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Salut! à toutes, salut! à tous
Je m’en vais vous conter sur ce topic l’histoire inspirée par le fantasme d’un type qui se voulait … atypique.
En fait, je ne connais pas son origine, car je l’ai apprise par ouïe dire. Vous voulez commenter et vous donner du plaisir? …Alors , à vos plumes-claviers, ça m’aiderait à m’inspirer pour encore vous faire …plaisir…. enfin, pour ceux qui le désirent…
Cela étant, … Galek ya sidi:
Il y’avait autrefois dans une sultanat dont j’ai oublié le nom, un type paresseux à en mourir et en plus mesquin. Il ne travaillait pas, n’a jamais travaillé et ne connaissait même pas ce nom, mais ce qui ne l’empêchait pas de jalouser et d’envier tout ceux qui ont un rond… Mais quand sa paresse le lui permettait, il ne s’empêchait pas de marauder, car comme le renard de l’ami la Fontaine, il était alléché et toujours à l’affût de toute facilité… c’est ainsi qu’il tomba un jour sur une dame-jeanne qui de dame n’a que le nom, car en fait, c’était une bombonne , même si elle était faite de verre fin avec un beau aspect cristallin….il y vit tout de suite une source de gain et on ne sait pas, si il l'a prise ou si il l'a vola, mais le résultat est qu’il se trouva avec la bombonne au marché ; à la vente elle est proposée…
Là,... las de l’effort de ce commerce hautement fatiguant, torturé par le soleil tapant, il soupira et s’assoupit... Afin de protéger son butin, il n’oublia pas de mettre les pieds dessus … et c’est ainsi que commença son beau rêve où il se vit avoir vendu sa bonbonne à fort prix qui lui permis d’acheter une brebis… Cela est connu, les brebis sont prolixes et le voilà à la tête d’un troupeau qui fit sa richesse … et c’est ainsi que des ses caravanes et son commerce, il se vit épousant la princesse que le Sultan son père lui offrit en gage d’allégeance…
Vous croyez que l’histoire est finie ? … Hé bien non !...
Notre bonhomme étant mauvais et mesquin, il se fit toujours manucurer les pieds par son épouse la fille du Sultan, cela ne lui étant pas suffisant, un fois, il lui donna un coup de pied dont la puissance venait des reins ce qui fait lui fit entendre un vilain clin ! clin !... il ouvrit les yeux et constata avec horreur que c’est sa bombonne en morceau qui a fait …clin! clin!...
__________________
D'abord ils vous ignorent... ensuite ils vous raillent... ensuite ils vous combattent ... et enfin, vous gagnez. _ Ghandi _
Je m’en vais vous conter sur ce topic l’histoire inspirée par le fantasme d’un type qui se voulait … atypique.
En fait, je ne connais pas son origine, car je l’ai apprise par ouïe dire. Vous voulez commenter et vous donner du plaisir? …Alors , à vos plumes-claviers, ça m’aiderait à m’inspirer pour encore vous faire …plaisir…. enfin, pour ceux qui le désirent…
Cela étant, … Galek ya sidi:
Il y’avait autrefois dans une sultanat dont j’ai oublié le nom, un type paresseux à en mourir et en plus mesquin. Il ne travaillait pas, n’a jamais travaillé et ne connaissait même pas ce nom, mais ce qui ne l’empêchait pas de jalouser et d’envier tout ceux qui ont un rond… Mais quand sa paresse le lui permettait, il ne s’empêchait pas de marauder, car comme le renard de l’ami la Fontaine, il était alléché et toujours à l’affût de toute facilité… c’est ainsi qu’il tomba un jour sur une dame-jeanne qui de dame n’a que le nom, car en fait, c’était une bombonne , même si elle était faite de verre fin avec un beau aspect cristallin….il y vit tout de suite une source de gain et on ne sait pas, si il l'a prise ou si il l'a vola, mais le résultat est qu’il se trouva avec la bombonne au marché ; à la vente elle est proposée…
Là,... las de l’effort de ce commerce hautement fatiguant, torturé par le soleil tapant, il soupira et s’assoupit... Afin de protéger son butin, il n’oublia pas de mettre les pieds dessus … et c’est ainsi que commença son beau rêve où il se vit avoir vendu sa bonbonne à fort prix qui lui permis d’acheter une brebis… Cela est connu, les brebis sont prolixes et le voilà à la tête d’un troupeau qui fit sa richesse … et c’est ainsi que des ses caravanes et son commerce, il se vit épousant la princesse que le Sultan son père lui offrit en gage d’allégeance…
Vous croyez que l’histoire est finie ? … Hé bien non !...
Notre bonhomme étant mauvais et mesquin, il se fit toujours manucurer les pieds par son épouse la fille du Sultan, cela ne lui étant pas suffisant, un fois, il lui donna un coup de pied dont la puissance venait des reins ce qui fait lui fit entendre un vilain clin ! clin !... il ouvrit les yeux et constata avec horreur que c’est sa bombonne en morceau qui a fait …clin! clin!...
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D'abord ils vous ignorent... ensuite ils vous raillent... ensuite ils vous combattent ... et enfin, vous gagnez. _ Ghandi _
