En ècoutant une chanson sur des paroles de :
Richard Seff.
J'ai osé réadapter le texte suivant :
C'est un enfant au regard sage
Comme tous ceux qui ont souffert trop tôt
La folie des hommes l'a pris en otage
Sur les rives de l’oranais
Il a suffit d'une seconde
Et qu'un président lâche sa meute sur sa ville
Pour se retrouver seul au monde
Sans n'avoir personne qui réponde
A ses cris... à ses cris
Il est né au mauvais jour, l'enfant des rivières
Un jour sans amour sur la mauvaise frontière
Mais il n'avait pourtant pas l'âge l'enfant des rivières
De la haine ou du courage quand il jouait près de sa mère,
Près de sa mère
Il a suivi, sans rien comprendre,
Les grands qui parlaient d'une autre terre
La peur, la faim nouées au ventre,
Leur camion a traversé les terres
Des hommes aux mains pleines d'espérances
Où l'on peut calmer sa souffrance, son chagrin
Mais combien d'autres dans le silence
Sont morts à bout de patience au matin, au matin
Mais lui continuera sa résistance
très loin même au prix de l’errance
Richard Seff.
J'ai osé réadapter le texte suivant :
C'est un enfant au regard sage
Comme tous ceux qui ont souffert trop tôt
La folie des hommes l'a pris en otage
Sur les rives de l’oranais
Il a suffit d'une seconde
Et qu'un président lâche sa meute sur sa ville
Pour se retrouver seul au monde
Sans n'avoir personne qui réponde
A ses cris... à ses cris
Il est né au mauvais jour, l'enfant des rivières
Un jour sans amour sur la mauvaise frontière
Mais il n'avait pourtant pas l'âge l'enfant des rivières
De la haine ou du courage quand il jouait près de sa mère,
Près de sa mère
Il a suivi, sans rien comprendre,
Les grands qui parlaient d'une autre terre
La peur, la faim nouées au ventre,
Leur camion a traversé les terres
Des hommes aux mains pleines d'espérances
Où l'on peut calmer sa souffrance, son chagrin
Mais combien d'autres dans le silence
Sont morts à bout de patience au matin, au matin
Mais lui continuera sa résistance
très loin même au prix de l’errance