Algérie-Maroc


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Algérie-Maroc
Algérie-Maroc
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Algérie-Maroc

Forum de discussion entre Maghrébins, expulsés marocains d'algerie,algerie-maroc


-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

SOUDAN • Omar El-Béchir peut dormir en paix

3 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

admin"SNP1975"

admin
Admin

SOUDAN • Omar El-Béchir peut dormir en paix
SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur
La Cour pénale internationale souhaite juger le dirigeant soudanais pour “crimes contre l’humanité” commis au Darfour. Mais cela n’est pas près de se faire, estime l’hebdomadaire burkinabé San Finna.
SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur







SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix I87748ElBéchirSOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur
SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix EspaceurSOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur
Omar El-Béchir
DR
SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur
SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix EspaceurSOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur
Dès le lundi 14 juillet 2008, le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, a fait savoir qu’il avait réuni un ensemble d’éléments probants lui permettant de demander à la chambre préliminaire de la CPI de lancer des poursuites contre un certain nombre de dirigeants soudanais, dont le président Omar El-Béchir en personne : ce dernier court le risque de voir délivrer à son encontre un mandat d’arrêt international pour “crimes contre l’humanité et génocide”. Si la demande de la CPI aboutissait, le président du Soudan serait le troisième président à tomber dans les griffes de cette institution, après Slobodan Milosevic – inculpé en mai 1999 par le Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie – et Charles Taylor [ex-dirigeant du Liberia], poursuivi en 2003 par le Tribunal pénal spécial pour les crimes commis en Sierra Leone. Mais ce n’est pas demain la veille que se tiendra ce procès.

Du côté de Richard Dicker, directeur du département de la justice internationale au sein de Human Rights Watch, l’atmosphère est à l’exaltation. Il considère qu’il s’agit d’un “pas significatif contre l’impunité au Darfour… et [que] personne n’est au-dessus de la loi, pas même un président”. Mais, aux yeux de beaucoup d’autres, il s’agit d’une grande catastrophe. Que la Ligue arabe, convoquée à la demande du président soudanais, condamne toute inculpation des responsables soudanais, cela n’étonnera personne. Mais que l’on fasse également grise mine au sein des Nations unies, voilà qui ressemble à la fin des haricots ! C’est que la peur s’est généralisée. Ce ne sont plus seulement les Chinois et les Russes qui en sont à défendre le Soudanais et à tout faire pour éviter que sa colère se déchaîne ; ce sont les hommes de la Mission conjointe de l’ONU et de l’Union africaine au Darfour (MINUAD) qui ont la trouille : ils stockent de l’eau, des vivres, du carburant et s’apprêtent à mettre un terme à leurs patrouilles ; ce sont les ambassades occidentales à Khartoum qui, sur leurs gardes, multiplient les conseils à leurs ressortissants : “Faites-vous discrets, n’émettez aucun avis sur la situation…”

Comment réagiront tous ceux qui se sont mobilisés pour le Darfour, partenaires techniques et financiers, ONG, acteurs, chanteurs, philosophes, journalistes du monde entier ? Le défi qui est lancé ici les concerne tous autant que les pauvres victimes des [milices] janjawid et du régime autoritaire de Khartoum.

A la décharge du pouvoir soudanais, il faut tout de même rappeler que Khartoum n’a pas ratifié le traité constitutif de la CPI, tout comme les Etats-Unis, qui ne se sentent donc pas liés par la juridiction internationale. Ce qui vaut pour les Etats-Unis devrait valoir pour le Soudan. A moins que la procédure projetée ne s’appuie sur d’autres dispositions, il y a donc des chances que la chambre préliminaire de la Cour pénale ait des difficultés à inculper El-Béchir et à délivrer un mandat d’arrêt contre lui ! On verra bien à quelle sauce sera concoctée cette procédure qui, à peine initiée, fait déjà un tel raffut dans le monde entier…
SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur

San Finna
SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Espaceur

http://www.marocainsdalgerie.net

yacoub

yacoub

Les Nations unies commencent à évacuer du personnel du Darfour
SOUDAN - 15 juillet 2008 - par AFP


Les Nations unies ont commencé mardi à évacuer du personnel non essentiel du Darfour alors que des islamistes manifestaient à Khartoum en soutien au président Omar el-Béchir accusé de graves crimes devant la Cour pénale internationale.

"Le processus de redéploiement est en cours", a déclaré un responsable de l'ONU à l'AFP sous couvert de l'anonymat, au lendemain de l'appel du procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, à lancer un mandat d'arrêt contre le président soudanais qu'il a accusé de génocide, crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour, une province en guerre civile depuis 2003.

