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MEHENNI LE TRAITRE KABYLE

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1MEHENNI   LE  TRAITRE  KABYLE Empty MEHENNI LE TRAITRE KABYLE Jeu 22 Avr - 1:55

slimane

slimane

POUR  BIEN  COMPRENDRE  LES  CHOSES .............................!!!


 


Des sources dignes de foi ont révélé à Echorouk que les services de renseignement marocains ont mis à la disposition du chanteur Ferhat Meheni des « commissions financières » en contre partie de sa « Coopération » avec ses services.
Des détails de ce « financement» dont bénéficie le chef de « MAK » ont indiqué que Meheni perçoit des milliers d’euros en guise des renseignements qu’il fournit aux appareils des services de renseignement marocain.
Des sources bien informées ont révélé que Ferhat Meheni perçoit une mensualité qui s’élève à 13 mille euros, soit près de 145 millions de centimes et ce depuis le mois d’octobre de l’année 2008. Cette somme la perçoit des mains de Toudjni Mohamed Reda, président d’une association inconnue appelée « Sahara Marocain », connu pour être l’intermédiaire entre Ferhat Meheni et les services de renseignements marocains.
Ferhat Meheni aurait empoché une somme d’une valeur de 50 milles euros pour les bulletins et affiches publicitaires en France, que ce soit pour la médiatisation du « MAK » ou bien « L’autonomie » du Sahara marocain.
Le chef du MAK a empoché aussi une somme estimée à 200 milles euros pour l’impression des tracts dans les régions environnant Paris, en coordination avec un éditeur connu en France, cherchant à se frayer une place à Marrakech. Cet éditeur possède, réellement, du mobilier et des propriétés à Marrakech et dans quelques villes marocaines.
Les services de renseignement marocains ont versé un montant de 30 milles dollars canadien dans la poche de son « ami » Ferhat Meheni, pour qu’il puisse s’acquitter de ses dettes qu’il avait cumulées lorsqu’il était à Montréal, et qui concernent la location des salles et des factures de la restauration et les bars.
Selon les mêmes sources, les services de renseignements marocains ont consacré 40 milles euros pour des activités en relation avec l’Union Européenne. Cette somme a été allouée à M. Claude Monique, président du Centre Européen des Etudes Stratégiques, et qui n’est réellement qu’une cellule appartenant aux appareils des renseignements marocain.
Et en contre partie de ces sommes faramineuses, le MAK a été chargé des tâches suivantes :
1- Animation d’une campagne médiatique, accompagnée de la publication d’articles rédigés par des journalistes Marocains et des Français, connus pour leurs séjours réguliers au Maroc, où ils gèrent leurs affaires.
2- Faire bouger la Commission des droits de l’homme appartenant aux Nations Unies, sous l’égide de l’ambassadeur du Maroc à Genève, où Ferhat Meheni avait pour mission d’éradiquer la résistance sahraouie et les enquêtes ouvertes contre les opprimés au Sahara Occidental, entre autres Aminatou Haidar.
