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"Tindouf faisait partie du royaume"

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MJB



Sahara Occidental(71) - Hassan II(52) - décolonisation(20) - Marche verte(3)
Hassan II : "Tindouf faisait partie du royaume"
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06/11/2010 à 12h:55 Par Hamid Barrada

Le roi Hassan II se livre à coeur ouvert sur l'affaire du Sahara occidental. © J.A.
« Le drame du Maroc, c'est de n'avoir pas eu affaire à un seul colonisateur, mais à deux : les Espagnols et les Français ». Ainsi s'exprimait le roi du Maroc Hassan II, le 26 août 1985, dans une longue et exceptionnele interview accordée à notre collaborateur Hamid Barrada (J.A. n° 1299, du 27 novembre 1985). Dans ce texte, que nous re-publions aujourd'hui à l'occasion des 35 ans de la Marche verte, le roi explique la position du royaume chérifien sur le "Sahara occidental". Un document historique.
C'est la première fois que le roi du Maroc s'entretient avec un journaliste marocain. La complaisance étant hors de propos, il ne restait qu'une familiarité commune avec l'affaire du Sahara qui s'est avérée particulièrement féconde, permettant d'aller au-delà des sentiers battus. L'entretien ne risquait-il pas toutefois de n'intéresser que les seuls initiés ? Le danger s'est trouvé écarté dans la mesure où le roi s'adressait précisément à un public profane et lointain. Ces déclarations ont été recueillies en effet pour figurer dans un film produit par l'Office national du film du Canada, qui doit s'insérer dans une série intitulée « Carnets du Maroc » du réalisateur Jacques Bensimon.
L'entretien s'est déroulé dans l'après-midi du lundi 26 août 1985 au palais de Skhirat, près de Rabat. Quelque deux heures avant le rendez-vous, l'équipe de l'ONF eut accès à l'immense salle du trône pour effectuer les préparatifs techniques. Un coin salon à droite paraissait mieux convenir à l'atmosphère décontractée, à la conversation à bâtons rompus qu'on souhaitait obtenir. A notre guise, nous procédâmes aux déplacements et déménagements devant les regards médusés des mokhazni (serviteurs du palais). Leur chef avait exigé qu'on se déchausse avant de pénétrer dans la salle du trône. Tel n'était pas l'avis de M. Abdelhaq Mrini, le directeur du protocole. S'ensuivit un docte échange entre les deux hommes dont nous n'avons pas attendu la conclusion — il faisait très chaud ! — pour obtempérer. La mise en scène achevée, quelqu'un a constaté que les deux interlocuteurs allaient fâcheusement bénéficier de deux fauteuils identiques, frappés de surcroît de l'écusson royal. On s'empressa de quérir un siège plus démocratique pour le journaliste.
Hassan II nous accueillit dans la cour couverte de tentures et donnant sur l'immensité de l'océan. En chemise rayée, pantalon rouille, sandales de toile, il « tomba » la veste assortie et nous demanda si son costume convenait : « C'est l'été, n'est- ce pas ? » Puis, sans plus tarder : « Allons-y ! » A l'intention de la cour, une vingtaine de dignitaires et de familiers, il lança sur un ton enjoué : « Vous pouvez assister à condition qu'on ne vous entende pas ! » Suivant le souverain, la cour s'ébranla pour s'asseoir des deux côtés d'une longue table installée à gauche. L'atmosphère n'était ni compassée ni solennelle. « Silence, on tourne ! » lança quelqu'un. Le roi taquina son conseiller, Ahmed Réda Guédira, qui toussait : « Tu fumes trop ! »
J'avais assisté à plusieurs conférences de presse de Hassan II. Mais rien ne remplace la perception débarrassée des aléas — et des parasites — de la distance. Entre le roi que j'avais devant moi et celui que j'imaginais, la disparité est astronomique. Il y aurait beaucoup à dire. On me permettra de m'en tenir à une chose. Ne serait-ce que parce qu'elle jure avec les contes et légendes qui circulent sur lui. Si Hassan II sacrifie à la tyrannie, c'est d'abord à celle qu'il exerce sans partage sur lui-même.
Visiblement, cet homme frêle et courtois s'assigne à chaque instant de gouverner son royaume intérieur pour être en mesure — pour mériter ? — de gou¬verner l'autre. Pour tout dire, le vingt et unième représentant de la dynastie alaouite tient davantage du sage chinois que du prince arabe.
En soulignant ces traits qui sautent aux yeux, le souci de la vérité n'est pas seul en cause. Il y va aussi, me semble-t-il, des causes profondes du conflit du Sahara, lesquelles ont une connotation psychologique certaine.
Les voisins qui sont censés se connaître s'affrontent et s'étripent, parce qu'ils tournent le dos à leurs vérités respectives. Or Hassan II n'hésite pas à dire que le président Chadli « aime les Marocains ».
Il le tient visiblement en haute estime et rien ne le fera démordre de cette opinion qui s'assimile à une option stratégique. A l'en croire, le roi n'a pas désespéré de trouver un terrain d'entente avec Chadli.
Deux révélations donnent cependant la mesure de sa propre marge de manœuvre. Il confie en termes camuséens qu'il avait décidé, au cas où la Marche verte eût échoué, d'abdiquer. En second lieu, il lève le voile sur la parade du Maroc à la stratégie d'usure élaborée par l'adversaire. La guerre du Sahara s'est avérée une bénédiction du ciel. Disposant de l'armée « la plus opérationnelle en matière de guerre du désert », il entend jouer un rôle, si besoin est, dans cette région explosive et fragile à souhait.
Mais Hassan II n'est pas le shah d'Iran. Ses propos sur une éventuelle intervention des FAR (Forces armées royales) dans le Golfe nous paraissent à la fois comminatoires et didactiques à l'adresse de tous ceux qui croient que le conflit du Sahara, en s'éternisant, va entraîner l'effondrement de l'économie du royaume, et du royaume lui-même par la même occasion. Le roi signifie qu'il existe, à la réflexion, un bon usage de ce conflit — non seulement le Maroc s'en accommode fort bien, mais il peut en tirer profit. Donc disponibilité pour la paix avec l'Algérie telle qu'elle est si elle veut bien se convertir à une politique de bon voisinage, mais aussi option, s'il le faut, sur une guerre interminable qui révèle ses propres vertus.
Le roi met deux fers au feu afin d'être dans les meilleures conditions pour traiter. L'avantage c'est qu'on sait à quoi s'en tenir et l'on se prend à rêver : si Chadli pouvait, lui aussi, parler à cœur ouvert !

