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L'origine de Boualem et Jilani

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1L'origine de Boualem et Jilani Empty L'origine de Boualem et Jilani Ven 26 Sep - 21:39

admin"SNP1975"

admin
Admin

L'origine du prénom Boualem

Ben Mchich Alami (عبد السلام بن مشيش العلمي) est un saint soufi, originaire de la région de Beni Aross dans la region du "jbel" au Sud de Tanger. Du XIIIe siècle jusqu'au XIVe siècle, le saint homme se retira a jabal La'lam où est situé actuellement son mausolée.

Au début de chaque juillet de chaque année les chorfas Alamiyine commencent à célébrer le moussem de ce saint connu pour être le sultan des Jbala, le protecteur de la vallée.

Il fut aussi l'initiateur de Abou Hassan al-Chadhili au soufisme.

Moulay Abdeslam ben Mchich Alami est d'une auguste descendance puisque c'est un Idrisside, descendant de Al Hassan.

Sommaire [masquer]
1 Al-Huwwât, Rawda, 602
2 Etude d’Ibn Mashîsh
3 L'assassinat d'Ibn Mashîsh
4 Notes et références
5 Sources
5.1 Sites Externes
5.2 Livres et articles



Al-Huwwât, Rawda, 602 [modifier]
"Le raisonnable ne se laisse pas entraîner par sa plume, car les mots n'expriment pas toujours ce qui habite les coeurs, d'autant plus que le sujet est glissant , et que ce qui est de l'ordre de la tradition n'appelle pas l'interprétation. Il y a eu parmi ses descendants et ceux de ses frères et oncles un nombre incalculable de savants confirmés qui se sont arrêtés aux limites de ce qui a été rapporté à son sujet, et ils n'ont consigné que ce qui revient à sa généalogie, à sa voie, à ses vestiges au Alam, à sa tombe, aux circonstances de son assassinat, au désaccord sur la date de sa mort, et à ce qui a été rapporté par ceux qui ont fait connaître son disciple, le pôle Abû-l-Hasan al-Shâdili, concernant ses conseils et ses dires. Quant à sa prière authentifiée et connue dans toutes les régions du monde, la beauté de sa rhétorique frise l'inimitable, et tous ceux qui la récitent témoignent de ses effets bienfaisants."


Etude d’Ibn Mashîsh [modifier]
Nous connaissons peu de chose sur les enseignements qu’il a suivi, nous ne trouvons que de rares indications éparses dans les notes biographiques.

Al-Lhîouî dans Hisn al-salâm dit : « Quand Moulay Abdeslam est arrivé à l’âge d’apprendre, son père notre seigneur mashîsh le fit entrer dans une école coranique. A l’âge de 12 ans, il a déjà appris le Coran dans sept versions phonétiques auprès –dit-on– du saint vertueux Sidi Salim enterré dans la tribu Bani Yûsuf. On rapporte également que parmi ses maîtres en matière de sciences religieuses, figure le vertueux faqih al-haj Ahmad sit Aqatrân enterré à proximité du village Aburj dans la tribu des Akhmâs, non loin de Bab Taza. Il a reçu de lui les sciences juridiques selon la mudawwana, vulgate de ladoctrine malikite ». Il a eu trois autres maîtres dans l’apprentissage du Coran, son frère al-haj Mûsa al Ridâ, le cheikh Muhammad ibn Ali al-Misbahi et al-Hasan al-Dawâlî enterré à la grande mosquée de Ouezzane. Quant à son initition spirituelle, elle fut l’œuvre de Abd al-Rahman al-Madanî al-Hassanî surnommé al-Zayyât.