3- Selon les informations disponibles, le chanteur Ferhat Meheni s’est proposé de coopérer avec les services de renseignements marocains. Ces derniers avaient acceptée sa proposition en contre partie de lui verser des sommes importantes dans le cadre de la médiatisation et de la concrétisation du projet minable, à savoir « L’autonomie » proposée par le Maroc comme seule solution pour la question du Sahara Occidental qui réclame son indépendance.
Afin d’encourager son « espion », les services de renseignements marocains ont donné feu vert à Ferhat Meheni et son mouvement pour réclamer « l’autonomie » de la Kabylie et pourquoi pas son « indépendance », en l’identifiant à la cause du Sahara Occidental.
A rappeler que le roi Mohamed …. Avait déclaré en 2003 que « le Maroc refuse d’emblée toutes les autres solutions à part l’autonomie et l’Algérie doit l’accepter. »
Dans le même contexte, des informations concordantes ont parlé d’une réunion douteuse à laquelle des agents du Mossad ont assisté. Meheni s’était réuni avec le conseiller politique israélien. La radio « Voix d’Israël » avait diffusé, en direct, une émission sur « la Grande Kabylie » et « l’autonomie » de la région. La version arabe de cette émission a permis l’intervention de personnalités médiatiques marocaines et des associations pro-gouvernementales marocaines. L’Algérie a été accusée de ce qu’on a appelé « l’interdiction de l’autodétermination de la Kabylie ». Les intervenants ont essayé de faire une comparaison avec l’opposition de l’Algérie au principe de l’autonomie du Sahara Occidental.
Ferhat Meheni a annoncé, avant-hier, la « fondation de son gouvernement » préparant ainsi son projet « l’autonomie de la Kabylie » qui est tombé à l’eau. Ce projet a été rejeté par la population et les notables de la région, qui demeure l’un des fiefs de la révolution de libération. Dans le sillage de ses déplacements suspects à l’étranger, notamment dans quelques unes de ses bases arrières, le chef du MAK a été reçu le mois de mars dernier par les services du ministère français des affaires étrangères, où il a eu le privilège de rencontrer la responsable du département Algérie au niveau du ministère français des AE.
Un communiqué du « MAK » a révélé que la rencontre qui avait eu lieu entre Ferhat Meheni, accompagné par Arezki Boussaid et Djamila Amgoud, respectivement chef de bureau à Paris et membre du bureau exécutif, a tourné essentiellement des relations dégradées entre Paris et la Kabylie.
Vu les mensonges qui dépassent tout entendement, Ferhat Meheni a fait appel aux responsables français sur ce qu’il a qualifié de « Protection de la Kabylie ». Cette invitation « honteuse » est un appel à une ingérence dans les affaires internes de l’Algérie, sachant que ce chanteur s’est déjà rendu à deux reprises en Israël, muni d’un faux passeport sous un faux nom « Kari Lewis » via l’aéroport de Tel Aviv (..) D’ailleurs, la diplomate israélienne ne s’est pas gênée à dire que Ferhat Meheni est « un ami très important aux yeux des autorités israéliennes dans le cadre du soutien aux minorités berbères en Algérie, au Maroc, en Tunisie et en Libye. »


