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Dossier : Algerie-Maroc

2 participants

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1Dossier : Algerie-Maroc Empty Dossier : Algerie-Maroc Dim 4 Avr - 12:36

admin"SNP1975"

admin
Admin

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Une des fermes de la famille Bouabedellah ou Belhadj qui a été utilisé par le FLN au Maroc pendant la guerre de libération.



Dépossession
Par : Mounir Boudjema

Alger n’a jamais réellement fermé la porte au dialogue, espérant, en secret, que Rabat comprenne que le dossier des frontières fermées est intimement lié au recouvrement des droits des algériens, ayant résidé au Maroc, qui ont été dépossédés en masse de tous leurs biens.

Si la charge historique entre l’Algérie et le Maroc a toujours été importante, les contentieux géographiques n’ont également pas manqué. Et pour une fois, ce n’est pas du Sahara occidental qu’il s’agit. Plus de trente années de silence. Les familles algériennes résidant au Maroc et spoliées de leurs terres n’ont plus envie de se taire. La spoliation de leurs biens, en violation de toutes les conventions signées, dont celle d’Ifrane, nous renvoie à l’arbitraire du royaume chérifien qui fait une obsession de tout ce qui concerne son grand voisin. Depuis quelques mois, Rabat n’en finit plus de demander la réouverture des frontières avec une insistance évidente. L’est marocain, oublié par les réformes de Mohammed VI, n’en fini pas d’agoniser faute d’échanges économiques avec l’Algérie. Ce sont des centaines d’ouvriers marocains qui traversent les frontières, avec les risques que cela suppose, pour tenter de trouver de petits boulots dans les villes de l’Ouest algérien. Cette situation de déshérence inquiète le makhzen qui voit un pan entier de sa population tourné vers l’Algérie, espérant profiter d’avantages économiques pour des familles marocaines exsangues. L’urgence est ainsi décrétée au Palais royal. Malgré le fait que cette frontière avec le Maroc est source, pour nous, de beaucoup de problèmes et de tensions, entre la contrebande, le terrorisme et le trafic de drogue, Alger n’a jamais réellement fermé la porte au dialogue, espérant, en secret, que Rabat comprenne que le dossier des frontières fermées est intimement lié au recouvrement des droits des algériens, ayant résidé au Maroc, qui ont été dépossédés en masse de tous leurs biens.
Et la facture n’est pas mince. Près de deux milliards d’euros de biens, au coût actuel du foncier marocain, nous renseigne que le dossier est imposant. Ces familles algériennes qui ont longtemps patienté, eu égard à la volonté d’Alger de ne pas gêner son voisin marocain afin de sauver ce qui reste de l’UMA, n’en peuvent plus. Elles ont décidé d’aller là où le droit, national ou international, le permet afin de faire valoir leurs droits. Des indemnisations en bonne et due forme sinon rien, et que Rabat reconnaisse une des plus sombres affaires de son histoire avec l’Algérie.



Dernière édition par admin le Lun 5 Avr - 0:38, édité 2 fois

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2Dossier : Algerie-Maroc Empty Re: Dossier : Algerie-Maroc Dim 4 Avr - 12:38

admin"SNP1975"

admin
Admin

Les terres d’Algériens spoliés au Maroc valent deux milliards d’euros
Par : MERZAK TIGRINE


Au prix actuel de l’hectare au Maroc, 100 000 euros, un petit calcul nous indiquera que les terres d’Algériens spoliés par le royaume alaouite sont estimées à 17 000 hectares et représentent une véritable fortune, soit près de 2 milliards d’euros, pour le Makhzen qui refuse d’entendre parler d’indemnisations, quitte à bloquer les relations bilatérales avec l’Algérie, laquelle veut un traitement global des contentieux entre les deux parties, dont cette question.

