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Abd el-Kader à Damas

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ben_dzaïr

ben_dzaïr

L’émir Abd el-Kader, un grand penseur de l’Islam

L’émir Abd el-Kader, al-Insan al-kamil, l’homme accompli (de son vrai nom Abd al-Qadir Ibn Muhy al-Din al-Hassani al-Jazaïri), héros positif, résistant, créateur de l’Etat algérien, fin politique, cavalier exceptionnel, homme de lettres et poète, humaniste avant la lettre, savant musulman tolérant, homme moderne et parfait dans sa voie traditionnelle, initiateur du dialogue islamo-chrétien, montre le chemin de la réconciliation entre les deux rives de la Méditerranée. Comme un bodhisattva ou le chevalier Kadosch, il retarda sa fana, son extinction dans l’Un, pour, par compassion à l’égard de toutes les créatures, enseigner la bonne voie, le beau modèle, celui de l’acceptation de l’autre. La position de l’émir, tirée de celle de son maître Ibn Arabi, tient au fait qu’il considère que la nomination des hommes ne change rien à l’essentialité de l’Être, donc que tout orant ne prie que Lui ; il n’y a pas de juif, de chrétien, d’idolâtre inférieur au musulman dans le salut : « Notre Dieu et le Dieu de toutes les communautés opposées à la nôtre sont véritablement un Dieu unique [...]. Il s’est manifesté à tout adorateur d’une chose quelconque - pierre, arbres ou animal- sous la forme de cette chose ; car nul adorateur d’une chose finie ne l’adore pour elle-même ; ce qu’il adore, c’est l’épiphanie en cette forme du vrai Dieu ... »

Très tôt, cette conviction le conduit à des actes surprenants pour son temps : en pleine guerre de conquête, il négocie les échanges de prisonniers avec Mgr Dupuch, évêque d’Alger, dans des conditions qui lui valent de durables amitiés. Il rédige un traité à cet effet, cent ans avant les conventions de Genève ! il existe plusieurs traductions de ces « Règlements donnés par l’émir Abd el-Kader à ses troupes régulières » (1843). « Tout Arabe ayant un Français ou un chrétien en sa possession est tenu pour responsable de la façon dont il est traité [...]. Au cas où le prisonnier se plaindrait du plus petit sévice, l’Arabe qui l’a capturé perdrait tout droit à recompense. » Nous n’aurons pas l’impudeur de rappeler les exactions de l’armée française à cette époque ...

Aussi n’est-il guère étonnant que, lors de sa captivité à Pau, se constitue très vite en France un « parti kadérien » qui demande sa libération telle qu’elle a été promise par le fils du roi, le duc d’Aumale. Mgr Dupuch, alors à Bordeaux, entreprend des démarches qui, entre autres pressions, permettront à l’émir et à sa famille de trouver un meilleur exil à Amboise. C’est là qu’il concrétise son idée de dialogue : il tient une sorte de salon littéraire, philosophique et religieux où défile le Tout-Paris. L’émir, qui correspond avec plusieurs ecclésiastiques, écrit une série d’œuvres pour expliquer l’islam aux Français. Le texte le plus vif, « Lettre aux Français » (« Al-Miqrad al-hadd... »), est connu dès les années 1850-1855 sous différentes traductions. Avec son beau-frère Ben Thami, il rédige une sorte de bilan de leur action ; Mgr Teissier, actuel archevêque d’Alger, en a traduit et publié la partie qui concerne le dialogue islamo-chrétien dans la revue « Islamno-cristiano » (n°1, 1975). Il s’agit incontestablement du premier dialogue conçu sur un pied d’égalité. Deux logiques s’y affrontent, sans fantasmes ni faux-fuyants, et l’émir y fait preuve d’une remarquable attention à l’autre. Il est même possible d’avancer qu’il invente alors le mot « humanisme » en un sens moderne, à partir de l’utilisation qu’il fait du concept arabe d’al-Insan : « homme », au sens d’humain. Il ne manque jamais de rappeler ce verset du Coran : « Celui qui tue un homme tue l’humanité tout entière ... »



L’émir Abd el-Kader.