 


MAINTENANT   TOUT  EST  CLAIR  ET  LIMPIDE...............................!!!



2MEHENNI   LE  TRAITRE  KABYLE Empty Re: MEHENNI LE TRAITRE KABYLE Jeu 22 Avr - 1:59

slimane

slimane

C'est une espèce de Kabyle qui se débrouille bien pour toucher des sous pour rien ..! le dindon de la farce c'est qui ???..................mais bien sûr.............le maroc !!!

3MEHENNI   LE  TRAITRE  KABYLE Empty Re: MEHENNI LE TRAITRE KABYLE Jeu 22 Avr - 10:35

admin"SNP1975"

admin
Admin

Proclamation du premier Gouvernement Kabyle Provisoire (GPK)


Le peuple kabyle est une fois de plus au rendez-vous avec l’Histoire.
Depuis l’indépendance de l’Algérie, La Kabylie est confrontée à l’Etat algérien, investi par les « armées des frontières » et leur pouvoir criminel, raciste et antikabyle.
Ainsi, dès 1963, ce dernier mena une guerre contre elle et tua pas moins de 400 de ses enfants en moins de six mois.
La stigmatisation du Kabyle est devenue, au fil des ans, des décenies, la seule constante de la politique interne du régime d’Alger.
Les Kabyles sont, depuis cette date, sournoisement et indistinctement désignés à la vindicte nationale en tant que « séparatistes », « ennemi interne » ou « Juifs »…
Leurs cadres sont bloqués dans leur ascension hiérarchique malgré leurs très grandes compétences. Leurs leaders politiques sont exilés ou assassinés.
Leur langue, leur identité et leur culture sont déclarées subversives dans un pays qu’ils ont pourtant libéré du colonialisme.
Leur territoire n’a pas d’existence légale.
Leur espace social et territorial est livré à une surveillance digne de celle qu’exerçait en son temps, la Gestapo en Europe pour traquer les Juifs.
L’économie de la Kabylie est sabotée en permanence. Le nombre de projets industriels qui lui sont refusés et détournés vers d’autres régions d’Algérie se comptent par centaines, voire par milliers. Ces jours-ci, même une aide de 500.000$ US de gouvernement canadien devant servir à des objectifs écologiques, lui a été refusée.
La Kabylie est soumise à une pratique fiscale discriminatoire pour écumer toute plus value susceptible d’être réinvestie dans son économie.
Quadrillée militairement, elle est livrée à l’insécurité et aux terroristes venant d’ailleurs. Ce sont les citoyens qui, à trois reprises, ont fait libérer des personnes kidnappées par des terroristes pour rançon. On se demande comment se fait-il que la Kabylie qui ne représente que 2% du territoire algérien reçoive 30% des troupes militaires ?
Le territoire boisé de la Kabylie est régulièrement soumis à des incendies qui sont officiellement justifiés au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste. Il se trouve que ce sont nos oliveraies qui en sont la cible prioritaire.
En 2001, des corps de sécurités algériens ont tiré sur nos enfants faisant, au dernier décompte, pas moins de 127 morts et des milliers de blessés.
Aujourd’hui, c’est avec émotion et gravité que nous jetons un regard sur ce parcours jalonné de luttes et de souffrances quotidiennes, de révoltes et de soubresauts réguliers : 1963, 1980, 1985, 1988, 1994, 1998, 2001.
Cantonnés depuis le « printemps berbère » de 1980, dans une demande strictement linguistique, nous avons franchi le pas de la revendication autonomiste, le jour où le régime algérien, tira sur nos enfants au « printemps noir » en 2001.
En juin 2008, par voie postale depuis un village de Kabylie, le MAK a adressé une demande officielle d’une autonomie régionale aux plus hautes instances de l’Algérie. Elle était assortie d’une proposition d’un référendum pour en vérifier la légitimité.
Une lettre de rappel lui a été envoyée par le biais de l’Ambassade d’Algérie à Bruxelles, le 25 février, fixant le 20 avril comme date butoir à une réponse officielle.
Le Conseil du MAK en Kabylie en a validé fin mars 2010 la teneur et la proposition de création d’un Gouvernement Provisoire Kabyle, comme cela a été repris dans la déclaration du Comité Exécutif du 03/04/2010.
Cette échéance du 20 avril est aujourd’hui derrière nous.
Conformément à nos mises en garde lancées aux autorités algériennes,
Conformément à nos engagements devant le peuple kabyle,
Respectueux de la volonté de la Kabylie qui a massivement répondu à notre appel aux trois marches de la liberté de ce 20 avril 2010 à Vgayet, Tuvirett et Tizi-ouzou,
En ma qualité de président du Mouvement pour l’Autonome de la Kabylie
J’ANNONCE SOLENNELLEMENT LA CREATION D’UN GOUVERNEMENT PROVISOIRE KABYLE (GPK).
Il aura pour mission de mettre en place les institutions officielles de la Kabylie et de représenter celle-ci auprès de la communauté internationale. Il durera jusqu’à la reconnaissance officielle de la Kabylie en tant que peuple et en tant que nation par l’Etat algérien.
Son architecture et son fonctionnement sont confiés à une Commission de réflexion présidée par Lyazid Abid.
Pour en renforcer la légitimité, j’ai créé une Commission de Dialogue et de Consultations (CDC) pour prendre langue avec les organisations politiques, le monde associatif et les personnalités kabyles susceptibles de donner noms, avis et conseils pour la constitution de ce Gouvernement dans un délai ne pouvant excéder un mois.
En France, J’en ai confié la responsabilité à Mme Djouhra Abouda.
Elle sera secondée par MM : Idir Djouder, Mouloud Merhab, Dani Ivurrayen
En Kabylie, la présidence en revient à une personnalité dont nous préférons taire le nom pour des raisons de sécurité évidentes.
Un site internet officiel de ce GPK sera rendu public dans les prochains jours.