Entre l’Algérie et le Maroc, les rapports se limitent au strict minimum, non seulement en raison du conflit du Sahara occidental, mais notamment à cause des autres contentieux en suspens, comme cette affaire des terres d’Algériens spoliés au Maroc depuis maintenant trente-cinq années en violation de tous les accords et traités entre les deux pays, notamment celui d’Ifrane, qui accordent aux ressortissants marocains et algériens les mêmes droits des deux côtés de la frontière. Cet entêtement des responsables marocains de refuser de traiter globalement tous les dossiers en suspens entre les deux États, comme le réclame Alger, mène à un blocage total, et de facto, le maintien de la frontière fermée, alors que le royaume chérifien fait une fixation sur sa réouverture. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre cette exigence de Rabat. La libre circulation des ressortissants des deux pays par voie terrestre a des retombées économiques très importantes pour la monarchie marocaine, car nul n’ignore que la contrebande de tous les produits, y compris alimentaires et les carburants, représente une activité très lucrative pour la population du Maroc oriental. D’ailleurs, depuis la fermeture de la frontière algéro-marocaine en août 1994, suite à l’attentat de Marrakech, cette région du Maroc est plongée dans une crise économique dramatique.

Les terres d’Algériens spoliés représentent une fortune pour le makhzen
N’ayant aucune intention de régler cette affaire des terres spoliées en raison de leur valeur, le Maroc fait la sourde oreille. Selon une source bien au fait de ce dossier, le Makhzen ne veut pas le rouvrir, parce que les terres en question valent une fortune, en plus des revenus qu’elles génèrent. En effet, il s’agit de terres à caractère purement agricole, plantées en majorité d’agrumes, qui rapportent des bénéfices incommensurables en devises sonnantes et trébuchantes au Makhzen.
On apprendra que le total des terres d’Algériens spoliés au Maroc s’élèvent à 17 000 hectares, et qu’actuellement l’hectare est cédé dans ce pays à 100 000 euros. Un simple petit calcul nous fera savoir qu’à ce prix, les terres objet du contentieux rapporteraient près de deux milliards d’euros si elles étaient mises en vente. C’est aussi ce qui devrait être versé à leurs propriétaires algériens en guise d’indemnités en application des accords et autres traités conclus entre les deux gouvernements pour réglementer la présence des ressortissants algériens au Maroc et marocains en Algérie. En plus de l’indemnisation que l’État marocain a toujours refusé de verser à nos compatriotes pour la valeur des parcelles de terre, dont ils ont été illégalement dépossédés, ces derniers doivent également percevoir une indemnité pour la jouissance dont ils ont été privés durant toutes ces décades. Sur ce point, il ne fait aucun doute que les montants des rentes de ces terres doivent s’élever à des chiffres astronomiques, particulièrement pour les parcelles plantées d’arbres fruitiers, notamment d’agrumes.
Certes, on chicanera sur les chiffres du côté marocain, en contestant ceux fournis par les Algériens, mais l’important est que l’on accepte d’ouvrir cet épineux dossier et le régler en application des textes de loi signés par les deux parties, notamment la convention d’établissement.

La convention d’“établissement” du 15 mai 1963
Dans la perspective de normaliser les relations entre les deux pays, suite aux conséquences regrettables de la “guerre des sables” au début de l’année 1963, les responsables algériens et marocains procédèrent à la signature d’un certain nombre d’accords et de traités, dont la Convention d’établissement le 15 mai de la même année. Celle-ci, comme l’indiquent ses articles 2 et 5, assure les mêmes droits que les nationaux aux ressortissants des deux États installés chez le voisin. L’article 2 stipule que “chacune des parties contractantes s’engage à traiter les nationaux de l’autre partie selon les principes de réciprocité et de non-discrimination par rapport à ses propres nationaux”. Quant à l’article 5, il précise que “chacune des deux parties s’engage dans le cadre de sa législation et la réglementation applicable à ses propres nationaux à reconnaître aux nationaux de l’autre partie le libre exercice de tous les droits économiques, l’égalité fiscale et l’accès à la propriété immobilière et aux professions réglementées”. En pratique, la partie marocaine a violé toutes ces dispositions, avant même l’éclatement du conflit du Sahara occidental à l’origine de la détérioration des relations algéro-marocaines.

