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Ces fleurs venues d'ailleurs...

+2
slimane
moi même
6 participants

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moi même

moi même

Il n'est question que du Marrok...,pour leurs fleurs,leurs patates,leurs clémentines,leurs sardines et tout ce qui est bon à remplir Al-Karch sont les bienvenues.

Ces fleurs venues d’ailleurs…

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L’Algérie a importé durant les huit premiers mois de l’année 2010 15,58 quintaux de fleurs naturelles pour une valeur de 45 121 dollars .Les fleurs, en majorité des roses et des œillets, sont issues principalement du Maroc, de France, des Pays-Bas, du Kenya, de Chine et du Pakistan.



En hiver, l’horticulture locale voit son activité ralentie l En cette période de froid, le marché national fait appel à l’importation. D’où sont importées ces fleurs ? Combien reviennent-elles au client ?
Saâdi, 60 ans, affirme que la pénurie de fleurs commence à se faire ressentir à partir de décembre pour durer presque tout l’hiver. C’est surtout la rose coupée qui vient à manquer, d’autant que «nos horticulteurs éprouvent des difficultés à en produire en hiver à cause du froid. Ailleurs, les horticulteurs utilisent la serre. Cette technique est rarement utilisée par nos horticulteurs parce qu’elle leur revient cher. C’est pour cela que la production locale chute en hiver. D’où le recours à l’importation».
Les fleurs «sont importées du Maroc et de France. Une rose importée coûte jusqu’à 150 DA au client. La rose locale revient à 30 DA, et la plus chère à 50 DA l’unité». Il observe que la demande augmente en été à cause des fêtes, mais les prix reculent vu la disponibilité des fleurs, notamment les fleurs locales.
En hiver, les prix augmentent. L’offre ne couvre pas la demande qui pourtant diminue par rapport aux autres saisons. Et pour la couvrir, «il faut s’en approvisionner auprès des pays à tradition d’exportation en la matière». Rabah, 40 ans, voit que les prix des fleurs augmentent durant l’automne et l’hiver à cause de la chute de la production locale. Ainsi, «nous importons les fleurs du Maroc et des Pays-Bas. Mais celles qui proviennent de ce dernier pays relèvent du quatrième choix. Celles du premier choix nous reviennent, à nous déjà, entre 200 et 250 DA la pièce. Elles sont chères pour nous. A quel prix nous la céderons au client ?» Le même interlocuteur indique qu’il écoule la partie majeure de ses produits durant l’été, qui est la «saison des fêtes», ainsi que durant les Journées du 8 Mars et de la Fête des mères.Pour le reste de l’année, «c’est presque la dèche».
Sachant que la durée de résistance de certaines espèces est limitée. Si elles «ne se vendent pas dans les deux jours après leur réception, elles commencent à se faner. Cela dépend des espèces et des variétés. Il y a celles qui résistent plus de deux jours».
Fête de mariage
La rose des serres «est belle mais ne résiste que cinq jours. La rose naturelle, cultivée en plein air, peut résister 10 à 12 jours. Ce délai passé, ses pétales commencent à se faner. Et le client refuse de la prendre. Ce dernier exige des fleurs fermées comme on dit. Les roses sont les fleurs les plus demandées sur le marché et il y en a vingt variétés connues en Algérie». En revanche, poursuit le même interlocuteur, «je ne vends pas les tulipes. Elles coûtent cher et en plus, elles sont rarement demandées. L’unité nous revient entre 50 et 80 DA. A quel prix la vendre ?» Il cite plusieurs sortes de fleurs disponibles sur le marché, entre autres les glaïeuls, œillets, statices, jasmins, oiseaux de paradis, soucis du jardin, mozarts, narcisses et les lilas. «Nous les mélangeons pour en faire des couronnes servant à décorer les véhicules lors des fêtes de mariage.»
Moins d’horticulteurs
Ahmed, 35 ans, constate à son tour que les prix augmentent en hiver. «Les horticulteurs et les fournisseurs revoient leurs prix à la hausse, les fleuristes aussi. Aujourd’hui, il y a moins de fournisseurs et d’horticulteurs», observe-t-il.
Côté clients, il voit que «dans notre pays, on n’achète pas souvent les fleurs pour le plaisir personnel ou par goût esthétique, comme il est de coutume en Occident par exemple. Il n’y a pas de passion pour les fleurs. Les clients chez nous en achètent pour la plupart par occasion.
Occasion personnelle : un mariage ou fiançailles d’un membre de la famille ou d’un ami. Durant la saison de la pénurie de fleurs, à savoir l’hiver, en ce qui concerne celles qui sont importées, il y a des fleuristes qui se contentent de 20 DA de bénéfice par unité. Celle-ci est cédée à 80 DA, cela dépend de l’espèce et de la variété. D’autres la vendent à 100 DA. Pour eux, cette période constitue une aubaine pour gagner plus d’argent. Personnellement, en cette période de disette de roses, j’opte pour la tulipe hollandaise, je la cède jusqu’à 150 DA l’unité. Je m’en approvisionne à 120 DA la pièce. Cela dit, la rose reste la fleur la plus demandée chez nous».
Abdelkader, 60 ans, estime qu’en été les prix sont abordables. Une rose est cédée à 20 ou 30 DA. En plus, «les fleurs sont disponibles. Nous n’avons pas besoin d’en importer». En revanche, durant l’hiver, «la production locale est insignifiante. D’où le recours à l’importation et la hausse des prix. Une rose est cédée à 70 DA. Et c’est la rose la moins chère. Nous en importons d’Espagne, des Pays-Bas et du Maroc. Ce dernier exporte aussi vers des pays d’Europe. Au Maroc, l’horticulture est développée même dans des régions désertiques. Si nous suivons leur exemple, nous n’avons pas besoin d’en importer. Quant aux tulipes, je n’en ai pas vu chez nous depuis au moins quinze ans. J’ai 38 ans de métier comme fleuriste.
Les dahlias sont disponibles, mais en petites quantités. Chez nous, tout est en désordre, il n’ y a pas de gestion». Son voisin de quartier qui suivait attentivement la discussion ironise : «Nous avons du pétrole, nous importons même de la pomme de terre.» Pas de fleurs ! Et les vergers sont, pour une partie importante, envahis par le béton, mais cela est une autre histoire. A contempler cette situation, il n’est pas étonnant de voir un jour nos abeilles s’exiler dans les pays voisins pour trouver du nectar à butiner. Restent les panicauts. Tant qu’ils sont épargnés par les incendies, ils serviront en été de nids pour les bourdons.
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slimane