En ce 21 avril 2010, en vertu des responsabilités historiques qui sont les miennes, devant les hommes et devant l’Histoire, je proclame la création du premier Gouvernement Kabyle.
Par cette proclamation, nous confirmons la prophétie de Mouloud Mammeri confiée à la plume de Tahar Djaout :
« Quels que soient les obstacles que l’histoire lui apportera, c’est dans le sens de sa libération que mon peuple ira ! »
Vive la Kabylie !
Vive le peuple kabyle !
Vive le gouvernement kabyle !

Ferhat Mehenni


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4MEHENNI   LE  TRAITRE  KABYLE Empty Re: MEHENNI LE TRAITRE KABYLE Jeu 22 Avr - 18:11

admin"SNP1975"

admin
Admin

ans après le «Printemps berbère», un gouvernement provisoire en exil est créé.

La Kabylie, a renoué avec les démonstrations de rue pour commémorer le 30e anniversaire du «Printemps berbère».
Le 10 mars 1980, l'interdiction d'une conférence de l'écrivain Mouloud Mammeri sur la «poésie kabyle ancienne» avait mis le feu aux poudres. Dès le lendemain, les étudiants descendaient dans la rue pour dénoncer l'oppression frappant la langue et l'identité berbères, et revendiquer le respect des libertés. Une première dans l'Algérie indépendante muselée par le régime du parti unique; face à l'idéologie officielle, le «socialisme arabo-islamique», l'insurrection citoyenne risquait de s'écraser contre un cocktail d'autoritarisme soviétique et de despotisme oriental.
Le 20 avril 1980, à 5 heures du matin, la police intervient violemment pour déloger les étudiants des campus occupés. Le bilan se chiffre en centaines de blessés et en dizaines d'arrestations. Solidaire, la population dresse des barricades et toute la Kabylie s'embrase pendant quatre jours.
Ce «Printemps berbère», qui a vaincu la peur, sera le prélude à une série de soulèvements sporadiques dans plusieurs régions d'Algérie, qui culmineront avec les événements sanglants d'octobre 1988.
Durant la guerre civile des années 1990, la Kabylie résiste sur deux fronts. Hostile au pouvoir autoritaire comme aux islamistes, elle réussit à sauvegarder quelques espaces de liberté. Une nouvelle provocation mettra un terme à cette posture singulière. Un lycéen, tué le 18 avril 2001 d'une rafale de Kalachnikov dans une brigade de gendarmerie, plonge la région dans le chaos. 126 morts, des centaines de blessés, handicapés à vie. Un fleuve de sang sépare désormais la Kabylie du pouvoir central.
Livrée à l'insécurité, au terrorisme et à la délinquance, la région rebelle, devenue un territoire de non-droit, est réduite à l'impuissance.

Un nouveau pas


Mardi, dans les rues de Tizi-Ouzou, les grandes foules, sans doute revenues de leurs illusions, n'étaient pas au rendez-vous. À peine quelques milliers de manifestants ont entendu l'appel du Rassemblement pour la culture et la démocratie, mais surtout du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie. Créé en juin 2001, le MAK répond aux frustrations d'une jeunesse sans repères, qui croit de moins en moins au combat pacifique de ses aînés dans le cadre d'une «Algérie, une et indivisible». Dans un climat politique délétère marqué par des manipulations multiformes, il n'est pas toujours facile de distinguer la passion militante des uns, des provocations policières des autres, qui poussent aux dérapages.
Le président du MAK, Ferhat Mehenni, chanteur engagé et militant de la cause berbère depuis les années 1970, a brisé bien des tabous. Mercredi, lors d'une conférence de presse à Paris, il a franchi un nouveau pas: «J'annonce solennellement la création d'un gouvernement provisoire kabyle (GPK). Il aura pour mission de mettre en place les institutions officielles de la Kabylie, et de représenter celle-ci auprès de la communauté internationale. Il durera jusqu'à la reconnaissance officielle de la Kabylie en tant que peuple et en tant que nation par l'État algérien.»
Ce «gouvernement provisoire», dont les «ministres» ne sont pas encore désignés, est loin de faire l'unanimité en Kabylie, y compris dans les milieux autonomistes. Si personne ne remet en cause l'intégrité de Ferhat Mehenni, exilé depuis avril 2009 après un mandat d'arrêt, nombre de militants Kabyles s'interrogent sur les objectifs de son entourage qui semble très influent. Certains de ses conseillers, prompts à la surenchère, travailleraient, dit-on, pour les services algériens, qui tentent d'instrumentaliser ainsi la région dans les jeux claniques du sérail.
le figaro