Rabat a failli à ses engagements dès le début
Selon les témoignages des Algériens concernés par l’affaire des terres spoliées, leurs tourments ont commencé dès 1963, parce qu’ils ont fait l’objet de mesures iniques et injustes. Certains ont fini par céder à la pression en optant tout simplement pour la nationalité marocaine afin de pouvoir préserver leurs biens. La situation a empiré dès 1973 avec les premiers signes d’une crise algéro-marocaine avec le début du conflit sur le Sahara occidental.
La rupture des relations diplomatiques entre Alger et Rabat a été mise à profit par les autorités marocaines, qui ont fait des Algériens résidant au Maroc la cible principale des opérations de nationalisation des terres, sans aucune indemnisation en contrepartie, qui n’a cependant pas touché les Tunisiens. Seuls les colons français ont été indemnisés. L’application de cette “marocanisation” des terres a été accompagnée par du mépris et de la vexation envers les Algériens. En outre, bien que les terres non agricoles ne fussent pas concernées par l’opération, le Makhzen usa de motifs fallacieux pour nationaliser celles appartenant aux Algériens, ou les déprécier en les incluant dans des parcelles agricoles en violation de la loi. Par ailleurs, pour tous les projets de construction d’écoles et autres établissements publics, les autorités municipales se faisaient un plaisir d’implanter le site sur les terres des Algériens.
Ceci étant, tous les accords signés entre l’Algérie et le Maroc sont foulés au pied par l’administration marocaine.
À titre d’exemple, les autorisations de séjour délivrées aux étrangers au Maroc sont valables pendant une durée de dix années, sauf pour les Algériens qui n’ont droit qu’à une seule année, en plus des conditions de renouvellements draconiennes avec démarches humiliantes. Ces pratiques sont encore utilisées à ce jour...

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3Dossier : Algerie-Maroc Empty Re: Dossier : Algerie-Maroc Dim 4 Avr - 12:43

admin"SNP1975"

admin
Admin

<DIV class=titres_noir align=left>Contentieux entre l’Algérie et le Maroc

Rabat a tout à gagner dans l’affaire Par :


Merzak T.



Il ne fait aucun doute que la fermeture de la frontière algéro-marocaine nuit à l’économie du Makhzen, qui ne rate aucune occasion de réclamer sa réouverture, sans cependant faire le moindre geste pour y parvenir en acceptant de discuter de tous les contentieux, comme le demande l’Algérie.




