L'un après l'autre les états "corrompus" corrigent leurs erreurs...
La République du Burundi a décidé de retirer sa reconnaissance à la pseudo Rasd, a annoncé, lundi à Rabat, le ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, M. Augustin Nsanze.
Cette décision a été prise "dans un souci d'encourager, à l'instar de nombreux autres pays, le processus onusien et la dynamique enclenchée par l'initiative marocaine d'autonomie", indique un communiqué conjoint entre le Royaume du Maroc et la République du Burundi.
Le ministre burundais "a fait part de son intention d'appuyer les efforts déployés sous les auspices des Nations unies, par le Secrétaire général et son Envoyé Personnel pour parvenir à une solution politique définitive et mutuellement acceptable à ce différend régional", ajoute la même source.
Dans ce contexte, les deux parties "ont décidé, conformément aux orientations des deux chefs d'État, S.M le Roi Mohammed VI et S.E. Pierre Nkurunziza, de renforcer le dialogue politique entre les deux pays, de donner une nouvelle impulsion à leurs relations bilatérales en particulier sur les plans économique et technique au bénéfice des deux peuples frères", souligne le communiqué
La République du Burundi a décidé de retirer sa reconnaissance à la pseudo Rasd, a annoncé, lundi à Rabat, le ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, M. Augustin Nsanze.
Cette décision a été prise "dans un souci d'encourager, à l'instar de nombreux autres pays, le processus onusien et la dynamique enclenchée par l'initiative marocaine d'autonomie", indique un communiqué conjoint entre le Royaume du Maroc et la République du Burundi.
Le ministre burundais "a fait part de son intention d'appuyer les efforts déployés sous les auspices des Nations unies, par le Secrétaire général et son Envoyé Personnel pour parvenir à une solution politique définitive et mutuellement acceptable à ce différend régional", ajoute la même source.
Dans ce contexte, les deux parties "ont décidé, conformément aux orientations des deux chefs d'État, S.M le Roi Mohammed VI et S.E. Pierre Nkurunziza, de renforcer le dialogue politique entre les deux pays, de donner une nouvelle impulsion à leurs relations bilatérales en particulier sur les plans économique et technique au bénéfice des deux peuples frères", souligne le communiqué