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5MEHENNI   LE  TRAITRE  KABYLE Empty Re: MEHENNI LE TRAITRE KABYLE Dim 25 Avr - 22:45

admin"SNP1975"

admin
Admin

Karim Tabou : « Le MAK est une diversion du pouvoir »

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Une conférence-débat a été animée vendredi après-midi par le premier secrétaire national du FFS, Karim Tabbou, à la salle des fêtes de la ville des Ouadhias.

Cette rencontre sur « La prise en charge effective de tamazight » a été mise à profit pour évoquer l’histoire contemporaine de l’Algérie. L’orateur reprendra le fil de la revendication amazigh, depuis 1949 jusqu’à l’indépendance, et reviendra sur la création de son parti et sur les maquis de 1963. « En 1962, le peuple a gagné la guerre, mais il a perdu la paix. Et, en voyant l’énorme dérive d’après-guerre, Hocine Aït Ahmed crée le FFS pour remettre le train sur les rails et rendre aux Algériens leurs droits et leur liberté confisqués. Hélas, le pouvoir d’alors a redoublé de férocité et de répression qui a coûté la vie à 400 de nos valeureux militants et la blessure de 3000 autres », a lancé le responsable du FFS qui est également revenu sur le printemps berbère, la création de la première Ligue des droits de l’homme en 1985, les événements de Constantine de 1986 et ceux de 1988.

« Malgré les multiples soulèvements et les cris de détresse du peuple, le pouvoir continue de gérer le pays par la violence, la répression et la division. Ce qui a engendré la tragédie nationale et qui a fait de l’Algérie un pays malade qui inquiète non seulement la population mais aussi tout le voisinage méditerranéen. » K. Tabbou s’est étalé sur la « déconfiture du pouvoir actuel », en mettant l’accent sur la décennie noire, les événements du printemps noir et les « différents scandales de l’ère de Bouteflika ». « En 2001, ce sont 126 jeunes qui ont été assassinés. Leur seul tort était de réclamer plus de droits et plus d’ouverture. Tous ces crimes demeurent à ce jour impunis. Dernièrement, c’est celui censé protéger les Algériens qui se fait assassiner. Que reste-t-il d’un pays qui règle ses différents par la gâchette ? », s’est-il interrogé.

Lors des débats, Karim Tabbou répondra à une question sur la prise en charge de tamazight : « Cette interrogation comporte deux dimensions : la première est d’ordre politique et la second est scientifique. En ce qui concerne le premier volet, nous devons tous œuvrer à mettre les moyens nécessaires à son épanouissement et nous sommes tous appelés à lutter pacifiquement et démocratiquement pour son officialisation. Quant au volet scientifique, laissons les spécialistes en la matière faire leur travail. » A une autre question relative à l’autonomie de la Kabylie prônée par le MAK, le premier secrétaire du FFS a répliqué : « Pour proclamer l’autonomie d’une région, il faut être autonome soi-même. Il n’y a pas d’Algérie sans la Kabylie et il n’y aura pas de Kabylie sans l’Algérie. »

El-Watan


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