La force conjointe ONU-Union africaine au Darfour (Minuad) a annoncé qu'elle transférerait en Ethiopie ou en Ouganda du personnel non essentiel malgré les assurances des autorités soudanaises de faire leur possible pour protéger soldats et travailleurs humanitaires.

Un premier contingent de 32 personnes a quitté Nyala, la capitale du Sud Darfour, pour Entebbe en Ouganda, a indiqué Josephine Guerrero, porte-parole de la Minuad.

A Al-Facher, capitale du Darfour du Nord, 51 autres personnes n'ont pu être évacuées mardi pour des "raison techniques" et doivent partir mercredi, selon cette porte-parole.

Des responsables soudanais et occidentaux ont prédit que la démarche de la CPI, considérée par beaucoup au Soudan comme une atteinte à la souveraineté nationale, pouvait provoquer des représailles contre les ambassades occidentales et les missions de paix de l'ONU au Darfour et dans le sud du pays.

L'ONU a cependant assuré que ses missions n'étaient pas remises en cause.

"Nous nous sommes engagés à remplir nos obligations de maintien de la paix au Soudan ainsi que nos mandats et nos tâches. Nous voulons aussi faire remarquer que la sécurité du personnel de l'ONU, du personnel international et des ONG est primordiale", a déclaré Brian Kelly, porte-parole de l'ONU.

"Il ne s'agit pas d'une évacuation. Nous allons redéployer du personnel non essentiel de manière temporaire", avait assuré Joséphine Guerrero avant les premiers départs.

Le Soudan a critiqué ces départs.

"C'est très malencontreux. Ils y procèdent malgré nos assurances répétées de leur offrir une protection, de leur permettre de faire leur travail quotidien", a dit le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ali al-Sadiq.

La Minuad a lié ces retraits à l'embuscade de mardi de la semaine dernière où huit soldats ont été tués et une vingtaine blessés par des miliciens.

En visite à Berlin, le chef de l'ONU Ban Ki-moon a appelé mardi le gouvernement soudanais à pleinement coopérer avec les Nations unies et à protéger les quelque 16.000 travailleurs humanitaires internationaux actuellement au Soudan.

Par ailleurs, les protestations à l'appel du pouvoir dans la capitale soudanaise n'avaient mobilisé que quelques centaines de partisans du président Béchir en milieu de journée.

Un groupe mené par un mouvement d'étudiants islamistes a marché de l'université de Khartoum jusqu'aux bureaux du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et l'ambassade de Grande-Bretagne en criant: "Nous sommes l'armée de Mahomet (le Prophète) et nous protégerons notre président avec notre sang".

Près de 400 membres de tribus membres du Congrès national, le parti gouvernemental, ont organisé une autre manifestation devant le palais présidentiel.

La mise en cause du chef de l'Etat soudanais est la première par la CPI d'un président en exercice pour génocide et crimes contre l'humanité.

Le Soudan a immédiatement rejeté les accusations et menacé d'une "réaction" si l'affaire était portée devant les Nations unies.

Khartoum ne reconnaît pas la CPI et refuse déjà de livrer deux autres responsables, dont un ministre, sous le coup de mandats d'arrêt pour crimes présumés au Darfour.

Le conflit a fait plus de 300.000 morts, selon l'ONU, 10.000 morts selon Khartoum. M. Moreno-Ocampo établit à 118.000 le nombre de morts des suites de déplacements et à 35.000 celui de civils tués dans des affrontements.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Mandat d’arrêt contre le président soudanais : l’Algérie appelle à s’opposer à la Cour Pénale Internationale
Par hayet zitouni le 19/07/2008 à 19:09



L'Algérie a appelé aujourd’hui les pays arabes à saisir le Conseil de sécurité des Nations Unies pour s'opposer à la Cour Pénale Internationale (CPI) qui a lancé un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar Hassan al-Bashir. Le procureur de la cour criminelle Luis Moreno-Ocampo a lancé la semaine dernière un mandat contre Bashir le soupçonnant d'être l'inspirateur de crimes contre l'humanité au Darfour.

« Ce que le procureur de la cour a fait est un dangereux précédent », a déclaré Mourad Medelci, le ministre des Affaires étrangères demandant à ses partenaires arabes de réunir une réunion d'urgence au Caire pour discuter de l'action de la Cour contre Bashir. « Nous devons prendre une position forte en solidarité avec nos frères au Soudan et réunir les organisations régionales et internationales ainsi que les Etats du Conseil de sécurité pour reconsidérer la position du procureur », a insisté le ministre des Affaires étrangères.

