططات التي بإمكانها الاسهام في بلورته من أجل توجيه الانظار عن مشاكلها الداخلية. وقد اعتمدت لأجل تنفيذ مخططها على بعض فعاليات المجتمع المدني الاسباني وبعض من وسائل إعلامه أيضا. فقد رصدت الجزائر ما يقارب 300 مليون دولار، كما تتداول ذلك أوساط إعلامية اسبانية، لدعم اللوبي الاسباني المساند لجبهة البوليساريو والصحافة الموالية له. كما أن الحزب الشعبي الاسباني قد رصد حوالي 100 ميلون دولار لاستغلال القضية لمصالح انتخابية، والضغط على الحكومة الحالية.

هذا الدعم الجزائري كان نتاج، حسب مصادر اعلامية اسبانية، للقاء حول مقاومة الاستعمار عقد بالجزائر مؤخرا ، ضم عددا من وسائل الاعلام الاسبانية وموالين لجبهة البوليساريو ، وكذا بعض انفصاليي الداخل قدموا من العيون.

وأغتنم الفرصة لأشكر رئيس الحكومة الاسبانية رودريغيث ثاباطيرو لموقفه الشجاع، وقد كنت من بين من شكروه شخصيا خلال لقاء عقد ببرشلونة مؤخرا، وذلك إثر تصريحاته بخصوص ما يقع بالمغرب، وكذا موقف الحكومة الاسبانية الذي كان صائبا.

{ ماذا عن موقف الحزب الشعبي، ؟< بالاضافة الى الموقف العدائي للحزب الشعبي ، يجب الاشارة الى أنه حينما يتعلق الأمر بقضية معينة تهم المغرب، تتوحد بشأنها كل التيارات السياسية والجمعوية والنقابية والأطياف الاعلامية الاسبانية. فهؤلاء من سماتهم أنهم يتفقون على المغرب وحده ويختلفون حول أشياء أخرى، وهذا أمر محير في التعامل الاسباني مع المغرب وقضاياه، غير أنه لأول مرة نلاحظ موقفا منعزلا للحكومة الاسبانية بخصوص المغرب وأيضا ما قام به الحزب الاشتراكي الاسباني من طرد وسحب اعلام بعض الانفصاليين الذين بدأوا يهتفون بجبهتهم خلال كلمة ثاباطيرو في لقاء ببرشلونة.

{ ما هي المبادرات التي تنوي جمعيتكم اتخاذها لمواجهة المواقف العدائية ضد المغرب؟

< لدينا عدة مبادرات ، من بينها لقاء في اسبانيا سنستضيف خلاله كاتبا اسبانيا اسمه تشيماخيل، بصدد إعداد كتاب حول العلاقة ما بين القاعدة وجبهة البوليساريو، يؤمن بأحقية المغرب في قضية الصحراء، وسيأتي أيضا لقاء مع والد مصطفى ولد سلمى ، يحضره برلمانيون وأسماء وازنة وجمعيات محايدة، وسنستضيف فيه الاسبان الذين يحاولون نقل حقيقة ما يجري.



11/30/2010



Selon le Quotidien Marocain "Alittihad Alichtiraki" du 30/11/2010
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IDRISSIDE

IDRISSIDE

قال إن الجزائر علمتنا أن المغاربة واليهود هم أعداؤنا
بلقاسم رئيس الكونغريس العالمي الأمازيغي: الـمغرب متقدم على الجزائر في مجال حقوق الانسان
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لوناس بلقاسم

