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Mohamed Abdelaziz défie le roi Mohamed VI

4 participants

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Atavisme

Atavisme

Mohamed Abdelaziz, président de la Rasd, vêtu d’un treillis militaire, s’est montré aussi déterminé, défiant le roi du Maroc, Mohamed VI. Il a, dans son intervention, à l’occasion de la célébration du trente-cinquième anniversaire du Conseil national sahraoui, dimanche, à Ousserd dans les camps des réfugiés sahraouis de Tindouf, affirmé que le peuple sahraoui, soutenu par le Front Polisario ne baisserait jamais les bras «jusqu’à ce que l’Indépendance, et rien d’autre que l’Independence soit arrachée».



Sur un autre registre le secrétaire général du Front Polisario, a assuré en outre que la récente marche de Casablanca est un autre échec qui vient s’ajouter à une liste déjà longue des scandales du régime marocain. «Le gouvernement marocain veut cacher son échec et se laver les mains, en dénonçant la position algérienne. Nous dénonçons les manoeuvres marocaines. Nous sommes solidaires avec l’Algérie et les partis politiques espagnols qui ont condamné l’attaque du camp de la liberté », a-t-il dit. Et d’ajouter dans ce contexte : Nous disons au gouvernement marocain que la Rasd est un choix du peuple sahraoui. Ce qui s’est passé à Gdeim Izik renforce notre conviction et ses prisons nous ne font pas peur.



Nous ne quitterons pas notre pays. Nous préférons vieillir ou mourir s’il le faut dans les prisons que d’aller s’exiler ailleurs que notre patrie. Que le Maroc sache que l’ère du colonialisme est révolue. Que ni ses blindés, ni son armée ni encore moins sa machine répressive ne dissuaderont les Sahraouis à aller de l’avant dans son combat pour la liberté, a encore ajouté le président de la Rasd. À ses dires, le chauvinisme aveugle marocain ne l’emmènerait sans nul doute dans une impasse «où l’issue lui serait difficile de retrouver».



IMPOSSIBLE D’ÉTABLIR UN BILAN EXACT DE LA RÉPRESSION DU CAMP D’EL AYOUN


Abordant les derniers événements de Gdeim Izik, Mohamed Abdelaaziz s’est interrogé sur le sort des 300 000 sahraouis qui n’ont fait, a-t-il remarqué, que revendiquer leurs droits élémentaires. «Dans le Camp de la Liberté, des Sahraouis demandent l’autodétermination et une vie décente. En face, les sbires de Mohamed VI ont usé de tous les moyens militaires dont ils disposent pour réprimer, dans le sang, une contestation pourtant pacifique», a-t-il déploré. Dans ce sillage, sans pour autant préciser le nombre de morts, ainsi que le nombre exact des disparus, le président sahraoui a souligné qu’il est impossible d’avancer un bilan.




«El Ayoun, est sous état de siège, les militaires, gendarmes et autres policiers marocains sont visibles dans le moindre recoin. Les journalistes, au même titre que les observateurs internationaux sont interdits d’accès dans cette ville. De ce fait, il nous est quasiment impossible d’établir un bilan exact, mais ce qui est sûr et même certain c’est que les atrocités ont dépassé le seuil de l’imaginable. Malgré tout cela, malgré tous les maux, les Sahraouis sont sortis vainqueurs. Les Sahraouis sont plus forts et surtout déterminés plus que jamais», a-t-il conclut.



LE FRONT POLISARIO N’EXCLUT PAS LE RECOURS AUX ARMES


Auparavant, le président du Conseil sahraoui en exercice, Khatri Adouh n’a pas exclu le recours aux armes de la part du Front Polisario afin d’arracher son droit à la vie que le Maroc tente de lui confisquer depuis l’invasion du Sahara Occidental en 1975. Il dira à propos que le régime marocain persiste dans son entêtement tournant le dos à la législation internationale. De ce fait, enchaînera-t-il, le recours à la lutte armée semble de plus en plus une nécessité absolue. Quant à la France, éternel appui du régime de Mohamed VI, le président du Conseil national sahraoui s’est dit pas du tout étonné après que cette dernière ait usé de son droit de véto empêchant l’envoi d’une mission d’enquête onusienne à El Ayoun. Selon lui, la France est de tout temps derrière le Maroc à chaque foi qu’il s’agit de commettre des violations à l’encontre des populations sahraouies.




Le président du Conseil sahraoui a également démenti les propos marocains faisant état de retrait de la reconnaissance de la Rasd de la part de quelques nations, saluant au passage la récente décision du Parlement européen condamnant les massacres de Gdeim izik. Dans son intervention,Tayeb Houari, président du Club d’amitié parlementaire algéro-sahraoui, a déclaré : «Notre présence est un geste de solidarité avec nos camarades parlementaires sahraouis et les victimes du camp de la Liberté.» Il a poursuivi en mettant l’accent sur «le travail accompli par le Parlement sahraoui et la place qu’il occupe dans le monde parlementaire africain». Avant d’évoquer « la sauvagerie avec laquelle l’armée marocaine s’en est prise à la population isolée du Camp de la Liberté qui ne demandait que de vivre dignement sur la terre de ses ancêtres».