Une du J.A. n° 1299, paru le 27 novembre 1985.
© J.A.
____________
Jeune Afrique : Majesté, si vous aviez à raconter l'affaire du Sahara à un enfant, disons à votre petit-fils, comment vous y prendriez-vous ?
Hassan II : Une question difficile, ne serait-ce que parce que je n'ai pas encore de petit-fils ? En vérité, l'affaire du Sahara était d'une limpidité telle que, pour l'adversaire, il s'agissait de miner le chemin marocain de contre-vérités et de désinformation. Or, de nos jours, l'opinion publique, avec le matraquage constant de l'audiovisuel ou de la presse écrite, est plus sensible à ce qui n'est pas clair qu'à ce qui l'est. Alors, je vais essayer d'être le plus clair et le plus concis possible.
Le Maroc, de tout temps, n'a jamais réclamé que ce qui lui appartient. Ainsi Tindouf, par exemple, faisait partie intégrante du territoire marocain jusqu'au début des années cinquante, puisque, lors des cérémonies de l'Aïd El-Kébir et de l'Aïd Seghir, le pacha de cette ville — je l'ai vu de mes propres yeux — venait faire allégeance devant mon père. Mais, lorsque nous sommes partis en exil, le 20 août 1953, Tindouf, entre autres, nous a été enlevée pour être rattachée à l'Algérie. C'est que la France pensait que l'Algérie ne serait jamais indépendante. Après notre retour d'exil, l'ambassadeur de France au Maroc, M. Alexandre Parodi, est venu demander à mon père en substance : « Le général de Gaulle vous propose de constituer une commission pour discuter des frontières marocaines. » Mon père a répondu : « Il n'en est pas question. Je suis sûr, ajouta-t-il, que lorsque l'Algérie sera indépendante ses dirigeants nous rendront justice et accepteront d'en discuter avec nous. » Les choses se sont passées autrement : non seulement nos voisins et frères algériens n'ont rien fait pour discuter des frontières orientales, mais, à la première occasion, ils ont essayé d'empêcher le Maroc de récupérer son Sahara.
Si je parlais à mon petit-fils, je lui dirais tout simplement que ce Sahara a toujours été lié au Maroc par les liens de l'allégeance et que, chez nous, souveraineté et allégeance (beïa) sont une seule et même chose. Sans remonter au déluge, Moulay Hassan, mon arrière-grand-père, est allé jusqu'à Oued Noun. Il n'a pas continué plus au sud, mais il y a envoyé son chambellan porter les traitements mensuels aux hauts fonctionnaires de la région. Moulay Abdelaziz a chargé le même chambellan, qui a chevauché les deux règnes et vivait au palais jusqu'après la mort de mon père, de cette mission.
En vérité, le drame du Maroc, c'est d'avoir eu affaire à deux colonisateurs : les Espagnols et les Français. Si nous avions eu la chance de n'en avoir qu'un seul, nous aurions soldé de tout compte notre affaire du nord au sud. Malheureusement, il nous a fallu négocier le remembrement du Maroc morceau par morceau. Après la rétrocession par l'Espagne de Tarfaya [10 avril 1958] puis de Sidi Ifni [30 juin 1969], il ne restait que le gros morceau du Sahara. Nous avons introduit la question aux Nations unies au lendemain de notre indépendance. A l'époque, il n'y avait ni Algérie ni Mauritanie, et c'est plus tard que la notion de « partie concernée » ou « intéressée » est apparue. Le résultat est que ce qui était clair, limpide, ce qui aurait dû être réglé bilatéralement, comme le reste, entre le Maroc et l'Espagne est devenu comme d'un coup de baguette magique, je dirais maléfique, un sujet dont on fait un cas d'expansionnisme, de massacre, de génocide.

Pendant la Marche verte, le 6 novembre 1975.
© Graeme-Baker / SIPA
Majesté, puisque c'est l'intrusion de l'Algérie qui est à l'origine de la complication de l'affaire du Sahara, pourquoi le Maroc n'a-t-il pas saisi l'occasion de l'accord frontalier de 1972 pour lier la question des frontiè-res à l'affaire du Sahara, de manière à amener le voisin à tenir ses engagements ?
Et, lors de la guerre des sables en 1963, l'armée marocaine se trouvait devant Tindouf, pourquoi avez-vous ordonné au général Driss Ben Omar de battre en retraite ?
Je commencerai par la deuxième question. J'estimais qu'il ne fallait pas créer entre les deux pays un point de fixation morbide. En second lieu, Tindouf en elle-même ne m'intéresse pas. Elle est intéressante sentimentalement, mais elle ne constitue ni un nœud de voies stratégiques, ni un lieu de passage obligé. Vous me direz qu'elle contient du fer et c'est vrai. Mais ce fer est piégé : s'il ne passe pas par le Maroc, il ne peut passer nulle part. Enfin, aucune ville, marocaine ou algérienne, ne mérite une guerre. Je vous dirai plus, et qui est totalement inédit : je n'ai pas arrêté le seul général Driss, mais également le général Kettani. Il m'a dit : « Si Votre Majesté veut faire la prière à Oran vendredi prochain, nous y serons. » J'ai réponde : « Non, ce n'est pas la peine, puisque nous ne pouvons pas y rester ! » Non, vraiment, ce n'était pas la peine de creuser la tombe d'une amitié qui paraissait à l'abri de toute contingence.
Est-ce qu'un président algérien, dans une situation comparable, mais inverse (l'ar¬mée algérienne devant Oujda), aurait donné le même ordre à ses généraux ?
Ce que je puis vous dire, c'est que les autorités algériennes ont osé mettre à la porte de l'Algérie, en 1975, quarante-cinq mille familles Marocaines, dans des conditions effroyables. Voilà ce que les Algériens ont fait sur le plan civil ; sur le plan militaire, je ne sais pas.
Revenons à 1972...
En 1972, nous n'avions aucun problème avec l'Algérie. La position de Boumedienne était claire : il n'avait aucune prétention sur le Sahara. La Mauritanie faisait tout pour ne pas avoir de frontière commune avec le Maroc. Et cette hantise a habité les dirigeants mauritaniens jusqu'à la fameuse rencontre entre les présidents Ould Daddah et Boumedienne à Colomb Béchar [// novembre 1975]. Le président Boumedienne a cru bon d'injurier le président Ould Daddah. C'est à partir de ce moment que, de leur côté, le Maroc et la Mauritanie ont vécu plus qu'intimement. Auparavant, en octobre 1974, au cours du sommet arabe de Rabat, l'affaire du Sahara était venue sur le tapis et le président Boumedienne avait déclaré au nom de son pays : « Pour moi, il n'y a pas de problème au Sahara ; l'Algérie considère que cette affaire est purement maroco-mauritanienne, ni plus, ni moins. » Mais, par la suite, les dirigeants algériens ont sorti la thèse de l'autodétermination. « Les Sahraouis, soutenaient-ils, sont nos voisins. Nous ne pouvons pas parler du droit à l'autodétermination du peuple vietnamien, qui se trouve à dix mille kilomètres, et ne pas le défendre à nos frontières. » Tout est parti de là. C'est l'escroquerie du siècle !
Est-ce que l'affaire du Sahara n'a pas des soubassements psychologiques ?
Si c'était le cas, cela prouverait que nos voisins ne sont pas arrivés à la maturité voulue. S'il s'agissait d'une affaire psychologique, ce serait dramatique et très inquiétant pour nous. Je pense plutôt que les difficultés viennent de ce que nous devons apprendre à vivre ensemble. Jusqu'à présent Marocains et Algériens vivaient ensemble mais, si vous voulez, selon les lois de la nature, de l'histoire, du voisinage. Sans plus. Il y avait d'un côté un État marocain et de l'autre l'Algérie qui se trouvait sous la tutelle de la Sublime Porte et par la suite est passée sous l'occupation française. À la recherche d'un lieu musulman pour, justement, garder sa personnalité, le peuple algérien avait naturellement tendance à se rapprocher du Maroc. Aujourd'hui nous avons affaire, non plus au peuple algérien, mais aux autorités algériennes. Les choses changent...
Pour Hassan II, la Marche verte était une idée d'« ancien manifestant. »
© Graeme-Baker / SIPA
Le Maroc a eu des contacts, des pourparlers ou des négociations avec l'Algérie. Sur quoi les choses ont-elles achoppé ?
Mais sur un point précis : le gouvernement algérien devait se sortir de la contradiction ou il s'était mis. Il avait affirmé qu'il n'avait pas de prétention sur le Sahara, qu'il ne faisait que réclamer l'application du principe d'autodétermination. Lorsque le Maroc a proclamé son accord sur l'autodétermination, les Algériens se sont retrouvés en porte-à faux, piégés par la réalité. Qu'ils laissent faire le référendum et l'affaire est perdue pour eux. Qu'ils le refusent et les voilà en contradiction avec eux-mêmes.
Ne croyez-vous pas que l'infiltration au Maroc de commandos « terroristes » en juillet der nier marque un changement de la stratégie algérienne ?