En dépit de l’importance vitale pour son économie de l’ouverture de la frontière, Rabat ne fait aucun effort pour convaincre l’Algérie d’accepter cette requête. En effet, elle ne veut rien offrir en contrepartie, alors qu’Alger exige un apurement de tous les contentieux existant entre les pays pour rouvrir la frontière, fermée en août 1994 suite aux attentats de Marrakech qui avaient vu le gouvernement marocain accuser l’Algérie d’en être responsable. Plus grave, le makhzen avait même décidé d’instaurer le visa pour les ressortissants algériens désireux se rendre au Maroc, d’où l’application d’une mesure réciproque par Alger. Bien que celle-ci ait été levée de part et d’autre par la suite, la frontière demeure toujours fermée parce que la partie algérienne veut un règlement de tous les dossiers en instance entre les deux pays, avant d’aborder enfin cette question. Alger reste convaincue que le projet de l’Union du Maghreb arabe ne peut aboutir sans un assainissement global de tous les dossiers restés en suspens ces dernières années entre l’Algérie et le Maroc. Pour rappel, Noureddine Yazid Zerhouni, ministre algérien de l’Intérieur, avait clairement averti, en réponse aux nombreux appels de ses homologues marocains à la réouverture de la frontière, qu’“il ne s'agit pas de construire un Maghreb où les uns gagnent et les autres perdent. Le Maghreb ne se limite pas seulement au Maroc et à l'Algérie. Il faut que tous les peuples qui se trouvent dans cet ensemble trouvent leur place”. Il avait également dit que la question était liée à “une approche globale” de l'avenir du Maghreb, ajoutant que “le problème de la circulation des biens et des personnes aux frontières entre l'Algérie et le Maroc ne peut être dissocié d'une approche globale de ce que nous voulons faire de notre Maghreb”. Zerhouni avait aussi demandé à Rabat de présenter des garanties en soulignant que “la réouverture s’opère par une simple décision, mais là n’est pas le problème. Pour une telle éventualité, il faut que le citoyen algérien, une fois sur le territoire du royaume, ait les garanties pour circuler librement et dans la dignité”. Pour en revenir aux questions devant être réglées en priorité entre les deux parties, figure celle des terres des Algériens spoliées au Maroc, que ce dernier refuse d’indemniser alors que tous les autres ressortissants étrangers, qui ont été victimes de cette expropriation, l’ont été. Dans ce cadre, il y a lieu de relever que dans le cas où Rabat accepterait de trouver une solution à cette question des terres, que ce soit leur restitution ou l’indemnisation des propriétaires, tout indique qu’elle sera la principale bénéficiaire, car en contrepartie, elle obtiendra la réouverture de la frontière, laquelle permettra au Maroc oriental de retrouver son activité économique.


Le Maroc oriental ressuscitera
Pour rappel, la mesure de la fermeture de la frontière a eu l’effet d’un séisme financier pour le Maroc oriental, dont les opérateurs économiques réalisaient jusque-là annuellement avec l’Algérie un chiffre d’affaires estimé à plusieurs centaines de millions de dollars. Ce fut la ruine pour l’économie de cette partie du Maroc, sans parler des familles qui ne vivaient que de la contrebande de produits algériens. Depuis 1994, les conditions de vie se sont énormément dégradées dans les villes limitrophes de l’Algérie, notamment Oujda. Il en résultera la multitude d’appels en direction du gouvernement marocain afin de tout faire pour la réouverture de la frontière. Certes, la contrebande, surtout de carburants, bat son plein, malgré toutes les mesures des services de sécurité algériens, mais cela ne suffit pas. Si le chiffre d’affaires du commerce informel à travers la contrebande est estimé à près d’un demi-milliard de dollars par an en faveur du Maroc, la réouverture de la frontière rapportera au Makhzen entre deux et trois millions d’euros/jour, soit pas loin d’un milliard d’euros annuellement. Ainsi, la partie orientale du Maroc ne ressuscitera économiquement que si la frontière est ouverte de nouveau. Cela explique pourquoi les responsables marocains ne ratent aucune occasion d’insister pour qu’Alger accède à cette requête. Pour ce faire, les responsables marocains devront se mettre autour d’une table avec leurs homologues algériens pour traiter toutes les affaires en suspens, dont celle des terres des Algériens spoliées en violation des accords bilatéraux en la matière. Rabat posera, sans aucun doute, l’affaire des Marocains expulsés d’Algérie après la crise de 1975 entre les deux pays en raison du conflit du Sahara occidental. Ce cas-là est totalement différent de celui des Algériens dépossédés de leurs terres au Maroc, parce que les Algériens sont des propriétaires alors que l’écrasante majorité des Marocains renvoyés chez eux, par mesure de réciprocité après les représailles du Makhzen contre nos ressortissants, étaient des travailleurs, particulièrement dans l’agriculture “khamassine”, ne possédant pratiquement pas de biens en Algérie.


Le royaume chérifien bénéficiera du flux de touristes algériens
Outre les bénéfices que tirera la partie orientale du Maroc de la réouverture de la frontière, ce pays pourra également profiter d’une autre manne financière très importante que lui apporteront les touristes algériens. Ces derniers, qui se rendent actuellement en Tunisie en raison des facilités qui leur sont offertes, comme la possibilité de se déplacer par route, seront fort nombreux à se diriger vers l’Ouest une fois la possibilité de s’y rendre par voie terrestre devenue effective. Bien que jusqu’à maintenant, ils ne puissent se rendre au Maroc que par avion, ce qui leur revient cher, les Algériens qui ont les moyens n’hésitent pas à y aller. C’est dire qu’ils seront des centaines de milliers à changer de destination, car nul n’ignore les affinités existant entre les Algériens et les Marocains en dépit de tous les problèmes politiques entre les gouvernements algérien et marocain. Il va sans dire que la ruée des touristes algériens vers l’Ouest serait vue d’un très bon œil par nos voisins, car elle contribuera à agrandir les revenus du tourisme dans ce pays, où ce secteur jouit d’un intérêt particulier de la part de l’État, pour la simple raison qu’il représente sa plus importante source de rentrée financière.
Il appartient donc au Makhzen de faire le nécessaire pour que des discussions sérieuses soient entamées par les deux capitales dans les meilleurs délais parce qu’ils ne fait aucun que doute que sans le dialogue, rien ne sera réglé, d’autant plus qu’il semble exister un accord tacite pour laisser de côté le conflit du Sahara occidental.



Dernière édition par admin le Dim 4 Avr - 12:45, édité 1 fois

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4Dossier : Algerie-Maroc Empty Re: Dossier : Algerie-Maroc Dim 4 Avr - 12:44

admin"SNP1975"

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Suite et fin

TLEMCEN
L’opération de recensement bat son plein
Par : ALI MOUSSA JAMAL
Lu : (384 fois)

De nombreuses familles algériennes, implantées le long du tracé frontalier séparant l'Algérie du Maroc, dans la wilaya frontalière de Tlemcen, ont demandé récemment d'être rétablies dans leur droit en réclamant la restitution de leurs terres annexées par le royaume marocain. Plusieurs habitants de l'extrême ouest du pays, en particulier ceux de la localité de Roubane, dans la daïra des Béni Boussaïd (Tlemcen), ont été recensés par la Gendarmerie nationale qui leur a demandé de lui remettre tous les documents en leur possession prouvant le droit de propriété de leurs terres spoliées par le Gouvernorat d'Oujda (Maroc oriental).
Selon notre source d'information, ce ne sont pas moins d'une dizaine de propriétaires terriens roubanis qui revendiquent plus d'une vingtaine d'hectares de terres spoliées par leurs voisins marocains. Seulement six d'entre eux ont présenté des actes de propriété, nous dit-on. Du côté des localités frontalières de O. Ziane, O. Mellouk, Atamna, Zerriga et Akid-Lotfi, situées dans le périmètre irrigué de la plaine de Maghnia, la Gendarmerie nationale a enregistré de nombreux cas comme, par exemple, celui des familles Bouhassoune et Mezzouar qui revendiquent à elles seules, titres de propriété en main, pas moins d'une dizaine d'hectares spoliés. Cette opération de recensement, qui demande beaucoup de temps et de moyens, s'est cependant révélée un peu plus compliquée que prévu, révèle une source proche de la Gendarmerie nationale, pour la bonne raison que de nombreuses familles algériennes, implantées dans ce périmètre, avaient fait l'objet d'une opération de remembrement qui a laissé de graves séquelles au terme de l'échange des terres en 1974. L'administration de l'époque n'ayant pas jugé utile d'annuler les actes des anciens propriétaires au profit des nouveaux. Cette situation a créé un véritable imbroglio au niveau de la bande frontalière empêchant de nombreux propriétaires d'être rétablis dans leur droit, faute de documents pouvant prouver leur droit à la propriété et la contenance de leurs biens fonciers, nous révèle notre source.