Il a souligné que la demande du procureur de la CPI avait un "caractère politique qui consacre la thèse de l'ingérence dans les affaires internes des Etats sous prétexte de la protection des droits de l'Homme, même si cela se fait au détriment d'un Etat souverain dirigé par un président légitime". La demande du procureur de la CPI "compliquera sans nul doute la situation et entravera les efforts en faveur de la paix au Darfour", province de l'ouest
du Soudan en proie à la guerre civile, a-t-il dit. Cette demande "nous interpelle sur ses motifs, ses dimensions et ses retombées sur l'intégrité, la sécurité et la souveraineté du Soudan", a-t-il ajouté.

Le Soudan a demandé à la Chine et à la Russie ainsi qu'à la Ligue arabe d'obtenir une résolution des Nations Unies pour suspendre le mandat contre Bashir pendant douze mois.

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

à qui le tour?
Moi j'anticipe sur Bouteflika (le pére de la déflagration).
Il sera accuser de crime contre l'Humanité pour avoir déporté un pan de la société algérienne d'origine marocaine.

Ah le koulougli est né à Oujda.
Nous on n'est nés en Algerie.
TAHIA EL DJAZAIR

http://www.marocainsdalgerie.net

Invité


Invité

Le prochain candidat au TPI sera le makhzen fossoyeur marocain et a travers lui le roi mecréant Hassan II....mais il est chez le bon dieu en train de bien griller pour tout le mal qu'il a fait à El Qods, la palestine et au sahara, et a l'algerie

Invité


Invité

Vous n'êtes pas algeriens et vous ne le serez jamais....vous êtes des suppôts du Makhzen marocain....POINT BARRE

Restez bien chez vous au chaud dans votre pays "le maroc"...vous y êtes bien heureux et oubliez le pays qui s'appelle l'Algérie.

yacoub

yacoub

Mon nom est Simon Deng, chrétien, ancien esclave au Soudan, victime du djihad


dimanche 20 juillet 2008, par Annie Lessard, Marc Lebuis


SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Simon_deng-a4aec« À 9 ans, j’ai été enlevé et donné en esclavage à une famille arabe. Mon peuple a été soumis au meurtre de masse, à l’esclavage, au viol systématique, à la persécution religieuse, à la famine imposée, à la dislocation, à l’exil. Nous sommes les victimes de ce que Khartoum a appelé « une guerre sainte contre les infidèles ». Combien de temps le monde laissera les « infidèles » être abattus et asservis au nom du djihad ? Combien de temps le monde se taira pour ne pas offenser les meurtriers et les défenseurs de l’esclavage ? »

Ancien esclave, Simon Deng du Sud Soudan a réussi à s’échapper et a abouti aux États Unis où il a reçu l’asile politique. Activiste des droits humains, il donne des conférences à travers le monde sur la situation au Soudan, où des Noirs chrétiens et animistes sont victimes d’esclavage et d’islamisation forcée.

Aujourd’hui, l’Algérie a appelé les pays arabes à saisir le Conseil de sécurité des Nations Unies pour s’opposer à la Cour Pénale Internationale qui a lancé un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar Hassan al-Bashir la semaine dernière pour répondre à des accusations de crimes contre l’humanité.

En 2006, Simon Deng a fait une présentation à un colloque organisé par une ONG sur les victimes du djihad.

SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix DeathDealers-X-2fb88

L’esclavage n’appartient pas au passé..., blog Ketibi, le 14 janvier 2006

Le 18 avril 2006, alors que la Commission des droits de l’Homme de l’ONU s’apprêtait une fois de plus à rejeter une résolution condamnant les actions au Soudan sur pressions des pays islamiques, trois ONG organisaient un colloque en marge de la commission sur les « victimes du djihad ».

Devant une salle émue aux larmes, Simon Deng a raconté comment il avait été réduit en esclavage - parce que noir et chrétien - par le régime arabe islamiste de Khartoum :

Mon nom est Simon Aban Deng. Je suis soudanais, shiluk de par la tribu, chrétien de par la religion. Mon peuple a été soumis au meurtre de masse, à l’esclavage, au viol systématique, à la persécution religieuse, à la famine imposée, à la dislocation, à l’exil. Nous sommes victimes d’un génocide, physique et culturel. Nous avons été annihilés en tant qu’êtres humains parce que appartenant à une culture différente. Tout cela ne nous est pas tombé dessus par hasard : nous avons été et restons les victimes du régime djihadiste de Khartoum.