slimane

L'Algérie est un pays qui donne à manger aux horticulteurs marocains en achetant leurs fleurs .........!!!

Qui doit remercier l'autre ???.......Les marocains doivent dire merci à l'Algérie pour contribution à leur économie , alors celui qui pense à mal avec cet article se trompe de créneau , il montre qu'il ne connait rien à rien ...!!!

Je lui dis : Manges grâce à l'argent de l'Algérie pour laquelle tu travailles et remercies DIEU .......!!!
Mais ne mords pas la main qui te donne à manger !!!

kenadssa_marocaine

kenadssa_marocaine

Quelle ironie du sort . L'Algérie en 1962 exportait des parfums, des fleurs et des agrumes.

slimane

slimane

kenadssa_marocaine a écrit:Quelle ironie du sort . L'Algérie en 1962 exportait des parfums, des fleurs et des agrumes.

.......................................................................

TU AS L'AIR D'AIMER L'ALGERIE ???

Atavisme

Atavisme

Je Vois que les marrokis anti-algeriens sont trop actifs ces derniers temps.

L'ennemi a des renforts à ce que je vois.



Dernière édition par Atavisme le Dim 7 Nov - 20:09, édité 1 fois

Atavisme

Atavisme

@kenadssa_marocaine

Pauvre Maroki, tu n'es qu'un larbin du makhzen, ton pseudo est une declaration de guerre à l'Algerie.

Jusqu'à preuve du contraire....Kenadsa est une ville ALGERIENNE......et tu ne peux rien n'y faire sinon crever dans ton coin de haine et de jalousie comme un pauvre type.

Si vous êtes de vrais nationalistes et si vous croyez réellement ce que vous dites.....faites la guerre à l'Algérie liberez ce que vous croyez être à vous.

oranaisfier

oranaisfier

L'Algérie importe des fleurs, c'est comme même très beau, mais quand certains pays exportent leur drogue, c'est...lugubre, au sens propre et au sens figuré!



Dernière édition par oranaisfier le Jeu 11 Nov - 10:36, édité 1 fois

moi même

moi même

Environ 60% des personnes impliquées dans le trafic de drogue en Algérie ont moins de 35 ans, a déclaré mardi à Alger un haut responsable anti-drogue local, Aissa Kacimi.
«59,83% des individus impliqués dans des affaires de trafic de drogue en Algérie sont âgés de moins de 35 ans», a dit le directeur de la coopération internationale de l’Office national algérien de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLCDT), cité par l’agence APS.

Inaugurant les rencontres algéro-européennes sur la prévention et la répression de l’usage et du trafic de drogue, M. Kacimi a indiqué que le trafic de drogue dans son pays connaissait «une évolution rapide». L’Algérie «est un grand espace des réseaux de trafic de drogue pour diverses raisons», a estimé le haut responsable face à des experts européens et algériens.
Parmi les Européens, des Français, Italiens, Espagnols et Portugais, prenant part à ces rencontres qui sont organisées en collaboration avec le groupe Pompidou relevant du Conseil de l’Europe et dans le cadre du programme du réseau MedNET de coopération algéro-européenne de lutte anti-drogue.
D’un pays de transit, l’Algérie est devenue ces dernières années, «un pays consommateur» de drogue en particulier le cannabis et les psychotropes, selon M. Kacimi. «25.000 toxicomanes ont été admis dans des centres de désintoxication ces dix dernières années», a-t-il indiqué. «84% des toxicomanes ont un niveau d’instruction faible et 53% sont issus de familles instables», a-t-il précisé.
Plus de 16 tonnes de cannabis ont été saisies en Algérie depuis le début de 2009 contre plus de 38 tonnes en 2008, selon les chiffres officiels.