L'assassinat d'Ibn Mashîsh [modifier]
C'est pendant la décadence almohade, Ibn Abî al-Taouâjin était le gouverneur du sultan Yahya al-Mutasim, s'est déclaré prophète et a vu en Abdeslam un ennemi et dans son activisme un sérieux obstacle à ses projets. Selon Ibn Zâkûr:"La raison qui a fait d'Ibn Abî al-Taouâjin l'ennemi du pôle est qu'il a imaginé à travers sa sorcellerie et sa fausse prophétie que celui qui le tuerait est un saint. Il pensa donc à Sidi Abdeslam car il n'y avait en son temps et en cette contréé personne qui soit qualifié de saint comme lui, d'autant plus que la distance entre eux était courte...". Il a été assassiné un peu au dessus de la source où il avait l'habitude de faire ses ablutions. Le mausole de moulay abdessalam est au Mont Alem[1].



Dernière édition par Admin le Ven 26 Sep - 21:44, édité 1 fois

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admin"SNP1975"

admin
Admin

L'origine du saint soufi qu'on appelle à l'ouest algerien Jilali.

« Puisque tu possèdes la lumière de la jurisprudence et du Coran, tu peux maintenant prêcher au peuple. N’hésite plus sur aucun point ! Monte en chaire. Je vois en toi une souche qui va devenir un superbe palmier. »

Il retrouva donc Bagdad où il commença à prêcher sous les murs de la capitale. Il acquit rapidement la réputation d’un très grand savant, spécialiste du droit hanbalite, doublé d’un éducateur dans la voie soufie connu pour son ascétisme.

Le nombre de ces auditeurs augmenta en nombre tant et si bien qu'il dû se déplacer vers la place publique, puis de là, à l'intérieur des murs, quand la nuit venue, à la lueur des torches des lanternes, le peuple avide de sa parole venait encore près de lui pour l’écouter. Un jour vint où l'assistance se fit si nombreuse qu’il du se mettre en quête d'un plus vaste espace. Alors il installa sa chair sur une grande esplanade qui se trouvait hors la ville.

À cet orateur de carrefour et de plein air, le monde universitaire de Bagdad avait tout d'abord témoigné une sceptique et dédaigneuse indifférence. Puis, il fut curieux et amusé et enfin profondément intrigué en même temps qu’anxieux de découvrir le secret de son succès que démontrait l'enthousiasme populaire. Il convenait donc de démasquer sans tarder ce faux prédicateur et de prouver ces roublardises et son ignorance.

Une délégation d'une centaine de savants parmi les jurisconsultes et théologiens distingués de Bagdad vint interroger ou plutôt faire subir un examen à Abdel Qadir. Celui-ci les reçut tous avec la plus grande courtoisie et bienveillance. Mais au moment où ces messieurs durent « engager le fer », personne ne parvint à dire le moindre mot. Le silence se prolongea, impressionnant et écrasant sans qu’aucun de ces hommes essaye de l’interrompre. Leur cerveau tout rempli de cette science sur lequel ils se reposaient pour confondre leur hôte leur fit l’effet d’un sombre chaos, et leurs langues paralysées les laissèrent muet.

Puis, une fois l'émotion dissipée Abdel Qadir leur adressa la parole avec douceur et donna à chacun l'explication théologique et juridique précise qu’ils attendaient sans avoir pu le formuler. Les savants Bagdadiens furent évidemment très surpris et bientôt totalement admiratifs. Faisant amende honorable il n’eurent plus qu’à se retirer.

À la suite de cet événement, et de bien d'autres encore, le peuple décida d'acheter toutes les habitations privées voisines d'une école juridique. On construisit sur leurs emplacements une magnifique école en même temps qu’un couvent (Zaouïa) pour ces adeptes. Sa construction fut terminée en 1121 et à partir de cette date, Abdel Qadir enseigna à l'école et prêcha au Ribat. De nombreuses personnalités assistaient à ses sermons, et les califes ne manquaient pas non plus de lui rendre visite et de lui témoigner leur respect. Et ce malgré le peu de crédit qu’Abdel Qadir accordait aux hommes du pouvoir. Dans cette école, chaque année, 3000 étudiants étaient admis et succédaient aux 3000 élèves précédents ; et c'était Abdel Qadir lui-même qui les instruisait. Durant quarante années que durera ses cours, il enseignera donc à plus de 120 000 personnes.


Hauts-faits et posterité [modifier]
Juriste scrupuleux en même temps que guide spirituel réputé, Abdel Qadir al-Jilani indique des règles à tout ses disciples notamment dans son ouvrage : Al-Ghunyia li-talibi Tariq al-Haqq. Son enseignement est dans la lignée de ces grands prédécesseurs :

Junayd (mort en 911) pour la synthèse et l’explicitation de la mystique des premiers siècles et Ghazali qui, englobant toutes les sciences religieuses exotériques et ésotériques, les réoriente définitivement vers la Tradition musulmane et l’idéal comportementale du Prophète.

‘Abd’l Qadir s’attacha donc tout d’abord au Coran et à la Sunna avant d’authentifier ou de réfuter les diverses pratiques soufies ou les spéculations théologiques de son temps. En ce sens il maintint le dévoilement spirituel comme mode de connaissance suprême tout en enracinant ses disciples dans le respect de la loi et des réalités socio-économiques ce qui eu pour effet d’harmoniser le soufisme avec la société et notamment les différents cercles jusqu’ici marginalisés. La mystique dépassa grâce à lui le cadre restreint des retraites spirituelles et devint accessible à la majorité des musulmans.

Dans un de ses sermons, Abdel Qadir traita des différentes étapes de la vie mystique et des états qu'elles permettaient. Il expliqua d’ailleurs à ces adeptes à quel degré était parvenu Mansour al-Hallaj (m. en 922). Pour une suite de paroles et d’agissements incompris sur l'état d'union avec Dieu (Fana’), les fanatiques orthodoxes ne lui laissèrent pas le temps de franchir cette étape et se crurent autorisée à le martyriser jusqu'à la mort. Et cela malgré ses nombreux adeptes et amis. Aucun ne s'étaient portés à son secours soit pour expliquer son cas, soit pour le sauver. Abdel Qadir avait rajouté à ses réflexions plus qu'une déclaration, une véritable promesse :

« Si un de mes amis est exposé un danger : Je le sauverais. Que je sois présent en ce monde ou présent dans l'autre monde car mon cheval est sellé; ma lance est à ma portée; mon glaive est dans son fourreau, mon arc tendu pour la défense de mes compagnons et de mes amis ! Tandis que peut-être, ils ne le savent même pas !… ”

Son surnom de Muhyiddine est très répandu. C'est par ce nom que le peuple aimait à désigner Abd'l Qadir. Voici dans quelles circonstances il lui fut attribué la première fois.

C'était un vendredi de l'année 1117. De retour d'un court voyage, Abdel Qadir cheminait pieds nues sur la route de Bagdad, lorsqu'il aperçut, étendu sur le chemin, un homme, dans un état de faiblesse tel, qu’il semblait sur le point de rendre l’âme. Lorsque Abdel Qadir se trouva assez près de lui, l'homme lui adressa un salut et lui fit signe d'approcher, car il était sans force pour lui parler. Notre voyageur se penche pour entendre ce qu'on peut avoir lui dire. C'est alors qu'une étrange transformation s'opère. Le moribond semble récupérer des forces, à mesure que le saint s'approche et demeure près de lui. Il se soulève, ces regards reprennent de l'éclat, et les couleurs de la vie réapparaissent sur ses joues et sur ses lèvres ; sa respiration n'est plus oppressée ; il reprend toutes les apparences de la santé, enfin il se lève, détend ses membres, qui ne sont plus raidis par les approches de la mort, mais pleins de force et de vigueur. Lui adressant alors la parole, cet homme lui dit :

« Ne m’as-tu pas reconnu ?… » Sur la réponse négative d’Abdel Qadir, il reprit : « Je suis la religion. Inerte, paralysées, expirante, je serais demeuré telles, si dans sa bonté Dieu ne t'avais créé pour me porter secours : tu es mon Muhyiddine ! (Le vivificateur de la religion). Tel sera tout nom. »

