Serait t-il possible de poser cette question?
Est ce que Hassan II avait violé la volonté populaire en cédant des territoires en faveur de l'Algérie pour sauvergader la monarchie.?
Priére de ne pas réagir pour le moment à ce post en cours de gestation.
Merci pour votre compréhension.
D'habitude la diplomatie marocaine est prompt à répondre aux propos des officiels algériens quand il s'agit de l'intégrité territorial.
Est ce que Hassan II avait violé la volonté populaire en cédant des territoires en faveur de l'Algérie pour sauvergader la monarchie.?
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Abbas El Fassi le Premier ministre Le Premier ministre du Maroc et secrétaire général de l’Istiqlal a tenu de très graves propos en déterrant une fabulation abandonnée depuis longtemps par les plus téméraires des responsables politiques marocains. Tenez-vous bien, en 2009, Abbas El Fassi n’a pas trouvé mieux que de revendiquer l’appartenance de Tindouf au Royaume marocain, qu’il appelle dans son jargon les territoires marocains orientaux. «L’Istiqlal reste attaché au droit du Maroc vis-à-vis de son Sahara oriental», a-t-il déclaré lors de la tenu du 15e congrès du Parti nationaliste de l’Istiqlal (PI), qui s’est achevé il y a trois jours à Rabat Belkhadem Le secrétaire général de l’instance exécutive du FLN a répondu à la déclaration du Premier ministre marocain, Abbas El Fassi: «Le Maroc a reconnu les frontières qui nous séparent et les instruments de ratification de l’accord sont déposés au niveau du secrétariat général des Nations unies», a indiqué M.Belkhadem en marge de la conférence- débat tenue hier à l’association El Djahidia. Le souverain marocain, soucieux de régler d’abord les problèmes internes, accepte le projet de frontière de juin 1972, qui prive le royaume de nouveaux territoires, dont d’importantes zones minières. Ce tracé de frontière ne sera publié au Bulletin Officiel qu’en 1992. Tel Quel Le Feu Roi Hassan II a ainsi voulu faire un “geste de bonne volonté” en prenant cette initiative sans intervention parlementaire, d’autant plus que c’était au même moment que la fin de la législature. D’ailleurs, le dispositif du dahir du 22 juin 1992 ne fait aucune référence aux dispositions de l’article 31 (al.2) qui lui confie la signature et la ratification des traités. C’est dire que la valeur normative de cette publication est fortement contestable et qu’elle n’a pratiquement qu’un caractère déclaratoire. Synthése de la presse marocaine( par Becharelkheir) Les diplomates marocains tardent à répondre à cette contre vérité. |
Dernière édition par admin le Mer 28 Jan - 1:13, édité 5 fois