Revenu en Orient, il s’installe à Damas auprès de la tombe de son maître Ibn Arabi. C’est à l’occasion des événements de 1860 qui ensanglantent la Syrie et le Liban qu’il acquiert une notoriété mondiale. Non seulement il maintient l’ordre à Damas, mais ce faisant il sauve du massacre des milliers de chrétiens. Il sera couvert de récompenses en tout genre, de décorations de toute l’Europe, dont la cravate de commandeur de la Légion d’honneur. Pourtant, lorsque Napoléon III lui propose de devenir le vice-roi du Bilad al-Cham, c’est-à-dire d’une partie du Proche-Orient qui serait détachée de l’Empire ottoman, l’émir répond : « Mon royaume n’est pas de ce monde ! L’oblitération [al-mahq], la dissimulation de la vice-royauté que Dieu [Malik al-Muluk, Roi des rois] destine à l’être humain véritable ne peut pas s’accommoder d’une royauté mondaine. » Ce à quoi l’envoyé spécial, le général de Beaufort, réplique : « Ce n’est après tout qu’un Arabe [...], sans parler de ce qu’il y aurait de choquant à mettre un musulman à la tête du Liban » (rapport du 6 octobre 1860). L’avantage avec les militaires, c’est leur franc-parler !

Il faut rappeler enfin que la virtuosité religieuse intra et extra-mondaine (innerweltlich/ausserweltlich, selon les termes de Max Weber) d’Abd e1-Kader allait se manifester un fois encore avec l’affaire de Suez : peu nombreux sont ceux qui savent que, sans son appui à Ferdinand de Lesseps, le canal n’aurait jamais été percé. C’est Abd el-Kader, alors en retraite à Médine et à La Mecque en 1863-1864, qui convainc les autorités religieuses de la région du bénéfice que les peuples arabes tireraient de cet isthme terrestre reliant l’Orient et l’Occident. Certes, Abd el-Kader, qui est dans sa phase ultime d’illuminations - « Dieu m’a ravi à moi-même », écrit-il - pense aussi à la rencontre de deux spiritualités, mais il comprend l’apport technologique comme un signe de Dieu.

Le 17 novembre 1869, le khédive Ismaïl Pacha inaugure le canal en présence de toutes les têtes couronnées d’Europe : l’émir est aux côtés de l’impératrice Eugénie et la France a mis à sa disposition un croiseur. Abd el-Kader, barzakh al-barazikh, isthme des isthmes, homme-pont, récite le verset 100 de la sourate 23 : « Les gens de l’isthme sont entre l’ici-bas et l’au-delà. Derrière eux cependant il y a le monde intermédiaire jusqu"au jour où ils seront sauvés. »

article de la rubrique les deux rives de la Méditerranée > regards français sur Abd el-Kader et sur la conquête de l’Algérie.

ben_dzaïr

ben_dzaïr

Abd el-Kader, un savant humaniste



par Mohamed Boutaleb, président de la Fondation Emir Abd el-Kader à Alger.



Son épopée a fait couler beaucoup d’encre, on parle de milliers d’écrits. Nous sommes encore loin d’avoir une vision juste et adéquate d’une oeuvre et d’une destinée que les passions partisanes se sont plu à obscurcir. En exaltant l’homme, on pourrait oublier que le penseur et l’homme tout court ne sont pas moins dignes d’intérêt ; que le geste traduise la pensée et souligne le caractère, cela est particulièrement vrai d’Abdelkader dont l’âme harmonieuse, bloc sans fissure, était toute entière dans la moindre de ses démarches.

Intellectuel-né, l’Emir a une passion pour l’étude. Pour lui, la religion est compatible avec la science dont elle respecte l’autonomie. Il écrit : " les prophètes ne sont pas venus pour controverser avec les philosophes ni pour annuler les sciences de la médecine, de l’astronomie ou de la géométrie. Il sont venus pour honorer ces sciences, pour que la croyance en l’unité de Dieu n’y soit pas contredite, et qu’on rapporte à sa puissance, à sa volonté, tout ce qui se produit dans le monde. Les sciences ne sont pas contraire à ce que les prophètes ont révélé. La science a pour objet l’éternité ou la création du monde, que la terre soit sphérique ou plane, que le ciel et ce qu’il y a sous lui soit composé de 13 couches ou moins. La chose essentielle est que l’existence du monde vient de Dieu, celui qui affirme que les connaissances scientifiques sont opposées à la religion pèche contre la religion "( Lettre aux Français ou Dhikra al-Aqil).

C’est réparer une injustice que de reconnaître en lui le précurseur général des grands réformateurs dont se réclame aujourd’hui l’opinion éclairée du monde musulman tel que al-Afghani, Abduh, et Idn Badis...