Durant les deux génocides commis par les islamistes, nos pertes ont été énormes. De 1955 à l’indépendance de 1973, 1,5 million de Soudanais chrétiens ont été éliminés par le gouvernement pro-arabe de Khartoum. De 1983 jusqu’au récent traité de paix, 2 millions d’êtres humains du Sud-Soudan ont perdu la vie dans ce que le régime de Khartoum a appelé « une guerre sainte contre les infidèles ». Oui, je suis un infidèle selon leur définition. Je pense que bon nombre d’entre vous le sont aussi. Nous, les Noirs « infidèles » du Sud, chrétiens et autres non-musulmans, nous avons refusé d’obéir aux lois islamiques, nous avons refusé d’être arabisés.
J’ai été enlevé et donné à une famille arabe comme « cadeau »



Pour cette raison, mesdames et messieurs, j’ai été une victime de l’esclavage arabe au Soudan. A neuf ans, mon village a été pillé par les troupes arabes payées par Khartoum. Alors que je courais me réfugier dans la savane pour échapper au massacre, j’ai vu mes amis d’enfance se faire abattre. Les vieux et les malades étaient brûlés vifs dans leur hutte. Les troupes arabes ont fini par me trouver. J’ai été enlevé et donné à une famille arabe comme « cadeau ». Quand vous me regardez, mesdames et messieurs, voyez-vous un cadeau ? Est ce que je ressemble à un objet ou à un produit ?

Maintenant, c’est au tour du Darfour.

J’ai été un enfant esclave pendant plusieurs années. J’ai été battu à maintes reprises pour un oui ou pour un non. Parfois même par caprice des enfants de mon « maître ». Je travaillais durement et j’ai dû subir de nombreuses humiliations. Alors que j’avais été un enfant adoré dans ma famille, j’ai dû m’habituer à dormir avec les animaux et à nettoyer la terre où je dormais. Je ne mangeais que les restes dans les plats de mon « maître ». Je me levais le premier et me couchais le dernier, après avoir accompli toutes les tâches domestiques. La vie d’un esclave est comme l’enfer, mais il n’y a aucune honte à avoir été un esclave : ce n’est pas un choix. Celui qui devrait avoir honte, c’est celui qui s’est proclamé le « maître ». Si quelqu’un doit ressentir de la honte, ce sont les intégristes musulmans du régime de Khartoum et leurs alliés dans le monde musulman. Il est important de ne jamais oublier que les chrétiens africains du Soudan méridional sont victimes de l’islamisme. La guerre contre nous a été et reste conduite au nom du djihad.

Il y a 2 ou 3 millions de réfugiés du Sud-Soudan. Ils sont traités comme des chiens. Ils ne sont pas même considérés comme des citoyens, parce qu’au Soudan la citoyenneté est basée sur la religion et que seuls les musulmans y ont droit. Les Africains « infidèles » de cette nation ne sont pas considérés comme étant de pleins citoyens, bien que presque 90 % de la population soit noire.

C’est le grand défi des djihadistes de Khartoum : Arabes et Soudanais, ils ont voulu imposer une culture arabe dans un pays majoritairement peuplé de Noirs. Ils ont effectué leur travail avec une grande efficacité grâce aux armes fournies par leurs amis dans le monde arabe. Quand ils commettaient leur génocide contre nous dans le Sud, le monde a simplement regardé ailleurs. Quand des millions de Noirs africains étaient abattus et des centaines de milliers d’enfants soudanais étaient asservis, le monde était indifférent. Même l’ONU a tourné le dos. Maintenant, c’est au tour du Darfour. Certains observent, mais la plupart sont habitués à ne plus regarder...
Combien de temps le monde laissera les « infidèles » être abattus et asservis au nom du djihad ?



Mesdames et messieurs, je pose cette question en tant que victime de l’esclavage au Soudan : combien de temps le meurtre, l’esclavage, la persécution religieuse, le viol systématique, la famine imposée et « le nettoyage ethnique et religieux » vont-ils continuer ? Quand ceux qui ont le pouvoir d’agir et d’arrêter ces crimes vont-ils le faire ?

Je le demande pour mes compagnons chrétiens et animistes du Sud Soudan. Ma voix est leur voix. Combien de temps le monde laissera les « infidèles » être abattus et asservis au nom du djihad ? Combien de temps le monde se taira pour ne pas offenser les meurtriers et les défenseurs de l’esclavage ?

becharelkhir

becharelkhir

lurchar21 a écrit:

Evitez
de repondre a cette putaine qui n'a pas etait satisfaite apres s'etre
fait nique'. Elle ne parle pas par sa bouche ,mais par son takhna.
Cette Sahraouia polisarienne parait qu'elle souffre d'une maladie de la vache folle. Elle ne rate pas un seul topic.

Pour moi c'est promis,et je m'en chargerai de porter ta suggestion partout où il se hasardera
Et avec lui son frère la nana ja3cob

yacoub

yacoub

SOUDAN •  Omar El-Béchir peut dormir en paix Sudan_genocide_genocide_in_sudan_1

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum