Commençons par ce document sur Ahl-Al-Bayt Dans le Maghreb
hadith rapporté dans un commentaire du Coran (tafsir) (intituler ad-dûrr al-manthûr fi at-tafsîri bi al-maathûr) de l'imam jalâal ad-dîn as-suyuti (m.911) rahimaoullah.
" Peu de temps après la disparition du Prophète, sa fille Fatima remit quelques dirhams à sa servante, lui demanda de se rendre au marché et d'y clamer : "Qui veut accepter une aumône de la fille du Prophète ?" Et de demander à celui qui l'aura acceptée de se présenter devant elle. Et la servante de s'exécuter. L'homme fut un pauvre parmi ces indigents venus du Maghreb, de la région occupée par les Berbères. Fatima lui raconta que son père lui avait prédit que ses deux fils Hasan et Husayn connaîtraient le martyr et que leurs enfants s'enfuiraient au Maghreb, qu'ils trouveraient asile auprès des Berbères."
Ahl-Al-Bayt Dans le Maghreb Arabe De Moulay Idriss Ier à l’Emir Abdelkader
Descendence du Prophète Mohammed (SAWS)
Le prophète Mohammed a eu de sa première femme Lalla Khadidja Bent Khouiled, trois enfants de sexe mâle : El Kaçim, Ettahar, et Abdellah, et quatre filles : Fatima Zahra, Zeineb, Rokia, et Oum Kelthoum. De sa deuxième femme Maria El Coptia, il eut Ibrahim. Tous ces fils sont morts en bas âge. Le prophète a été très affecté par la mort de son dernier fils Ibrahim.
De toutes ses filles ,seule Lalla Fatima-Zahra , mariée à Ali Ibn Abi Talib (cousin germain du Prophète ) eut deux enfants mâles : El Hassan et El Hussein. Mohammed Rassul Allah mourut un Lundi du mois Rabi El Aouel 11eme année de l’hégire fut enterré dans sa maison actuellement appelée Masdjed Rrassul Allah à Médine, une des plus grande Mosquée au monde après Masdjed El Haram située à la Mecque( Mecca El Mukarrama). Lalla Fatima-Zahra décéda six mois après lui et fut enterrée dans la Baakii alors qu’elle désirait reposer à coté de son père. Ibn Abbas rapporte que Lalla Fatima Zahra demanda à son père une nombreuse postérité, le Prophète exauça ses vœux : sa postérité, en effet, remplit les quatre coins du monde.
El Hassan est le premier fils d’Ali et de Lalla Fatima, il tente un moment de se faire reconnaître khalife par Moawya Ibn Abi Sufiane, puis capitule en 661(Ch) devant l’inévitable et s’en revient finir ses jours à Médine. Le plus grand des Martyres le Chahid par excellence, c’est El Hussein. Sur la foi des habitants de Koufa, il tente de s’emparer en 680, du khalifa de Yazid Ibn Moawya Ibn Abi Sufiane. Il est défait à Kerbala ; c’est là même qu’on enterra son corps décapité, à deux pas de Nadjaf ou repose son père sayed Ali Ibn Abi Taleb . Seul son fils cadet réussit à échapper à la tuerie.
Martyr encore un descendant du même Hussein, plus tard Zaid fut lui aussi tué à Koufa en 740. Son fils Yahia subit le même sort, c’est alors la naissance du Zaidisme. Ainsi, l’ensemble Lalla Fatima Zahra , Ali, El Hassan et El Hussein, et leur descendance, grâce à leur lien avec le Prophète forme ce que l’on a appelé : "AHL-AL-BAYT", (les membres de la famille sainte par excellence, pure, honorable et respectable, qui ne doivent payer ni impôt ni être astreint à des corvées).
Le prophète a dit en parlant de sa postérité :
« Que Dieu maudisse tout intrus parmi nous (AHL-AL-BAYT) et tout apostat à notre famille ! Soyez bienveillants pour les miens ; car ceux qui leur témoigneront de l’affection, Dieu leur en tiendra compte …Malheur, malheur à celui qui les aura humiliés ! »
(Extraits du livre « El Djamhourat El Kebra » de l’Imam Sidi Ahmed ben Abd-allah). Chaque musulman devrait prendre connaissance de la généalogie, de la vie du prophète de sa famille ainsi que de ses compagnons les plus distingués et suivre leur exemple jusqu’au jour du jugement dernier.
Les descendants du prophète Mohammed ne peuvent avoir une origine que par la descendance de ses petits-fils, El Hassen et El Hussein. Nous savons bien qu’ils ont tous résidé au Moyen Orient ou ils sont enterrés. El Hassan est enterré dans le «Baakii» le cimetière des chouhadas d’El Madina El Munawara dans le Hedjaz. El Hussein quant à lui son prestigieux mausolée se trouve à Kerbala en Irak. Ces deux petits-fils du prophète ont laissé une très nombreuse descendance. Certains des descendants de Hassan sont parvenus jusqu’au Maghreb dans des conditions difficiles et dramatiques. Leur départ précipité du moyen Orient et leur fuite vers le Maghreb Arabe leur a permis de garder la vie sauve momentanément. Leur dignité et leur noblesse ont été sauvegardées. Tel est le cas d’Idriss Premier, fils de Abdallah El Kamel, qui avait pu grâce à des complicités rejoindre Wallilah (Volubilis), ville antique du Maroc située près de Méknes. Là il réussit à fonder la dynastie des Idrissides.Pour une meilleure compréhension des événements, nous devons faire un bref rappel historique qui portera sur la période qui va de Moulay Idriss premier en passant par les Chorfas de Ahl Ain El Houts (Tlemcen) de Tessala (Sidi Bel Abbès), de Mazouna (Algérie) de SidjilMassa puis revenir à Mascara qui connut la naissance en 1808 de l’Emir Abd El Kader Ibn Muhyidin al-Hassani. Il appartenait lui aussi à une famille d’origine chérifienne qui dirigeait une zawiya la confrérie des Kadiriya. Il fut le héros de la lutte armée contre les envahisseurs étrangers au Maghreb El Aousat, terre d’Islam, ( Algérie).
Les Idrissides dans le Maghreb Arabe
L'histoire des Idrissides (VIII - X siècle)dans le Maghreb commence essentiellement par cette noble famille dont le père fondateur Idris premier est venu au Maroc, ralliant à sa cause de nombreuses tribus Berbères qui le proclameront Roi du Maroc. Avant son arrivée, deux vagues de conquérants arabes étaient parvenues en Afrique du Nord, dès la fin du VII siècle, l'une dirigée par Oqba Ibn Nafi, le fondateur de Kairouan (670), l'autre par Moussa Ibn Nuçair, tous deux considérés comme les précurseurs de l'introduction de l'Islam dans cette région, peuplée jusque là de païens et de quelques îlots de communautés juives et chrétiennes.
Idris premier descendant d'Ali, gendre du prophète, a connu d'abord de grandes inquiétudes à la cour de Bagdad où il était recherché comme opposant aux Abbassides (les descendants d’El Abbas oncle du prophète), devenus à leur tour les nouveaux maîtres du monde musulman. Après s'être réfugié en Égypte, Idris se dirige vers le Maroc en passant par Tanger et Tlemcen , avant de s'installer définitivement à Walilah (volubilis) ville adossée au massif de Zerhoun, sur les bords de l’oued Khoumane. Idris était toujours sous la protection du chef de la tribu des Aourebas, Abou Layla Ishaq ben Abdelhamid.
Accompagné de son frère de lait Rached Ben Morched El Koreichi, il trouve un Maroc en proie à des luttes tribales axées sur les interprétations du Coran, avec au premier plan le mouvement Kharidjite particulièrement actif. Très vite il fut reconnu comme descendant du Prophète Mohammed , il fut proclamé Imam, six mois après son arrivée, il prêche l'orthodoxie sunnite et rallie autour de lui la majorité des tribus du pays. De Walilah, il dirige des expéditions dans tout le pays, assoit son autorité et augmente sa puissance. Celle-ci inquiète les Abbassides qui craignent une action de sa part dans l'avenir. C'est ainsi que Haroun al-Rachid, nouveau Calife Abbasside décide de le supprimer et lui envoie pour cela un messager, Souleyman Ben Djaber-en-Nabdi-el-Zindi, supposé être un émissaire de soutien et d'amitié. Celui-ci séjourne le temps nécessaire à Walilah pour capter sa confiance et parvient à l'empoisonner en 793 grâce à une fiole de musc contenant du poison.
En 789/90, Idris Ier entreprit la conquête de Tlemcen-Agadir ou il posa les fondations du Masjid El Attiq (la grande mosquée d’Agadir). C’est la première mosquée construite dans le Maghreb central. Idris Ier y fit édifier un minbar (chair) sur lequel on inscrivit son nom. C’est seulement à cette époque que Soleiman Ibn Abdallah El Kamel émigra d’Orient pour venir retrouver son frère Idriss Ier à Tlemcen. Ce dernier l’installa dans la région et le nomma émir de cette Tlemcen. Soleiman Ibn Abdallah El Kamel est quant à lui à l’origine des Chorfas d’Ain El Hout (village dans les environs de Tlemcen ) et de Bedjaia (Bougie). Il séjourna et mourut à Tlemcen. Quant à Idris Ier il retourna s’installer comme nous l’avons dit plus haut à Wallilah (Volubilis). Bien accueilli, usant de son autorité religieuse, habile à nouer des relations avec les tribus Berbères , il étend son autorité sur une grande partie du Maroc .
Mais, trois ans plus tard, en 793 (Ch), Idriss Ier fut traîtreusement empoisonné sur ordre du Khalife Haroun Rachid à Bagdad, comme nous l’avons décrit plus haut. Son agresseur fut rattrapé par son frère de lait Rached à la ville d’El Hira qui se nomme actuellement Oujda ( racine arabe Wajada signifiant trouver).
Quelques mois après la mort d'Idriss Premier, son épouse Kenza, originaire de la tribu Aoureba, donne naissance à un garçon surnommé Idris Ethani ou Idris II. L'éducation du jeune prince est confiée au fidèle affranchi de de son défunt père, Rachid, qui le fait proclamer Sultan du Maroc en 804, à l'âge de 11 ans. Au fil des années, sa sagesse et son sens politique s'affirment, le nombre de ses fidèles s'accroît, la capacité et la puissance de son armée se développent. Ne pouvant agrandir la ville de Walilah (située sur une crête à l'accès difficile) et voulant se doter d'une capitale, il décide de chercher un lieu remplissant des conditions économiques et stratégiques les plus adéquates.