AFP

slimane

slimane

le marocain au pseudo " moi-même " est un vrai PARADOXE.........!!!

Les Marocains cultivent le paradoxe. Les désordres qu'ils produisent dans leur espace ne sont jamais perçus comme la conséquence des dérives et des manquements de chacun. La responsabilité est rejetée sur les “autres”, entité diffuse et anonyme. “L'enfer, c'est les autres”, comme l’écrivait Jean-Paul Sartre.

Hé OUI....." moi-même " c'est "lui-même"......!
..................sacré PARADOXE ..........!!!

moi même

moi même

De l’aveu même des autorités algériennes, Tindouf est devenue un centre majeur de trafic de drogue
Si la culture et le trafic de drogue se sont largement développés ces dernières années en Algérie, c'est parce que le Maroc est en train de réussir son combat contre ce fléau. «Le Maroc a décidé de lutter contre le trafic de drogue alors les trafiquants veulent l'investir en Algérie Le patron de la lutte anti-drogue en Algérie tire la sonnette d'alarme sur la transformation de Tindouf en paradis des trafiquants de drogue.

La production et le trafic de haschich sont en train de transférer leurs activités criminelles en Algérie. C'est ce que vient de révéler, jeudi 8 novembre, Kasmi Aïssa, directeur de la coopération internationale de l'Office national algérien de lutte contre la drogue dans un entretien accordé à la deuxième chaîne de la Radio algérienne. Invité de l'émission «Rendez-vous du jeudi», le patron des services anti-drogue du ministère algérien de l'Intérieur a fait preuve d'une transparence peu habituelle dans ce pays. «Durant cette année, 93.000 plants de cannabis et 60.000 d'opium ont été saisis en Algérie, notamment dans les régions frontalières du pays», a-t-il indiqué.
Ancien directeur général de la sûreté nationale algérienne, Kasmi Aïssa est l'un des meilleurs spécialistes de la lutte contre le trafic de drogue du sud de la Méditerranée. Ses affirmations ne peuvent donc être considérées à la légère comme de simples constats mais plutôt comme une alerte qu'il adresse aux dirigeants algériens sur l'ampleur que le phénomène est en train de prendre. «Il faut tirer la sonnette d'alarme avant qu'il ne soit trop tard», a-t-il dit avant d'ajouter que : «l'ensemble de la société est interpellé par ce phénomène dévastateur».

Selon le responsable algérien, parmi les zones les plus touchées par ce phénomène, figure la région de Tindouf. Une zone géographique qui attire toutes sortes d'activités délictuelles depuis plusieurs décennies, mais qui, ces dernières années, semble devenir le carrefour des circuits criminels établis en Afrique subsaharienne et l'Europe via le Maghreb. Ce qui est tout à fait normal étant donné qu'il s'agit d'une zone qui échappe à un véritable contrôle de l'Etat algérien.
Une zone où un commandement militaire relevant de la DRS (sécurité militaire) agit d'une manière presque autonome en complicité avec des groupuscules armés du Polisario et qui s'adonnent en toute impunité à des activités de trafic allant de l'immigration clandestine au trafic de drogue en passant par d'autres encore plus dangereuses comme le trafic d'armes qui profite à des cellules terroristes.
En avril dernier, les autorités algériennes avaient découvert 5 hectares de cannabis dans la région de Tindouf. La presse algérienne avait alors révélé que le Sahara algérien était truffé de champs de cannabis et que plusieurs avaient été détruits par les forces de sécurité. Selon le quotidien Achourouk, plus de deux tonnes de résine de cannabis avaient été saisies, le 1er avril, par des douaniers algériens près de Tindouf. Le patron de la direction de la lutte contre la drogue a signalé par ailleurs que si la culture et le trafic de drogue se sont largement développés ces dernières années en Algérie, c'est parce que le Maroc est en train de réussir son combat contre ce fléau. «Le Maroc a décidé de lutter contre le trafic de drogue alors les trafiquants veulent l'investir en Algérie», a-t-il souligné.

slimane

slimane

POUR mr PARADOXE ..LUI-MËME

A quoi ressemble un Marocain ?

C’est une histoire assez bizarre qui s’est produite il y a quelques semaines dans la bonne ville hollandaise de Gouda – oui, oui, c’est dans cette ville qu’on fabrique le fameux fromage qui donne de si bons sandwichs, dans une baguette tout juste sortie du four, avec une noisette de beurre... Mais je m’égare, on n’est pas là pour échanger des recettes de cuisine mais pour examiner avec objectivité les grands problèmes de l’heure. Gouda, donc. Dans cette ville s’est produit il y a quelques semaines un incident comme il s’en produit malheureusement de temps en temps?: un chauffeur d’autobus se fait agresser par un jeune voyou. On échange des coups, des gifles, peut-être même des horions, et puis le voyou disparaît dans la nature. Immédiatement, tous les chauffeurs d’autocar se mettent en grève, et la rumeur court?: un jeune Marocain a agressé un honnête travailleur qui ne faisait que son boulot. C’est un affront, c’est un scandale, c’est la fin de la civilisation occidentale?: vous connaissez l’air et les paroles.

Seulement, voici le hic?: quand on retrouve l’agresseur, qui avoue tout sans faire de chichis – il s’en vante, le bougre?! –, on s’aperçoit avec consternation qu’il ne s’agit nullement d’un Marocain mais – très banalement – d’un Hollandais. Ni Rachid ni Mohammed?: Piet Smit, à votre service (« vols et agressions en tous genres »). Du coup, les autorités locales sont bien embêtées. L’affaire de la fausse agression avait déjà fait le tour du pays – et voilà qu’il s’avère qu’on avait à tort accusé toute une communauté. Les autorités font marche arrière et présentent leurs excuses. Mais le problème demeure entier?: comment, dans les dépositions qu’on fait dans les commissariats, déterminer l’origine ethnique des bandits?? C’est alors qu’on a eu l’idée de poser à des experts la question suivante, qui a l’air très simple?:

– À quoi ressemble un Marocain?? Ce fut une belle cacophonie. Dès qu’un expert affirmait que les Marocains avaient les cheveux noirs et bouclés, ainsi qu’une peau bellement mate, un autre expert exhibait un Marocain à la peau laiteuse et aux cheveux roux, du genre de ceux qu’on surnomme « robio » du côté de Tanger. Lorsqu’un expert, ébloui par les belles Rifaines, prétendait que les Marocains avaient la peau très blanche, son adversaire (l’autre expert) présentait deux chérifiennes à la peau superbement noire?; et ainsi de suite.

On en est encore là. Personne, à Gouda, n’a été fichu de répondre à cette question simple?: à quoi ressemble un Marocain?? Si vous avez une réponse, faites-la moi parvenir et je transmettrai aux autorités compétentes.

....................................................................................................

Ils ont l'air de vouloir dire que les marocains sont tellement inexistants qu'ils n'ont aucun faciès ............Mais je leur donne la solution pour les aider : Ils devraient demander à un Algérien de leur montrer où sont les marocains ....!!!!!!!!

directe

directe

Un marocain ressemble à un être humain, il a une tête, deux bras, deux jambes dans le meilleurs des cas! il a une histoire comme tous les autres on rencontre plusieurs couleurs due aux différentes ethnies berbères, à la magie des rencontres avec les autres peuples, ils sont acceptés partout, aimés,ils sont tellement jalousé par ceux qui croient qu'il suffit de faire pousser de l'herbe pour être aimé autant que les Rifains, les lions de l'ATLAS
les hommes et les femmes qui ont le souvenir à fleur de peau,celui qui n'oublie pas le mois de décembre 1975 S'abstient de frimer.CELUI QUI A TORT PARLE FORT [i]c'est bien connu!!!
au Maroc les Rifains ont eu du hachich depuis des siècles ,les algériens ça 15 jours et ils se battent déjà pour savoir qui va gagner le plus d'argent et chercher qui ils vont bien pouvoir trahir afin de garder le maximum.

slimane

slimane

LES RIFAINS SONT A PART DANS LES HISTOIRES ....
LE GRAND BENEFICE DU HASCHICH CE N'EST PAS POUR EUX , ILS N'ONT QUE LES MIETTES ......REGARDEZ PLUS
HAUT ET VOUS LE SAVEZ SANS QUE VOUS PUISSIEZ L'ECRIRE MËME SUR CE FORUM , A MOINS QUE.....???

oranaisfier

oranaisfier

C'est quand même bizarre, que certains "oublient" que le Maroc est le premier exportateur africain de drogue. l’OICS (Organe international de Contrôle des stupéfiants), dans son dernier rapport, il confirme que le cannabis continue d’être « cultivé illicitement à grande Échelle au Maroc ». Le Maroc continue à être le principal fournisseur de résine de cannabis au marché européen. Tous les organes internationaux le confirment,90% du haschisch saisi en Europe provenait du Rif marocain où il constitue la principale activité agricole; donc lucrative. Souvenons-nous qu'en 2000, le cannabis figurait sous la rubrique «Cultures industrielles» par le ministère de l'Agriculture marocain.
Intéressant article d'un journal marocain, concernant le fléau tant redouté dans le monde: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

moi même

moi même



La drogue en Algérie
Le trafic de drogue en Algérie a pris une dimension inquiétante depuis quelques années au regard de l’explosion du nombre de toxicomanes dans notre pays et de l’importance des quantités de drogue saisies par les forces de sécurité.
samedi 7 janvier 2006.

Le trafic de drogue en Algérie a pris une dimension inquiétante depuis quelques années au regard de l’explosion du nombre de toxicomanes dans notre pays et de l’importance des quantités de drogue saisies par les forces de sécurité.

A la lecture des statistiques disponibles, il apparaît que l’année 1992 marque un tournant décisif dans la nature et la tendance du trafic, du fait de la saisie de près de 7 tonnes de résine de cannabis. Cette tendance s’est confirmée les années suivantes avec des saisies mineures mais révélatrices, d’héroïne, de cocaïne ainsi que des quantités importantes de substances psychotropes.

