Qu'on est-il arrivé encore!?, le socialisme tombe dans les bras de l'impérialisme...!!?, hier encore ils nous faisaient des scandales pour ce qu'ils disaiaent que nous sommes (marocains évidemment)des alliés des impérialistes,et aujourd'hui ce sont qui se précipitent pour tomber dans les bras de ceux dont ils disaient qu'ils sont des ennemis de leurs ennemis...[/b]
Regardez :
[b]Qualifié de «très attractif» le marché algérien intéresse de plus en plus d'investisseurs américains. C'est ce qu'a affirmé à l'APS, le président du conseil d'affaires américano-algérien, Smaïl Chikhoune. Ces investissements, souligne M. Chikhoune sont davantage orientés vers des secteurs porteurs, notamment vers l'industrie pharmaceutique, l'hydraulique, l'agro-industrie, les transports, les banques, les infrastructures, etc...
Chikhoune qui s'exprimait à la veille de la tenue d'une conférence à Washington, hier, sur les opportunités dans le secteur énergétique que présidera le ministre de l'Energie et des mines Chakib Khelil, a indiqué que les investisseurs américains considèrent que le marché algérien est très attractif, d'autant que les réformes lancées ont permis au pays de retrouver une excellente santé financière avec, à la clé, un portefeuille de projets dans plusieurs secteurs d'activités.
Outre le secteur des hydrocarbures, où il existe encore «d'importants créneaux de coopération et de partenariat», Chikhoune a souligné que les investisseurs américains orientent désormais leurs recherches d'opportunités vers les télécommunications, l'habitat, la construction d'hôpitaux, de routes ou de diverses autres infrastructures, ainsi que les transports, l'agriculture, le tourisme et le développement des échanges commerciaux.
Le responsable du Conseil d'affaires américano-algérien a qualifié, dans ce contexte, de plus que positive la participation algérienne à la foire (Food Marketing Institute) FMI Show de Chicago dans la mesure où elle a permis aux opérateurs économiques de «nouer des relations d'affaires avec des distributeurs et grossistes sur le marché américain, mais aussi latino-américain et d'entamer des négociations pour des contrats et d'échanges et de coopération dans l'ensemble de la chaîne», a-t-il expliqué.
Pour M. Chikhoune, les résultats engrangés à cette occasion prouvent que le produit algérien est réellement compétitif, de bonne qualité et satisfait aux normes du marché international. Dès lors, M. Chikhoune en appelle au «dynamisme» des producteurs et des organismes en charge du commerce extérieur, d'autant que le marché américain offre l'avantage à quelque 3.000 produits d'être exonérés de droits de douanes et autres taxes à leur entrée sur ce marché, a-t-il rappelé.
Le premier responsable du conseil d'affaires américano-algérien a ensuite évoqué le rendez-vous annuel sur la coopération énergétique bilatérale et la promotion du portefeuille de projets du ministère de l'Energie et des mines et des entreprises sous tutelle, notamment pour les énergies nouvelles et renouvelables, la pétrochimie, la production d'électricité, les mines, la formation ou la veille technologique. A propos de cette rencontre, Chakib Khelil a assuré que l'US Algeria Energy Forum 2007, sortira cette année des aspects traditionnels de recherche, exploration et production, pour s'intéresser davantage au développement de la pétrochimie, la production d'électricité à partir de nouvelles sources comme le gaz, la maîtrise et l'efficacité énergétiques, les énergies nouvelles ou la commercialisation du GNL.
«Comme l'Algérie a accompli de grands progrès dans plusieurs domaines du secteur, nous allons saisir l'occasion pour discuter avec nos partenaires américains et voir comment l'on peut donner une impulsion à notre coopération énergétique dans son ensemble», a déclaré le ministre algérien, en visite aux Etats-Unis depuis le 8 mai dernier.
Quelques jours avant cette visite, l'ambassadeur d'Algérie aux Etats-Unis, M. Amine Kherbi, avait mis en exergue l'excellence des relations bilatérales. Le diplomate algérien avait affirmé que l'Algérie et les Etats-unis entretiennent de bonnes relations économiques, avec un volume d'échanges qui a totalisé 16,5 milliards de dollars en 2006, mais pensent davantage élargir et renforcer leurs liens de coopération parce que leurs économies présentent d'importantes potentialités et opportunités non encore prises en compte.
Amine Kherbi, qui était l'invité de deux universités américaines, a indiqué que depuis 2001, les relations économiques bilatérales se sont renforcées pour atteindre en 2006 un volume d'échanges de 16,5 milliards de dollars. Durant l'année dernière, les exportations algériennes vers les Etats-Unis ont enregistré une hausse de 48,3% par rapport à 2005.
Les investissements américains en Algérie principalement dans le secteur des hydrocarbures ont totalisé les 5 milliards de dollars, a-t-il expliqué. Il a par ailleurs fait remarquer, qu'avec l'établissement de nouvelles réformes économiques et surtout une plus grande maîtrise du climat sécuritaire, le retour à la confiance a drainé des investissements d'entreprises américaines dans des secteurs comme les transports, l'habitat, l'agriculture, les télécommunications, les industries pharmaceutiques et mécaniques, l'hydraulique, les énergies nouvelles.
M. Kherbi a également rappelé que, l'Algérie offre aujourd'hui les meilleures conditions pour l'investissement, les échanges, la réalisation d'affaires et les opportunités de partenariats et de coopération. «L'Algérie a un grand potentiel d'avantages comparatifs et compétitifs notamment aux plans des garanties financières, une main-d'oeuvre qualifiée, des infrastructures et une énergie disponible à bon marché.