L'édification d'une cité prestigieuse s'imposait pour fixer l'Islam parmi les tribus unifiées autour de lui. Il voulu concentrer les forces du jeune État islamique et réaliser le brassage des différentes ethnies pour en faire une nation. Idriss II succéda donc à son père. Il continua son œuvre dans le raffermissement de la dynastie Idrissite issue de Ali et Lalla FatimaZahra. Il partit lui aussi pour Tlemcen en l’an 814(Ch) ou il séjourna pendant trois années. Il élargit ainsi le royaume vers le sud et l’est. Contrôlant le carrefour de toutes les routes marocaines. A Tlemcen, Il épousa la fille de son cousin Mohammed Ibn Soleiman et repartit à Fès pour donner à la ville ses véritables dimensions. Quant à Mohammed Ibn Soleiman après un règne très court , il mourut à Tlemcen et fut enterré à Ain El Hout . La succession de l’émirat échut à son fils Ahmed Ibn Soleiman qui devint à son tour émir de Tlemcen. A sa mort il laissa dix enfants : Ahmed , Aissa, Idriss, Ibrahim, Hassan, Ali, Hossein, Abdellah, Soleiman et Mohammed.IbnHazm ( Abu Muhammed Ali ibn Hazm 994-1064, outre ses fonctions de vizir auprès des derniers Omeyyades, fut un théologien et un historien de grande érudition. ) confirme dans ses écrits le règne des émirs Soleimanites dans le Maghreb central. En 931 c’est à dire en 319 de l’hégire, les Fatimides occupèrent Tlemcen et chassèrent le dernier émir Idrissi-Soleimanite, El Hassan Ibn Abou Aich Ibn Aissa Ibn Idriss Ibn Mohammed Ibn Soleiman. La conquête du Maghreb central par les Fatimides (dynastie de califes shiites qui régnèrent en Afrique du Nord et en Égypte de 910 à 1171) chassa tous les descendants de Mohammed Ibn Soleiman. Ces derniers embrassèrent alors la cause des Omeyyades de Cordoue et se réfugièrent en Andalousie. La chute de Cordoue en 1091 vit la fin des Omeyyades. Certain des Chorfas Soleimanites rentrèrent au Maghreb et s’établirent dans le Souss ( Maroc), le Riff marocain, à Bejaia , à Constantine (M'Hamed Ben Yahia mort en 1091 de l'Hégire tel inscrit sur son épitaphe , son mausolée se trouve à 70 km de Constantine - près de Tadjenanet -Wilaya de Mila -Algérie. (Source envoyée par un correspondant digne de foi) un de ses petits fils portant le même nom est enterré lui aussi dans un monument funéraire à Touggourt-Nezla -Wilaya de Ouargla) et enfin la trace des Chorfas est aussi signalée dans le sud Algérien.
A titre d’information historique, rappelons qu’en 1437(Ch) il y eut une découverte miraculeuse ; celle du corps du Chérif Moulay Idris II retrouvé intact et reconnu par toutes les autorités ainsi que par le chef de la famille Idrisside, le chérif Djouti El Imrani. Cet événement a eu lieu dans le sanctuaire lui-même, près de la mosquée des chorfas de Fès. Cette découverte rehaussa le prestige de la famille Idrisside pendant la période des troubles sociaux, religieux et politiques qu’a connu le Maroc dans la deuxième moitié du XVe siècle sous les Bani-Ouattas.
La zaouïa deMoulay Idris II est un lieu sacrée à Fès elle a été construite au IXe siècle puis renouveler 1437. Par une petite plaque de cuivre percée d'un trou à travers lequel les fidèles touchent la sépulture recouverte d'une keswa brodée. Le sanctuaire est interdit aux non-musulmans.
L'enceinte de la zaouïa est sacrée aucun musulman ne pouvait être arrêté. car il y est protégé et bénéficie du droit d'asile. Aujourd'hui, la zaouïa de Sidi Moulay Idris accueille les musulmans qui viennent y chercher la baraka du saint patron de Fès. C’est pourquoi le voyageur qui venait de loin savait qu'en arrivant aux portes de la ville, c'est a son fondateur qu'il demandait l'hospitalité. Fès étant considérée comme la ville de Moulay Idris. De nos jours de nombreux habitants de Fès connaissent encore par cœur ce que les chroniqueurs rapportent comme étant les paroles de Sidi Moulay Idris II, au moment de déposer la première pierre de l'édifice:
"O Dieu, tu sais que je n’ai pas construit cette ville par recherche de brio , ou par vanité, ou par désir de renommée et d’orgueil. Cependant je voudrais que tu sois adoré , que ton livre saint y soit récité et ta loi appliquée tant que durera le monde. O Dieu, guide vers le bien ceux qui y habitent et aide les à l’accomplir, cache à leurs yeux le glaive de l’anarchie et de la dissidence…"
Idris II
Nous savons que Abdellah El Kamel Ibn Hassen El Mouthanna, Ibn Hassen Essebt, Ibn Ali et Lalla Fatima Zohra , laissa en postérité sept fils :Mohammed Ennefs Ezakia, Moussa, Ibrahim, Aissa, Idris, Yahia, et Soleiman. De plus, Idris , Soleiman, et Aissa avaient la même mère : Attika el Mekhzoumia ; tandis que Moussa, Mohammed Ennefs Ezakia et Ibrahim avaient eux aussi une même mère : Hind bent Abi Obeida Ibn El Djarrah Essahabi (compagnon du Prophète Mohammed )Rappelons que Abdallah El Kamel était la personnalité les plus en vue pour accéder au Khalifat Abbasside. Il représentait la famille des Alides, cousins des Abbassides. Ces derniers ayant détrôné les Omeyyades en 750 (Ch) pour venger les Hachémites tués par les tenants de l’ancien régime, étaient devenus à leur tour ennemi des Alides et les combattaient partout. C’est ce qui explique les luttes fratricides et la fuite des vaincus à travers le monde islamique. Nous tenons à mentionner qu’a Ain El Houts existe aussi le tombeau de Sidi Mohammed Ben Ali descendant en ligne direct, à la cinquième génération, de Sidi Abd Allah Ben Mansour Ce Saint homme vivait vers 1700 (Ch), sa mort se situe aux environs de 1755-56. C’était un savant, il était considéré comme un des principaux Eulamas de son temps. Son mausolée se trouve près de Sidi Abdallah Ben Mansour sur la colline de Ain El Houts. (Tlemcen).