Et sur ses paroles, il prit congé d’Abdel Qadir. Comme nous l'avons dit, c'était un vendredi et Abdel Qadir devait presser le pas pour se trouver à temps à la mosquée. Une fois arrivée, il fit la prière mais lorsqu'il se releva ceux qui était présent l'entourèrent lui embrassant les mains avec une respectueuse affection et le nommèrent Muhyiddine, comme l'avait annoncé l’étrange messager, rencontré peu avant sur la route de Bagdad.

Parmi les autres surnoms attribués à Abdel Qadir, il en était un qui dit-on le rendit encore plus célèbre dans les cieux que sur la terre. Là, dans le monde céleste, et d'après les anciens, il est connu sous le surnom de « Baz el Ech’Ab », le faucon gris des cieux. Ce surnom, qui vient en tête des titres d’honneur du saint ne doit pas uniquement son origine à l'élogieuse observation des grands du passé ; il provient également d'un fait prodigieux qui survint bien avant la naissance d’Abdel Qadir. Voici son histoire :

La mère d’Abdel Qadir, Fatima, portait au visage la cicatrice d'une ancienne blessure qu'il l’a marquait déjà depuis bien avant son union avec Abou Salih Djenghi Dost, le père d’Abdel Qadir.

C'est peu avant son départ de Niff pour Bagdad qu’Abdel Qadir et sa mère eurent une curieuse conversation, au cours de laquelle, il eut l’idée de l'interroger sur l'origine de son ancienne blessure. À ses questions, sa mère répondit :

« Mon fils, cesse de me questionner sur ce sujet. Cette histoire est un secret que je désire ne pas te confier. -- Ô mère ! Je n'ignore rien de ce qui arriva en cette circonstance. -- Et comment pourrais-tu savoir ?… Il n’y avait alors personne de présent, et je n'en ai parlé à personne ?… Ne réveille pas en moins tristes souvenirs. -- Ô mère! Tu étais alors une toute jeune fille. Seule tu étais allé puiser l'eau pure d'une source, que dans ta famille on aimait à boire. Séduit par ta juvénile beauté, un misérable voulu profiter de ta faiblesse, tu fus en butte à ces violences, dés qu’il te vit t’éloigner dans ce lieu désert. -- en vérité, cela s'est passé ainsi, confessa Fatima étonnée. -- en ce lieu solitaire, personne ne pouvait ni entendre tes cris, ni répondre à tes appels. Trop faible pour te défendre, tu allais voir triompher ton agresseur. -- ô mon fils ! Que je suis confuse de t'entendre évoquer cette scène odieuse, où je pensais mourir de terreur et d’angoisse ! -- Tes larmes coulaient abondantes. En vain, tu suppliais cette brute infâme ! Dans cette lutte inégale, sentant tes forces abandonner, d'un geste inspiré, tu supplias le ciel. À ce moment, Ô mère ! N’as-tu pas imploré l’aide de notre glorieux Prophète Muhammad ?… Mais ce misérable insensé, n'en fut pas plus touché que de tes larmes. Il portait dans ses bras ton corps épuisés par cette lutte, car tu perdis connaissance. -- oui, j'ignore tout ce qui s'est passé, après que j’eu aperçus un grand oiseau qui semblait nous considérer. -- laisse-moi, aujourd'hui te le dire. Ton agresseur se croyait déjà sûre de sa victoire, lorsque du ciel fondit sur lui un faucon gris, qui lui arracha les deux yeux, en punition de sa conduite infâme et qui lui fit lâcher prise. Rougissant de douleur, épouvanté, il s'enfuit !… Toi, près de la source, où ton amphore s'était brisée, tu gisais évanouie. Pour t'arracher à cet épanouissement, le faucon gris effleura ta joue de sa griffe, et tu gardes depuis ce jour, la marque de la céleste protection à laquelle tu dus ton salut. Ô mère ! Efface de ton cœur ce triste souvenir, puisque Dieu t’a secouru à temps et ta vengé. -- mais toi, mon fils, comment peux tu me parler d'un fait aussi étrange, enseveli dans le passé, bien avant ta naissance ? Qui avait pu ton instruire ? J'étais alors, je te l'ai dit, une toute jeune fille, presque une enfant et personne n'a jamais rien su de ce qui m'arriva ? -- Mère ! Par Dieu est toute puissance ! Et par sa grâce, le faucon gris c’était moi ! »