Les statistiques établies au courant de la décennie écoulée, font ressortir une tendance évolutive des quantités de drogues annuellement saisies en Algérie et qui ne constituent en réalité qu’une partie de la masse de stupéfiants en circulation. Les saisies ont atteint le chiffre de 6,322 tonnes de résine de cannabis en 2002, traduisant une augmentation assez importante par rapport aux saisies des années précédentes, à l’exception de l’année 2000.

En plus du trafic concernant la résine de cannabis qui transite par notre pays, les services de lutte signalent également un certain nombre de saisies de cocaïne et d’héroïne introduites en Algérie par colis postaux d’Europe par fret maritime ou aérien. D’autres quantités proviennent des pays subsahariens à travers des réseaux ayant des relais dans la capitale et dans d’autres grands centres urbains du pays. Toutefois, le trafic de ce genre de drogues est restreint à cause de son coût très élevé, mais de par son échelle limitée il est difficile à combattre.

Le premier constat qui s’impose est que l’Algérie, en l’état actuel des choses, n’est pas un pays producteur. Du point de vue de la consommation, cela est loin d’être généralisé, mais la sonnette d’alarme doit être tirée tant la progression du nombre de consommateurs augmente d’année en année. La vigilance doit être de rigueur.

Synthèse de Mourad
D’après El Moudjahid : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Alez-y justifiez-vous encore inriminez votre voisin de l'ouest,ou bien dites que cela date depuis longtemps,mais tout ça c'est Kif Kif...

oranaisfier

oranaisfier

Nous ne justifions rien, nous constatons uniquement, et ce n'est pas kif kif.

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slimane

slimane

CHER AMI ORANAISFIER.............SALAM

Cet individu que je nomme "PARADOXE lui-même" , est une espèce rare de marocain plié en quatre et qui ne lève jamais la tête car la servilité est planté dans son corps pour l'éternité et son esclavage est visible dans tous ses faits et gestes .........mais tout ce qui est mal dans son pays , il dit que çà se passe en Algérie ...!
IL A LE SYNDROME DU COMPLEXé ....!
ALORS IL NE FAUT PAS LUI DONNER DES LIENS MAIS IL FAUT FAIRE UN COPIé-COLLé COMME IL FAIT ...
DONC ON LUI EN MET PLEIN sA VUE DE DROGUé !!!

Drogues des riches drogues des pauvres : La toxicomanie au Maroc

Le phénomène de l'usage de drogues au Maroc n'a rien de nouveau. Avec des surfaces cultivables de plus en plus importantes chaque année, le Maroc se maintient au rang de premier producteur et exportateur mondial de haschich (cf. TelQuel n°39). Côté consommation, l'ampleur du phénomène d'abus de drogue reste mal connue. La raison en est simple : il n'existait, jusqu'à il y a peu, aucune étude épidémiologique nationale. C'est désormais chose faite, mais ses résultats sont encore à l'étude d'analyse. Cependant, plusieurs équipes de psychiatres, notamment celles de l'hôpital Ar-Razi de Salé et du centre psychiatrique universitaire de Casablanca ont réalisé ces dix dernières années des enquêtes auprès de populations spécifiques : lycéens, étudiants, enfants des rues. Leurs résultats démontrent qu’il s'est opéré à partir des années 80, "une occidentalisation" de la situation pour reprendre les termes du Pr. Jallal Toufiq, psychiatre à l'hôpital Ar Razi de Salé. Qu'est-ce à dire ? Outre que les joints sont fumés par une population de plus en plus jeune, ils sont souvent consommés avec d'autres produits comme l'alcool ou les psychotropes, "de plus en plus prisés" par les toxicomanes. Jallal Toufiq, comme son confrère casablancais Driss Moussaoui, constatent chez les jeunes une consommation d'alcool de plus en plus importante. Alcool qui, s'il est vendu librement, n'en reste pas moins une drogue dure. Autre phénomène inquiétant, les quinze dernières années ont vu l'apparition, sur le marché des drogues au Maroc, de l'héroïne et de la cocaïne. Si les dérivés cannabiques sont produits localement, ces deux drogues sont introduites au Maroc surtout par le nord du pays (cf. affaires Dib en 1996, Temsamani en 2000 et Erramach en septembre 2003). Plus récemment, le crack et l'ecstasy ont fait leur apparition, mais de manière encore limitée aux grands centres urbains. Il n'empêche, vendus beaucoup moins cher que leurs aînées, les risques de ravage dans la jeunesse marocaine ne sont pas à exclure. Comme le raconte Driss Moussaoui, qui exerce au centre psychiatrique universitaire de Casablanca, "en 2 ans, 50 % des jeunes habitant les quartiers périphériques d'Abidjan sont devenus cocaïnomanes. On le voit, une vague blanche reste un scénario probable au Maroc". Pourtant, à part le travail de quelques associations comme Nassim, aucune prévention n'est faite à l'échelle nationale. Cela dit, ne devient pas toxicomane qui veut. "Il existe des facteurs de risques, tels qu’une prédisposition neurobiologique, des antécédents familiaux ou encore la disponibilité des drogues dans votre environnement immédiat", explique Jallal Toufiq, avant d’ajouter, "de même qu’il existe des facteurs protecteurs comme la surveillance parentale ou l’accès difficile aux drogues". La typologie des différentes drogues en circulation au Maroc et de leurs effets se veut une contribution à ce travail nécessaire d'information.



