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Les Marocains du Monde Entier condamnent le PP Espagnol et l'Algérie

2 participants

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IDRISSIDE

IDRISSIDE

Les Marocains du Monde condamnent la campagne de propagande menée par le PP espagnol et l'Algérie contre le Maroc

Les Marocains résidant à l'étranger, réunis vendredi à Istanbul dans le cadre de la rencontre des Marocains du Monde (MDM), ont condamné vigoureusement la campagne de propagande menée par le Parti populaire (PP) espagnol et l'Algérie contre l'intégrité territoriale du Royaume.

Cette campagne mensongère et de désinformation utilise la presse algérienne et certains médias espagnols connus pour leur hostilité viscérale envers le Maroc et son intégrité territoriale, ont-ils souligné lors d'une conférence, organisée dans le cadre de la première rencontre des MDM en dehors du Maroc, qui se tient sous le thème "MDM, les ambassadeurs de l'espoir".

Membres d'associations marocaines dans plusieurs pays (Italie, France, Maroc, Espagne, Pologne, Grande-Bretagne, Suède, Emirats arabes unis, Turquie ...etc), les MDM ont dénoncé, dans ce cadre, l'instrumentalisation des événements de Laâyoune par l'Algérie et ses organes de presse, le PP et certains médias espagnols. Ces agissements visent essentiellement à induire en erreur la communauté internationale et saper le processus de négociations sur la question du Sahara en cours sous l'égide de l'Organisation des Nations-Unies, ont-ils précisé.

Les participants ont souligné la pertinence du plan d'autonomie proposé par le Maroc, qui constitue une nouvelle preuve sur la bonne foi et la volonté du Royaume de trouver une solution politique et définitive au conflit du Sahara. Ils ont appelé, par ailleurs, les organisations de défense des droits de l'homme dans les pays d'accueil à exercer des pressions sur l'Algérie et le polisario afin de libérer Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, ce militant sahraoui enlevé et séquestré depuis plus de deux mois, parce qu'il a osé s'exprimer publiquement en faveur du plan d'autonomie.

Les MDM ont mis l'accent également sur le rôle de la communauté des Marocains établis à l'étranger dans la défense des intérêts du Maroc et de sa première cause nationale, soulignant la nécessité de faire face aux campagnes de désinformation et de provocation menées par les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume. Outre la question du Sahara marocain, les MDM ont débattu à Istanbul de plusieurs sujets se rapportant notamment à leur rô le dans la dynamique de développement lancée dans le Royaume, à leur intégration dans les pays d'accueil et au rôle qu'ils peuvent jouer dans la diffusion des valeurs de tolérance et de coexistence.

Rehaussée par la présence du Consul général du Royaume du Maroc à Istanbul, M. Mohamed Benabdeljalil, cette conférence a été couronnée par la signature d'un accord de coopération entre l'Organisation "les Anges du Monde" (Italie), initiatrice de la rencontre, et la Fondation internationale pour la paix et la tolérance (Maroc).

La rencontre des MDM, qui a choisi la ville d'Istanbul pour sa première édition en dehors du Maroc, se veut une initiative visant à consolider les valeurs de solidarité et de fraternité entre les MDM, a précisé, à cette occasion, le président de l'Organisation "les Anges du Monde", M. Khalid Moufidi. Il a indiqué que le choix d'Istanbul pour abriter cette première rencontre se justifie par les relations de fraternité qui lient le Maroc et la Turquie, ainsi que par la notoriété acquise par la métropole turque en matière d'organisation de conférences et de séminaires internationaux.




Samedi 27 Novembre 2010
Atlasinfo (source MAP)

slimane

slimane

Fassi Fihri au quotidien El Pais :
«Le Maroc est en état de guerre»


«Si vous êtes contre l’élargissement de la mission de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental,
on peut déduire que vous avez des choses à cacher».

FASSI FIHRI a été visiblement surpris
par cette question observation inattendue de
l’envoyé spécial d’El Pais, le seul journaliste espagnol à se trouver encore, jeudi dernier, à Rabat, sa collègue d’El
Mundo ayant été renvoyée chez elle, la semaine dernière, à cause de ses écrits jugés «diffamatoires» alors que le correspondant de ABC a été déclaré «persona non grata».
La guerre contre qui ? Le chef de la diplomatie marocaine,l’homme de confiance du roi MohammedVI pour avoir été son ancien
camarade de classe au lycée du Palais royal, a-t-il tout dit ou rien dit quand il laisse
échapper cette réponse qui fera le titre de l’interview : «Parce que nous sommes en
état de guerre !»
Contre qui ?lui demande alors le journaliste Fassi Fihri a-t-il alors trop dit ou n’a-t-il rien dit ? Déstabilisé, il s’est rendu
compte trop tard que dans son interview d’une page, l’Algérie a eu droit à tous les
chapitres. Résumons son argumentation : «C’est à Tindouf que sont "séquestrés"
les frères marocains, c’est de là-bas que sont venus les activistes sahraouis qui ont
tué les 11 policiers et gendarmes marocains dans le camp de toile de Gdein Izik,près d’Al Ayoune, c’est l’Algérie qui a planifié la
déstabilisation du royaume alaouite, c’est encore elle qui accuse le Maroc de génocide
et de nettoyage ethnique et c’est avec le gouvernement algérien, et non le Front
Polisario, que le Maroc reprendra les négociations informelles,en décembre prochain à New York, sur le Sahara occidental.» Jusque-là rien d’inédit, en
fait, dans ce qui ressemble à un discours trop galvaudé pour être pris au sérieux par
les chancelleries et le pays voisin.
Pour tenter de se rattraper, il retrouve le sens de la formule diplomatique : «Nous
sommes en état de guerre dans un sens général. Il y a des ennemis qui s’attaquent aux intérêts supérieurs du pays.»
L’Algérie ? Le Front Polisario ?
La réponse ne convainc pas le têtu journaliste. En guerre contre l’Algérie ? Le Front Polisario ?Le ministre marocain assure que «de manière générale, l’usage de cocktails Molotov, le style de bombonne de gaz et l’égorgement d’un policier ne peuvent être que l’oeuvre de milices qui ont été en contact permanent avec le territoire algérien…» Des preuves ? «Oui, le Front
Polisario a dit clairement qu’il savait parfaitement ce qui s’est passé dans le camp de toile de Gdeim Izik et ceci démontre ses contacts…»
Lassé par la langue de bois du chef de la diplomatie marocaine, le journaliste lui
demande s’il peut se rendre à AlAyoune pour,
vraisemblablement, vérifier ces «faits» sur place. Mis dans les cordes, Fassi Fihri accepte de répondre mais en «off de record».
Le journaliste insiste pour publier la réponse du ministre. «Pas question !» On
l’aura deviné, la réponse est non.
C’est la stratégie du silence que le Maroc a adoptée autour de la féroce répression
depuis la prise d’assaut du camp de Gdeim Izik. Après le Parlement européen qui a
appelé les Nations unies à travers sa résolution de jeudi à ouvrir une enquête
internationale sur les massacres et les arrestations des indépendantistes sahraouis, Humans Right Watch a critiqué,hier durement la prise d’assaut de ce camp de protestation situé aux abords d’Al Ayoune, les tortures et les disparitions de Sahraouis
indépendantistes. Le risque est trop grand, à quelques jours du passage devant le Parlement européen d’une délégation
gouvernementale marocaine invitée par les Eurodéputés à s’expliquer sur la répression
du 8 novembre. Le même Fassi Fihri doit être entendu sur cette affaire, le 13 décembre par ses collègues des «27» avec lesquels il devra faire le point de l’application de l’accord avancé UE-Maroc. Là encore le gouvernement marocain veut éviter que des
témoignages en direct d’AlAyoune viennent contredire sa propagande officielle.
Les boucs émissaires et les transfuges de
Rabat veut se donner le temps de «pacifier» le Sahara. Le roi Mohammed VI procède déjà à
des changements àla tête de l’dministration d’occupation qui a mal géré la crise du
camp de toile de Gdeim Izik.
Le wali marocain d’Al Ayoune est remplacé à ce poste par un Sahraoui d’origine qui a fait allégeance à la monarchie alaouite déjà dans les années 70.
La retentissante grève de la faim de Aminatu Haider, novembre 2009, avait coûté son poste
au ministre marocain de l’Intérieur, Chakik
Benmoussa, un autre proche et ami du roi comme Fassi Fihri. Jeudi, le souverain
marocain a nommé un transfuge sahraoui, Ahmed Ould Souilem,comme nouvel ambassadeur du Maroc en Espagne. Madrid est gêné par
cette nomination controversée, annoncée
depuis une année. «De la poudre aux yeux», fait observer un membre actif des
associations espagnoles de soutien à la cause sahraouie, «car avec un Sahraoui wali,
ambassadeur ou ministre, le Sahara occidental est toujours un territoire occupé
illégalement par le Maroc et la question de sa décolonisation toujours posée».
A. H.

