Un journal algérien salue l’intelligence de la stratégie marocaine
]Dans un éditorial, le «Quotidien d’Oran» met en relief le développement que connaît le tourisme au Maroc et appelle le gouvernement algérien à s’inspirer de l’expérience marocaine
Le développement du secteur touristique au Maroc est «le fruit d’une stratégie basée sur des atouts et beaucoup d’intelligence», a souligné lundi le journal algérien «Le Quotidien d’Oran», dans un éditorial comparant les expériences marocaine et algérienne dans ce domaine.
Sous le titre: «N’est pas touristique qui veut», le quotidien donne l’exemple du Maroc, qui «vient d’enregistrer 7 millions de touristes en 2007 et projette de faire porter leur nombre à plus de 10 millions d’ici 2010.
Création d’emplois et développement du savoir-faire, exploitation mesurée des ressources naturelles et promotion de tous les domaines de la culture, de l’art culinaire à l’Histoire, en passant par la musique, le cinéma, le folklore, sont le fruit d’une stratégie d’intégration à la mondialisation avec ces seuls atouts et beaucoup d’intelligence», relève-t-il.
Ce résultat est d’autant plus probant que le Maroc l’a réalisé «sans l’Union du Maghreb arabe», note le journal.
Le Royaume se retrouve ainsi avec «à la clé des centaines de milliers d’emplois», ajoute-t-il, en relevant que bien que des risques existent, leurs impacts demeurent maîtrisés et «cela n’a en aucune manière terni la vitrine du pays». En dressant le parallèle avec la situation du tourisme en Algérie, que les autorités essayent de promouvoir, à la faveur notamment de la tenue des «premières assises nationales et internationales qui s’ouvrent ce lundi à Alger», le quotidien met l’accent sur les orientations qui ont maintenu le pays «longtemps fermé» au point qu’ « il se retrouve aujourd’hui avec des infrastructures obsolètes et un secteur d’Etat à vendre, sans pour autant trouver preneur». «Maintenant, recommande-t-il, il faut agir pour accrocher les wagons à des locomotives sérieuses en prenant le temps de construire l’image d’un pays stable politiquement (à) , mais le plus dur restera alors à faire : attendre les touristes».
]Dans un éditorial, le «Quotidien d’Oran» met en relief le développement que connaît le tourisme au Maroc et appelle le gouvernement algérien à s’inspirer de l’expérience marocaine
Le développement du secteur touristique au Maroc est «le fruit d’une stratégie basée sur des atouts et beaucoup d’intelligence», a souligné lundi le journal algérien «Le Quotidien d’Oran», dans un éditorial comparant les expériences marocaine et algérienne dans ce domaine.
Sous le titre: «N’est pas touristique qui veut», le quotidien donne l’exemple du Maroc, qui «vient d’enregistrer 7 millions de touristes en 2007 et projette de faire porter leur nombre à plus de 10 millions d’ici 2010.
Création d’emplois et développement du savoir-faire, exploitation mesurée des ressources naturelles et promotion de tous les domaines de la culture, de l’art culinaire à l’Histoire, en passant par la musique, le cinéma, le folklore, sont le fruit d’une stratégie d’intégration à la mondialisation avec ces seuls atouts et beaucoup d’intelligence», relève-t-il.
Ce résultat est d’autant plus probant que le Maroc l’a réalisé «sans l’Union du Maghreb arabe», note le journal.
Le Royaume se retrouve ainsi avec «à la clé des centaines de milliers d’emplois», ajoute-t-il, en relevant que bien que des risques existent, leurs impacts demeurent maîtrisés et «cela n’a en aucune manière terni la vitrine du pays». En dressant le parallèle avec la situation du tourisme en Algérie, que les autorités essayent de promouvoir, à la faveur notamment de la tenue des «premières assises nationales et internationales qui s’ouvrent ce lundi à Alger», le quotidien met l’accent sur les orientations qui ont maintenu le pays «longtemps fermé» au point qu’ « il se retrouve aujourd’hui avec des infrastructures obsolètes et un secteur d’Etat à vendre, sans pour autant trouver preneur». «Maintenant, recommande-t-il, il faut agir pour accrocher les wagons à des locomotives sérieuses en prenant le temps de construire l’image d’un pays stable politiquement (à) , mais le plus dur restera alors à faire : attendre les touristes».
Dernière édition par le Mer 13 Fév - 22:25, édité 1 fois