استرجع لوناس بلقاسم، رئيس الكونغرس العالمي الأمازيغي، في الندوة الصحفية
التي نظمها المكتب الفيدرالي لهذه المنظمة يوم الثلاثاء الماضي 21/12/2010
بالرباط العديد من الأحداث التي تعود إلى مراحل طفولته مذ كان في السنوات
الأولى من التعليم الابتدئي قائلا: "عندما كنت طفلا في المدرسة بالجزائر،
كان المعلم يقول لنا: عندكم عدوان إثنان، هما اليهود والمغاربة".
وأكدت
مصادر عليمة حضرت الندوة أن بلقاسم ذو الأصل الجزائري قال إن المغرب يشهد
الآن طفرة في مجال حقوق الإنسان على عكس ما تعرفه الجزائر من تضييق للحريات
العامة، مضيفا أن الفعاليات الحقوقية الأمازيغية ضد إقامة " جمهورية
انفصالية" في الأقاليم الجنوبية للمملكة المغربية والشيء نفسه أكده الحسين
عزيم الجزائري وعضو المكتب الفيدرالي للكونغريس العالمي الأمازيغي حيث أوضح
أن الحركة الحقوقية الجزائرية تواجه في كل مرة تريد تنظيم نشاط أو لقاء ما
يسمى بقانون الطوارئ.
وأكد الموقع الإلكتروني "دنيا الوطن" أن بلقاسم
قال إن أبناء تيزي أوزو لن يحملوا السلاح في وجه إخوانهم المغاربة "رغم أن
الجزائر كانت تزج بشباب القبائل في الخدمة العسكرية بتندوف" .
وأضاف
بلقاسم أن الحدود بين المغرب والجزائر هي حدود صنعتها فرنسا في الفترة
الاستعمارية وأن الأمازيغ المغاربة هم أشقاء للأمازيغ في الجزائر والطوارق
وكل أمازيغ شمال إفريقيا.
وبخصوص أوضاع الديمقراطية في المنطقة
المغاربية قال رئيس الكونغرس الأمازيغي"إنكم في المغرب أفضل حالا منا
والمسلسل الديمقراطي المغربي رغم التعثرات متقدم على النموذج الجزائري وخير
مثال على ذلك المنع والقمع الذي تمارسه الدولة على النشطاء الأمازيغيين في
منطقة القبايل" .
27/12/2010

Selon le Journal "Alaalam" du 27/12/2010

IDRISSIDE

IDRISSIDE

الجزائر رحلت صحراويين مغاربة بحجة حمايتهم من الجيش الـمغربي


محمد بشير عائد من مخيمات حمادة تندوف يكشف لـ «العلم» عن حقائق صادمة:

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«...
خلال زيارتي كنت خائفا جدا على خلفية ما شحنت به في المخيمات، من عداء
وحقد على المغرب والمغاربة، فلم أجده ذلك التنين الشرس الذي ينفث النار على
الأخضر واليابس، يبتلع الأطفال، يكسر جماجم الكهول، يقتل الرجال ويغتصب
النساء، هكذا صوروا لي وطني وأنا طفل في المدرسة، وأثقلوا مفكرتي بمصطلحات
عدائية تجاهه، حقنوني حقدا وكراهية عليه حتى اختنقت أنفاسي، وعشت شبابي
أخطط ضمن خليات سياسية كيف أنتقم وأسترجع التراب المسلوب مني كي أسترجع
أنفاسي، ولم أكن أعلم أنني أنا من سُلب من ترابه قسرا وليس العكس، لقد
سلبني من ينصب نفسه حامي كل حقوقي في مغربيتي وانتمائي، في فكري وتاريخي،
إن ما فعلوه بنا لا يمكن لأي عقل تصوره، فهو أقل ما يمكن تسميته بإرهاب
وحصار فكري قبل أن يكون احتجازا جسديا بالمخيمات لمدة 35 سنة من المعاناة
في منفى هو «اختياري» عن جهل بالحقيقة.. زيارتي للمغرب منحتني أكبر
استنتاج، هو أن الحياة في المخيمات ضرب لكل القيم الأخلاقية والإنسانية وأن
كل ما درسوه لنا وقيل لنا كان ضرباً من الخيال وكذباً في كذب».
هي أكبر
حقيقة يقف عليها العائد محمد البشير خلال اكتشافه لوطنه، يدرجها لنا في
أول حوار له مع الصحافة خص به جريدة «العلم»، كاشفا عن عدة خروقات اقترفتها
البوليساريو والجزائر في أكبر جريمة ضد الصحراويين، ضربوا عليهم الحصار
الفكري قبل الحصار الجسدي، وحولوهم إلى ملف وقضية للتسول بهم لدى محافل
دولية، لجمع الهبات والمعونات التي لا يصلهم منها غير الفتات على حساب
نواصيهم، وإلى مخطط بشري لبلوغ أهداف اقتصادية - عسكرية، في حواره أيضا
يكشف لنا فلسفة العودة التي اعتبرها ثورة فكرية تتنامى في المخيمات نحو
الاتجاه المعاكس

A Suivre

Selon le Journal "Alaalam" du 25/12/2010

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Dernière édition par IDRISSIDE le Mar 28 Déc - 17:59, édité 1 fois

IDRISSIDE

IDRISSIDE

Suite de l'Article :

محمد
بشير من العائدين الجدد إلى أرض الوطن، رجل احترف الفن والسياسة، كان
مسؤولا على لجنة الدعاية لمشروع الاستفتاء الذي لم ير النور، وشغل عدة مهام
ووظائف أخرى فيما يسمى بوزارات تابعة للبوليساريو أو مؤسسات دبلوماسية،

في
أول خروج له للصحافة الوطنية، ينقلنا محمد بعيدا عن صعوبة قرار العودة من
ناحية الخطورة الأمنية أو وعورة المسالك الطرقية، ولكن إلى أعمق بعد
فلسفي للقرار العودة، فالعودة ليست مجرد خطى نحو الوطن، لكنها خطى نحو نور
الحقيقة، و خروج من نفق مظلم لقضية زائفة كان صحراويو المخيمات لعبتها،
فهي صحوة فكرية و ثورة في الاتجاه المعاكس قبل أن تكون رحلة عبور...

في هذا
الحوار سنقف على أكثر من قضية تكشف حقيقة البوليساريو والجزائر في أكبر
عملية تهجير وإبادة فكر جماعيين لصحراويين مغاربة غرر بهم.
حوار مع عائد يكشف أن الجزائر رحلت صحراويين مغاربة بحجة حمايتهم من الجيش المغربي وحقائق أخرى صادمة


يقول
محمد بشير: «كنا دمى كراكيز في أكبر مسرحية سياسية لجمع الهبات
وتهجير سافر وإبادة فكر جماعي تلعبها البوليساريو والجزائر وآخرون
على المسرح الدولي
».

< س: قبل الحديث عن بعض التفاصيل المتعلقة
بفكرة العودة كقرار مصيري ذي فلسفة وأبعاد، كيف تولدت لديك فكرة العودة
إلى أرض الوطن بعد 35 سنة من العيش هناك، خصوصا و أنك كنت من بين الناشطين
في الحقل السياسي والثقافي داخل فضاء البوليساريو؟



> ج:إن أصعب قرار
يمكن أن يتخذه الإنسان وهو هناك بمخيمات حمادة تندوف، هو الفصل في قرار
العودة إلى المغرب، خصوصا بالنسبة للذين لم يسبق لهم أن زاروا المغرب
وعايشوا أناسه أو احتكوا بهم،

فليس من رأى كمن سمع، لأن الفكرة تكون
مستبعدة جدا أمام الحصار الفكري المضروب عليه من طرف جبهة البوليساريو، و
حجم التأطير الممنهج، سواء منه العسكري أو السياسي، والذي تفرضه الجبهة على
صحراويي المخيمات، فالجبهة منذ نشأتها حولت الأشخاص إلى فئران تجارب داخل
مختبراتها، أو معتقلاتها، إن صح التعبير، العسكرية ، السياسية،
الإيديولوجية والسيكولوجية.. إلخ، كي تحولهم إلى أشخاص «آليين» مشحونين
بالحقد والغل والكراهية للمغرب والمغاربة،

فباتوا كأي قنبلة موقوتة قابلة
للانفجار في أي لحظة أمام أي مغربي أينما كان، وحولتهم إلى مناصرين
ومجاهدين في سبيل قضية سياسية «مفبركة»، هي في العمق تخدم أهدافاً مصلحية
راهنة، لصالح قيادة البوليساريو بدرجة أولى، وأخرى مستقبلية ذات
طابع اقتصادي بتغليف عسكري، تخدم الجزائر وحلفاءها، ولا تخدم في
الأساس صحراويي المخيمات، هؤلاء «المهجرون» الذين قضوا ما يزيد عن ثلاثة
عقود ونصف من الترحيل يتنفسون الحلم والوهم تحت خيام مهترئة، شابت رؤوسهم
وهم يعتقدون أنهم أصحاب قضية، وتحملوا طيلة عقود قساوة العيش بالمخيمات
على رمق احتضان ترابهم المسلوب و«المستعمر» من طرف المغرب،

كما جعلوهم
يعتقدون، بقدر ما هم، في الحقيقة، مجرد أداة مسخرة لهذه الأهداف المذكورة،
ودمى «كراكيز» في أكبر مسرحية سياسية لجمع الهبات، تزوير التاريخ، إبادة
فكر وتهجير جماعيين، تلعبها الجبهة والجزائر ومن معها، على ساحة المسرح
الدولي.


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