À noter, en outre, qu’à l’occasion, une marche de solidarité avec les victimes de la barbarie marocaine à Gdeim Izik s’est tenue le jour même. Une marche à laquelle ont pris part tous les membres du Conseil national sahraoui ayant siégé depuis sa création le 28 novembre 1975. Cette manifestation était également une opportunité pour les délégations parlementaires venues notamment du Mexique, du Nigéria, de Cuba et enfin de l’Algérie qui était fortement représentée par une délégation de 25 députés et sénateurs. Les parlementaires étaient unanimes à dénoncer le massacre perpétré le lundi 8 novembre 2010 contre les populations sahraouies dans le Camp de la Liberté.



Farid Houali

directe

directe


Alger empêche le chef du Polisario de visiter son père

Salam,

Les autorités algériennes ont, encore une fois, refusé à Mohamed Abdelaziz de visiter son père actuellement hospitalisé à Rabat.

Le drame de Khalil Mohamed El Bachir Rguibi, père du chef du Polisario, se poursuit. Les autorités algériennes ont, encore une fois, refusé à Mohamed Abdelaziz de visiter son père hospitalisé à Rabat. Depuis des années, l’Algérie continue de faire la sourde oreille aux appels purement humanitaires d’un père âgé d’environ 94 ans, alité par la maladie et qui souhaite rencontrer son fils avant de mourir. La famille de Mohamed El Bachir Rguibi croyait, à tort, qu’il fallait juste convaincre le fils de rencontrer son père, avant de découvrir que le problème se situe au niveau de l’autorisation au préalable d’Alger. Le père de Abdelaziz affirme que la dernière fois qu’il a vu son fils remonte à 1972, lorsqu’il faisait partie des Forces armées royales sur le front, alors que Mohamed Abdelaziz poursuivait ses études à Rabat, l’époque où il avait décidé de rejoindre les rangs des séparatistes.

«Il est pratiquement impossible que l’Algérie permette au chef du Polisario de visiter le Maroc. L’Association le Sahara marocain (ASM) avait lancé, à plusieurs reprises, des initiatives visant à permettre à Mohamed Abdelaziz de rencontrer son père à Paris, mais ça n’a pas marché, sous la pression d’Alger. Ceci confirme, encore une fois, que Abdelaziz n’est qu’une marionnette entre les mains d’Alger. Une marionnette qui ne détient pas le pouvoir de décision et dans cette affaire et dans toutes les questions politiques», souligne Mohamed Taleb, secrétaire général de la Ligue des défenseurs des droits de l’Homme au Sahara, dans une déclaration à ALM.

«Le régime militaire algérien n’est nullement animé par les considérations d’ordre humanitaire. L’Algérie n’a pas la fibre humanitaire pour qu’elle puisse alléger sa position pour permettre au fils et au père de se voir surtout que Khalil Mohamed El Bachir Rguibi est malade et souhaite rencontrer son fils avant de mourir», ajoute-t-il. Khalil Mohamed El Bachir Rguibi qui habitait à Kasbat Tadla se trouve actuellement à l’hôpital à Rabat. A propos d’une éventuelle visite de Mohamed Abdelaziz au Maroc pour rencontrer son père, les observateurs affirment que le Royaume ferait preuve de flexibilité, surtout que cette affaire se rapporte à des considérations humanitaires. «Le Royaume aurait accepté de permettre à Mohamed Abdelaziz de visiter son père malade sans aucun problème, et en lui assurant toutes les garanties de son retour à Tindouf sans aucune contrainte et sans pression de quelque nature que ce soit, car il s’agit avant tout d’une question humanitaire», précise Mustapha Naïmi, professeur universitaire et membre du Corcas.

L’ASM avait lancé, en 2006, à deux reprises une initiative visant à faire rencontrer Mohamed Abdelaziz et son père à Paris, mais en vain. Après plus de trente ans de séparation, le chef du Polisario avait opposé une fin de non-recevoir à cette initiative humanitaire. Dans le cas d’une éventuelle rencontre avec son fils, M. Rguibi avait affirmé : «je l’écouterai et je lui rétorquerai son argumentaire avec des vérités immuables».

slimane

slimane

LE CHEF DU POLISARIO A RABAT ???

çA VAS PAS ???.........A TAZMAMART s'il essaie !!!

ARTICLE DE PROPAGANDE IDIOTE , l'AUTEUR EST INCONSCIENT DE CE QU'il RACONTE ......!!!

C'EST COMME SI M6 VIENDRAIT SE PROMENER à ALGER AUJOURD'HUI !!!!!!!!!!!!!

yaz



.Le 30 août 2010, Moustapha Salma Ould Sidi Mouloud a entrepris son voyage de retour de Smara -à travers la Mauritaine- aux camps de Tindouf (Algérie) ou résident toujours ses 5 enfants et sa femme.
Des responsables du Polisario avertissent sa famille qu'il sera emprisonné à son retour à Tindouf.....

Depuis sa ville refuge de Zouérate, Mauritanie, il lance plusieurs appels à la communauté internationale pour l'aider à retourner à Tindouf......
L'ambassadeur de la RASD à Alger, M. Brahim Ghali, a traité Moustapha Salma Ould Sidi Mouloud de traître....

..Tout est dit à la dernière phrase..!
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