Il voulait devenir yaghmorassen et l'Emir Abdelkader sultan des zénetes. Pauvre Koulougli le pére de deflagration( Boutef) est mort par malediction.
Les petits fils de marabouts marocains nés en Algérie ont jeté un sort pour que l'enfant du clan d'Oujda finira comme Boukharouba.
URGENT
Par rédaction (avec AFP) , le 08/02/2009 |
Le président socialiste du conseil général des Bouches-du-Rhône Jean-Noël Guérini a eu dimanche à Alger près de trois heures d'entretiens axés sur la coopération décentralisée avec le président Abdelaziz Bouteflika. La politique française, les relations avec les Etats-Unis, la situation au Moyen-Orient, l'environnement et l'économie ont été abordés.
Concernant l'éventuelle candidature à sa réélection de M. Bouteflika, Samia Ghali, sénatrice PS des Bouches-du-Rhône présente à la rencontre, a indiqué à l'AFP qu'elle pensait "que c'est quelqu'un qui est en train de préparer sa succession". Elle a ajouté que M. Bouteflika avait "donné des pistes". Mme Ghali a précisé que la politique française des visas vis-à-vis de l'Algérie, qu'elle a qualifiée d'"irresponsable", avait été évoquée par le ministre de l'Intérieur Yazid Zerhouni.
"Je l'ai trouvé en pleine forme", a déclaré M. Guérini en réponse à une question sur l'état de santé du président algérien, saluant une "belle mécanique intellectuelle". "Nous avons abordé l'Union pour la Méditerranée (UPM) en toute franchise, il y a quelques désaccords mais je crois qu'il est ondamental et nécessaire que la Méditerranée soit confortée. Je crois que le rôle de l'Algérie est fondamental pour l'avenir de l'Union pour la Méditerranée", a-t-il jugé. M. Guérini a appelé à ce que l'UPM soit perçue "comme une véritable chance politique qui doit nous permettre de dépasser les blocages du processus de Barcelone". Concernant la coopération décentralisée, "nous allons travailler sur la définition de la politique sur l'habitat, le logement, dans les domaines des transports et de la culture et conforter nos relations dans le domaine de la santé", a-t-il détaillé.
Les petits fils de marabouts marocains nés en Algérie ont jeté un sort pour que l'enfant du clan d'Oujda finira comme Boukharouba.
URGENT
Par rédaction (avec AFP) , le 08/02/2009 |
Le président socialiste du conseil général des Bouches-du-Rhône Jean-Noël Guérini a eu dimanche à Alger près de trois heures d'entretiens axés sur la coopération décentralisée avec le président Abdelaziz Bouteflika. La politique française, les relations avec les Etats-Unis, la situation au Moyen-Orient, l'environnement et l'économie ont été abordés.
Concernant l'éventuelle candidature à sa réélection de M. Bouteflika, Samia Ghali, sénatrice PS des Bouches-du-Rhône présente à la rencontre, a indiqué à l'AFP qu'elle pensait "que c'est quelqu'un qui est en train de préparer sa succession". Elle a ajouté que M. Bouteflika avait "donné des pistes". Mme Ghali a précisé que la politique française des visas vis-à-vis de l'Algérie, qu'elle a qualifiée d'"irresponsable", avait été évoquée par le ministre de l'Intérieur Yazid Zerhouni.
"Je l'ai trouvé en pleine forme", a déclaré M. Guérini en réponse à une question sur l'état de santé du président algérien, saluant une "belle mécanique intellectuelle". "Nous avons abordé l'Union pour la Méditerranée (UPM) en toute franchise, il y a quelques désaccords mais je crois qu'il est ondamental et nécessaire que la Méditerranée soit confortée. Je crois que le rôle de l'Algérie est fondamental pour l'avenir de l'Union pour la Méditerranée", a-t-il jugé. M. Guérini a appelé à ce que l'UPM soit perçue "comme une véritable chance politique qui doit nous permettre de dépasser les blocages du processus de Barcelone". Concernant la coopération décentralisée, "nous allons travailler sur la définition de la politique sur l'habitat, le logement, dans les domaines des transports et de la culture et conforter nos relations dans le domaine de la santé", a-t-il détaillé.