Ce n'est pas la première fois que les Algériens agissent ainsi ; ils l'ont déjà fait en 1973, et ce malgré nos bonnes dispositions à leur égard. En effet, en 1972, nous avons signé ensemble le traité sur les frontières qui attendait seulement d'être ratifié. Il n'y a avait pas de parlement à l'époque et j'avais dit au président Boumedienne : « Je peux ratifier le traité, constitutionnellement j'en ai les pouvoirs, mais je pense qu'il vaut mieux que vous ne passiez pas par la fenêtre, mais pas la grande porte. Les élections auront lieu en 1973 et je ferai ratifier le traité sur les frontières par le parlement. Ainsi vous serez à l'abri de toute contestation. » Or voilà que le 4 mars 1973, des commandos infiltrés à partir de l'Algérie parviennent jusqu'à Moulay Bouazza dans le Moyen-Atlas. Il a fallu envoyer contre eux des forces assez importantes. Il s'est avéré par la suite que certains services algériens avaient tout planifié et exécuté.
La grande différence entre les deux opérations est qu'en 1973 l'onjectif des commandos était de créer des désordres nominalement connus : nous savions qui allait tirer sur qui. Tandis que cette fois, il s'agissait de terrorisme dans ce qu'il a de plus affreux. On place une bombe dans un sac de papier ; avec un système de télécommande à distance, on la fait exploser sur une plage, un stade d'athlétisme ou de football, ou encore dans un cinéma, puis on se sauve comme un lâche en laissant des dizaines de victimes. Cela défie toute morale et même la simple virilité. Le Maroc n'a mis en cause que la Direction de la Sécurité militaire (S.M.), mais il est certain que ce n'est pas n'importe quel organisme et je souhaite que le président Bendjedid tire les conclusions qui s'imposent.
Je suis confiant parce que, quand il a été, pendant plus de dix ans, commandant de la région militaire d'Oran et qu'il avait sous son autorité la zone frontalière. Je peux le dire, le président Chadli aime les Marocains. Nous n'avons jamais eu de problème avec lui, même lorsque les choses allaient mal entre Alger et Rabat. Donc, j'espère que le président Bendjedid réagira afin que de telles choses ne se reproduisent pas. Sinon nous serons conduits à renvoyer la balle à l'Algérie. Nous pourrions le faire aisément, ce n'est pas le recrutement qui manque, mais je n'ai pas envie de jouer au tennis dans ce domaine !
Peut-on savoir qui est l'auteur des murs ?
Il n'y a pas d'auteur particulier. Nous nous sommes rendus compte que le Sahara n'était pas le Vietnam, par exemple. On peut passer partout, il n'y a guère de points de passage obligés. Il fallait donc mieux, dès qu'une localité était occupée et sécurisée, créer des points de passage obligés. Par la suite, constatant que ce que nous avons réalisé ainsi d'une façon empirique sur certaines zones donnait de bons résultats, nous avons envisagé l'édification des murs, englobant des points stratégiques particuliers. Le plus difficile a été de sécuriser le Sakiat Al-Hamra. C'est un fromage de gruyère avec des sommets qui vont jusqu'à 1200 mètres où l'on peut cacher des divisions entières. Après le mur de la Sakiat Al-Hamra, nous nous sommes occupés de la Hamada, avant de redescendre vers ce qui est plus facile.
Cette guerre n'est-elle pas une bénédiction dans la mesure où le Maroc, doté d'une armée désormais puissante, pourrait peser sur les affaires de la région ?
Je peux dire sans forfanterie que, sur le plan de la guerre du désert (je ne parle pas de la guerre dans les Ardennes ou dans les plaines européennes), l'armée marocaine est, sinon la meilleure, du moins la seule au monde vraiment opérationnelle.
Même si on la comparaît à l'armée israélienne ?
L'armée israélienne a fait des guerres du désert qui ont duré la plupart du temps huit, dix jours sur des distances courtes avec des objectifs ponctuels. Sans lui enlever ses mérites militaires, elle n'a jamais eu à conquérir, occuper et sécuriser l'étendue et la nature des territoires que nous sécurisons. La comparaison n'est pas fondée.

Quelque 350 000 Marocains participent à la Marche verte.
© Patrick Frilet / SIPA
Qu'auriez-vous fait en cas d'échec de la Marche verte qui, elle, si je ne me trompe, est votre œuvre ?

D'abord, la Marche verte n'est pas l'idée de Hassan II chef d'Etat, mais de Hassan II ancien manifestant, du jeune homme qui, en 1944, a manifesté comme tous ceux de sa génération. En 1975, j'ai pensé : pourquoi est-ce qu'on ne pourrait pas faire à nouveau une manif, une grande manif à l'échelle de 350 000 habitants ? Puis, je me suis dit : pourquoi exposer les gens à la mort ? Envoyons-les avec le Coran et le drapeau. Quel est le fou sanguinaire qui oserait tirer sur des hommes et des femmes désarmés ? Naturellement, j'avais envisagé l'échec et je dois vous dire que le jour où l'on m'a annoncé la réussite, que les marcheurs étaient rentrés du Sud, j'ai regardé mon pays d'un tout autre regard. J'avais l'impression d'y renaître, car, si la Marche verte avait échoué, j'avais décidé de le quitter...
Vous dites bien, le quitter ?
Oui, le quitter, car je n'aurais plus eu le courage moral de regarder en face le moindre de mes sujets et de mes compatriotes. Quand j'en parle aujourd'hui, je suis encore ému, car je sais ce que c'est que de quitter son pays. J'en ai été privé deux ans et demi, et vous connaissez l'attachement païen que j'ai pour ma terre, pour mon ciel, pour l'eau, pour les plantes de mon pays. J'avais pourtant envisagé de partir. Comme le prévoit la Constitution, le pouvoir aurait été dévolu au Conseil de régence durant la minorité du prince héritier. Mais, grâce à Dieu, nous sommes là.
Majesté, la Marche verte, les murs, tout cela a quelque chose de chinois... Vous faites la guerre sans oublier la paix...
Oui, dans l'Antiquité, il y avait une façon chez les Chinois de faire la guerre sans la faire. Il arrivait, comme le raconte Sun Tzu [dans l'Art de la guerre], que, deux grandes armées se trouvant face à face, les rois ou les empereurs en conflit faisaient l'économie de la guerre. Ils se rencontraient sous la tente, convoquaient leurs généraux et se contentaient de simuler les combats. « Bon, disait l'un, vous avez vos archers sur cette colline, moi j'ai mon infanterie ici ; vous avez votre cavalerie à droite, moi, mes chars à tel endroit. Alors, si je fais ce mouvement, qu'allez-vous faire ? — Dans ce cas, j'agirais de la sorte. — Mais si vous me contournez par mon aile droite, je peux foncer sur votre centre... » Et ainsi de suite. Ils faisaient la guerre comme avec des soldats de plomb. Lorsque l'un des deux l'avait emporté, le vainqueur était reconnu comme tel, le vaincu acceptait ses lois et la « guerre » prenait fin sans qu'une seule goutte de sang ait été versée...