Les entreprises américaines commencent à s'y intéresser même si ce n'est pas encore au niveau souhaité», a-t-il souligné.
par Djamel B. (Le Quotidien d'Oran)
http://www.algerie-dz.com/forums/archive/index.php/t-48882.html
Regardez :
[b]Qualifié de «très attractif» le marché algérien intéresse de plus en plus d'investisseurs américains. C'est ce qu'a affirmé à l'APS, le président du conseil d'affaires américano-algérien, Smaïl Chikhoune. Ces investissements, souligne M. Chikhoune sont davantage orientés vers des secteurs porteurs, notamment vers l'industrie pharmaceutique, l'hydraulique, l'agro-industrie, les transports, les banques, les infrastructures, etc...
Chikhoune qui s'exprimait à la veille de la tenue d'une conférence à Washington, hier, sur les opportunités dans le secteur énergétique que présidera le ministre de l'Energie et des mines Chakib Khelil, a indiqué que les investisseurs américains considèrent que le marché algérien est très attractif, d'autant que les réformes lancées ont permis au pays de retrouver une excellente santé financière avec, à la clé, un portefeuille de projets dans plusieurs secteurs d'activités.
Outre le secteur des hydrocarbures, où il existe encore «d'importants créneaux de coopération et de partenariat», Chikhoune a souligné que les investisseurs américains orientent désormais leurs recherches d'opportunités vers les télécommunications, l'habitat, la construction d'hôpitaux, de routes ou de diverses autres infrastructures, ainsi que les transports, l'agriculture, le tourisme et le développement des échanges commerciaux.
Le responsable du Conseil d'affaires américano-algérien a qualifié, dans ce contexte, de plus que positive la participation algérienne à la foire (Food Marketing Institute) FMI Show de Chicago dans la mesure où elle a permis aux opérateurs économiques de «nouer des relations d'affaires avec des distributeurs et grossistes sur le marché américain, mais aussi latino-américain et d'entamer des négociations pour des contrats et d'échanges et de coopération dans l'ensemble de la chaîne», a-t-il expliqué.
Pour M. Chikhoune, les résultats engrangés à cette occasion prouvent que le produit algérien est réellement compétitif, de bonne qualité et satisfait aux normes du marché international. Dès lors, M. Chikhoune en appelle au «dynamisme» des producteurs et des organismes en charge du commerce extérieur, d'autant que le marché américain offre l'avantage à quelque 3.000 produits d'être exonérés de droits de douanes et autres taxes à leur entrée sur ce marché, a-t-il rappelé.
Le premier responsable du conseil d'affaires américano-algérien a ensuite évoqué le rendez-vous annuel sur la coopération énergétique bilatérale et la promotion du portefeuille de projets du ministère de l'Energie et des mines et des entreprises sous tutelle, notamment pour les énergies nouvelles et renouvelables, la pétrochimie, la production d'électricité, les mines, la formation ou la veille technologique. A propos de cette rencontre, Chakib Khelil a assuré que l'US Algeria Energy Forum 2007, sortira cette année des aspects traditionnels de recherche, exploration et production, pour s'intéresser davantage au développement de la pétrochimie, la production d'électricité à partir de nouvelles sources comme le gaz, la maîtrise et l'efficacité énergétiques, les énergies nouvelles ou la commercialisation du GNL.
«Comme l'Algérie a accompli de grands progrès dans plusieurs domaines du secteur, nous allons saisir l'occasion pour discuter avec nos partenaires américains et voir comment l'on peut donner une impulsion à notre coopération énergétique dans son ensemble», a déclaré le ministre algérien, en visite aux Etats-Unis depuis le 8 mai dernier.
Quelques jours avant cette visite, l'ambassadeur d'Algérie aux Etats-Unis, M. Amine Kherbi, avait mis en exergue l'excellence des relations bilatérales. Le diplomate algérien avait affirmé que l'Algérie et les Etats-unis entretiennent de bonnes relations économiques, avec un volume d'échanges qui a totalisé 16,5 milliards de dollars en 2006, mais pensent davantage élargir et renforcer leurs liens de coopération parce que leurs économies présentent d'importantes potentialités et opportunités non encore prises en compte.
Amine Kherbi, qui était l'invité de deux universités américaines, a indiqué que depuis 2001, les relations économiques bilatérales se sont renforcées pour atteindre en 2006 un volume d'échanges de 16,5 milliards de dollars. Durant l'année dernière, les exportations algériennes vers les Etats-Unis ont enregistré une hausse de 48,3% par rapport à 2005.
Les investissements américains en Algérie principalement dans le secteur des hydrocarbures ont totalisé les 5 milliards de dollars, a-t-il expliqué. Il a par ailleurs fait remarquer, qu'avec l'établissement de nouvelles réformes économiques et surtout une plus grande maîtrise du climat sécuritaire, le retour à la confiance a drainé des investissements d'entreprises américaines dans des secteurs comme les transports, l'habitat, l'agriculture, les télécommunications, les industries pharmaceutiques et mécaniques, l'hydraulique, les énergies nouvelles.
M. Kherbi a également rappelé que, l'Algérie offre aujourd'hui les meilleures conditions pour l'investissement, les échanges, la réalisation d'affaires et les opportunités de partenariats et de coopération. «L'Algérie a un grand potentiel d'avantages comparatifs et compétitifs notamment aux plans des garanties financières, une main-d'oeuvre qualifiée, des infrastructures et une énergie disponible à bon marché.
Les entreprises américaines commencent à s'y intéresser même si ce n'est pas encore au niveau souhaité», a-t-il souligné.
par Djamel B. (Le Quotidien d'Oran)
http://www.algerie-dz.com/forums/archive/index.php/t-48882.html