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5Dossier : Algerie-Maroc Empty Re: Dossier : Algerie-Maroc Dim 4 Avr - 21:09

admin"SNP1975"

admin
Admin

"Il ne veut pas comprendre que le royaume n'est pas enthousiasmé par ce drame.
C'est une boite à condor. En l'ouvrant, c'est le royaume qui doit être mis aux bancs des accusés . Ce sont des milliers d'hectares de terres agricoles appartenant aux algériens du maroc qui ont été spoliés par Rabat en 1963 et 1973. Contrairement aux marocains d'Algérie qui étaient des locataires des biens vacants en générale.

Les marocains d'Algérie occupent actuellement des postes de gardiens "Chaouch " dans les administrations marocaines. Par contre les expropriés algériens occupent actuellement des fonctions à la tête de l'état."

On peut citer à titre d'exemple de ces familles spoliées de grands dignitaires du régime algérien post independance étaient des fils de grands propriétaires fonciers algériens installés au Maroc .


- famille kasdi merbah possedait plus 270 h des meilleurs terres de la plaine chrarda à sidi kacem.

_ famille cherif belkacem théoricien du regime de boumedienne l, des centaines d'hectares à Tadla

- famille Belhaj ou benbouabdallah dont l'actuel fils est le patron d'air Algerie et le petit fils chef du parti Liberté citoyenne au maroc , des centaines d'hectares dans la plaine irriguée de Trifa et Berkane.

famille Zerhouni proche de l'actuel ministre de l'interieur , des centaines d'hectare à Meknes.


SNP

Je ne me suis pas trompé en écrivant ce commentaire ci-dessous le 20 mars 2010 sur ce lien :

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Il n y a pas si longtemps (Djamel M.) pretendant être un haut fonctionnaire du ministère des affaires étrangères du royaume m'a contacté . Il m'a proposé de travailler avec son service en utilisant notre drame de déportes pour le compte du Maroc.
Je lui ai posé la question sur les causes de la fermeture des frontières algéro-marocaines.
Il m'a dit " ce n'est pas le problème sahraoui qui bloque l'ouverture des frontières. Le problème réside dans le contentieux des terres et des fermes spoliées.

http://www.marocainsdalgerie.net

6Dossier : Algerie-Maroc Empty Re: Dossier : Algerie-Maroc Lun 5 Avr - 15:14

MJB



admin a écrit:"Il ne veut pas comprendre que le royaume n'est pas enthousiasmé par ce drame.
C'est une boite à condor. En l'ouvrant, c'est le royaume qui doit être mis aux bancs des accusés . Ce sont des milliers d'hectares de terres agricoles appartenant aux algériens du maroc qui ont été spoliés par Rabat en 1963 et 1973. Contrairement aux marocains d'Algérie qui étaient des locataires des biens vacants en générale.

Les marocains d'Algérie occupent actuellement des postes de gardiens "Chaouch " dans les administrations marocaines. Par contre les expropriés algériens occupent actuellement des fonctions à la tête de l'état."

On peut citer à titre d'exemple de ces familles spoliées de grands dignitaires du régime algérien post independance étaient des fils de grands propriétaires fonciers algériens installés au Maroc .


- famille kasdi merbah possedait plus 270 h des meilleurs terres de la plaine chrarda à sidi kacem.

_ famille cherif belkacem théoricien du regime de boumedienne l, des centaines d'hectares à Tadla

- famille Belhaj ou benbouabdallah dont l'actuel fils est le patron d'air Algerie et le petit fils chef du parti Liberté citoyenne au maroc , des centaines d'hectares dans la plaine irriguée de Trifa et Berkane.

famille Zerhouni proche de l'actuel ministre de l'interieur , des centaines d'hectare à Meknes.


