Médias Algériens : on vous a compris !
Tout comme un virus qu’on attrape de ses proches, qu’on incube et multiplie avant de-le ressemer dans son voisinage, une culture, positive ou négative, traverse les générations. Il existe bel et bien des antiviraux pour les virus les plus tenaces, des désherbants pour les mauvaises herbes mais il n’existe aucun remède ni vaccin pour atténuer ou stopper les ignorances dont les voies de transmission sont innombrables. Par ailleurs, tout comme le paysan cultive son champ, le commerçant sa boutique, le pécheur sa barque… le pouvoir apolitique algérien et ses relais médiatiques … cultivent la naïveté de leur peuple pour légitimer leurs crimes et perpétuer leur pouvoir tyrannique.
Un individu issu d’un père et d’une mère analphabètes et illettrés, cas de l’écrasante majorité des intellectuels algériens, quand bien même il serait titulaire d’un doctorat, il n’en demeure pas moins sous influence de la culture de ses père et mère. A ceux d’entre eux qui croient, déclarent et écrivent, en lettres grasses : «Le peuple algérien a les dirigeants qu’il mérite », sachent, si tant est ils aient des capacités de juger, que les dirigeants corrompus algériens ne sont pas issus d’un choix réfléchi de leur peuple mais du hasard de coups d’Etats sanglants. Bâillonné, le peuple algérien est prisonnier d’une culture générale révolue et d’une idéologie de pensée unique imposée par un parti solitaire. Par ailleurs, les flibustiers apolitiques algériens ne sont pas à l’image de leur humble peuple mais à celle d’un mauvais génie inoculé à la société algérien par des experts coloniaux ès lavage des cerveaux.
De tous les misérables médias arabes : audio, vidéo et presse, seule la chaîne de télévision satellitaire qatarie « Al Djazeera » peut-être digne d’intérêt. Ses débats en directs, sans fard, notamment : « Al Itidjah al mou’akès » (sens inverse), animée par l’excellent Faïçal al Qacem, a, de loin, notre suffrage. Parce qu’elle révèle la véritable nature de la culture des intellectuels arabes. S’agissant de valets zélés de pouvoirs tyranniques ou d’opportunistes mollassons, les doctes invités y viennent non pas pour débattre des questions sociétales mais, souvent, pour ne pas dire toujours, exposer, ignominieusement, leurs états d’âme et vociférer des insanités. La plupart de ces invité, pour quelques os à ronger, à l’instar des eunuques de harems de violeurs de bêtes, ils se limitent à vanter la taille et la puissance du sexe de leurs maîtres. Le peuple algérien fuit ses médias comme la peste. Ses toits et balcons sont hérissés d’antennes paraboliques pour capter et s’informer auprès d’autres chaînes de télévision étrangères.
Monsieur Ahmed Amine, auteur égyptien (1878-1954) avait constaté que les connaissances d’un docteur en théologie musulmane se limitent au contenu du Coran et des hadiths (traditions du prophète). Face à une question dont la réponse ne se trouve ni dans l’un ni dans l’autre, le théologien, se trouve démuni, ajoute-il. Baignés dans la culture des analphabètes et des illettrés, formés à l’école de la pensée unique et d’un parti isolé, en dehors de la science qu’ils ont broutée comme des veaux, sauf le respect des animaux, les intellectuels des régimes totalitaires répètent, à l’instar des perroquets, l’idéologie bancale de leurs maîtres analphabètes mais nourriciers. A ce jour, aucun président algérien n’a été élu selon les critères démocratiques occidentaux. Hormis Ferhat Abbes et Benyoucef Ben Khedda, aucun président algérien n’a fait d’étude supérieure.
Les intellectuels du pouvoir algériens sont comme des scarabées. Quand ils sentent le danger ils se couchent sur le dos, les pattes en l’air, et font les morts. A les entendre, l’Algérie serait à la pointe de tous les progrès, républicaine, démocratique, populaire et khorti-khorti (etc.) Jusqu’à 1962, département français, l’Algérie était solidement amarrée à la France , au plus rapide train du progrès universel. Les pseudo intellectuels algériens appellent la rupture de l’amarrage de l’Algérie du train de progrès : « Révolution ». Peut-on faire une révolution avec des humbles fellahs analphabètes et des intellectuels opportunistes, sans foi ni loi ?
Ce matin, j’ai entendu au marché, pour la énième fois, un algérien dire à un autre : « la France voudrait divulguer devant l’opinion internationale comme quoi l’Algérie a commis, elle aussi, des crimes contre l’humanité
Ce texte se veut un hommage appuyé aux intellectuels algériens qui ont osé, en temps opportun, avant que les limites du tolérable ne soient allègrement violées par des politichiens errants dont la cruauté et le mépris du peuple algérien dépassent celle du colonialisme. Désormais, les algériens doivent juger leurs piètres dirigeants et leurs eunuques, hacha li ma iestahlouch, non pas sur leurs beaux discours mais sur leurs hideux actes.
Humble algérien de toutes générations ! Je suis conscient de ton immense misère matérielle et affective et j’en souffre autant que toi. Sache, mon frère, que les chiens de la junte militaire algérienne aboient mais la caravane de la justice passera.
http://aissa.blogs.nouvelobs.com/
Tout comme un virus qu’on attrape de ses proches, qu’on incube et multiplie avant de-le ressemer dans son voisinage, une culture, positive ou négative, traverse les générations. Il existe bel et bien des antiviraux pour les virus les plus tenaces, des désherbants pour les mauvaises herbes mais il n’existe aucun remède ni vaccin pour atténuer ou stopper les ignorances dont les voies de transmission sont innombrables. Par ailleurs, tout comme le paysan cultive son champ, le commerçant sa boutique, le pécheur sa barque… le pouvoir apolitique algérien et ses relais médiatiques … cultivent la naïveté de leur peuple pour légitimer leurs crimes et perpétuer leur pouvoir tyrannique.
Un individu issu d’un père et d’une mère analphabètes et illettrés, cas de l’écrasante majorité des intellectuels algériens, quand bien même il serait titulaire d’un doctorat, il n’en demeure pas moins sous influence de la culture de ses père et mère. A ceux d’entre eux qui croient, déclarent et écrivent, en lettres grasses : «Le peuple algérien a les dirigeants qu’il mérite », sachent, si tant est ils aient des capacités de juger, que les dirigeants corrompus algériens ne sont pas issus d’un choix réfléchi de leur peuple mais du hasard de coups d’Etats sanglants. Bâillonné, le peuple algérien est prisonnier d’une culture générale révolue et d’une idéologie de pensée unique imposée par un parti solitaire. Par ailleurs, les flibustiers apolitiques algériens ne sont pas à l’image de leur humble peuple mais à celle d’un mauvais génie inoculé à la société algérien par des experts coloniaux ès lavage des cerveaux.
De tous les misérables médias arabes : audio, vidéo et presse, seule la chaîne de télévision satellitaire qatarie « Al Djazeera » peut-être digne d’intérêt. Ses débats en directs, sans fard, notamment : « Al Itidjah al mou’akès » (sens inverse), animée par l’excellent Faïçal al Qacem, a, de loin, notre suffrage. Parce qu’elle révèle la véritable nature de la culture des intellectuels arabes. S’agissant de valets zélés de pouvoirs tyranniques ou d’opportunistes mollassons, les doctes invités y viennent non pas pour débattre des questions sociétales mais, souvent, pour ne pas dire toujours, exposer, ignominieusement, leurs états d’âme et vociférer des insanités. La plupart de ces invité, pour quelques os à ronger, à l’instar des eunuques de harems de violeurs de bêtes, ils se limitent à vanter la taille et la puissance du sexe de leurs maîtres. Le peuple algérien fuit ses médias comme la peste. Ses toits et balcons sont hérissés d’antennes paraboliques pour capter et s’informer auprès d’autres chaînes de télévision étrangères.
Monsieur Ahmed Amine, auteur égyptien (1878-1954) avait constaté que les connaissances d’un docteur en théologie musulmane se limitent au contenu du Coran et des hadiths (traditions du prophète). Face à une question dont la réponse ne se trouve ni dans l’un ni dans l’autre, le théologien, se trouve démuni, ajoute-il. Baignés dans la culture des analphabètes et des illettrés, formés à l’école de la pensée unique et d’un parti isolé, en dehors de la science qu’ils ont broutée comme des veaux, sauf le respect des animaux, les intellectuels des régimes totalitaires répètent, à l’instar des perroquets, l’idéologie bancale de leurs maîtres analphabètes mais nourriciers. A ce jour, aucun président algérien n’a été élu selon les critères démocratiques occidentaux. Hormis Ferhat Abbes et Benyoucef Ben Khedda, aucun président algérien n’a fait d’étude supérieure.
Les intellectuels du pouvoir algériens sont comme des scarabées. Quand ils sentent le danger ils se couchent sur le dos, les pattes en l’air, et font les morts. A les entendre, l’Algérie serait à la pointe de tous les progrès, républicaine, démocratique, populaire et khorti-khorti (etc.) Jusqu’à 1962, département français, l’Algérie était solidement amarrée à la France , au plus rapide train du progrès universel. Les pseudo intellectuels algériens appellent la rupture de l’amarrage de l’Algérie du train de progrès : « Révolution ». Peut-on faire une révolution avec des humbles fellahs analphabètes et des intellectuels opportunistes, sans foi ni loi ?
Ce matin, j’ai entendu au marché, pour la énième fois, un algérien dire à un autre : « la France voudrait divulguer devant l’opinion internationale comme quoi l’Algérie a commis, elle aussi, des crimes contre l’humanité
Ce texte se veut un hommage appuyé aux intellectuels algériens qui ont osé, en temps opportun, avant que les limites du tolérable ne soient allègrement violées par des politichiens errants dont la cruauté et le mépris du peuple algérien dépassent celle du colonialisme. Désormais, les algériens doivent juger leurs piètres dirigeants et leurs eunuques, hacha li ma iestahlouch, non pas sur leurs beaux discours mais sur leurs hideux actes.
Humble algérien de toutes générations ! Je suis conscient de ton immense misère matérielle et affective et j’en souffre autant que toi. Sache, mon frère, que les chiens de la junte militaire algérienne aboient mais la caravane de la justice passera.
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