Les députés demandent au gouvernement d'internationaliser le dossier millions d'expulsés de l'Algérie, Maroc

Députés a appelé le gouvernement à l'application des dispositions du droit international humanitaire et les Marocains fichier d'internationalisation qui ont été expulsés d'Algérie en 1975, et de travailler à trouver une solution pour 45 mille familles, afin de restituer les biens en nature et de l'immobilier qui ont été prises d'elles durant déplacer. Il a demandé à toute l'équipe et l'Alliance des forces démocratiques de l'indépendance, l'unité et l'égalité Group, avant-hier à la Chambre des représentants, l'adoption d'Etat marocaine de diplomatie à l'échelle internationale afin de rétablir les droits des personnes expulsées. Il a critiqué Omar Hejira, le mouvement d'indépendance parlementaire durant Commentant la réponse du gouvernement, la politique algérienne qui a produit les millions de personnes touchées par les déplacements forcés ont été victimes de la paupérisation et à la famine malgré la participation de certains membres de voisin l'indépendance du pays. Hejira, s'exprimant pour la plupart des scènes dont il a été témoin au moment où la ville de Jeddah, et les violations par les Algériens contre les Marocains, y compris la déportation des patients de l'hôpital en Algérie après eux sur le sérum «Morris», et tués à cause de sa défense du Maroc Hassan II, parce qu'il n'acceptait pas la violence verbale qui a été réalisé de l'armée algérienne au feu roi, et les femmes ont abandonné sans se laver les mains contre les effets de la pâte.
En réponse aux questions des députés, Mohammed Ozen, Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, le gouvernement ne ménagera aucun effort pour mettre le sujet des Marocains qui ont été expulsés d'Algérie dans les circonstances du tragique et terrible, sans la moindre considération ou du droit humanitaire. Ozen dit, qui a assisté à la Chambre des représentants pour la première fois depuis sa nomination comme ministre, «Malheureusement, toutes les tentatives faites par le Maroc depuis 1991 ont échoué, malgré l'existence d'un groupe de travail spécial entre le Maroc et l'Algérie». Maroc a mis le dossier en 1991 au cours de la première réunion de la Commission mixte, les fonds et biens, a été convenu en 2003 de se lancer dans la préparation des listes des personnes bloquées à la suite de la réunion du Comité des affaires consulaires et sociales communes en Algérie. Le Comité a souligné l'année 2004, au cours de sa deuxième session, la nécessité de trouver des solutions pour préserver les intérêts et les biens concernés et les propriétaires des droits d'auteur.