Le principe de la Marche verte : lever une armée pacifique.
© Patrick Frilet / SIPA
Pourquoi n'avez-vous pas agi de la sorte avec Chadli quand vous l'avez rencontré le 26 février 1983 ?
Parce que jamais l'Algérie n'a considéré que c'était elle qui combattait !
Mais les Chinois sont très didactiques. N'y a-t-il pas moyen d'enseigner la paix à l'Algérie ?
Les Chinois sont les Chinois, les Nord-Africains sont les Nord-Africains, on n'y changera rien.
Le traité que vous avez signé avec le colonel Kaddafi, au mois d'août 1984, n'est-il pas surtout favorable à la Libye : Kaddafi a cessé son aide au Polisario qui, de toute façon, semblait perdant en échange d'une crédibilité dont il n'aurait peut-être jamais rêvé ?
Vous savez, lorsqu'on constitue une société commerciale ou un holding, on ne peut pas savoir si ce sera une affaire florissante avant deux ou trois ans. A plus forte raison lorsqu'il s'agit de deux États qui étaient aux antipodes l'un de l'autre, qui avaient à réapprendre à dialoguer, à échanger des idées, des biens et des personnes. Il est encore trop tôt pour faire le bilan du traité d'Oujda. En ce qui me concerne, si je m'étais rendu compte, au cours de cette année, que l'accord ne servait pas mon pays, je ne l'aurais pas renié, mais j'aurais demandé à l'amender.

Des particpants à la Marche verte brandissent les drapeaux marocains et américains.
© Patrick Frilet / SIPA


Le conflit du Sahara est-il un conflit local, régional ou un conflit ayant des tendances idéologiques et des dimensions planétaires ?
Écoutez, je vais vous donner un point de vue géostratégique. Prenons les côtes de l'Afrique. Vous avez peut-être remarqué qu'il y a des problèmes partout où i! y a de longues côtes : Somalie, Angola, ou encore Maroc avec le Sahara. En règle générale, dès qu'il y a des milliers de kilomètres de côtes, il y a des problèmes. De là à dire que les Grands sont intéressés, il n'y a qu'un pas. De là à penser que les conflits ne font que refléter les convoitises suscitées par les richesses halieutiques entre riverains, il n'y a qu'un pas. En réalité, selon l'état d'esprit, l'humeur ou la spécialité de l'analyste, on a affaire à un conflit bilatéral, régional ou impliquant les deux Grands. Du reste, je poserai la question aux deux Grands, puisque je suis mandaté par le sommet arabe pour leur présenter la situation du monde arabe, ses volontés, ses espérances. Et je profiterai d'une parenthèse pour les interroger, comme cela, face à face, sur le problème du Sahara...
© ONF / Jeune Afrique

slimane

slimane

Le discours de hassan 2 ne prouve rien du tout c'est SA PROPAGANDE , que je ne suis pas obligé de croire vu que je ne suis pas marocain et que je ne ferais jamais allégeance à ce système archaîque ......!!!

Le COLON français a tracé des frontières et en tant qu'Algérien je les connais telles que présentées dans la carte de l'Algérie et je sais que nous défendrons tous la moindre parcelle de notre terre ......!!!

Les Algériens n'ont jamais colonisé qui que ce soit , au contraire nous donnons refuge à ceux qui sont victimes de la Hogra ....!!! et nous avons chassé les colons par les armes et au sacrifice du million et demi de CHOUHADAS et non pas en faisant une marche expansioniste ..........!!!

MJB



slimane a écrit:Le discours de hassan 2 ne prouve rien du tout c'est SA PROPAGANDE , que je ne suis pas obligé de croire vu que je ne suis pas marocain et que je ne ferais jamais allégeance à ce système archaîque ......!!!

Le COLON français a tracé des frontières et en tant qu'Algérien je les connais telles que présentées dans la carte de l'Algérie et je sais que nous défendrons tous la moindre parcelle de notre terre ......!!!

Les Algériens n'ont jamais colonisé qui que ce soit , au contraire nous donnons refuge à ceux qui sont victimes de la Hogra ....!!! et nous avons chassé les colons par les armes et au sacrifice du million et demi de CHOUHADAS et non pas en faisant une marche expansioniste ..........!!!
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CEUX QUI ONT COMBATU LA FRANCE AVOUENT QU'IL Y A UN PROBLEME DE FRONTIERE ENTRE L'ALGERIE ET LE MAROC.
Et que le maroc pour ne pas affaiblir la revolution algerienne a decliné l'offre de la france et a refusé la recupération des ses terres: c'est VRAI ou FAUX?.

slimane

slimane

C'est vous qui avez un problème de frontières .
Nous on a fermé ....!!! Vous vous pleurez pour que nous vous ouvrons , mais....Niet , on ne veut pas !!!

Pour nous c'est clair , pour vous ...larmes de crocodiles !!!
Faudrait savoir ne pas être hypocrite et avoir le courage d'assumer vos malheurs !!!

5"Tindouf faisait partie du royaume" Empty Tindouf la marocaine. Lun 8 Nov - 2:01

moi même

moi même

Mais Tindouf est revendiquée parce qu'elle appartienne au Maroc.

Voici l'histoire de cette ville !
Tindouf et son rôle dans la région
Non loin du site actuel de Tindouf, existait, dès le début du 16 ème siècle, une première ville, Tindifis. Elle servait de relais aux caravanes entre le Nord du Maroc, le Sahara central et les pays du Soudan. Lieu de rencontre et centre de négoces florissant, elle suscitait souvent la convoitise des nomades pillards. Elle fut abandonnée au milieu du 18 ème siècle. En 1850, Lamrabet Oueld Lâmach, de la tribu de Tajakant, attiré par la fertilité des petites vallées et par l'activité humaine qui commençait à se développer dans la région, décida de construire une bourgade tout près de l'ancien site.

Il fut encouragé dans son entreprise par le sultan Moulay Abderrahman (1822-1859) qui voulait, par la même occasion, conforter la présence et sa souveraineté sur cette zone du royaume que la France commençait à grignoter. Lamrabet reçut du monarque aide matérielle, maçons et artisans en bâtiment. Une mosquée, une méderça, une zaouiya, un caravansérail et un souk élevés sur les collines furent les premières constructions de l'actuelle Tindouf.

La zaouiya attira les f’quihs et les t'lamides du Souss, d’Ouad Noun, des Tajakant, des Chânba et de Tinbouktou. Une ambiance culturelle intense vit le jour en un temps record. L'activité commerciale permit l'installation de comptoirs de négoces et de petites manufactures. En moins de 10 ans, Tindouf était devenue une ville importante qui dépendait du Khalifa du sultan au Tafilalet. La conquête française du Sahara central désorganisa le commerce en coupant les routes caravanières qui, toutes, convergeaient à Tindouf. La sécheresse qui, en 1903, 1904 et 1905, avait sévi au Tafilalet et dans le Souss, greniers de Tindouf, aggrava davantage la pénurie dans la ville qui se dépeupla aussitôt.

La population se déplaça alors vers le Tafilalet, vers la vallée du Dra et vers Oued Noun. Certains émigrèrent en Mauritanie. Quand le Lieutenant français De La Barrière pénétra à Tindouf en 1925, il trouva une ville presque vide. Il la qualifia, dans son rapport «de ville marocaine en miniature, tant ses mosquées, ses minarets et ses constructions étaient bien décorées par les mains expertes des artisans venus de Marrakech et de Meknès. Elle est gouvernée par le Makhzen du sultan du Maroc». Elle n'intéressa pas alors les troupes de l'occupation qui la quittèrent moins d'une semaine après. Pourtant, le bulletin officiel N0 1.160 du 18janvier 1935, à la page 45, dans les articles 2 et 5, fait état d'un arrêté résidentiel du 11-1-35, au vu du Dahir du 10-12-34, relatif à l'organisation douanière dans le sud marocain, mentionne que Tindouf bénéficie des mêmes mesures que les autres villes marocaines méridionales (Agadir, Taroudant, Tiznit, Goulimine, Ouarzazate).

Les troupes françaises n'y retournèrent qu'en 1934 pour s'y installer définitivement et y appliquèrent l'administration du protectorat, de la même manière que dans les autres villes et régions du royaume. Or une décision du président du conseil français, homologuée le 4 avril 1933, une année avant l'occupation de la ville, a expressément défini que "l'oasis de Tindouf était située en territoire algérien, par conséquent en territoire français". Cette attitude, en contradiction avec le bulletin officiel de 1935, souleva le mécontentement et l'indignation des autorités françaises du protectorat à Rabat. Cette situation paraissait paradoxale quand on sait que la ville a continué à dépendre, sur les plans politique, administratif et militaire, de la région d'Agadir et, dès 1940, du cercle du Bani (Goulimine). Même à cette période, ses caïds étaient nommés par dahirs sultaniens et la prière dans les mosquées était dite au nom du sultan. A partir de 1947 (après le discours du sultan Mohamed V à Tanger, où Il avait tracé tout un programme de réformes qui mènerait le Maroc à l'indépendance), les autorités de l'occupation en Afrique du Nord rattachèrent définitivement la région de Tindouf à l'administration d'Oran en Algérie. Cette dernière décision n'a pas découragé les autorités francaises du protectorat qui continuèrent, jusqu'à l'année 1951, à revendiquer ces territoires sahariens pour le Maroc. Le général Miquel, commandant la région d'Agadir et de Tindouf jusqu'à Fort Trinquet (Bir Oum-Mougrine en Mauritanie), déploya ses efforts avec ténacité pour sauvegarder la marocanité de Tindouf mais vainement.
Dans les correspondances qu'il adressait à Rabat et à Paris, il étayait ses arguments par des données historiques, avec documents à l'appui: «les tabors composés de goumiers recrutés à Tindouf portaient bien l'appellation de tabors marocains pendant toute la 2ème guerre mondiale. Les cartes d'identité, délivrées aux habitants de la ville, portaient, toutes, l'en-tête du Protectorat Français au Maroc». Pour appuyer davantage son raisonnement, il joignait, dans d'autres rapports, des dahirs et des correspondances que les sultans échangeaient avec les caïds et les notables de la région.

A cette époque d'après guerre, la France commençait à découvrir d'autres sources de pétrole dans le Sahara algérien et entamait déjà l'exploitation du minerai de fer de la Mauritanie (la MIFERMA). C'étaient donc des richesses importantes à préserver et que le Maroc, qui n'était qu'un protectorat, pourrait réclamer, une fois libéré, qui ont poussé Paris à annexer Tindouf au profit de l’Algérie française.

Dès 1952, un important gisement de fer avait été découvert à Garet J’bilat, située à 130 km au Sud Sud-Est de Tindouf. Dans un rayon de 100 à 200 km de cette ville, d'autres minerais ont été repérés et répertoriés. La France avait de quoi s'inquiéter quant à la sauvegarde de toute cette richesse.

Effectivement, les revendications marocaines sur les régions de la Saoura, du Sahara occidental avaient été prononcées dès 1953 et reprises à chaque occasion qui se présentait. Le 15 janvier 1956, un rapport de la région militaire de la Saoura, sous le N02078/F, signalait une manifestation populaire à Tindouf, à Tinfouchi et à Lâbadla, avec drapeaux marocains et portraits du sultan, réclamant leur rattachement au Maroc.

En avril 1956, les autorités françaises d'Alger s'inquiétèrent des déclarations du ministre marocain des Travaux Publics, qui affirmait les droits du Maroc sur le fer et les autres minerais de la région de Tindouf. Le même Ministère refusait officiellement, par une lettre du 15 janvier 1957, «qu’une frontière méridionale soit mentionnée sur la carte administrative du Maroc au 1/500.000 ème, de l'édition provisoire de 1957». Dans son discours du 17 septembre 1957, prononcé à Tanger, Sa Majesté Mohamed V déclarait qu'au "premier plan de nos problèmes figure celui des frontières sahariennes".

En 1956, une importante troupe de l'Armée de Libération Marocaine était partie renforcer l'Armée de Libération Algérienne. Les confins algéro marocains devinrent alors le théâtre d'affrontements sporadiques entre les troupes françaises et les Forces Armées Royales Marocaines, à cause de l'aide que celles-ci assuraient aux combattants algériens, à partir d'Oujda, de Figuig, de M'hamid el Ghizlane, de Foum el Achar et de Tinfouchi.

De 1956, date de l'indépendance d'une partie du territoire marocain, à 1962, date de l'indépendance de l'Algérie, le Maroc avait mis en veilleuse ses revendications sur ses provinces orientales pour ne pas gêner la lutte armée des voisins et frères algériens.

Cette attitude du Maroc lui a valu l'estime des leaders algériens de l’époque. Un accord fut alors conclu entre Rabat et le G.P.R.A (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) reconnaissant l'existence de problèmes de frontières entre les deux pays frères. Selon ledit accord, ces problèmes de confins seraient à solutionner une fois l'indépendance de l'Algérie obtenue.

Une lettre du 2ème bureau français à Tindouf, datée du 11 mai 1962, portant le N°302 et classée «très secret», signalait que «le 5 mai 1962, une importante personnalité algérienne est arrivée à Tindouf déclarant aux notabilité de la ville que la cité est algérienne et que la population doit voter lors du référendum pour l’indépendance de l’Algérie. Le contact fut orageux. Les Habitants ont déclaré qu’il ne peuvent participer audit référendum du fait qu’ils se considerent marocains et non algériens»

MJB



slimane a écrit:C'est vous qui avez un problème de frontières .
Nous on a fermé ....!!! Vous vous pleurez pour que nous vous ouvrons , mais....Niet , on ne veut pas !!!

Pour nous c'est clair , pour vous ...larmes de crocodiles !!!
Faudrait savoir ne pas être hypocrite et avoir le courage d'assumer vos malheurs !!!
.
Votre frontiere est fermée pour les pauvres algeriens et les sequestrés des camps de concentrations prés de TINDOUF, mais grande et largement ouverte aux riches algeriens et à ceux qui peuvent payer leur billet d'avion.

slimane

slimane

Quels pauvres Algériens ???......tu veux dire les pauvres marocains qui attendent avec des jerrycans l'arrivée d'essence qu'ils ne peuvent pas acheter chez eux tellement c'est cher !!!
Le plus grand camp de concentration se trouve à LAAYOUNE !!!
LES riches Algériens auraient tort de ne pas profiter au maroc !!!
Mais je te dirais que la direction vers le maroc n'intéresse plus le vrai peuple Algérien parce qu'il n'y ya rien d'attrayant là-bas pour les bons fils d'Algérie ......Mais c'est vrai que pour les voyous et ceux qui aiment le sexe et la drogue c'est une bonne affaire que d'y aller.......!!!
Le maroc a choisi le genre de personnes qu'il veut recevoir ..!!!
Que grand bien lui fasse !!!

MJB



slimane a écrit:Mais c'est vrai que pour les voyous et ceux qui aiment le sexe et la drogue c'est une bonne affaire que d'y aller.......!!!
.
AU LIEU DE PARCOURIR DE LONGUES DISTANCES A RISQUES, JE CITE:
les voyous et ceux qui aiment le sexe et la drogue c'est une bonne affaire que d'y aller.......!!!, ont interet de rester par exemple à BELABBAS au quartier "laft" pour subvenir à leurs besoins sexuels et se droguer comme il se doit ou aller un peu partout en algerie ou la prostitution est bien gardée et entretenue par tes gouvernants.
PAYS UNIQUE DANS LE MONDE ARABE, MUSULMAN ET AFRICAIN OU LES "BORD..." SONT GERES ET SUPERVISES PAR LE GOUVERNEMENT.

moi même

moi même

Mais Tindouf est revendiquée parce qu'elle appartienne au Maroc.

Voici l'histoire de cette ville !
Tindouf et son rôle dans la région
Non loin du site actuel de Tindouf, existait, dès le début du 16 ème siècle, une première ville, Tindifis. Elle servait de relais aux caravanes entre le Nord du Maroc, le Sahara central et les pays du Soudan. Lieu de rencontre et centre de négoces florissant, elle suscitait souvent la convoitise des nomades pillards. Elle fut abandonnée au milieu du 18 ème siècle. En 1850, Lamrabet Oueld Lâmach, de la tribu de Tajakant, attiré par la fertilité des petites vallées et par l'activité humaine qui commençait à se développer dans la région, décida de construire une bourgade tout près de l'ancien site.

Il fut encouragé dans son entreprise par le sultan Moulay Abderrahman (1822-1859) qui voulait, par la même occasion, conforter la présence et sa souveraineté sur cette zone du royaume que la France commençait à grignoter. Lamrabet reçut du monarque aide matérielle, maçons et artisans en bâtiment. Une mosquée, une méderça, une zaouiya, un caravansérail et un souk élevés sur les collines furent les premières constructions de l'actuelle Tindouf.

La zaouiya attira les f’quihs et les t'lamides du Souss, d’Ouad Noun, des Tajakant, des Chânba et de Tinbouktou. Une ambiance culturelle intense vit le jour en un temps record. L'activité commerciale permit l'installation de comptoirs de négoces et de petites manufactures. En moins de 10 ans, Tindouf était devenue une ville importante qui dépendait du Khalifa du sultan au Tafilalet. La conquête française du Sahara central désorganisa le commerce en coupant les routes caravanières qui, toutes, convergeaient à Tindouf. La sécheresse qui, en 1903, 1904 et 1905, avait sévi au Tafilalet et dans le Souss, greniers de Tindouf, aggrava davantage la pénurie dans la ville qui se dépeupla aussitôt.

La population se déplaça alors vers le Tafilalet, vers la vallée du Dra et vers Oued Noun. Certains émigrèrent en Mauritanie. Quand le Lieutenant français De La Barrière pénétra à Tindouf en 1925, il trouva une ville presque vide. Il la qualifia, dans son rapport «de ville marocaine en miniature, tant ses mosquées, ses minarets et ses constructions étaient bien décorées par les mains expertes des artisans venus de Marrakech et de Meknès. Elle est gouvernée par le Makhzen du sultan du Maroc». Elle n'intéressa pas alors les troupes de l'occupation qui la quittèrent moins d'une semaine après. Pourtant, le bulletin officiel N0 1.160 du 18janvier 1935, à la page 45, dans les articles 2 et 5, fait état d'un arrêté résidentiel du 11-1-35, au vu du Dahir du 10-12-34, relatif à l'organisation douanière dans le sud marocain, mentionne que Tindouf bénéficie des mêmes mesures que les autres villes marocaines méridionales (Agadir, Taroudant, Tiznit, Goulimine, Ouarzazate).

Les troupes françaises n'y retournèrent qu'en 1934 pour s'y installer définitivement et y appliquèrent l'administration du protectorat, de la même manière que dans les autres villes et régions du royaume. Or une décision du président du conseil français, homologuée le 4 avril 1933, une année avant l'occupation de la ville, a expressément défini que "l'oasis de Tindouf était située en territoire algérien, par conséquent en territoire français". Cette attitude, en contradiction avec le bulletin officiel de 1935, souleva le mécontentement et l'indignation des autorités françaises du protectorat à Rabat. Cette situation paraissait paradoxale quand on sait que la ville a continué à dépendre, sur les plans politique, administratif et militaire, de la région d'Agadir et, dès 1940, du cercle du Bani (Goulimine). Même à cette période, ses caïds étaient nommés par dahirs sultaniens et la prière dans les mosquées était dite au nom du sultan. A partir de 1947 (après le discours du sultan Mohamed V à Tanger, où Il avait tracé tout un programme de réformes qui mènerait le Maroc à l'indépendance), les autorités de l'occupation en Afrique du Nord rattachèrent définitivement la région de Tindouf à l'administration d'Oran en Algérie. Cette dernière décision n'a pas découragé les autorités francaises du protectorat qui continuèrent, jusqu'à l'année 1951, à revendiquer ces territoires sahariens pour le Maroc. Le général Miquel, commandant la région d'Agadir et de Tindouf jusqu'à Fort Trinquet (Bir Oum-Mougrine en Mauritanie), déploya ses efforts avec ténacité pour sauvegarder la marocanité de Tindouf mais vainement.
Dans les correspondances qu'il adressait à Rabat et à Paris, il étayait ses arguments par des données historiques, avec documents à l'appui: «les tabors composés de goumiers recrutés à Tindouf portaient bien l'appellation de tabors marocains pendant toute la 2ème guerre mondiale. Les cartes d'identité, délivrées aux habitants de la ville, portaient, toutes, l'en-tête du Protectorat Français au Maroc». Pour appuyer davantage son raisonnement, il joignait, dans d'autres rapports, des dahirs et des correspondances que les sultans échangeaient avec les caïds et les notables de la région.