Ce n'est que vers les toutes dernières années de sa vie qu'Abdel Qadir ressentit les atteintes de l'âge, et se vit contraint de restreindre l'ardente activité à laquelle il était accoutumé. Alors dans ces moments de lassitude, le grand saint exprima le souhait d' « une mort à laquelle ne serait pas soumise la vie, et d'une vie à laquelle ne serait plus nécessaire la mort ». Et insensiblement il entra dans cet état auxquelles son âme aspirait et où l’être est délesté de tout ce qui l’opprime et lui pèse. Le « sultan des saints » avait atteint l'âge de 90 ans lorsqu'il s'éteignit. Sur son lit de mort, et devant l'anxiété de ses fils, il exprima une ultime parole :

"Nul ne peut pénétrer le mal qui me détruit ; pas plus les hommes que les anges ou les génies, car il ne l'aurait pas donné de pouvoir le comprendre : il est ce que mon créateur a voulu pour moi. Mais sachez que la science divine ne s'amoindrit pas par l'accomplissement de ses décrets. Les décrets peuvent différer et leurs effets de même mais la science divine demeure inaltérée. Dieu détruit ce qu'il veut, il établit ce qu'il juge utile : le Livre Mère (Ummul Kitab) est auprès de lui grand ouvert. Il ne peut être interrogé sur ce qu'il fait, mais ces créatures doivent répondre de leurs actes. Ne craignez personne hormis Dieu; n'adressé vos prières qu’à lui seul ; tout ce que bon vous semblera, demandez le uniquement à lui seul, ne compter que sur Allah; croyez en l'unité de Dieu."

Vers la fin de sa vie, Abdel Qadir reçut le suprême honneur destiné aux Qutb (Axes du monde), les plus grands saints de l’Histoire. Cette investiture lui offrit d’être revêtu par le Prophète lui-même de la robe d'honneur de la souveraineté sur tous les saints. Il va sans dire que cette cérémonie n'eut pas lieu matériellement. Cependant lors de son déroulement, ceux qui se trouvaient présent près de lui déclarèrent avoir compris qu’il se passait un événement extraordinaire.

Son influence était telle qu’elle dépassait de loin les frontières de l’Irak dés avant sa mort. Un large éventail de personnalités l’auront plus tard en haute estime, qu’il s’agisse des penseurs les plus méfiants à l’égard de la mystique ou des futurs maîtres qui auront pris de lui l’initiation.

Pour autant ‘Abd’l Qadir ne fonda pas de voie de son vivant. Il prévu néanmoins la succession de l’école religieuse (madrassa) qu’il dirigeait depuis la mort de son professeur. Ces fils en firent rapidement une zawiya à laquelle ils associèrent l’école ainsi qu’une mosquée et le mausolée du cheikh. La Qadiriyya ne se répandra véritablement qu’à partir du XVe siècle et parviendra à s’implanter dans des pays comme l’Inde, le Turkestan, l’Arabie, l’Égypte, l’Afrique du Nord et certains pays de l’ex-Union soviétique.

Parmi les petit-fils d’Abdel Qadir al-Jilani, on retient généralement comme informateurs ‘Abd’l Waraq (1128-1196) qui récita les prières à la mort de son père, ‘Abd ar-Razzaq (1133-1206), et le Cheykh Mûsa (1142-1221.)

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