Ainsi, le deuxième khalife Abbasside Djaafar El Mansour fit arrêter en 762 (Ch) Abdallah El Kamel et les enfants de Hassen El Mouthenna, les transféra de Médine à Koufa ou il les fit exécuter après mille humiliations. Les Alides étaient alors en pleine révolte contre le régime arbitraire et abject du khalife. Ainsi Mohammed Ennefs Ezzakia surnommé le Mahdi se souleva avec un groupe de partisans dans le Hedjaz, passa à l’action, mais fut tué à son tour le 06/12/762 (Ch). Son frère Ibrahim, révolté à Bassora ( Iraq), connut lui aussi le même sort, un mois plutôt, le 6 novembre 762 (Ch). Mohammed Ennefs Ezakia avait une réputation de Sainteté qui lui valut le surnom de Nefs Ezakia, c’est à dire l’âme pure. Il était l’auteur d’un ouvrage théologique El Kittab Essayar.
Par ailleurs nous avons vu que les « chérif » Idriss I et Soleiman, tous deux fils d’Abdallah El Kamel avaient bel et bien résidé dans cette contrée. Ils ont donc dirigé le Maghreb El Aksa à Wallilah d’un coté et Le Maghreb El Aousat à Tlemcen de l’autre.. Ils seraient donc les ancêtres de Ahl Ain El Hout et Ahl Bedjaya en l’occurrence Sidi Abdallah Ben Mansour et sa descendance, cela d’une façon logique et historique. La présence de ces Chorfas remonte donc au VIIIe (8e) siècle en Afrique du Nord. Pour certains biographes dont les sources d’information sont occultes, Sidi Abdallah BenMansour aurait pour ancêtre Mohammed Ennefs Ezakia, frère d’Idriss premier et de Soleiman.
Abdallah El Kamel d’après Ibn Ishak et de Ali Ben Ferhoun laissa six enfants dans la presqu'île de Sous et à Zerhoun ou est enterré Sidi Moulay Idriss I.
Le troisième de ses enfants était Mohammed Soleiman dont le tombeau est à Ain El Hout (Tlemcen) par lesquels la noblesse s’est répandue en Algérie ; Tlemcen et Bedjaya en particulier Il existerai une autre branche de Chorfas dans la région de Khenchela (Est de l'Algérie) les Ouled Moussa Ben ElKacem.
Les Ahl Ain El Hout ont pour ancêtres Abdallah, Ben Mohammad, Ben Ahmed, Ben Ali, Ben Daoud, Ben Mohammad, Ben Ahmed, Ben Ali, Ben Idriss II , Ben IdrissI, Ben Ahmed Ben Soleiman, Ben Abdallah El Kamel, Ben Hassen El Muthanna, Ben El Hassen Es- Sebt, Ben Fatima fille de Rasul Allah . ( Que la Paix et la bénédiction De Dieu soit sur lui)
Les Douze enfants de Idris II
Idriss II laissa douze enfants : Mohammad, Ahmed, Abou-el-Kacem, Amran, Omar, Ali, Aissa, Yahya, Hamza, Abd-Allah, Daoud et Kheither. L’aîné Sidi Mohammed resta à Fez et fit le partage des autres villes entre ses frères sur ordre de sa grand-mère Kenza.
A Ahmed :Habta avec ses montagnes et ses dépendances
A Abou-el-Kacem :Ceuta et sa banlieue
A Amran : Dados et sa banlieue
A Amar ou Omar : Tedjehassa et ses dépendances
A Ali : Tafilalet et ses dépendances A Aissa et Yahia Marrakech et ses environs A Hamza et Abda Allah :Taadla
A Kheither : Malaga et Grenade ainsi qu’une partie du Djebel el Fath.( Gibraltar)
Au cours des siècles qui suivirent leurs descendants ont été repartis dans tout le Maghreb. Citons les principaux : Les BeniDjermoun sont les habitants de Fez. Une de leur fraction habite a Figuig, l’autre dans la ville de Tlemcen. Les Sak’Fiyoun habitent eux aussi Figuig, leur ancêtre ayant bâti une maison en dur avec un toit (Sakkaf) d’ou leur dénomination.
Les Oulad Mimoun se repartissent chez les Beni Ysnas, une dans la montagne de Beni Snous (Wilaya de Tlemcen) Les Beni Toudghir formaient une tribu nomade parmi les Arabes du Maghreb. Ils avaient cent vingt-quatre cavaliers. Ils habitaient à Tames et Doukkala province très fertile dans le Sud Marocain. La majorité des autres descendant habitent Figuig et sa région, tandis que les Bani Hamza habitent Constantine , les Beni Hamza habitent Ksar El Hadid prés de l’oued Meguarra. Les Ouled El Kadi par contre habitent Biskra. Les Ouad Harfad sont localisés dans le Djebel El Alaam prés de Tetouan une autre fraction réside à Marrakech, une autre à Tlemcen et Tunis. Leur ancêtre est Abdessalam Ben Mechich célèbre Saint marocain mort en 1227 de J-C et enterré au Djebel El Alam.
