:( Monsieur,
Le temps où je suis en train de rédiger ma tragédie, mes larmes coulaient et irriguaient mon clavier.
Je m'appelle EL ALAOUI Abdellah, je suis né le 30.01.1958 à Lamtar/Wilaya de SIDI BEL ABBES -ALGERIE- fils de: ABDESLEM BENALI (de nationalité marocaine) et de SEBBAHI MERIEM (de nationalité algérienne) je suis à moitié marocain par le père et à moitié algérien par la mère.
J'ai grandi à Lamtar mon village natal, nous sommes tous connus dans ce village car mon père s'est introduit tôt en ALGERIE, mon défunt-père tenait une ZAOUIA à Lamtar - zaouia des H'BARAS et était le chef de la confrérie des H'BARAS, cette zaouia exsistait toujours dans la localité de Lamtar ainsi que la confrérie des H'BARAS.
Je suis marié avec une ALGERIENNE et de cette union est issue une fille.
A Lamtar, j'exerçais un commerce d'alimentation générale et je tenais une épicerie dans la cité TOBA, une tierce personne que je connais et je préfère garder son anonymat QUE LE BONDIEU LE PARDONNE exerçait lui aussi un commerce pas trés loin du mien s'est vu son commerce ralentir, alors aurait dans le temps rédigé une lettre anonyme en 1992 qu'il l'avait adressée à la sureté de Daira -POLICE- j'ai été convoqué par la POLICE me demandant de me présenter je leur ai exibé ma carte de séjour et le registre de commerce puis ensuite m'aurait dit que je suis militant dans un PARTI POLITIQUE, je leur ai expliqué qu'il est formellement interdit de militer dans un tel parti du fait que je suis ETRANGER et que la LOI régissant les partis m'interdisait formellement d'adhérer.
La situation politique en ALGERIE était précaire et les policiers m'ont accompagné à la frontière algéro-marocaine pour me refouler en 1992 vers le Maroc, j'ai été refoulé manu militari, ma famille est restée en ALGERIE où elle séjourne actuellement - ensuite j'ai quitté le Maroc et je vis en France, mon coeur est serré et mon foie est brisé et enflammé d'envi de la séparation de ma famille, depuis 1992 je n'ai pas revu ma famille et j'ai été à plusieurs reprises refoulé vers la France m'interdisant de rentrer en ALGERIE.
POUR CONSTRUIRE CA VAUT CHER MAIS POUR DEMOLIR C'EST GRATUIT.
Ma famille est en train de se démolir, ma fille est devenue malade, on lui a privé son PAPA, quant à moi, je suis en train de gravir le calvaire, je suis victime d'injustice et de mépris et je n'ai même pas mérité un procés pour être REFOULE vers le Maroc.
Par ailleurs, je vous signale même que j'ai acquis la nationalité ALGERIENNE par filiation de ma mère et les autorités algériennes m'interdisait de rentrer en ALGERIE.
Mon foie s'arrache et je suis en train de pâtir sans commisération.
Je vous demande de bien vouloir daigner intervenir en ma faveur auprés des autorités concernées en vue de me permettre de m'autoriser à rentrer chez MOI pour voir ma famille, avant je me suis armé de patience alors que maintenant ma patience s'est limitée et je suis en train de m'user.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.
MARSEILLE LE 03 JANVIER 2007
SIGNE EL ALAOUI ABDELLAH
Le temps où je suis en train de rédiger ma tragédie, mes larmes coulaient et irriguaient mon clavier.
Je m'appelle EL ALAOUI Abdellah, je suis né le 30.01.1958 à Lamtar/Wilaya de SIDI BEL ABBES -ALGERIE- fils de: ABDESLEM BENALI (de nationalité marocaine) et de SEBBAHI MERIEM (de nationalité algérienne) je suis à moitié marocain par le père et à moitié algérien par la mère.
J'ai grandi à Lamtar mon village natal, nous sommes tous connus dans ce village car mon père s'est introduit tôt en ALGERIE, mon défunt-père tenait une ZAOUIA à Lamtar - zaouia des H'BARAS et était le chef de la confrérie des H'BARAS, cette zaouia exsistait toujours dans la localité de Lamtar ainsi que la confrérie des H'BARAS.
Je suis marié avec une ALGERIENNE et de cette union est issue une fille.
A Lamtar, j'exerçais un commerce d'alimentation générale et je tenais une épicerie dans la cité TOBA, une tierce personne que je connais et je préfère garder son anonymat QUE LE BONDIEU LE PARDONNE exerçait lui aussi un commerce pas trés loin du mien s'est vu son commerce ralentir, alors aurait dans le temps rédigé une lettre anonyme en 1992 qu'il l'avait adressée à la sureté de Daira -POLICE- j'ai été convoqué par la POLICE me demandant de me présenter je leur ai exibé ma carte de séjour et le registre de commerce puis ensuite m'aurait dit que je suis militant dans un PARTI POLITIQUE, je leur ai expliqué qu'il est formellement interdit de militer dans un tel parti du fait que je suis ETRANGER et que la LOI régissant les partis m'interdisait formellement d'adhérer.
La situation politique en ALGERIE était précaire et les policiers m'ont accompagné à la frontière algéro-marocaine pour me refouler en 1992 vers le Maroc, j'ai été refoulé manu militari, ma famille est restée en ALGERIE où elle séjourne actuellement - ensuite j'ai quitté le Maroc et je vis en France, mon coeur est serré et mon foie est brisé et enflammé d'envi de la séparation de ma famille, depuis 1992 je n'ai pas revu ma famille et j'ai été à plusieurs reprises refoulé vers la France m'interdisant de rentrer en ALGERIE.
POUR CONSTRUIRE CA VAUT CHER MAIS POUR DEMOLIR C'EST GRATUIT.
Ma famille est en train de se démolir, ma fille est devenue malade, on lui a privé son PAPA, quant à moi, je suis en train de gravir le calvaire, je suis victime d'injustice et de mépris et je n'ai même pas mérité un procés pour être REFOULE vers le Maroc.
Par ailleurs, je vous signale même que j'ai acquis la nationalité ALGERIENNE par filiation de ma mère et les autorités algériennes m'interdisait de rentrer en ALGERIE.
Mon foie s'arrache et je suis en train de pâtir sans commisération.
Je vous demande de bien vouloir daigner intervenir en ma faveur auprés des autorités concernées en vue de me permettre de m'autoriser à rentrer chez MOI pour voir ma famille, avant je me suis armé de patience alors que maintenant ma patience s'est limitée et je suis en train de m'user.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.
MARSEILLE LE 03 JANVIER 2007
SIGNE EL ALAOUI ABDELLAH