Soucieux d’élever et de modeler le caractère de ses compatriotes, l’Émir établit un système d’éducation publique dans le pays. " Mon devoir comme souverain, dit-il, était de prôner la science et la religion. J’ouvris des écoles où les enfants apprenaient les préceptes du Coran, la lecture, l’écriture et l’arithmétique. On envoyait gratuitement dans les zaouias ceux qui désiraient poursuivre leur formation. " L’instruction était tellement primordiale, à ses yeux, qu’il lui arrivait de grâcier un condamné à mort pour la simple raison qu’il était taleb (lettré). " Être convenablement instruit demande tant de temps dans notre pays, que je n’avais pas le courage de détruire, en un jour, le fruit d’un studieux labeur de plusieurs années. Il ajoute : je donnais les ordres les plus stricts pour que le plus grand soin soit pris de tous les manuscrits afin qu’ils soient recueillis et conservés. " Peu à peu, il réunit une importante quantité de manuscrits.

L’Emir rêvait de faire de Tagdemt, ville qu’il fonda prés de Tiaret, un centre universitaire pour rayonner sur tout le Maghreb, à l’exemple des qarawiyin à Fés et de la Zitouna à Tunis. Son intérêt pour la science est à la base de son humanisme.

Saint-Arnaud écrit, dans une lettre adressée à sa famille : "Abdelkader nous a renvoyé tous nos prisonniers sans condition d’échange ; il leur a dit : “je n’ai pas de quoi vous nourrir ; je ne vais pas vous tuer, je vous renvoie”.". Il fait des prisonniers à partir de 1833. Il charge sa mère et son épouse de s’occuper des femmes détenues et de veiller personnellement à ce que leur séjour soit le moins rude possible et leur honneur protégé. L’évêque Dupuch lui écrivit d’Alger pour demander la libération d’un sous-intendant militaire. L’Émir lui répond : "j’ai reçu ta lettre, je l’ai comprise, elle ne m’a pas surpris ; pourtant permets-moi de te faire remarquer qu’à double titre de serviteur et d’ami des hommes, tu aurais dû me demander non la liberté d’un seul mais celle tous les chrétiens qui ont été faits prisonniers depuis la reprise des hostilités. Bien plus, tu serais deux fois digne de ta mission en étendant la même faveur à nombre de musulmans qui languissent dans vos prisons."

Dans une lettre adressée au commandement français par l’un des prisonniers de 1842, on note : "Abdelkader a agi avec moi avec une grandeur que je n’aurais pas trouvée dans les pays les plus civilisés d’Europe." L’Émir demande à l’évêque : "Envoyez un prêtre dans mon camp, il ne manquera de rien ; je veillerai à ce qu’il soit honoré et respecté comme il convient à celui qui est revêtu de la noble dignité d’homme de Dieu et de représentant de son évêque. Ce prêtre peut s’occuper de personnes et correspondre avec leurs familles, leur procurer les moyens de recevoir de l’argent, des vêtement, des livres." L’Émir respecte la foi religieuse des prisonniers.

En 1860, l’Europe impose sa loi à la Turquie. L’Angleterre soutient les Druzes, la France protège les Maronites, la Russie les Grecs ... Druzes et Maronites sont dressés les uns contre les autres, ces troubles peuvent justifier l’intervention de l’Europe, les massacres de chrétiens ont lieu avec la complicité du gouverneur turc de Damas. L’Émir se souvient de l’établissement des soeurs de charité où vivent 400 enfants des deux sexes. Il se rend au couvent et sauve 6 prêtres, 11 soeurs et les 400 enfants. Les soldats de l’Émir les escortent et repoussent à coups de crosse les émeutiers déchaînés. Arrivé chez lui, l’Emir s’adresse à la foule hostile : « Mes frères, votre conduite est impie ! Qu’êtes-vous donc pour vous arroger le droit de tuer des hommes ? À quel degré d’abaissement êtes-vous descendus puisque je vois des musulmans se couvrir du sang des femmes et les enfants. Dieu a dit : celui qui aura tué un homme, a commis un meurtre,et il sera regardé comme le meurtrier du genre humain tout entier » (CORAN). La foule hurle : « les chrétiens ! ». L’Émir réplique : « Les chrétiens, tant qu’un seul de ces vaillants soldats qui m’entourent sera debout, vous ne les aurez pas, car ils sont mes hôtes. »

3Abd el-Kader à Damas Empty Abd el-Kader à Damas Jeu 30 Oct - 12:25

ben_dzaïr

ben_dzaïr

Abd el-Kader à Damas

Il se consacre à la religion et à la littérature. La protection qu’il accorde à des chrétiens menacés lui vaut une très grande popularité en Occident.