A cette époque d'après guerre, la France commençait à découvrir d'autres sources de pétrole dans le Sahara algérien et entamait déjà l'exploitation du minerai de fer de la Mauritanie (la MIFERMA). C'étaient donc des richesses importantes à préserver et que le Maroc, qui n'était qu'un protectorat, pourrait réclamer, une fois libéré, qui ont poussé Paris à annexer Tindouf au profit de l’Algérie française.

Dès 1952, un important gisement de fer avait été découvert à Garet J’bilat, située à 130 km au Sud Sud-Est de Tindouf. Dans un rayon de 100 à 200 km de cette ville, d'autres minerais ont été repérés et répertoriés. La France avait de quoi s'inquiéter quant à la sauvegarde de toute cette richesse.

Effectivement, les revendications marocaines sur les régions de la Saoura, du Sahara occidental avaient été prononcées dès 1953 et reprises à chaque occasion qui se présentait. Le 15 janvier 1956, un rapport de la région militaire de la Saoura, sous le N02078/F, signalait une manifestation populaire à Tindouf, à Tinfouchi et à Lâbadla, avec drapeaux marocains et portraits du sultan, réclamant leur rattachement au Maroc.

En avril 1956, les autorités françaises d'Alger s'inquiétèrent des déclarations du ministre marocain des Travaux Publics, qui affirmait les droits du Maroc sur le fer et les autres minerais de la région de Tindouf. Le même Ministère refusait officiellement, par une lettre du 15 janvier 1957, «qu’une frontière méridionale soit mentionnée sur la carte administrative du Maroc au 1/500.000 ème, de l'édition provisoire de 1957». Dans son discours du 17 septembre 1957, prononcé à Tanger, Sa Majesté Mohamed V déclarait qu'au "premier plan de nos problèmes figure celui des frontières sahariennes".

En 1956, une importante troupe de l'Armée de Libération Marocaine était partie renforcer l'Armée de Libération Algérienne. Les confins algéro marocains devinrent alors le théâtre d'affrontements sporadiques entre les troupes françaises et les Forces Armées Royales Marocaines, à cause de l'aide que celles-ci assuraient aux combattants algériens, à partir d'Oujda, de Figuig, de M'hamid el Ghizlane, de Foum el Achar et de Tinfouchi.

De 1956, date de l'indépendance d'une partie du territoire marocain, à 1962, date de l'indépendance de l'Algérie, le Maroc avait mis en veilleuse ses revendications sur ses provinces orientales pour ne pas gêner la lutte armée des voisins et frères algériens.

Cette attitude du Maroc lui a valu l'estime des leaders algériens de l’époque. Un accord fut alors conclu entre Rabat et le G.P.R.A (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) reconnaissant l'existence de problèmes de frontières entre les deux pays frères. Selon ledit accord, ces problèmes de confins seraient à solutionner une fois l'indépendance de l'Algérie obtenue.

Une lettre du 2ème bureau français à Tindouf, datée du 11 mai 1962, portant le N°302 et classée «très secret», signalait que «le 5 mai 1962, une importante personnalité algérienne est arrivée à Tindouf déclarant aux notabilité de la ville que la cité est algérienne et que la population doit voter lors du référendum pour l’indépendance de l’Algérie. Le contact fut orageux. Les Habitants ont déclaré qu’il ne peuvent participer audit référendum du fait qu’ils se considerent marocains et non algériens»

moi même

moi même

Prostitution zéro... !?[/b]

[b]Avec son million de prostituées clandestines, permanentes, saisonnières, ou occasionnelles (fins de mois difficiles) avec ses milliers de bordels clandestins atteignant même villages et douars équitablement répartis sur l’ensemble du territoire national, l’Algérie de Bouteflika détient le record mondial du nombre de prostituées par habitant alors qu’officiellement la prostitution n’existe pas en Algérie selon les convictions intimes et définitives de M. Belkhadem.
Les walis l’ont officiellement et définitivement éradiquée par la fermeture administrative de la petite centaine de bordels qui rendaient quelques joies et des plaisirs éphémères. Que se passe-t-il quand un wali zélé ferme un bordel de 60 femmes de joie ? Chaque fille ainsi jetée, crée son propre bordel clandestin sinon plusieurs.
Une seule prostituée, interdite d’exercer légalement son métier, peut recruter de 10 à 100 nouvelles postulantes au plus vieux métier du monde. Nous avons des chiffres précis sur la question. Ils sont impubliables parce ça taperait la honte à l’Algérie ; disent-ils.

La police a même découvert deux maisons closes très spéciales à l’Est et à l’Ouest du pays. Ces deux établissements clandestins s’adonnaient, chacun de son côté, au même commerce assez cocasse et qui n’existe nulle part au monde: Ils vendaient du plaisir de cuisses et fabriquaient concomitamment des bébés, pas des bébés éprouvettes mais des vrais bébés qu’ils écoulaient sur le marché local à cent mille dinars « pièce » Quelle horreur!

C’est aussi la conséquence directe de la fermeture des bordels. C’est comme la fermeture des bars de quartier. Quand le buveur ne peut plus aller à son bar fermé, c’est le bar qui entrera chez lui, à la maison, avec les enfants. Et là aussi, l’Algérie de Bouteflika détient des records jamais égalés ailleurs. 2500 bars restaurants fermés en moins de dix ans. Quel pays a fait cela ?
Il paraît que ça plaît à Dieu, aux islamistes et à Belkhadem ; c’est un bonus pour entrer au paradis se dit-il. Je répète ma question ; dans quel autre pays connu du monde civilisé a-t-on fermé par décision administrative 2500 bars et restaurants ? Dans l’entendement de ces décideurs incultes, il s’agit dans leur tête d’une offrande à Dieu ; un investissement à effets différés au frais de l’Etat pour aller vite au paradis.
Dans la République bricolée de Bouteflika, la vie est décrétée simple et policière : pas de mangeur du ramadhan, pas de prostituées, pas de routes coupées ni de mairies envahies, pas de harraga, pas de bars, pas de marcheurs protestataires, pas de réunions, pas de partis, pas de livres contestataires qui disent le vrai et le juste, pas d’Homme libres dénonçant l’arbitraire et l’injustice.
L’Algérie de Bouteflika, pour ses servants et servantes, il n’y a que des Algériens dévots et spécialement aplatis à son adoration d’abord et à celle de Dieu ensuite. Officiellement, l’Algérie compte 34 millions de musulmans, tous pratiquants, tous faisant Ramadhan, tous faisant leurs six prières quotidiennes (la 6ème étant pour le chef sur terre) Officiellement, l’Algérie terre d’Islam, ne compte aucun chrétien, pas un seul juif, ni athée, ni agnostique.