IDRISSIDE

IDRISSIDE

Campagne de dénigrement des médias espagnols contre le Maroc : Un juriste français dénonce une politique de «deux poids, deux mesures»

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Charles Saint-Prot, un juriste français, s’est interrogé, lors d’une conférence à Paris, pourquoi les médias espagnols ne s’intéressent pas à la situation préoccupante de non-droit qui prévaut dans les camps de Tindouf.


Le juriste et universitaire français Charles Saint-Prot a dénoncé la politique de «deux poids, deux mesures» observée par certains médias occidentaux, en particulier espagnols, dans le traitement de la question du Sahara, comme en témoigne leur couverture déséquilibrée et partiale des incidents de Laâyoune. Lors d’une conférence-débat, tenue ce week-end à Paris, il s’est interrogé pourquoi ces médias, «préoccupés par le respect des droits de l’Homme», ne s’intéressent pas à la situation «préoccupante» de non-droit qui prévaut dans les camps de Tindouf, où les séquestrés sont privés de leurs droits les plus élémentaires. Cette rencontre visait à informer l’opinion publique européenne sur les processus de développement social, politique et économique dans lesquels le Maroc est résolument engagé aujourd’hui et à expliquer l’initiative marocaine d’autonomie comme solution «idoine et juste» au conflit du Sahara. Dans son exposé, M. Saint-Prot a cité l’exemple de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, enlevé depuis le 21 septembre par les miliciens du Polisario pour avoir «émis une opinion», celle de défendre le plan marocain d’autonomie. M. Saint-Prot, fondateur avec d’autres juristes français d’un comité de soutien à cet ancien responsable du Polisario qui a eu le courage de défendre la proposition marocaine, a rappelé que «l’on est toujours sans nouvelle de lui», appelant les médias à s’intéresser à son sort et à celui des autres séquestrés dans les camps de Tindouf, placés sous la responsabilité de l’Algérie. «En refusant l’accès du Haut commissariat aux réfugiés à ces camps, l’Algérie viole le droit international et ses engagements en tant que pays d’accueil de cette population», a-t-il dit, rappelant que «le Polisario n’a aucune existence juridique, une entité artificielle créée de toutes pièces par l’Algérie». «C’est hallucinant d’entendre dans certains médias occidentaux, en particulier espagnols, des analyses complètement coupées de la réalité», a-t-il souligné, notant que «par ignorance, voire par paresse, ils utilisent des termes erronés pour le conflit au Sahara (territoires libérés, occupation du Sahara occidental, droit à l’autodétermination), or le Sahara a toujours été marocain». L’universitaire se dit convaincu qu’un «référendum d’autodétermination n’a pas lieu d’être» pour le cas du Sahara car «on ne peut pas demander à une population nationale si elle veut revenir à sa mère patrie», d’autant plus que les différents plans de règlement de l’ONU ont conclu à l’impossibilité de réaliser un tel référendum. «Dans ce contexte, souligne-t-il, le plan d’autonomie marocain se présente comme la seule solution pour sortir de la crise». Il a déploré à cet égard l’attitude «irresponsable» de l’Algérie qui continue de «mettre de l’huile sur le feu» en cherchant à «déstabiliser le Maroc» alors que ce dernier est engagé dans les négociations «en mettant sur la table une proposition sérieuse et crédible pour le règlement du conflit».
Le 30-11-2010 à 11:06
Par : MAP

Selon "Aujourdh'ui le Maroc" du 30/11/2010.

slimane

slimane

Le maroc reconnais le Polisario puisqu'il négocie avec ses représentants , alors qu'est-ce qu'il raconte ce connard fouteur de merde de français ???

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