En décembre 1852, Abd el-Kader quitte la France après avoir fait le serment de ne jamais retourner en Algérie. Jusqu’à la fin de sa vie, il recevra une pension du gouvernement français. Accompagné de toute sa famille, il s’embarque à Marseille pour la Turquie. Il vit d’abord à Bursa. En 1855, il s’installe définitivement à Damas [1] où se trouve le tombeau du grand mystique musulman Ibn `Arabi [2]. Des Algériens le rejoindront, constituant autour de lui une petite colonie d’exilés.

Abd el-Kader se consacre alors à la religion et à la littérature. Il réunit des livres précieux, fait rechercher les manuscrits d’Ibn Arabi qu’il entreprend d’éditer. Il écrit des ouvrages, des poèmes, enseigne et commente les grands textes coraniques à la mosquée ou dans les confréries.

L’enseignement de l’émir est un modèle de tolérance : tout individu en prière, qu’il soit juif, musulman, chrétien ou même idolâtre prie un seul et même Dieu unique. C’est la théorie du wahdat al-wujud, de l’unicité absolue de l’essence divine, qu’il développe notamment dans son œeuvre majeure, Kitâb al-mawâqif (Le Livre des haltes, des stases, des états et des étapes) : "Dieu est l’essence de tout adoré et tout adorateur n’adore que Lui." Mais il va plus loin encore qu’aucun homme de foi ou de religion avant lui : toutes les prières, enseigne-t-il, s’adressent au Dieu unique, seule la forme diverge car chaque peuple a reçu la parole divine selon le mode spécifique qui lui correspondait :

Pour qui le veut le Coran [...]
Pour qui le veut
la Torah
Pour tel autre l’Évangile
Pour qui le veut mosquée où prier son Seigneur
Pour qui le veut synagogue
Pour qui le veut cloche ou crucifix
Pour qui le veut Kaaba dont on baise pieusement la pierre
Pour qui le veut images
Pour qui le veut idoles
Pour qui le veut retraite ou vie solitaire
Pour qui le veut guinguette où lutiner la biche.


Les émeutes de Damas

En 1856, l’empire ottoman instaure une sorte de citoyenneté sans référence à la religion, assurant aux chrétiens les mêmes droits qu’aux musulmans. Cette clause entraîne des émeutes au Liban et en Syrie. En 1860, des chrétiens maronites sont massacrés ; Abd el-Kader, aidé de ses fils et de ses compagnons, s’emploie à les protéger et leur offre l’asile. Ce geste lui vaut une immense popularité en Occident.



Abd el-Kader arrive au secours des chrétiens à Damas, en 1860
image d’Epinal - 1870


Sous le Second Empire, Abd el-Kader revient trois fois en France, en 1855, en 1865 et en 1867 à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris. Napoléon III lui propose de prendre la tête de l’État arabe qu’il envisage de créer en Syrie à la suite du démembrement de l’empire ottoman. Abd el-Kader refuse catégoriquement la proposition de l’empereur.

De janvier 1863 à juillet 1864, il effectue un long pèlerinage à La Mecque et Médine, occasion d’approfondir sa foi.

Abd el-Kader s’éteint à Damas, le 26 mai 1883. Il est inhumé à côté de la tombe d’Ibn `Arabi, dans une mosquée de Damas.

4Abd el-Kader à Damas Empty Vercingétorix algérien Jeu 30 Oct - 12:28

ben_dzaïr

ben_dzaïr

Vercingétorix algérien

article de la rubrique
les deux rives de la Méditerranée > regards français sur Abd el-Kader et sur la conquête de l’Algérie.


Le 16 septembre 1852, Napoléon III rend la liberté à celui qui vient de passer plusieurs années en résidence surveillée à Toulon, à Pau et Amboise. Avant de prendre le chemin de l’exil, richement pensionné par un empereur devenu son ami, Abd el-Kader arrive à Paris et devient « le lion de nos réjouissances publiques », pour reprendre les termes d’un journaliste de l’époque. Dans la loge impériale de l’Opéra où l’on donne le Moïse de Rossini, Napoléon III embrasse le « Vercingétorix algérien ». Le Tout-Paris s’émeut, applaudit à tout rompre. Pendant deux semaines, nimbé d’une extraordinaire popularité, l’émir est véritablement la coqueluche des Parisiens. Pour montrer la tolérance de l’islam, il se rend à Notre-Dame, à la Madeleine et à Saint-louis des Invalides. Reçu par tout ce que Paris compte de sociétés savantes et par le Grand Orient de France, il estime que religion et raison ne sont pas antinomiques. En 1867, sur l’invitation de l’empereur, il retrouve le Paris de l’Exposition universelle et est reçu avec faste par les autorités françaises. Âgé et fatigué, il décline alors l’offre de Napoléon III qui lui propose d’être le monarque d’un « Royaume arabe » de Syrie. [1]



5Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Jeu 30 Oct - 16:57

maghrebin



Roi du Maroc fustige la fermeture de la frontière avec l’Algérie : La colère de Mohammed VI
Nous pouvons sans le maroc contruire un pays nouveau et prospére ! Il me semble que la main tendue par le maroc n’est plus ni moins que de l’hypocrisie totale ! Nous savons depuis des années que nous pouvons guére leur faire confiance ! Même à l’époque de notre Chére et Gloire Emir Abdelkader le maroc nous avait trahis. But ? Spollier et profiter de notre abondante richesses. Depuis des années qu’entends je sortir des bouches des ressortissant(e)s marocain(e)s qui ont été formaté dés leurs plus jeunes âge par leur parents hypocrites "mais sais tu qu’une partie de l’algérie appartnait au maroc" Et ça recommence ! Et quand je sais pertinement et j’en suis même convaincu que réside sur place des camps d’entrainements de terroristes qui destabilisent à feu et à sang notre chére patrie. Il y circule également sous la bénidiction des services de renseignements marocaines : armes et traffics de drogues qui empoisonnent notre jeunesse algérienne. Pour arrêter ce fléau, sécurisons plus nos frontiére par une puissantes mobilsations des forces de polices et de l’armée. A votre avis, vous pensez que le maroc n’a pas fais de même ? Allez à la frontiéré et vous constaterez qu’il y a d’énormes postes de contrôle de l’autre côté de la frontiére. Et vous verrez comme par magie que le niveau d’insécurité et que l’acheminements d’armes aura chuté. De plus, il y réside une forte population sioniste au maroc qui n’apportera rien de bon voire pire à l’algérie. J’ai foi en une réconciliation entre nos deux peuples mais il faut me semblet-il beaucoup de temps pous changer la nature d’un homme. Pour ce qui concerne cette affaire les mentalités ne sont pas assez mures pour pouvoir concevoir un rapprochement entre nos deux peuples [/size]
extrait receuilli de quotidien EL WATAN

6Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Jeu 30 Oct - 17:07

mimissa

mimissa

Bravo t as l air de battre le record en matiere de copier coller trop facile. Sinon qu en est il de tes idees ?aparemment pas tres bonne matiere grise.

7Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Jeu 30 Oct - 18:13

maghrebin



mimissa a écrit:Bravo t as l air de battre le record en matiere de copier coller trop facile. Sinon qu en est il de tes idees ?aparemment pas tres bonne matiere grise. j'ai appris a faire ca ds ce furum c'est methode assez repandu a commencer par admin

8Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Jeu 30 Oct - 19:21

mimissa

mimissa

maghrebin a écrit:
mimissa a écrit:Bravo t as l air de battre le record en matiere de copier coller trop facile. Sinon qu en est il de tes idees ?aparemment pas tres bonne matiere grise. j'ai appris a faire ca ds ce furum c'est methode assez repandu a commencer par admin




Si t as envie de poster un ecrit rien ni personne ne te l interdit, mais pas me faire dire ce que je n ai pas dit OK ?
J espere que t as pas besoin d intermediaire non plus pour t adresser a ADMIN.

9Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Jeu 30 Oct - 19:44

ben_dzaïr

ben_dzaïr

mimissa a écrit:Bravo t as l air de battre le record en matiere de copier coller trop facile. Sinon qu en est il de tes idees ?aparemment pas tres bonne matiere grise.

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10Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Jeu 30 Oct - 19:54

mimissa

mimissa

Talal arretes de me contacter en prive alle je n ai pas envie de me gonfler les meninges avec toi OK ne t ai-je pas dit de ne plus m adresser la parole. Tout comme notre ami SIDHOUM j ai tire la chasse avant meme de prendre connaissance de tes futilites

11Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Ven 31 Oct - 10:23

ben_dzaïr

ben_dzaïr

mimissa...



Monsieur

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12Abd el-Kader à Damas Empty Re: Abd el-Kader à Damas Ven 31 Oct - 10:54

mimissa

mimissa

ben_dzaïr a écrit:mimissa...



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pfffffffffff pour ton information je suis tetue et je n execute jamais les ordres encore moins ceux venant d un trouble fete. et pour une derniere fois arretes de me harceler via la messagerie privee OK ? ca ne sert a rien de toutes les manieres de te donner de la peine etant donne que je les supprime automatiquement.

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