Algérie-Maroc


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Algérie-Maroc
Algérie-Maroc
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Algérie-Maroc

Forum de discussion entre Maghrébins, expulsés marocains d'algerie,algerie-maroc


Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

L'appel aux changements intitustionnels au Maroc

4 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

admin"SNP1975"

admin
Admin

Ma qualité de président d'une association qui veut être apolitique ne m'empêche pas en tant que citoyen du royaume chérifien de prendre position en ce qui concerne le débat autour du processus démocratique.
Nous avons déjà exprimé notre point de vue sur le mouvement du 20 fevrier 2011 dans un précédent communiqué de notre association. Nous sommes pour un changement démocratique qui touche les institutions et la répartition des richesses au Maroc.

Nous refusons tout changement qui prône une république au Maroc


Pour ne pas rater ce rendez vous avec l'histoire . Il nous ai agréable de partager avec vous quelques textes des intellectuels marocains en rapport avec l'appel au changement.

Après Abdelatif Laâbi , c'est autour de l'écrivain Abdelhak Serhane qui s'exprime sur le mouvement de changement en cours au royaume.



Dernière édition par admin"SNP1975" le Lun 7 Mar - 10:15, édité 3 fois


_________________
Visitez notre blog de mémoire:

 http://0z.fr/5tknP
http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

La révolution marocaine est en marche ![u]

Majesté ! J'aurais aimé ne pas avoir à vous écrire. Le printemps arabe qui secoue le monde me l'impose. J'aurais préféré faire l'apologie d'un Maroc moderne et démocratique au lieu de ressasser le mal qui le ronge. Que de regrets, de désillusions, de colère face au gâchis incité par tant de pouvoir et de vanité ! Le roi des pauvres a vite fait place à l'homme d'affaires, entouré de vils courtisans. Nous aurions aimé trouver en vous un chef d'Etat qui veille à l'application de la loi, avec un projet de société, pas un promoteur hôtelier ou un chef de chantier.

Nous espérions que vous seriez l'homme qui partage nos rêves et notre pain quotidien au lieu de museler nos libertés, de tuer l'espoir que nous avons placé en vous et de chasser les esprits probes pour ne conserver que les véreux. Le constat est simple, la monarchie se duplique de la même manière, avec les servitudes du makhzen (l'appareil tout-puissant de l'Etat marocain, basé sur l'allégeance au roi).

Le roi des Marocains a le devoir d'entendre un autre son de cloche qu'"Allah Ibarak fi Amar Sidi !" (Dieu bénisse la vie de notre Seigneur !) entonné à son intention par son entourage comme une fausse rengaine. Le destin aurait bien pu vous jouer un sale tour et vous faire naître à Sidi Moumen, par exemple. Alors, ces milliards accumulés, ces milliers de voitures, bateaux, palais, résidences, dépenses et luxe fastueux devraient avoir moins de valeur à vos yeux que l'amour du peuple à votre égard lors de votre avènement, en 1999.

En peu de temps, Fouad Ali El-Himma et Mohamed Mounir El-Majidi sont devenus les maîtres du pays grâce à leur proximité avec leur ami le roi. Ils ont phagocité tous les espaces, économie, finance, culture, sport, politique, nous écoeurant de tout, comme un jeu de sales gosses (la'b adrari), soumettant le monde à la lubie du gain rapide et des affaires faciles, dilapidant le capital sympathie que le peuple avait pour vous et transformant le Maroc en une cage aux folles où les pieds ont remplacé la tête. Ces commis sorciers ont étouffé le jeu politique, ruiné la concurrence économique, dilapidé les deniers publics dans des lubies et piétiné le contrat constitutionnel, celui de défendre les intérêts du peuple. Ils agissent en votre nom, vous êtes de fait garant de leurs actes. Ils doivent s'en aller ; ils constituent un danger pour vous et un obstacle à l'essor du pays.

Le clan El-Fassi fait sienne la spécificité marocaine qui engendre arbitraire et inégalité. Il s'est accaparé les meilleures fonctions et les plus hauts salaires. Soutenant les siens même dans l'erreur, le palais a gratifié Abbas du poste de premier ministre alors que l'affaire Annajat (énorme scandale dont plus de 30 000 jeunes chômeurs ont été victimes, en 2003, alors que M. El-Fassi était ministre de l'emploi) le poursuit. Dans l'Etat de droit, chacun est responsable et comptable de ses actes, même le roi.

Devant ce désir universel de liberté de plus en plus irréversible, comment pouvez-vous rester à l'écart, derrière vos rideaux opaques de l'Etat de non-droit ? La fuite des présidents tunisien et égyptien, MM. Ben Ali et Moubarak, la fin imminente du président yéménite Saleh, celle sûrement tragique du guide libyen Mouammar Kadhafi... montrent comment finissent les plus pitoyables des tyrans. Elisabeth et Juan Carlos existent en tant que réalité symbolique et historique. Leur peuple les respecte, mais leur impose des restrictions et leur demande des comptes. Ni la reine d'Angleterre ni le roi d'Espagne ne déméritent car ils consignent leur destin dans le cadre de la démocratie. L'heure n'est plus aux divertissements, aux voyages d'agrément, ni aux scènes d'éclat. Vous devez retrousser vos manches et travailler avec altruisme, dans la transparence, pour accomplir votre mission, sinon le Maroc devra cesser d'être la concession exclusive des Alaouites !

Au début, vous avez suscité des attentes et dessiné l'espoir dans le regard des petites gens. Le peuple vous a interpellé sur son drame et son refus de la tyrannie, des injustices. Sa maturité, sa grande retenue sont à saluer, une dernière chance à saisir. A vous d'anticiper les réformes et de proposer des élections transparentes. Un gouvernement d'union nationale avec une feuille de route conforme aux changements qu'il souhaite peut apaiser sa colère.

Votre responsabilité devant l'Histoire est de répondre favorablement à son appel, car le destin de votre monarchie constitutionnelle, garante de l'unité et de la stabilité du Maroc, en dépend. Soyez pour votre peuple ce guide qu'il espère. Rompu par le bruit des chaînes qui entravent ses pas, il crie pour retrouver sa dignité parmi les peuples et revendique l'Etat de droit.

La révolution est en marche. Viendra-t-elle de vous ou se fera-t-elle contre vous ? Si elle vient de vous, il faudra donner l'exemple et guider le peuple sur la voie de la liberté, la justice sociale et la démocratie. Si vous le faites, on se mobilisera tous derrière vous dans cette noble démarche. Si vous voulez continuer à faire de la simple figuration, la révolution se fera alors contre vous. Et dans ce cas la houle emportera tout sur son passage.

La colère des déshérités est sans nuances. Les actes terroristes du 16 mai 2003 (cinq attentats-suicides dans la ville de Casablanca) ont sonné le glas de l'état de grâce. Ce signal vous a été adressé par une jeunesse ravagée de désespoir et qui n'a plus d'issue que dans la drogue, la fuite ou la mort.

Inapte à décoder le message et à rectifier le tir, votre système a renoué avec les pratiques du passé dans ce qu'elles ont de plus inique, de plus barbare au nom de la lutte antiterroriste, sévissant contre nous pour un mot, une caricature, une nokta (plaisanterie) visant la famille royale ; signe pathologique du makhzen qui survit à Hassan II.

Aussi pénible que puisse être pour vous ce discours, je veux me convaincre que vous respectez les hommes sincères. Je n'ai jamais eu que mon franc-parler et mon intégrité à offrir au pays pour lequel nous avons dessiné de beaux rêves dans notre jeunesse. J'assume mon rôle d'intellectuel trublion jusqu'au bout, pour être en règle avec ma conscience. A vous d'être à présent en règle avec la vôtre.
Abdelhak Serhane, écrivain


_________________
Visitez notre blog de mémoire:

 http://0z.fr/5tknP
http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

Mohamed VI pourra-t-il ne rien céder sur ses pouvoirs au Maroc ?


Le roi Mohamed VI dispose de diverses options pour résister momentanément aux revendications en faveur d'une diminution de ses pouvoirs, mais il lui faudra s'attaquer aux racines de la vague de mécontentement qui souffle sur le Maroc, comme sur le reste du monde arabe.

Le 20 février, le Maroc a connu sa première tentative de manifestations coordonnées pour lancer un mouvement populaire inspiré de ceux qui ont eu raison des dirigeants tunisien et égyptien en janvier et février.
Des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de Rabat et d'une cinquantaine d'autres villes. Les organisateurs via Facebook de ce "Mouvement pour le changement du 20 février" exigeaient le rétablissement de "la dignité du peuple marocain" et des réformes constitutionnelles.
C'était la première fois depuis son accession au trône, en 1999, que les prérogatives de Mohammed VI étaient ainsi mises sur la sellette. Dès le lendemain, le souverain a fait savoir qu'il n'entendait pas céder à la "démagogie".
Le limogeage d'un gouvernement impopulaire et la mise au pas de membres contestés de son propre entourage figurent parmi les concessions que le souverain de 47 ans est susceptible de faire à la rue pour se ménager un répit, au moins jusqu'aux élections législatives de 2012.
"Le roi dispose de plusieurs options, comme par exemple renvoyer le gouvernement, ce qui se reflétera positivement sur son image et montrera au partis politiques qui est le vrai patron", estime Lise Storm, enseignante spécialisée dans le Moyen-Orient à l'université d'Exeter, en Angleterre.
"NE PAS FORCER LA MAIN DU ROI"
Selon elle, les partis d'opposition "n'imaginent pas un Maroc sans monarchie", celle-ci "est perçue comme un filet de sauvetage" et "ce sont les partis qui représentent le plus grand obstacle à la démocratie, parce qu'ils ne sont pas assez représentatifs".
Le politologue Mohamed Darif convient, lui aussi, que "le moment est loin d'être opportun pour une monarchie parlementaire, puisque les partis et les institutions ne sont pas assez solides pour une telle transformation".
Prié de dire pourquoi son Parti de la justice et du développement, le principal mouvement d'opposition, ne réclamait pas du palais une réforme constitutionnelle, le leader islamiste Abdelilah Benkirane a déclaré: "Nous ne voulons pas forcer la main du roi."
Le Maroc est une monarchie constitutionnelle, mais le roi dispose de larges pouvoirs, dont celui de dissoudre le parlement, de décréter l'état d'urgence et de choisir le Premier ministre.
Les manifestants "ne se sont pas attaqués au roi", parce que, selon le cercle de réflexion Oxford Analytica, "il donne l'impression d'être loin de la politique". Mais "la crédibilité de cette image dépendra maintenant de l'adoption par le gouvernement d'actions palpables pour traiter les problèmes du pays".
Le royaume chérifien se situe derrière la Tunisie et l'Egypte sur l'échelle indicielle de développement humain des Nations unies. Selon Oxford Analytica, la pauvreté, les inégalités, le chômage des diplômés et l'illettrisme ont peu évolué depuis l'accession au trône de Mohamed VI.
"CALME TROMPEUR"
Outre des changements constitutionnels, les manifestants du 20 février ont dénoncé le poids de la famille royale dans l'économie et les abus de pouvoir présumés de certains proches du roi, dont son secrétaire privé Mohamed Mounir el Madjidi et Fouad Ali Himma, son ex-camarade de classe et ancien vice-ministre de l'Intérieur.
De nombreux Marocains s'indignent aussi que trois parents du Premier ministre Abbas al Fassi dirigent des ministères et que ses proches occupent aussi des postes clés dans des entreprises publiques.
"La corruption a joué un rôle crucial dans le déclenchement des révoltes en Tunisie et en Egypte. Au Maroc, elle est aussi très présente", souligne Toufik Bouachrine, rédacteur en chef du quotidien indépendant Akhbar al Youm.
Le mécontentement de la rue est nourri, outre par la corruption, par la hausse des prix, une sécurité sociale déficiente, un système éducatif inefficace, une justice perçue comme inique et des médias publics jugés partiaux.
Ce n'est pas parce que tout le monde ne réclame pas des réformes constitutionnelles qu'il faut pour autant que le système politique ne bouge pas, estime une partie de la classe politique.
Même si la "légitimité dont jouit la monarchie" a limité la mobilisation de la rue le 20 février, "faut-il pout autant attendre des mouvements de protestation massifs pour lancer des réformes ?" souligne Moustafa Khalfi, rédacteur en chef du journal Attajdid.
"On ne peut se satisfaire de ce calme trompeur."
"Les Marocains passent des heures devant Al Djazira et Al Arabia pour suivre l'actualité en Libye, en Egypte et en Tunisie. Pour nombre d'entre eux, il s'agit bien de cours d'apprentissage", prévient-il.

REUTERS par Souhaïl Karam

Marc Delteil pour le service français


_________________
Visitez notre blog de mémoire:

 http://0z.fr/5tknP
http://www.marocainsdalgerie.net

kenadssa-marocaine

kenadssa-marocaine

Vous avez raison admin. Il est temps que le royaume avance sur le chemin du processus démocratique pour couper l'herbe sous les pieds des extrémistes de tout bord. A cette occasion, Je crois que Rabat est appelé à ouvrir un débat sur ce drame occulté. Il est temps de donner la parole à ces martyrs de la cause nationale après une chape de plomb et un oubli qui a duré plus de trente cinq ans. Le Maroc sortira fort en réhabilitant un pan entier de son l'histoire refoulée

sidimomin



salam alikoum
tout changement démocratique amenera la réunification du Maghreb
Le Maghreb uni ne peut etre que démocratique .Chacun doit avoir le droit de choisir qui gouvernera notre pays
chaque habitant a le droit de choisir ses représentants.Chaque maghrebin a le droit de travailler d'étudier de
manger à sa faim de ne pas dormir dehors ou dans un bidonville .
Il s agit du minimum.La corruption n aura pas de place dans un Maghreb réunifié.
Cher lecteur pouvez vous nous dire comment vous voyez la réunification du Maghreb ?
Que pourrions nous faire pour que cela arrive ?Est ce que quelqu'un a des idées constructives?j aimerais beaucoup les entendre
ps si vous proférez des insultes evitez ce forum
baraka allah fikoum

kenadssa-marocaine

kenadssa-marocaine

Sous l'impulsion du jeune monarque, le royaume va connaitre de larges réformes de la constitution. Nous vous invitons à lire le discours du roi annonçant les réformes.

Le Roi Mohammed VI a affirmé dans son discours prononcé mercredi, sa volonté d’entreprendre une réforme constitutionnelle globale et annonce à cette occasion la création d’une commission pour la révision de la constitution, qui sera dirigée par Abdeltif Mennouni.


Cette commission soumettra au Roi d’ici juin les propositions de réforme de la constitution, qui entrera en vigueur, par voie de référendum.

Le Roi Mohammed VI, a annoncé également le ’’renforcement du statut du Premier ministre en tant que chef d’un pouvoir exécutif effectif, et pleinement responsable du gouvernement, de l’administration publique, et de la conduite et la mise en œuvre du programme gouvernemental’’.

La nouvelle constitution consacre aussi ’’la pluralité de l’identité marocaine unie et riche de ses affluents, et au cœur de laquelle figure l’amazighité, patrimoine commun de tous les Marocains’’, affirme le Souverain dans son discours.

Voici les points forts du discours :

Régionalisation :

La région inscrite dans la constitution, avec solidarité nationale entre et avec les régions.

Élection des conseils régionaux au suffrage universel direct.

Pouvoir d’exécution pour les président de conseils généraux "en lieu et place des gouverneurs et des walis" (fin des walis ?).

Égalité (par la loi) de l’accès des hommes et des femmes aux fonctions électives.

Refonte de la composition et des attributions de la Chambre des conseillers, avec consécration de sa représentativité territoriale des régions.
Constitution :

Officialisation de l’Amazigh et son inscription dans la Constitution.

Consolidation de l’Etat de droit et des institutions, l’élargissement du champ des libertés individuelles et collectives et la garantie de leur exercice.

Constitutionnalisation des recommandations de l’Instance Equité et Réconciliation (IER), ainsi que des engagements internationaux du Maroc.

Justice au rang de pouvoir indépendant et renforcement des prérogatives du Conseil constitutionnel.

Prééminence de la Constitution et consolidation de la suprématie de la loi et l’égalité de tous devant elle.

Consolidation du principe de séparation et d’équilibre des pouvoirs.

Un gouvernement élu, émanant de la volonté populaire exprimée à travers les urnes, et jouissant de la confiance de la majorité à la Chambre des représentants.

Nomination du premier ministre au sein du parti politique arrivé en tête des élections de la Chambre des représentants et sur la base des résultats du scrutin.

Premier ministre en tant que chef d’un pouvoir exécutif effectif, responsable du gouvernement, de l’administration publique, et de la conduite et la mise en œuvre du programme gouvernemental.

Constitutionnalisation de l’institution du Conseil de gouvernement, définition et clarification de ses compétences.

Consolidation du rôle des partis politiques dans le cadre d’un pluralisme effectif, et l’affermissement du statut de l’opposition parlementaire et du rôle de la société civile.

B L A D I

bacharalkhir

bacharalkhir

sidimomin a écrit:salam alikoum
السلام عليكم ورحمة الله وبركته
tout changement démocratique amenera la réunification du Maghreb
-ٌVraisemblablement et sans aucun doute que tout changement amènera la réunification,mais quand l'empiètement s'en mélera,comment pourrions-nous alors s'en défaire ???.
Le Maghreb uni ne peut etre que démocratique .
- Oui,parce que l'union fait la force,mais avec qui et entre qui se fera cette union,puisque les décideurs en Algérie ne veulent même pas entendre parler de cette union...!!?.
Cher lecteur pouvez vous nous dire comment vous voyez la réunification du Maghreb ?
-Oui nous pourrions le dire et nous l'avions dis ici même,durant presque 3 ans,et nous le répétons encore comme ci-aprés : Que l'algérie cesse de s'immiscer dans les affaires intérieurs de ses voisins,que l'algérie cesse de vouloir s'accaparer des biens surtout du Maroc et des Marocains,que l'algérie cesse de dilapider les ressources du peuple algérien,pour aller inciter aux troubles chez leurs voisins,et enfin que l'algérie se rende à l'évidence, pour qu'elle se rendre compte qu'elle n'est qu'un pays a égalité dans les droits et les devoirs comme les autres pays dans cette région du monde arabe (...).
Que pourrions nous faire pour que cela arrive ?
-Nous pourrions faire beaucoup de choses,comme par exemple appliquer la Chariâ,et aussi dire la vérité et appeler les choses avec leurs noms,mais avant il faut connaitre la vérité des choses.
Est ce que quelqu'un a des idées constructives?j aimerais beaucoup les entendre
-Voir ci-haut
ps si vous proférez des insultes evitez ce forum
baraka allah fikoum
بارك الله فيك أنت أيضا’ واعمل بنصيحتك : اياك والسب والشتم
والسلام علي الجميع

8L'appel aux changements intitustionnels au Maroc Empty SALAM ALIKOUM Jeu 10 Mar - 16:15

sidimomin



Franchement ya si bacharalkhir
Tu prends le probleme sous un mauvais angle .En réalité il faut rejeter à la fois le Maroc et l'Algerie
Pour vivre dignement il faut rejeter à la fois les généraux et le roi .Cest ce que j entends par Maghreb démocratique.
Les Maghrebins ne veulent ni des généraux ni du roi.Ils n apportent que la violence la misère et la corruption.
D ailleurs c est pour ça que les élections sont systématiquement truquées.Si notre peuple pouvait voter et choisir ils tirerait la chasse d eau
pour que le roi les généraux ne viennent plus semer la misère et la violence.
etes vous prets à faire primer votre identité Maghrébine et à rejeter ces états pourris qui n apportent que la violence et la misère?

kenadssa-marocaine

kenadssa-marocaine

Moi, je pense que cette déferlante de la rue arabe qui balaye tout sur son trajet touche plus les républiques héréditaires comme la Tunisie, l'Égypte, l'Algérie, le Yémen,l'Irak et la Syrie. Contrairement aux monarchies arabe qui sont à l'abri de cette révolte des pauvres et surtout le royaume du Maroc et la Jordanie qui sont deux régimes se prévalant de la légitimité religieuse avec des institutions ancestrales bien assises.

10L'appel aux changements intitustionnels au Maroc Empty salam Ven 11 Mar - 11:06

sidimomin



des institutions ancestrales qui n apportent que la misère et la corruption pour le plus grand nombre
ou les elections sont truquées ou une classe privilegiee meprise la grande majorite de la population
notre peuple a le droit de choisir ses institutions .les gens veulent vivre dignement sans torture et sans élections truquees
de ce point de vue les monarchies absolues et les ripoubliques couscoussieres sont logees à la meme enseigne

kenadssa-marocaine

kenadssa-marocaine

Sidimomin,
Je respecte ton avis sur le changement . Mais je ne le partage pas. Tes critiques envers la monarchie est proche du courant Islamiste El 3adl wal Ihssane au Maroc. Sache que ce courant est minoritaire au royaume. Il véhicule un discours de rupture. Alors que la majorité des marocains préfère l'arrangement.
Cordialement

bacharalkhir

bacharalkhir

sidimomin a écrit:
Franchement ya si bacharalkhir
Tu prends le probleme sous un mauvais angle .
-Bien sûr que ceux qui ne veulent voir que le mauvais angle,ne peuvent pas voir le bon côté des choses,puisqu'ils n'ont jamais vérifier tout le contenu de l'affaire,ils se croient (presque toujours) qu'ils détiennent toute la vérité, et donc on doit "prendre" les choses comme ils "l'exigent",sinon on est jugé négatif dans leurs yeux
En réalité il faut rejeter à la fois le Maroc et l'Algérie
-As-tu d'autres Patries à nous proposer autres que celles que tu veus rejeter?.

Pour vivre dignement il faut rejeter à la fois les généraux et le roi .
- Cette proposition est valable (vraisemblablement)pour les algériens,pour les marocains ils n'ont jamais vécu et ne vivront dignement que sous le règne des familles royales qui descendent directement de l'arbre généalogique du Prophète Sidna Mohamed,et tu peu deviner maintenant pourquoi je disais :avec qui et entre qui peut-on faire l'union...

C'est ce que j entends par Maghreb démocratique.
-Ce que tu entends ici ne s'applique et n'est propre que pour vous en Algérie,au Maroc nous avions d'ores et déjà notre culture,notre mode de vie,et surtout nos institutions qui nous garantissent ce qui est appelée "démocratie" et cela dure depuis des siècles,il est vrai que nous avions nos défauts,mais nous y apportons des "corrections" tout de suite lorsque nous jugeons que cela est nécessaire,comme par exemple ce qui se passe actuellement,va voir mon ami comment ça remue au Royaume,et tu verras comment il est utile de regarder les choses de leurs bon côté au lieu de faire preuve d'ingéniosité.

Les Maghrébins ne veulent ni des généraux ni du roi.
-Peut être c'est vrai pour d'autres Maghrébins,mais pour la majorité des Marocains qui s'attachent fortement à leur Roi,nous n'acceptons aucune substitution autre que:Dieu-Patrie-Roi,devise qui nous garantissent surtout la quiétude comme celle où nous vivions actuellement.

pour que le roi les généraux ne viennent plus semer la misère et la violence.
-Ce sont les généraux qui "terrorisent" le peuple algérien qui sèment la misère et la violence,le Roi du Maroc sème partout là ou il passe de la quiétude de la prospérité et de l'entente,et en plus il sème de la pomme de terre,de la tomate,des oranges et surtout il battisse des logements et de l'autoroute

êtes vous prêts à faire primer votre identité Maghrébine et à rejeter ces états pourris qui n apportent que la violence et la misère?
-Nous sommes prêts à tout ,si les autres pensent comme il faut(...)

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum