Yaz, admire les exploits de ton prophète.:twisted:
L’assassinat du poète satirique Ka’b:
“L’apôtre d’Allah a dit: qui veut tuer Kab ibn Al Ashraf, qui a blessé Allah et son apôtre?
Alors Muhammad ibn Maslama dit : Ô apôtre d’Allâh, veux tu que je le tue? Le prophète dit : oui... alors ils le tuèrent et allèrent en informer le prophète.”
Hadîth: récit de Jabir ibn Abdullah (Muslim XIX 436 et Bukhari LII 270, plus détaillé).
"Brusquement, Silkân saisit les mèches de Ka’b et dit à ses compagnons :
- Frappez maintenant cet ennemi d’Allah. Leurs sabres s’abattirent tous ensemble sur la tête de Ka’b, mais les sabres se heurtèrent sans atteindre leur but... Ibn Maslama poursuivit:... je me souvins que j’avais à la taille un poignard effilé. Je lui plongeai dans le ventre et l’y enfonçai de tout mon poids : le stylet ressortit de son bas-ventre et l’ennemi d’ Allah s’écroula."
(Ibn Hishâm, p. 232)
“...Silkân saisit fortement Ka’b par les cheveux et dit :
- Chargez! Muhammad, fils de Maslama le sera (tué) également, et Harîth, fils de Aws, vint à leur aide, et tous les trois le maintinrent ainsi. Les autres prirent leurs sabres et le frappèrent.”
(Tabarî I, p. 184)
“...et la femme de Ka’b jetait des cris du haut de la terrasse. Elle fut tuée par les Arabes, qui se retirèrent ensuite.”
(Tabarî I, p. 184)
“Ils trouvèrent le prophète occupé à prier, et lui rendirent compte de ce qu’ils venaient d’accomplir. Le prophète fut très heureux, rendit grâce à Dieu et les remercia.”
(Tabarî I, p. 185)
L’assassinat du poète satirique Abu Afak:
“Alors eut lieu l’attaque contre Salim ibn Umayr al Amri contre Abu Afak, le juif, au mois de Shawwal dans le début du douzième mois depuis l’Hégire de l’apôtre d’Allah. Abu Afak qui faisait partie des Banu Amr ibn Awf, et il était un vieil homme qui avait atteint d’âge de 120 ans. Il était juif et il poussait les gens contre l’apôtre d’Allah, et composait des vers satiriques.
Salim ibn Umayr (...) dit :
Je fais le voeu de tuer Abu Afak ou de mourir face à lui.”
Il attendit le moment propice jusqu’à une nuit chaude, alors que Abu Afak dormait dehors. Salim ibn Umayr le sut, et il le transperça au niveau du foie et appuya si fort qu’il atteint le lit. L’ennemi d’Allah hurla et les gens qui étaient ses familiers se ruèrent vers lui, puis ils m’emmenèrent chez lui et
l’inhumèrent."
(Ibn Sa’d, Tabaqat II, p. 32 (ed. Haq))
Les exécutions des poètes au moment de la conquête de la Mecque (630):
“Un homme du clan des Khuzâ’ah avait entendu un homme du clan de Kinânah chanter un poème satirique sur le prophète; il l’attaqua et lui trancha la tête.”
(Baladhuri VII 36; c’est l’occasion de la rupture de la trêve)
“... enfin, Anas ibn Zunaim a été frappé jusqu’au sang par Hozaid parce qu’il avait fait des chansons moqueuses contre Muhammad...”
(Waqidi 64, p. 320)
“Bujayr ibn Zuhayr écrivit à son frère le poète Ka’b ibn Zuhayr pour l’informer que Muhammad avait liquidé à La Mekke quelques poètes qui composaient des satires contre lui et que les autres poètes des Quraysh s’étaient enfuis un peu partout.”
(Ibn Hishâm, p. 366. Il se convertit ensuite par peur et compose des oeuvres flatteuses pour Muhammad)
Les exécutions de chanteuses à la Mecque:
Le prophète a dit: le jour de la conquête de La Mekke : il y a quatre personnes à qui je ne donne pas de protection sur le territoire
sacré et profane. Il les nomma ensuite. Il y avait deux chanteuses d’al Maqis; l’une fut tuée, l’autre s’échappa et se soumit à l’islam.”
(Abou Dawûd XIV 2678)
“... les deux esclaves d’Abdallah ibn Khatal, qui chantaient devant les hommes des satires contre le prophète.”
(Tabarî I, p.282)
“La pleureuse Sara (...) chantait des chansons satiriques contre Muhammad, qu’on lui avait donnée. Elle avait déjà fait cela à Médine. Au moment de la conquête, elle est tombée entre les mains de Muhammas et a été exécutée.”
(Waqidi 64, p. 346)
L’exécution du poète ibn Khatal:
“Le messager d'Allah a dit : mettez Ibn Khatal à mort, même si vous le voyez tenir un rideau de la Ka’ba.”
(Baladhuri VII 40)
“le jour de la conquête, le prophète entra dans La Mekke, portant un casque sur la tête. Quand il l'eut enlevé, un homme est venu lui dire :
- Ibn Khatal s’est accroché au rideau de la Ka’ba.
Le prophète dit :
- Tuez-le.”
(Sahih Bukhari LIX 582, récit d’Anas ibn Malik)
“Tuez-le partout où vous le trouverez.”
“Abû Barzah vint et le vit s’accrocher au voile de la Ka’ba. Il l’éventra.”
(Ibn Sad,Tabaqat II, p. 174)
D'autres bonnes actions:
“Etant en présence du prophète, Sa’d dit :
- Il faut les égorger tous, partager leurs biens et réduire en esclavage leurs femmes et leurs enfants.
Le prophète, satisfait de cette sentence, dit à Sa’d :
- Tu as exprimé la volonté d’Allah."
(Tabarî I, p.231; il s’agit de la tribu juive des
Qoraydha)
“Le prophète ordonna de faire descendre de leurs fortins les Banû Quraydha et de les enfermer dans la maison de Bint al Hârith. Il alla ensuite sur la place du marché à Médine... et y fit creuser des fossés. Puis il fit
venir les Banû Quraydha par petits groupes et leur coupa la gorge sur le bord des fossés... Ils étaient six cents à sept cents hommes. On
dit huit cents et même neuf cents.
Pendant qu’ils étaient amenés sur la place par petits groupes, certains juifs demandèrent à Ka’b, leur chef de clan :
- Que va t-on faire de nous?
- Est ce que cette fois vous n’allez pas comprendre?...
Évidemment vous aurez la tête tranchée."
Le prophète ne cessa de les égorger jusqu’à leur extermination totale."
(Ibn Hishâm, p.277)
“Il (le chef Ibn Akhtab) avait les mains ligotées autour du cou...Puis il s’assit et le prophète lui trancha la tête.”
(Ibn Hishâm,p. 277)
“Aucune femme des Banû Quraidah ne fut tuée, sauf une. Elle était avec moi, parlant et riant sous cape, alors que l’envoyé d’Allâh tuait son peuple avec son épée. Soudain, un homme l’appela par son nom...L’homme
l’emporta et lui trancha la tête ; je n’oublierai pas qu’elle riait beaucoup parce qu’elle savait qu’elle serait tuée.”
(Abou Dawûd XIV 2665,récit d’Aïsha)
"Le prophète lui demanda de révéler où était le trésor. Kinâna “Le chef d’une tribu juive à Khaybar.” affirma n’en rien savoir....
- Vois-tu, Kinâna, lui dit le prophète, si nous trouvons le trésor chez toi, je te tuerai.
... Puis le prophète ordonna de creuser la terre dans la maison en ruine. On y trouva une partie du trésor.
- Où est le reste du trésor? demanda le prophète.
- Je n’en sais rien, répondu Kinâna.
Le prophète ordonna alors à Zubayr ibn al Awwan de le torturer jusqu’à ce qu’il livre son secret. Zubayr lui brûlait sans cesse la poitrine avec la mèche d’un briquet, mais en vain. Voyant qu’il était à bout de souffle, le prophète livra Kinâna à Muhammad ibn Maslama, qui lui trancha la tête."
(Ibn Hishâm, p. 317)
“Dans un fort de Khaybar, il y avait une famille fortement opposée au prophète... Le prophète leur trancha la tête.”
(Baladhuri IV 27; ils avaient caché leurs biens sous terre)
“Il ordonna de couper les dattiers, et lorsque, après avoir toute une journée abattu les arbres, on se disposa à continuer pendant plusieurs jours, les juifs crièrent du haut de la forteresse :
- Ô Muhammad, s'il nous est permis de donner un avis, nous te dirons que ces arbres nous appartiennent, et s'ils doivent t'appartenir,
ils te seront utiles; pourquoi donc les couper?
Le prophète répondit :
- C'est Allah qui l'ordonne.
Ils lui répliquèrent :
- Allah n'ordonne pas les crimes, et couper des arbres est un crime.
Alors,Allah révèla le verset suivant : -c'est avec la
permission d’Allah que vous avez coupé un certain nombre de palmiers et que vous en avez laissé debout un certain nombre...(Coran 59,5)
Ensuite, le prophète défendit de couper d'autres palmiers.”
(Tabarî I, p.218)
“Plus tard, il ordonna la construction d'une mosquée... Il y avait des tombes de païens sur cette terre...et des palmiers. L'apôtre d'Allâh ordonna que les tombes des païens soient vidées, que le sol soit nivelé et que les
palmiers soient coupés.”
(Tabari I, p. 112, qui conteste: tradition rapportée par Muhammad ibn Djarîr ("Quoique ces morts fussent des infidèles") et Anas (Bukhari VIII 420).
“Le prophète apprit que certains hypocrites se réunissaient dans la maison du juif Suwaylin et tentaient de détourner les gens de l'expédition guerrière de Tabûk. Il envoya Tahla ibn Ubayd avec quelques hommes pour mettre le feu à la maison de Suwaylin pendant que les hypocrites y étaient réunis. Tahla y mit le feu.”
(Ibn Hishâm, p. 368)