Cocaïne, héroïne, ecstasy…

La jeunesse dorée commence à
"sniffer" ses petits rails, "juste
pour faire la fête"
Ces drogues coûteuses, dangereuses et que l’on croyait réservées aux pays riches ont pourtant fait leur apparition dans le paysage marocain et s’y installent.

COCAÏNE. Si certains doutaient de son existence au Maroc, l’affaire Erramach aura fini de démontrer que la route du trafic mondial de cocaïne, notamment en provenance d’Amérique latine et à destination de l’Europe, passe désormais par le Maroc. Cela fait pourtant plus d’une dizaine d’années que la "poudre blanche" circule dans les soirées animées des grandes
villes du pays : Tanger, Casablanca, Agadir et Marrakech. La jeunesse dorée commence à "sniffer" ses petits rails, "juste pour faire la fête" et elle n’a guère de mal à s’en procurer. Généralement, le petit dealer de hash sait où s’adresser. Sauf qu'aujourd'hui, les psychiatres du nord du pays, comme ceux de Casablanca commencent à recevoir de plus en plus de cocaïnomanes. Si elle reste aujourd’hui encore l’apanage des classes "favorisées", c’est bien évidemment en raison de son coût prohibitif : entre 700 et 1200 DH le gramme.
Les effets : L'usage de cocaïne provoque une euphorie immédiate, un sentiment de puissance intellectuelle et physique et une indifférence à la douleur et à la fatigue. Ces effets vont laisser place ensuite à un état dépressif et à une anxiété que certains apaiseront par une prise d'héroïne ou de médicaments psychoactifs. Une autre caractéristique de la cocaïne est de lever les inhibitions, ce qui peut conduire à commettre des actes de violence, des agressions sexuelles, des dépenses compulsives, etc. La sensation de "toute-puissance" entraînée par la cocaïne en fait un produit qui risque d'engendrer des passages à l'acte. Par ailleurs, les matériels utilisés pour "sniffer" peuvent transmettre les virus des hépatites A, B et C, s'ils sont partagés entre plusieurs usagers. Excitant puissant, la cocaïne provoque une dépendance psychique importante. Il est difficile d'arrêter une consommation aiguë de cocaïne, tant la nécessité d'en reprendre est importante. L'apaisement, même avec la consommation d'une autre substance, est très difficile.

ECSTASY. Pilules-performances, pilules-fêtes, potions magiques ? De plus en plus répandue dans le milieu de la nuit, l'ecstasy pour certains ne serait même pas une drogue. Ah bon ?
À moins de 100 DH le cachet, l’ecstasy semble séduire de plus en plus de jeunes, notamment dans les boites de nuit de Casablanca, Tanger et Marrakech. Et pour cause ! Généralement "gobée" avant une soirée, elle permet aux utilisateurs de danser pendant des périodes prolongées au point que certains ne sentent plus les signaux de détresse de leur organisme tels que la déshydratation, les crampes musculaires, les étourdissements, l’épuisement ou le surmenage.
L’ecstasy fait partie d’une nouvelle série de substances apparues avec l’évolution de la chimie. Elle est fabriquée par synthèse dans des laboratoires clandestins par des chimistes. Son apparence externe ressemble à celle de l'aspirine, mais elle est très souvent coupée avec tout un tas d'autres produits plus ou moins dangereux (antidépresseurs, caféine, morphine, sédatifs, hormones...).
Les effets : ils sont semblables à ceux produits par le LSD et le sentiment de relaxation est semblable à celui du cannabis. Si elle plaît tant aux jeunes, c’est parce qu’elle favorise la communication entre les gens, elle provoque un fort sentiment d'appartenance au groupe. L’ecstasy exacerbe également tous les sens, en particulier le toucher. Une sensation ordinaire peut ainsi devenir exceptionnelle. Elle provoque facilement de pénibles tensions musculaires, généralement au visage et plus particulièrement aux mâchoires, claquements des mâchoires, grincements des dents, déshydratation corporelle, sécheresse de la bouche, sudation, nausées, étourdissements, épuisement et surmenage. Elle provoque également une accélération artificielle du rythme cardiaque et une augmentation de la pression artérielle. L’ecstasy engendre des troubles de la coordination rendant notamment la conduite d'un véhicule dangereuse et elle peut empêcher l'érection chez l'homme, ainsi que l'orgasme masculin et féminin.