Rien de ces mécréants n’existe en Algérie de Bouteflika. Les rares individus qui oseront braver ou contrarier cette belle et stupide unanimité nationale seront jetés en prison. En Algérie de Bouteflika, on a jeté des personnes en prison pour « non-jeune » durant le Ramadhan. Mais pourquoi donc ne pas jeter en prison ces millions d’Algériens qui se cachent pour manger comme les oiseaux se cachent pour mourir, pourquoi ne pas jeter en prison ces millions d’Algériens qui ne font pas la prière, ne vont pas à la mosquée, ne font pas la Zakate ? C’est pour quand la police religieuse ? La flagellation ? La lapidation ? Le bûcher ?

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moi même

moi même


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- La page de ce quotidien a été "disparue" de vu,comme il est le cas d'ailleurs de tous les sujets du genre qu'il avait traité ce quotidien...

slimane

slimane

eudi 4 novembre 2010
Des ONG marocaines revendiquent une loi spécifique contre le travail des "petites bonnes sexuelles"

RABAT - Le fléau du travail des "petites bonnes" au Maroc s'amplifie de jour en jour et des dizaines de fillettes âgées entre 8 et 15 ans travaillent dans des conditions inhumaines, indique un mémorandum du collectif pour l'éradication du travail des petites bonnes. Selon ce collectif qui regroupe 29 associations et réseaux dans toutes les régions marocaines, le Maroc ne peut plus se permettre le mutisme sur ce phénomène difficile à légitimer et qui prend de l'ampleur. Le collectif qui déclare ne pas avoir de chiffre exact sur ce fléau excepté ceux de l'Unicef de 2006 où il est indiqué qu'entre 66.000 et 88.000 fillettes étaient employées comme petites bonnes(putes), a réalisé une enquête en mars 2010 qui a dévoilé que l'origine de cette réalité se trouve dans l'indigence des parents, le poids des traditions et le manque d'infrastructures étatiques dédiées à la petite enfance. (APS)

MJB



slimane a écrit:eudi 4 novembre 2010
Des ONG marocaines revendiquent une loi spécifique contre le travail des "petites bonnes sexuelles"

RABAT - Le fléau du travail des "petites bonnes" au Maroc s'amplifie de jour en jour et des dizaines de fillettes âgées entre 8 et 15 ans travaillent dans des conditions inhumaines, indique un mémorandum du collectif pour l'éradication du travail des petites bonnes. Selon ce collectif qui regroupe 29 associations et réseaux dans toutes les régions marocaines, le Maroc ne peut plus se permettre le mutisme sur ce phénomène difficile à légitimer et qui prend de l'ampleur. Le collectif qui déclare ne pas avoir de chiffre exact sur ce fléau excepté ceux de l'Unicef de 2006 où il est indiqué qu'entre 66.000 et 88.000 fillettes étaient employées comme petites bonnes(putes), a réalisé une enquête en mars 2010 qui a dévoilé que l'origine de cette réalité se trouve dans l'indigence des parents, le poids des traditions et le manque d'infrastructures étatiques dédiées à la petite enfance. (APS)
.
IL EST CONSEILLE DE NE PAS VOIRE SEULEMENT ET UNIQUEMENT LA BOSSE D'AUTRUI.
La prostitution avec la pedophilie et la contrebande sont les metiers les plus vieux du monde.
Pour t'eviter de parler de prostitution , je t'invite de prendre la peine pour faire cette petite recherche sur google en tapant " prostitution en algerie " ou bien à alger ou tamanrasat, ou hassi massoud et etc........

slimane

slimane

moi je t'invites à faire de même , tu seras surpris de ce que tu
essaies zâama de cacher......!!!

CHKOUNE KA Y GOUL .......EL MEGHREB LA THAÏLANDE ???

MJB



slimane a écrit:moi je t'invites à faire de même , tu seras surpris de ce que tu
essaies zâama de cacher......!!!

CHKOUNE KA Y GOUL .......EL MEGHREB LA THAÏLANDE ???
.
Et l'algerie, c'est quoi?????.
C'EST L'AUTRUCHE APRES UNE COURSE BIEN ENSABLEE OU PLUS PIRE!!!!!!.

slimane

slimane

Es-tu voyeur lorsque tu es spectateur d'un fait de société ou faut il que tu pratiques constamment la politique de l'autruche au risque de passer pour une cruche !!!

MJB



slimane a écrit:Es-tu voyeur lorsque tu es spectateur d'un fait de société ou faut il que tu pratiques constamment la politique de l'autruche au risque de passer pour une cruche !!!
.
في الجاهلية عندما كنا نزخر بشبابنا كنا نزور الجزائر لشرب البائو ان كنت تعرف هده المشروربة لنملؤو الزمارة وفي الاخير وليس باخير كانو رجالا من اهل الدار بشواربهم يصاحبون للقاء والصهر مع اجمل الباغيات في مدينة وهران
شاء القدر ان تتكلم في المغاربة والمغرب وتمثلهم بالتيلاند والتايلانديين وانت لاتعرف او تستنكر ما يجري عندك وحواليك يا السيد سليمان اطار دولة
اتسائل ما دا ستكون ادا كنت جاهلا او مسؤول في قصر الموراضية

slimane

slimane

YA SI MJB ........ton ami " moi-même " a ouvert les hostilités avec un copié-collé qui parle de prostitution en Algérie , alors je répond en fonction de cà !!!

Je te signale que je répond en étant très retenu parce que les copiés-collés sur la prostitution au maroc j'en ai des tonnes , alors restons sages sinon , je suis un vrai voyou quand il le faut et j'oublie les mondanités...........!!!

YA SI MJB , TU ES LE SEUL AVEC QUI JE COMMUNIQUE AVEC RESPECT , MAIS LES AUTRES NE COMPTENT PAS UN DIRHAM POUR MOI ......!

MJB



slimane a écrit:YA SI MJB ........ton ami " moi-même " a ouvert les hostilités avec un copié-collé qui parle de prostitution en Algérie , alors je répond en fonction de cà !!!

Je te signale que je répond en étant très retenu parce que les copiés-collés sur la prostitution au maroc j'en ai des tonnes , alors restons sages sinon , je suis un vrai voyou quand il le faut et j'oublie les mondanités...........!!!

YA SI MJB , TU ES LE SEUL AVEC QUI JE COMMUNIQUE AVEC RESPECT , MAIS LES AUTRES NE COMPTENT PAS UN DIRHAM POUR MOI ......!
JE CROIS QUE C'EST TOI QUI A COMMENCE LES HOSTILITES PAR CETTE PHRASE:"Mais je te dirais que la direction vers le maroc n'intéresse plus le vrai peuple Algérien parce qu'il n'y ya rien d'attrayant là-bas pour les bons fils d'Algérie ......Mais c'est vrai que pour les voyous et ceux qui aiment le sexe et la drogue c'est une bonne affaire que d'y aller.......!!!", si je ne me trompe pas.

slimane

slimane

CE N'EST QU'UNE PHRASE A LAQUELLE ON PEUT RéPONDRE PAR UNE PHRASE TOUTE SIMPLE ......!!!
Alors qu'un copié-collé d'1 kilomètre est nuisible .....!!!

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