Les Ahl Wazzan campent surtout à Angad chez les Bani Horma. Les Bedriyite descendent de Hamza Ben Idriss et habitent Tlemcen , une de leur fraction se trouve à Sakiet El Hamra une autre dans le Djebel Ammour ( prés d’Oran). Les Beni Ziane habitent Tlemcen, une de leur fraction les Oulad Chaieb mène une vie nomade dans le Sud Algérien, une autre parmi les Arabes nomades de Tunisie. Sidi Abd Allah Ben Hussein enterré à Tamessmouda tire son origine de Massmouda ; il est l’ancêtre de plusieurs chorfas.
Abdel Kader El Djilani
Abdel Kader El Djilani exerça une grande influence par ses sermons simples, clairs et émaillés de citations coraniques. Il créa la confrérie Qadariyya, qui est très repandue dans le monde pratiquant ses principes. Grâce à Abdel Kader El Djilani, le soufisme n’était plus entaché d’hérésie. Sa confrérie bénéficia de l’appui des gouvernants Saldjuqides (Sultans turcs qui s’emparent de Bagdad X-XIeme siècle), qui voulaient utiliser à leur profit l’influence morale qu’exerçaient les Qadariyya sur les classes populaires.
Il laissa seize garçons et trois filles. L’aîné est Abd Er-Rezzak, ensuite Abdalllah El Wahhab, Mohammad Ben Aissa, Abderahman, Mohammad Ez-Zahed, Salah, Mohammad el Djouni, Ali, Djaafar, Ahmad, El Hassen, abu el Kacem, El Hussein, abdallah, Mohammad benAbd El Halim et Djamal Ed-Din.
Parmi les filles citons Set Sawia très connue à Bagdad, Set Fatma en Syrie et Set Amra El Wasslia connue à Tlemcen. Nous retrouvons les descendants de Sidi Abdel Kader El Djillani dans tout le Maghreb. Les Oulad Chaieb et les Oulad Lokman Zemmour ont une fraction au Sahara ; une autre à Oulhassa surnommée Oulad Sidi Mohammad El Achhab, une autre à Ain Sefra les Oulad Sidi Mohammad Bou Dkhil, une fraction chez les Beni Snassen (ou Beni Znata), une autre fraction à Asla (Oasis près de Ain Essefra Sud Algérien qui était la route principale de l’or). Leur ancêtre commun est El Hussein Ben Chaieb, Ben Ali, Ben Abdelkader Ben Mohammed, Ben AbdelKader El Djillani, Ben Salah, Ben Moussa, Ben Yahia Ez-Zahed, Ben Mohammed, Ben Daoud, Ben Moussa El Djouzi, Ben Mohammad, Ben Abdellah El Moh’Zi, Ben Moussa Ben Abdallah El Kamel, Ben El Hassen El Mouthanna, Ben El Hassen Essebt, Ben Fatima fille de l’envoyé de Dieu.
Les Chorfas originaires de Saguia Al-Hamra
Il faut mentionner cette catégorie de Chorfas originaire de l’immémoriale Saguia Al- Hamra (le fleuve rouge ) qui selon les légendes Berbères est le lieu d’origine de tous les nobles qui peuplèrent l’Algérie à une époque déterminée. La généalogie de ses « Chorfas » remonterait sans aucun doute aux Idrissides souverains de Fès et de Tlemcen. Leur ancêtre serait Amar Ibn Idriss qui en 888 tenait en son pouvoir les tribus Sanhadjiennes. Cette branche des Idrissides surnommée les Banu El Kadi vint s’installer sur les montagnes de Kabylie dans le Djurdjura. Une Zaouia fut fondée à cet endroit au XVe siècle qui eut une grande réputation ainsi qu’une influence considérable dans la région. Un de leur chef se nommait Abu El Abbas Ahmed Ibn El Kadi qui était un grand érudit et un guerrier chevronné . Les Banu El Kadi régnèrent sur la Kabylie jusqu’au XVIIIe siècle.
Les Saadiens (XVI - XVII siècle)
Les Beni Saad ou Saadiens considérées eux aussi comme descendants du Prophète (Saws), viennent d'Arabie au milieu du XIV siècle,. Ils s’installent dans le Souss, le chef de la Zawiya prit la direction de la guerre sainte contre les Portugais qui ont commencé à s’installer en 1505 à Santa Cruz du cap d’Aguer (Agadir). Le pouvoir des Wattassides est définitivement décimé en 1554 avec la prise de Fès. Entre temps, les Portugais s'étaient emparés des plus importantes villes du Maroc (Ceuta, Tanger, Asilah et Anfa, Agadir et Mazagan, Safi et Azemmour). Poursuivant la guerre sainte, les Saadiens reprennent Agadir aux Portugais en 1541. La reprise d’Agadir , premier coup d’arrêt à la pénétration européenne, leur vaut un immense prestige et leur facilite la conquête du Maroc.
La bataille des Trois Rois aura un impact très important sur la réussite de cette dynastie et surtout du sultan Ahmed Al Mansour Addahbi (le doré) (1578 - 1603). Sous les Saadiens, la ville de Fès connaît un regain d'intérêt de la part de certains de leurs souverains. Abou Abbès la reprendra comme capitale. Il reconstruit et embellit plusieurs édifices : le sanctuaire de Moulay Idriss, El Qaraouyine. L'anarchie malheureusement s'installa après l'assassinat de leur dernier souverain, Abd Abbas, jusqu'à l'arrivée de Moulay Rachid, fondateur de la dynastie Alaouite en 1666.
El Amir Abdelkader Ibn Muhyiddin El Hassani
Abd el-Kader Ibn Muhyi-Din El Hassani , né en 1808 à la Guetna de l’oued al-Hammam, à l’Ouest de Mascara ( Algérie).Il appartenait à une famille d’origine chérifienne qui dirigeait une zawaya des kadiriyya. L’éducation religieuse qu’il reçut fit de lui un musulman mystique et un théologien. Mais les circonstances le transformèrent en guerrier. Devenu soldat pour défendre la terre d’Islam, sa tentative de créer un État indépendant devait laisser un souvenir prestigieux: il est célébré aujourd’hui comme le fondateur de la nation algérienne. Proclamé «sultan des Arabes» par quelques tribus de l’Oranie le 22 novembre 1832, Abd el-Kader s’imposa par une victoire sur les milices de l’ancien bey turc et mena avec bravoure, pendant quinze ans, la guerre sainte contre les Français.. Abd el-Kader en profita pour étendre son autorité dans les provinces d’Oran, d’Alger, du Titteri et jusque dans le Constantinois afin organiser un État arabe et musulman.Comme son maitre Ibn El Arabi qui quitta sa terre natale El Andalus, Abdel Kader abandonnera l’Algérie; Ibn El Arabi affirme que « tous les chemins sont circulaires » et le parcours entrepris ne conduit jamais qu’a SOI-MEME. Comme toujours El Amir consulta ses proches ainsi que les savants du monde musulman depuis El Azhar jusqu’à Fès: comment le Mudjahid peut-il devenir Muhadjir ? L’exile s’impose répondirent les Ulémas lorsque le musulman ne peut plus jouir pleinement de sa foi dans son pays. Son exil en France lui a permis d’organiser sa vie autour des prières rituelles. Il s’occupait de ses enfants et de son entourage. Chaque moment de sa journée était consacré à l’étude de l’Islam. Les visiteurs qui venaient le voir étaient fascinés par sa hauteur de vue, ses connaissances scientifiques et sa curiosité intellectuelle. Tous rendent hommage à son abnégation et à sa grandeur dans l’adversité. L’homme était si grand qu’il s’imposa à l’admiration de ses adversaires, et les Français furent nombreux à lui rendre un hommage enthousiaste et à le défendre durant une captivité aussi douloureuse qu’imméritée. Idées, sentiments, gestes et actions, tout en lui porte le signe privilégié de la noblesse et de la grandeur. Il est de ces êtres rares, qui, de siècle en siècle, de millénaire en millénaire, offrent au genre humain une idée de la profession, ainsi qu’un modèle exemplaire. Par sa vie, son caractère et ses oeuvres, El Emir Abd-El-Kader honore son pays sa foi et l’humanité toute entière
Dans la troisième partie de son existence, qui se déroula tout entière dans le Proche-Orient, de 1852 à 1883, Abd el-Kader se consacra presque exclusivement à l’étude et à la méditation religieuse. Cette orientation répondait à une vocation profonde; dès sa jeunesse, il avait manifesté le goût de l’oraison et de l’exercice mystique. A Bursa en Turquie, il rédigea un traité de philosophie religieuse à l’usage des chrétiens qu’il intitula « Rappel à l’intelligent, avis à l’indifférent ». Installé à Damas, où il vécut de 1855 jusqu’à sa mort, il prit figure de maître spirituel: son enseignement y fut recueilli. Une partie de ses propos et de ses commentaires écrits a été publiée sous le titre Le Livre des haltes (mystiques), très partiellement traduit en français. Cet ouvrage, dont la splendeur littéraire frappe, révèle la profondeur du mysticisme de l’émir. Il s’y affirme disciple d’un des plus grands soufis de l’Islam, Ibn ‘Arabi, le Cheikh al-akbar (ce qu’on a pu traduire par Doctor maximus de la gnose islamique). Ainsi s’explique la volonté d’Abd el-Kader d’être inhumé à Damas près de la tombe d’Ibn ‘Arabi.
Généalogie de l’Emir Abdelkader
Abdel Kader ibn Muhyidin, ibn Mostafa,(qui s’est installé définitivement dans la plaine d’Ighriss) ibn Mohammed, ibn El Mokhtar,ibn abdel Qadi, ibn Ahmed, ibn Mohammed, ibn Abdel-Kaoui, ibn Ali, ibn Ahmed, ibn Khaled, ibn Yussef, ibn Ahmed, ibn Bachar, ibn Muhammed, ibn Massoud, ibn Taous, ibn Yacoub, ibn Abdelkaoui, ibn Ahmed, ibn Mohammed, ibn Idriss II , ibn Idriss I, ibn Abdallah El Kamel, ibn Hassan El Muthana, ibn Hassan Essabt, ibn Fatima Zahra bint Rassul Allah ---------------------------------------------------------------------------------------
AbdelSalam Ben Mchich
Abdeslam Ben Mchich Alami (عبد السلام بن مشيش العلمي) est un saint soufi (1163 - 1228 soit 559-626 de l'hégire), originaire de Jbel La'lam dans la région de Béni Arouss au Maroc. Du XIIe siècle jusqu'au XIIIe siècle, il se retira à jbel La'lam au sud de Tanger où est situé actuellement son mausolée.
Au début de chaque juillet de chaque année les chorfas Alamiyine commencent à célébrer le moussem de ce saint connu pour être le sultan des Jbâlas Jbalas, le protecteur de la vallée.
Il fut aussi l'initiateur de Abou Hassan al-Chadhili au soufisme.
Moulay Abdeslam ben Mchich Alami est de descendance Idrisside (descendant de Al Hassan).
Sulayman Al-Huwwât à propos d’Abdeslam Ben Mchich
"Le raisonnable ne se laisse pas entraîner par sa plume, car les mots n'expriment pas toujours ce qui habite les cœurs, d'autant plus que le sujet est glissant , et que ce qui est de l'ordre de la tradition n'appelle pas l'interprétation. Il y a eu parmi ses descendants et ceux de ses frères et oncles un nombre incalculable de savants confirmés qui se sont arrêtés aux limites de ce qui a été rapporté à son sujet, et ils n'ont consigné que ce qui revient à sa généalogie, à sa voie, à ses vestiges au Alam, à sa tombe, aux circonstances de son assassinat, au désaccord sur la date de sa mort, et à ce qui a été rapporté par ceux qui ont fait connaître son disciple, le pôle Abû-l-Hasan al-Shâdili, concernant ses conseils et ses dires. Quant à sa prière authentifiée et connue dans toutes les régions du monde, la beauté de sa rhétorique frise l'inimitable, et tous ceux qui la récitent témoignent de ses effets bienfaisants."
Etude d’Ibn Mashîch
Nous connaissons peu de chose sur les enseignements qu’il a suivi, nous ne trouvons que de rares indications éparses dans les notes biographiques.
Al-Lhîouî dans Hisn al-salâm dit : « Quand Moulay Abdeslam est arrivé à l’âge d’apprendre, son père notre seigneur mashîsh le fit entrer dans une école coranique. A l’âge de 12 ans, il a déjà appris le Coran dans sept versions phonétiques auprès -dit-on- du saint vertueux Sidi Salim enterré dans la tribu Bani Yûsuf. On rapporte également que parmi ses maîtres en matière de sciences religieuses, figure le vertueux faqih al-haj Ahmad sit Aqatrân enterré à proximité du village Aburj dans la tribu des Akhmâs, non loin de Bab Taza. Il a reçu de lui les sciences juridiques selon la mudawwana, vulgate de ladoctrine malikite ». Il a eu trois autres maîtres dans l’apprentissage du Coran, son frère al-haj Mûsa al Ridâ, le cheikh Muhammad ibn Ali al-Misbahi et al-Hasan al-Dawâlî enterré à la grande mosquée de Ouezzane. Quant à son initition spirituelle, elle fut l’œuvre de Abd al-Rahman al-Madanî al-Hassanî surnommé al-Zayyât.
L’Assassinat de Ben Mchich
C'est pendant la décadence almohade, Ibn Abî al-Taouâjin était le gouverneur du sultan Yahya al-Mutasim, s'est déclaré prophète et a vu en Abdeslam un ennemi et dans son activisme un sérieux obstacle à ses projets. Selon Ibn Zâkûr:"La raison qui a fait d'Ibn Abî al-Taouâjin l'ennemi du pôle est qu'il a imaginé à travers sa sorcellerie et sa fausse prophétie que celui qui le tuerait est un saint. Il pensa donc à Sidi Abdeslam car il n'y avait en son temps et en cette contrée personne qui soit qualifié de saint comme lui, d'autant plus que la distance entre eux était courte...". Il a été assassiné un peu au-dessus de la source où il avait l'habitude de faire ses ablutions. Le mausolée de moulay abdessalam est au Mont Alem.
Sidi Bouabdellah descendant de Ben Mchich
Sidi BOUABDELLAH Almeghoufel, une des célébrités et les justes qui ont le culte des saints.Son lieu de residence etaitla vallee du bas cheliff, Boukadir année 823hegirienne.Descendant de Abdul Salam ben Mechiche ibn Hassan ibn Ali et de Fatima Zahra, la fille du Messager que la bénédiction de Dieu et de la paix d'Allah soient sur lui Son veritable nom est Mohamed EL MOUGHAOUFEL,fils de Mohammed fattehane ibn ouaddah ibn othmane ibn el hadj aissa ibn mohamed alias el fakroune ibn Abu Qasim ibn Abd al-Karim ,ibn mohamed ibn Abdullah bin Ahmed bin Abdul Wahid ibn Mohammed - ibn Abdel-Salam ibn Mechiche - ibn Ben Salem, alias Abou al-Qasim ben Mezouar bin Ali bin Ahmed bin Idrisj unior ben Idris senior ibn Hassan bin Fatima Bint rasoul ALLAH.
Il a voyagé aux lieux saints et de pèlerinage, et à son retour de l'Orient, est restée en Tunisie et le mandat émergé a écrit AbulKassem Saadallah C'est la période de l'réglé monde de Sufi Tdkr sources à Tunis a déclaré que son fils avait Amoovl dos et en est encore à la Tunisie et de la chefferie à qui il est, alors, est descendu et Boukadir BBO Mellil où Itabd ensuite déménagé à Ndelp dont la mort Après Ndelp la stabilité des fondements de l'éducation du point de vue le Coran et l'enseignement des sciences religieuses, et a épousé M. Bou Abdullah et deux femmes sont Mahdjouba bent Youssef Ben Ammar, Khadija Bint EL MIMOUNE et a eu six garçons et une fille , Sidi Mohamed alias FEGHOUL ,Sidi Amar ,Sidi Yahya.Sidi Ghulam ALLAH Sidi Mohamed EL KHIATI,Sidi MHAMED ATTIATE ALLAH et Siada Merieme. Abdullah Hahclafe Au cours des batailles contre l'Empire ottoman les dirigeants de Tlemcen ,SIDI BOUABDELLAH a envoyé ses deux fils, avec les Ottomans et dans ce sujet, dans les livres Abulkassem Saadallah a dit, deux d'entre eux avaient accompagné la campagne de Tlemcen Ottoman, et selon certains anciens sont SIDI. AMAR et SIDA FEGHOUL L'auteur de la région de Sidi Bou Abdallah a écrit intitulé astronomie interplanétaire et la paix du prestigieux classement est un manuscrit de sept pages dans lesquelles il a cite les SAINTS AWLIAA SALIHINE de la vallee du CHELIFF la bonne nouvelle de parents à travers plusieurs siècles , de la sixième à la neuvième siècle, ET PARMI CES SAINTS de Batha - commune MATMARE Wilaya de RELIZANE et KALAA Bani Rashed ,SIDI HAMADOUCHE alias Ahmed Zahid et SIDI Bouamrane et SIDI RACHED aînés et les personnes âgées, y compris le cheikh Ali Jawthi. Abul Kashem Saadallah dit sur la biographie de ces hommes et leurs maisons et a dit aux gens de service de massage Qadiriya et pacifique d'accéder à la littérature et de la façon dont la vérité Dieu merci, mon père l'a incité à nous Concilier notre esprit et nous éclairer le Prophète et d'Al-Bashir Y compris les versets suivants, Qualités d'un certain soulagement dans les trois siècles d'origine Dans le premier sixième septième huitième et neuvième à certains Avec la poésie mystique et religieuse et les autres dont le poème a été écrit par Nassiri marque, dans son livre - les merveilles de Voyage - et parle, M. Bo a dit que Abdullah était l'un de la loterie en connaissances, et de la dignité est d'apprendre un poème par les louanges d'Allah et reconnaissant la Soixante-dix-beta et non pas les personnages, mais tous les points méritent Awatal suffisamment de points et de l'argument.
Décédé le 25 Muharram 923 ou 924 hegire, correspondant à 1614 après JC et fut enterré près de la vallée de Boukadir connu, et après environ soixante ans et l'impact des inondations a été un important transfert de la dépouille mortelle d'être le gardien du bien et du dôme de l'Est est son tombeau se trouve a OUED RHIOU.
Conclusion
Ce travail reste incomplet vu la nombreuse descendance du prophète, mais il nous semble qu’il a pour mérite de donner un aperçu sur la répartition géographique des « Chorfas » Hassanien dans le Maghreb Arabe. L’arrivée d’Idris premier à Wallilah ( Zerhoun) a eu surtout des conséquences positives et des suites heureuses quant à la répartition de la descendance du Prophète Grâce à ce transfert de la descendance chérifienne d’Orient vers l’occident, l’expansion de l’Islam a pu se réaliser d’une manière certaine aussi bien en Afrique qu’en Europe et maintenant nous assistons à son expansion dans les pays Anglo-saxons .
Bibliographie Liens et Contacts
*Dr Mohammed Rachid BenMansour (Tlemcen): Sidi Abdallah Ben Mansour
*Tabari : Mohammed Sceau des Prophètes Les quatre premiers Khalifes L’Age d’Or des Abbassides.
*Ibn Meriem : El Boustan « Le Jardin des Saints et des Savants de Tlemcen » (page 135 à 139 et page 147 à 151 Traduction de Provenzali )
*Cheikh Bouaroug:Chadjara (Manuscrit de Sidi Abdallah Ben Mansour en langue Arabe) *Marthe et Edmond Gouvion (1939):Kitab El Aijaane El Maghrib El Aksa Livre des Grandes Familles du Maghreb).
*Cheikh Essayouti : Les Chorfas de Tlemcen *Bey Laghou d’Oran : Document Administratif. *Jacque Berque : Les Ulémas Fondateurs du Maghreb au XIIeme Siècle (Col. Sindbad 1982). *Bulletin No 3 de 1954 No 4 de 1956 de La Société Les Amis du Vieux Tlemcen d’Hier et d’Aujourd’hui
*V et G Marsais : Les Monuments Arabes de Tlemcen ( 1903).
*Abdallah Dhina : Les États de l’Occident Musulman aux XIIIe, XIV et XVe siècle.
*Les Mosquées d’Algérie:Collection Art et Culture (Ministère de l’Information SNED)
*Andre Miquel : La Litterature Arabe No 1335- Collection « Que Sais-je »
*Ibn Khaldoun : Histoire des Berbères par De Slane.
*Mouloud Gaid : L’Algérie Sous les Turcs.
*D et J Sourdel : La Civilisation de l’Islam Classique.
*Muhyidin Ibn El Arabi : Histoire des Elus et Profession de Foi chez les Gens de l’Election ou Takdiret El Khaouas wa Akidet Ahl El Iktissas.
*Mohammed Hamidullah : Traduction du Saint Coran.
*Jean Hureau : Le Maroc Aujourd’hui (Éditions Jeune Afrique)
*Emile dermenghem: Vies des saints musulmans ( edit Sindbad )
*L’auteur de Kitab En-Nassab c’est Abd-es-Salam ben Abou Abdallah né à Fez en 1058 hégire. Il l’a composé à Fez en 1089(1721ch) en compilant des généalogies qui se trouvent chez d’autres auteurs. Mais la deuxième partie de ce travail lui est personnelle et traite des descendants de Sidi Abdelkader El Djilani son ancêtre.
Source: http://0z.fr/tF-mo