ce qui est normal,faite ce que je dis mais pas ce que je fais,ça c'est le message d'enrico macias .mais rien d'étonnant à cela puisque l'histoire d'Israël est remplis de ce genre de message et même d'horreur,j'étais resté sur les récits de l'ancien testament concernant tout les holocaustes perpétrés par ce peuple et qui continue encore aujourd'hui avec l'abattage des palestiniens.ina beni Israël milatouhoum milatoun wahidah.
pour preuve:
Holocauste Séfarade ? Quand des Juifs israéliens utilisaient des Juifs africains comme cobayes
28/03/2006
L’histoire des exploitations et des tentatives d’extermination plus ou
moins totale d’humains, de sociétés, de groupes ethniques par d’autres
fait inextricablement partie, hélas, des expériences que le genre
humain réitère aux quatre coins du monde. L’humanité s’est réveillée
choquée devant la barbarie rwandaise en 1994. A tort d’aucuns ont tenté
de naturaliser, de culturaliser ce génocide entre «frères» de même
langue et de même pays. L’histoire de l’holocauste Séfarade en 1951,
ces Juifs originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient
principalement qui ont été soumis en Israël à un traitement de cobayes
humains par leurs compatriotes et coreligionnaires, longtemps tue dans
la société juive commence à être connue. Elle devrait permettre une
réflexion décomplexée de tous sur les ressorts on ne saurait plus
humains et peu attribuables à des phénotypes particuliers ou cultures
orales du dissensus social, des dérives des comportements hégémoniques,
de l’esprit de lucre immodéré, et toutes autres circonstances jetant
l’humain à l’assaut de lui-même.
Qu’est-ce qui a pu conduire les Juifs immigrants en Israël à être
soumis aux horreurs des radiations aux rayons X commandées et payées
par les USA ? Serait-ce leur composante africaine, les Séfarades
victimes venant principalement du Maroc ? Leur différence
ethnico-religieuse d’avec les Askhenazes, leurs prières et pratiques de
la loi variant quelque peu de celles de leurs compatriotes ? Une
inscription au registre de Juifs de second rang dans une forme
d’échelle socioreligieuse de la société israélienne dominée par des
Juifs originaires d’Europe ? L’identification d’un plus faible, sans
enjeu politique protecteur et donc cobaye idéal dépourvu de défense et
de capacité de nuisance ? La raison d’Etat d’un pays concevant sa
sécurité, sa survie comme menacées en permanence et susceptibles de
tous les sacrifices y compris humains pour conjurer un avenir
incertain? Autant de critères qui éclairent les Humains sur les
errements générés par les classements, préjugés de supériorité, de
civilisation, de mission auquel il est trop souvent aisé de
s’abandonner. L’instrumentalisation des faibles, des différences, de
l’altérité encore trop souvent au cœur de la fabrique de l’immonde.
Ultime observation, un homme politique israélien était déjà en
politique et aux affaires à cette époque, Shimon Peres, donnera t-il sa
version des faits pour la vérité historique ?
Afrikara publie un extrait de texte paru sur le site
www.israelinsider.com, repris par d’autres, voxnr.com notamment [notre
source] qui relate cette histoire abominable, taboue dans le monde Juif
et ignorée au delà, passée à la télévision israélienne en 2004
seulement, barrée un programme people ...
Le 14 août 2004, la chaîne télévisée israélienne «Channel Ten» a
présenté un documentaire révélant le pire des secrets maintenus par les
fondateurs du Parti travailliste israélien : l'exposition délibérée aux
radiations de la quasi-totalité des jeunes d'une génération de Juifs
Séfarades.
En 1951, le directeur général du ministère israélien de la Santé,
le Dr. Chaim Sheba, prenait l'avion pour l'Amérique, d'où il a ramené
sept appareils de radiographie (à rayons X), que l'armée américaine lui
avait cédés. Ces appareils de radiographie furent utilisés pour une
expérience nucléaire massive, une génération complète de jeunes
Séfarades furent utilisés en guise de cobayes. Chaque enfant séfarade
allait recevoir 35 000 fois la dose maximale de rayons X, dans la tête.
A cette fin, le gouvernement américain versa annuellement au
gouvernement israélien 300 millions de livres israéliennes. A l'époque,
le budget global du ministère israélien de la Santé ne s'élevait, quant
à lui, qu'à 60 millions de livres, soit 5 fois moins ! Les fonds versés
par les Américains correspondraient, de nos jours, à deux milliards de
dollars.
Afin de circonvenir les parents des victimes, les enfants furent
emmenés en «voyage scolaire», et on dira plus tard aux parents que les
rayons X étaient un traitement contre une épidémie de teigne. 6 000 des
enfants cobayes décédèrent peu après leur irradiation, beaucoup des
survivants développant des cancers qui emportèrent des milliers d'entre
eux, au fil des années, et qui continuent à tuer certains d'entre eux,
encore actuellement.
Durant leurs années d'interminable agonie, les victimes souffrirent
d'affections telles l'épilepsie, l'amnésie, la maladie d'Alzheimer, des
céphalées chroniques et des psychoses.
Voilà, dit très froidement, quel est le sujet de ce documentaire. Voir les victimes, à l'écran, c'est bien autre chose.
Voir, par exemple, cette dame marocaine décrivant ce que c'est, que
recevoir 35 000 fois la dose autorisée de rayons X dans son crâne : «Je
hurlais : Enlevez-moi ce mal de tête horrible ! Enlevez-moi ce mal de
tête horrible ! Enlevez-moi ce mal de tête atroce ! Mais le mal de tête
n'est jamais parti de ma tête !» Ou encore, regarder cet homme, barbu,
qui descend une rue, tout voûté : «J'ai la cinquantaine, et tout le
monde croit que j'ai au moins soixante-dix ans. Je dois presque me
casser en deux, quand je marche, pour ne pas tomber. Avec leurs maudits
rayons X, ils m'ont volé ma jeunesse.»
Voir, aussi, cette vieille dame qui a administré les doses
mortelles de rayons X à des milliers d'enfants : «On faisait mettre les
enfants en rang. Tout d'abord, on leur rasait la tête, et on leur
oignait le crâne d'un gel qui les piquait terriblement. Ensuite, on
leur mettait un ballon entre les jambes, et on leur donnait l'ordre de
ne pas le laisser s'échapper, afin d'être sûrs qu'ils ne bougeraient
pas. Les enfants n'avaient pas le reste de leur corps protégé. On ne
leur mettait pas de tuniques de plomb. On me disait que cela était
excellent pour traiter leur teigne. Si j'avais su les dangers auxquels
on exposait ces malheureux enfants, jamais je n'aurais participé à ce
travail ! Jamais de la vie ! »
La totalité de leur organisme ayant été exposé aux rayons, le
génome des enfants a souvent été altéré, affectant leur descendance.
Nous voyons maintenant à l'écran une dame au visage ravagé, qui nous
explique : «Mes trois enfants - tous mes enfants - ont les mêmes
cancers dont ma famille a souffert. Allez-vous me dire que c'est une
pure coïncidence ?»
La majorité des victimes furent (ou sont) d'origine marocaine, car
les Juifs marocains représentaient la majorité des immigrants
séfarades. La génération empoisonnée devint la classe irrémédiablement
pauvre et délinquante du pays. C'était totalement absurde. Les Juifs
marocains qui s'étaient réfugiés en France sont aujourd'hui prospères
et souvent hautement spécialisés. L'explication la plus répandue
consiste à dire que la France a accueilli les riches, parmi eux, ou les
plus doués. La véritable explication, c'est qu'aucun des enfants juifs
marocains immigrés en France n'a eu les cellules cérébrales grillées
aux rayons gamma. Le film démontre que cette opération n'eut rien
d'accidentel. Les dangers des rayons X sont étaient connus, à l'époque,
depuis plus de quarante ans. Dans un manuel officiel d'utilisation des
rayons X datant de 1952, nous lisons que la dose maximale à ne pas
dépasser, pour un enfant, était en Israël de 5 Rad.
Aucune erreur n'a été commise. Les enfants ont été délibérément irradiés. Il s'agissait d'un empoisonnement volontaire.
David Deri insiste sur le fait que seuls des enfants séfarades ont
été soumis aux rayons X : «J'étais à l'école, et des types sont venus
nous chercher pour une promenade. Ils nous ont demandé comment nous
nous appelions : les enfants portant des noms ashkénazes se virent
ordonner de se rasseoir. Les gamins basanés, eux, se retrouvèrent dans
l'autobus.»
Le film présente ensuite un historien, qui commence par donner une
histoire condensée du mouvement eugéniste. Changeant de ton, il déclare
que l'opération « teigne » était en réalité un programme eugéniste,
visant en réalité à éradiquer ce qui était perçu comme les maillons
faibles de la société (israélienne). La dame marocaine est de retour, à
l'écran : « C'était un Holocauste. Un Holocauste séfarade ! Et ce que
je voudrais savoir, c'est pourquoi personne n'a rien fait pour
l'empêcher ! »
David Deri apparaît dans le documentaire, cette fois comme
participant à un forum, il fait part de la frustration qui fut la
sienne lorsqu'il tenta de retrouver son dossier médical d'enfant. «Tout
ce qu'il m'importait de savoir, c'était ce qu'ils m'avaient fait. Je
voulais savoir qui avait autorisé ce «traitement». Je voulais remonter
la chaîne des commandements. Mais le ministère de la Santé m'a dit que
mon dossier avait disparu.». Boaz Lev, porte-parole du ministère de la
Santé intervient alors : «Presque tous les dossiers ont disparu, brûlés
dans un incendie.». On nous dit qu'à la fin des années 1940, une loi
américaine mit un terme à des expérimentations humaines consistant à
soumettre des prisonniers, des handicapés mentaux, et d'autres cobayes,
à des radiations.
Le programme nucléaire américain devait donc trouver une nouvelle
source de cobayes humains : le gouvernement israélien fut d'accord pour
le lui fournir. Voici la composition du cabinet israélien, à l'époque
où furent perpétrées les atrocités du «traitement de la teigne» :
Premier ministre : David Ben Gourion (décédé) ; Ministre des Finances :
Eliezer Kaplan (décédé) ; Ministre des implantations : Levi Eshkol
(décédé) ; Ministre des Affaires Etrangères : Moshe Sharett (décédé) ;
Ministre de la Santé : Yosef Burg (décédé) ; Ministre du Travail :
Golda Meir (décédé) ; Ministre de l'Intérieur : Amos Ben Gurion
(décédé). Le plus haut poste non-ministériel était tenu par le
Directeur général du ministère de la Défense : Shimon Peres (toujours
bien vivant, (bon pied, bon œil »).
Qu'un programme impliquant un budget de plusieurs milliards de
dollars de fonds fournis par le gouvernement américain ait pu demeurer
ignoré du Premier ministre d'Israël qui avait le plus grand mal à
joindre les deux bouts, voilà qui est totalement ridicule. Ben Gourion
aurait dû être impliqué dans ces horreurs, c'est sans doute la raison
pour laquelle il avait choisi son fils pour occuper le poste de
ministre de la Police (Intérieur), au cas où quiconque s'aviserait de
mettre son nez dans leurs magouilles.
Le ministre des Finances Eliezer Kaplan reçut une reconnaissance
éternelle, son nom étant donné à un hôpital situé près de Rehovot. Mais
il n'est pas seul à avoir eu cet insigne honneur. Chaim Sheba, qui
dirigeait la société Ringworm Incorporated (Teigne & Co), a vu un
grand complexe médical porter son nom. Inutile de préciser que, s'il
existe une once de décence dans la profession médicale israélienne, ces
hôpitaux devront être débaptisés au plus vite.
Après la fin du film, il y eut un débat télévisé, auquel prirent
part un chanteur marocain, David Edri, directeur du Comité de
Compensation aux Victimes du traitement de la Teigne aux Rayons X,
ainsi que Boaz Lev, porte-parole du ministère de la Santé. Le
présentateur Dan Margalit essaya de se redonner une contenance, après
les horreurs qu'il venait de voir. Il expliqua humblement que «l'Etat
était pauvre. On vivait une sorte de survie, au jour le jour.» Puis il
s'arrêta : il savait qu'il ne saurait y avoir d'excuse aux atrocités
subies par les enfants séfarades. Mais c'est encore le chanteur
marocain qui su, mieux que tous les autres, résumer cette expérience
éprouvante : «Je vais faire très mal. Mais il faut dire la vérité.
Sinon, jamais les plaies ne se cicatriseront : il y a une personne,
encore en vie aujourd'hui, qui sait absolument tout ce qui s'est passé.
Cet homme, c'est Shimon Peres. La seule manière de savoir la vérité et
de commencer le travail de deuil et de cicatrisation, c'est d'enquêter
sur le rôle qui fut le sien dans l'empoisonnement de masse de plus de
100 000 enfants et adolescents séfarades.»
Mais cela n'aura pas lieu, et voici pourquoi : le film a été
diffusé en même temps que le plus grand show télé de l'année, la finale
du show de sélection des talents d'Israël : «Une Etoile est née». Le
lendemain, la photo de l'étoile israélienne nouveau-née occupait la
moitié des premières pages des journaux. Pas un mot, au sujet «Des
enfants de la teigne», dans aucun quotidien. Ni sur Internet. Rien.
«Les enfants de la teigne» [«The Ringworm Children»] (traduit, en
hébreu, par «100 000 rayons»), mis en scène par David Belhassen et
Asher Hemias, a remporté récemment le prix du meilleur documentaire au
Festival International de Cinéma de Haïfa. Depuis plusieurs années, il
a figuré au programme de tous les festivals de cinéma juif et israélien
dans le monde entier. Mais il n'avait encore jamais été présenté à la
télévision, en Israël. Il a pour sujet l'irradiation massive de
centaines de milliers de jeunes immigrants en Israël, provenant de pays
du Maghreb et du Moyen-Orient – des Séfarades.