L’HEROÏNE. Plus rare que l’ecstasy ou la cocaïne, on la trouve essentiellement à Tanger et à Tétouan. Aux environs de 400 DH le gramme, celle que l’on se procure au Maroc est, d’après les professionnels, de très mauvaise qualité. Les mêmes précisent que le prix du "kharchacha", cette capsule de pavot séchée que l’on trouve dans toutes les herboristeries, a flambé ces dernières années. La raison ? Elle serait assez prisée chez les toxicomanes qui, à l’aide de vapeur, récupéreraient le résidu actif de la plante sous forme de "jus". Si la légende a retenu l’image de l’héroïnomane s’injectant sa dose, les consommateurs marocains la fument dans 90 % des cas. Conséquences : les effets se font sentir de façon plus graduelle, mais n’en sont pas moins irréversibles.
Les effets : l'utilisateur éprouve une intense sensation de bien-être, suivie d'un état de gratification ou d'une sensation de faim. Mais il reste indifférent à la douleur, les pulsions sexuelles sont absentes, il ressent une sensation de chaleur et de lourdeur, son humeur devient changeante. De même que la dose requise pour produire cet effet peut entraîner une certaine agitation, des nausées et des vomissements. La tolérance à l’héroïne s’acquiert très vite et entraîne une très forte dépendance psychologique et physique.

Inhalants, solvants et médicaments

L’inhalation procure à court terme
un sentiment d’allégresse
et d’euphorie (Photo AFP)
Ils ne sont pas considérés comme des drogues puisqu’ils n’ont pas été conçus pour ça. Sauf que… ils ne sont pas chers, on les trouve partout et ils ont des effets psychotropes.


LES INHALANTS. En vente dans toutes les drogueries, les inhalants sont des produits chimiques à vapeur psychotrope. Ils sont rarement considérés comme des drogues puisqu'ils ne sont jamais fabriqués à cette fin. Pourtant, ils arrivent en tête des produits recherchés par les plus pauvres et notamment par les "enfants des rues". Peu chers, leurs effets sont dévastateurs.
Qu’il s’agisse de colle à séchage rapide, de solvants comme les diluants de peinture ou les dissolvants à ongles, de cirage, de liquides servant au nettoyage ou de l’essence à briquet, les utilisateurs versent ou vaporisent ces produits dans un sac ou sur un linge.
Effets à court terme : leur inhalation procure un sentiment d’allégresse et d’euphorie semblable à celui causé par l’alcool, qui s’accompagne d’une sensation d’engourdissement et d’apesanteur. Mais ces produits engendrent également un manque de coordination motrice, des difficultés d’élocution, un ralentissement du rythme respiratoire et cardiaque, ainsi qu’un sentiment de témérité et de toute puissance.
Effets à long terme : l’utilisation prolongée entraîne une détérioration physique et psychologique progressive, allant de la confusion mentale à la paranoïa et aux dommages cérébraux. L'usage régulier de solvants crée une accoutumance qui nécessite une augmentation des doses pour obtenir les effets initiaux. Un "inhaleur" de colle peut, par exemple, être amené à avoir besoin de 8 à 10 tubes de colle, plutôt qu'un seul, pour obtenir les mêmes effets. La dépendance psychologique à l'égard des solvants est assez courante et se traduit par un besoin compulsif de continuer à inhaler ces drogues.

LES MEDICAMENTS "PSYCHOACTIFS". Ils comprennent plusieurs catégories : les tranquillisants et anxiolytiques, les somnifères, les neuroleptiques ou antipsychotiques et les antidépresseurs. Un véritable marché noir est apparu dans toutes les grandes villes du royaume, qui permet aux toxicomanes de les acheter au détail et sans ordonnance (le prix varie selon le médicament). Un comprimé de Clonazépam, le somnifère le plus vendu au Maroc, se revend ainsi entre 12 et 20 DH. Outre qu’ils sont pris hors de toute prescription médicale, ces médicaments sont généralement associés à l’alcool et au haschich, ce qui accentue ou au contraire annule les effets de chacune des substances ingurgitées. Généralement absorbés en doses massives, il s’ensuit une dépendance physique et/ou psychique.

…Et drogues de tous : Alcool et tabac

L’inhalation procure à court terme
un sentiment d’allégresse
et d’euphorie (Photo AFP)
En vente libre, la société ne les considère pas comme des drogues. Les spécialistes s’insurgent : est qualifiée de drogue toute substance naturelle ou synthétique capable d'engendrer une toxicomanie.


L’ALCOOL. Tous les professionnels sont unanimes : depuis 5 ans, l’usage de l’alcool se banalise au Maroc, notamment chez les jeunes et les femmes. La raison est simple : librement vendu dans toutes les grandes ou moyennes surfaces, sa consommation est d’autant plus facile qu’elle est de moins en
moins stigmatisée. Pas question pour eux de pointer du doigt celles ou ceux qui aiment à partager un apéritif entre amis ou boire un petit verre de vin avant le repas. S’ils s’inquiètent aujourd’hui, c’est parce qu’ils reçoivent de plus en plus de gens qui en absorbent des quantités "faramineuses" : cela va de l’eau de vie à la vodka ou au whisky, en passant par… l’alcool à brûler !
Ses effets : L'alcool n'est pas digéré : il passe directement du tube digestif aux vaisseaux sanguins. En quelques minutes, le sang le transporte dans toutes les parties de l'organisme. L'alcool détend et désinhibe. À court terme et lorsqu'il est consommé à des doses importantes, il provoque un état d'ivresse et peut entraîner des troubles digestifs, des nausées, des vomissements... Mais surtout, en entraînant une diminution de la vigilance, il est souvent responsable d’accidents de la circulation, quand ce n’est pas du travail. De même que l’alcool entraîne une perte de contrôle de soi qui peut conduire à des comportements violents, à des passages à l’acte, à des agressions sexuelles, voire au suicide. À plus long terme, l’usager risque de développer de nombreuses pathologies : cancers, maladies du foie (cirrhose) et du pancréas, troubles cardio-vasculaires, maladies du système nerveux et troubles psychiques (anxiété, dépression, troubles du comportement).

LE TABAC. Brun ou blond, light ou super light, roulé, en cigare ou en pipe, le tabac nuit tellement à la santé que l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et l’association mondiale de psychiatrie le considère comme une drogue très dangereuse. Pourtant, quel fumeur a conscience de se droguer quand il va au bureau de tabac ou achète sa cigarette au détail ?
Ses effets : le tabac contient de la nicotine, qui possède un effet "éveillant" anxiolytique et coupe-faim. Les produits du tabac (cigarettes, cigarettes à rouler...) sont composés d'additifs (humectants, goût, saveur, etc.). La combustion de ces produits crée de nouveaux composants (monoxyde de carbone, goudrons, etc.) nocifs pour la santé. Ainsi, le tabac augmente la pression artérielle, accélère le rythme cardiaque et détériore les artères. Les risques coronariens et les décès par infarctus du myocarde sont deux fois plus élevés chez les fumeurs. Le tabac a des effets nocifs sur le déroulement de la grossesse (prématurité, poids de naissance inférieur). Les fumeurs s'exposent également à des troubles au niveau de tout l'appareil respiratoire, notamment au risque de bronchite chronique et au risque de cancer du poumon.

C'est à Ain Atiq : Le 1er centre de désintoxication pour enfants

"Nos rares échecs, nous les avons connus avec des enfants qui étaient déjà trop accros aux solvants ou aux médicaments. Ils arrivaient à résister quelque temps, mais la majorité replongeait", témoigne Tourya Bouabid, présidente de l’AMESIP (Association marocaine des enfants en situation précaire). Du coup, une idée va s’imposer : la nécessité d’avoir, aux côtés des cinq centres existants de l’association, un centre fermé, uniquement dédié aux enfants toxicomanes âgés de 6 à 14 ans. Et de l’idée à l’action, il n’y a qu’un pas que nos militants n’ont pas hésité à franchir. L’ouverture est, en effet, prévue en septembre, à Ain Atiq (10 km de Rabat). "Nous avons obtenu l’accord de la commune pour qu’elle nous cède une aile de son centre social qui n’était plus utilisée. Le bâtiment sera complètement indépendant du reste de la structure et nous pourrons y héberger 40 enfants, répartis en 4 dortoirs de 10". Sur place, ils recevront les soins de santé adaptés à leur situation. Outre les 4 éducateurs sociaux qui encadreront les activités ludiques, éducatives et sportives, un pédopsychiatre, un infirmier et une assistante sociale assureront de leur côté le suivi psycho-médical des enfants. "Nous allons aménager un espace aussi beau que les autres", précise Tourya Bouabid. Pour les aider dans leur cheminement, une salle de jeux va être construite avec table de ping-pong, billard ainsi qu’une grande salle dédiée à l’acrobatie, au jonglage et à l’équilibre. Les études ne sont pas oubliées pour autant : salle de cours et salle informatique sont prévues au programme. Dehors, mini-terrain de foot et de basket côtoieront un manège équestre.

TelQuel Magazine.

directe

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bonsoir Mabrouk l'Aïd à tous,

exacte,le Maroc est depuis longtemps producteur de cette d'herbe, et c'est bien dommage, en tant que Marrokki, (j'en profite pour dire que cela ne me dérange pas d'être appelé ainsi, j'aurai préféré que Boumédiene ce contente de nous appeler Marrokki que de nous expulser en pleine hiver et pendant une fête mondiale) du fait qu'elle a rendu accrocs des millions de personnes alors que son utilisation pour soulager certaines douleurs est réelle et efficace! mais ca c'est un autre sujet, c'est comme la morphine, ce n'est qu'un marché, si il n'y avait pas tant de consommateur le débat n'existerai pas, on parle pour ne rien dire car qui peut empêcher un autre de boire ou fumer, ce combat jusqu'à présent ne ce gagne qu'individuellement, et c'est le choix de chacun de consommer ou pas de la drogue, on est ainsi fait!!! nos lois ne nous permettent pas d'obliger quelqu'un, et Dieu merci!!! on rêve seulement d'un monde ou nous deviendrons tous raisonnable et capable de résister aux drogues, alcool, cigarettes, vol, jalousie, meurtre, incivilités de tous genre!!! cela ne sert à rien d'accuser Pierre de consommer ce que Paul produit pour Pierre, ou Mohamed pour Ali.

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