Nucléaire iranien: le Royaume Uni souhaite la médiation de l’Algérie
Le ministre britannique chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l’Afrique du nord, Allister Bearth, a affirmé que le gouvernement de Grande-Bretagne a souhaité la médiation de l’Algérie, afin de dénouer la crise qui oppose son pays à l’Iran, au sujet de la volonté de ce pays de poursuive son projet nucléaire.
Selon le ministre britannique, ce choix a été dicté par les relations excellentes qui lient d’un coté la Grande-Bretagne et l’Algérie, et d’un autre, l’Iran et l’Algérie, ainsi que le passé diplomatique très riche de l’Algérie dans le dénouement de pareilles crises. Le ministre britannique chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l’Afrique du nord, Allister Bearth, a précisé qu’il avait déjà eu des discussions à ce sujet avec le conseiller à la Présidence, Abderrezak Bara, ainsi qu’avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Médelci, pour mener Téhéran, au nom des bonnes relations qu’elles entretient avec Alger, de cesser de poursuivre son projet nucléaire.
Le président Abdelaziz Bouteflika qui avait effectué une visite d'Etat de trois jours en mai en Iran, avait déjà parlé de médiation, mais entre l’Iran et l’ONU, concernant le dossier du nucléaire. Très proche de Ahmedinédjad, et au menu des discussions avait figuré le dossier du nucléaire iranien. L'Algérie a été élue vice-présidente de la 8ème session de la conférence d'examen du Traité de non-prolifération des armes nucléaires qui s’est achevé il y a quelques mois à New York.
L'Iran, en conflit avec les occidentaux sur la question du nucléaire compte aussi sur les efforts diplomatiques de l'Algérie pour une solution à cette crise. Selon des sources diplomatiques, les responsables politiques en Iran estiment qu'une médiation algérienne entre les Américains et les Iraniens pourrait aider à dépasser cette crise
Le ministre britannique chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l’Afrique du nord, Allister Bearth, a affirmé que le gouvernement de Grande-Bretagne a souhaité la médiation de l’Algérie, afin de dénouer la crise qui oppose son pays à l’Iran, au sujet de la volonté de ce pays de poursuive son projet nucléaire.
Selon le ministre britannique, ce choix a été dicté par les relations excellentes qui lient d’un coté la Grande-Bretagne et l’Algérie, et d’un autre, l’Iran et l’Algérie, ainsi que le passé diplomatique très riche de l’Algérie dans le dénouement de pareilles crises. Le ministre britannique chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l’Afrique du nord, Allister Bearth, a précisé qu’il avait déjà eu des discussions à ce sujet avec le conseiller à la Présidence, Abderrezak Bara, ainsi qu’avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Médelci, pour mener Téhéran, au nom des bonnes relations qu’elles entretient avec Alger, de cesser de poursuivre son projet nucléaire.
Le président Abdelaziz Bouteflika qui avait effectué une visite d'Etat de trois jours en mai en Iran, avait déjà parlé de médiation, mais entre l’Iran et l’ONU, concernant le dossier du nucléaire. Très proche de Ahmedinédjad, et au menu des discussions avait figuré le dossier du nucléaire iranien. L'Algérie a été élue vice-présidente de la 8ème session de la conférence d'examen du Traité de non-prolifération des armes nucléaires qui s’est achevé il y a quelques mois à New York.
L'Iran, en conflit avec les occidentaux sur la question du nucléaire compte aussi sur les efforts diplomatiques de l'Algérie pour une solution à cette crise. Selon des sources diplomatiques, les responsables politiques en Iran estiment qu'une médiation algérienne entre les Américains et les Iraniens pourrait aider à dépasser cette crise