SNP

Je ne me suis pas trompé en écrivant ce commentaire ci-dessous le 20 mars 2010 sur ce lien :

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Il n y a pas si longtemps (Djamel M.) pretendant être un haut fonctionnaire du ministère des affaires étrangères du royaume m'a contacté . Il m'a proposé de travailler avec son service en utilisant notre drame de déportes pour le compte du Maroc.
Je lui ai posé la question sur les causes de la fermeture des frontières algéro-marocaines.
Il m'a dit " ce n'est pas le problème sahraoui qui bloque l'ouverture des frontières. Le problème réside dans le contentieux des terres et des fermes spoliées.
.


En 1963, aprés la guerre des sables, aussi bien les gouvernants d'alger que ceux de rabat ont expulsés des pauvres citoyens inocents.


Les uns et les autres ont laissé leurs biens en algerie et au maroc, je ne sais si les expulsés marocains se sont retournés en algerie pour recuperer ou vendre leurs biens laissés derriére eux, mais la plupart des algeriens expulsés du maroc se sont retournés au maroc pour recuperer leurs biens et ou les vendre comme le cas de la famille Zerhouni qui avait une maison en face de la synagogue et une boutique à cote du marché à Ahfir et qui a été achetée par Haj Yachou.


Quant à la famille BELHAJ:


Belhaj Med n'a pas du tout été touché.


Belhaj Hmida a été concerné par les terres recupérées pour la simple raison qu'il n'avait pas les papiers qu'ils fallaient sachant qu'il était FRANCAIS lorsqu'il s'est enrichi sur les dos des petits fellahs marocains qui l'entouraient, mais les terrains qu'il a cédés à ses proches comme le cas de Kandoussi son gendre à Saidia, ne fait pas partie.


 


NB:


- la famille Zerhouni d'Ahfir n'a rien à voire avec celle de Meknés qui est marocaine de pure souche.


- 100 000 Euros l'ha fait partie des films hindous

7Dossier : Algerie-Maroc Empty Re: Dossier : Algerie-Maroc Mar 6 Avr - 14:37

MJB



En 1963, aprés la guerre des sables, aussi bien les gouvernants d'alger que ceux de rabat ont expulsés des pauvres citoyens inocents.
Les uns et les autres ont laissé leurs biens en algerie et au maroc, je ne sais si les expulsés marocains se sont retournés en algerie pour recuperer ou vendre leurs biens laissés derriére eux, mais la plupart des algeriens expulsés du maroc se sont retournés au maroc pour recuperer leurs biens et ou les vendre comme le cas de la famille Zerhouni qui avait une maison en face de la synagogue et une boutique à cote du marché à Ahfir et qui a été achetée par Haj Yachou.
Quant à la famille BELHAJ:
Belhaj Med n'a pas du tout été touché.
Belhaj Hmida a été concerné par les terres recupérées pour la simple raison qu'il n'avait pas les papiers qu'ils fallaient sachant qu'il était FRANCAIS lorsqu'il s'est enrichi sur les dos des petits fellahs marocains qui l'entouraient, mais les terrains qu'il a cédés à ses proches comme le cas de SNOUSSI son gendre à Saidia,et vendu entre autres à RAHMANI CHEIKH à AAICHOUNE n'ont pas été touchés.

NB:
- la famille Zerhouni d'Ahfir n'a rien à voire avec celle de Meknés qui est marocaine de pure souche.
- 100 000 Euros l'ha fait partie des films hindous.

- la famille Kasdi Merbah n'etait aussi riche que ça.
- en 1975 contrairement à l'algerie, le GVR maarocain n'a expulsé aucun algerien, feu BOUM.et BOUTEF se sont profondement tropmpés en croyant que le maroc allait faire la mme chose.


 


ADMIN


 


 


Mon Cher, MJB


 


Je me suis autorisé à fusionner ton billet avec le dossier Algérie Maroc pour ne pas perdre le fil de la discussion


 


Merci pour votre compréhension

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