communiqué de l'A.D.M.E.A:
L’association pour la défense de marocains victimes de déplacement arbitraire de l'Algérie, qui suit de près et scrupuleusement toutes les attitudes positives émises, de temps à autres par les parties concernées, le Maroc et l'Algérie afin de mettre un dénouement heureux au conflit artificiel entre les deux peuples frères, pour faire tourner cette page du passé et se focaliser sur l'avenir. Et en se concevant sur les récentes déclarations faites par des responsables des deux pays, notre association s’exprime comme suit :
1°) - Revalorisation de l'initiative marocaine appelant à l'ouverture de la frontière entre les deux pays, dans l'intérêt des deux peuples frères
2°) -Se félicite des déclarations des responsables Algériens, appelant à la solution de toutes les questions en suspens entre les deux pays dans le cadre d'une solution globale à ces problèmes.
3°) –Demande au Maroc de répondre positivement aux propos de ces déclarations, et de l'acceptation par l'ouverture d'un dialogue avec l'Algérie afin de trouver une solution aux problèmes en suspens, qui sont perceptibles et ne nécessitent pas de laisser aller.
4°)- L’ouverture du dossier des Marocains expulsés d'Algérie, et de divulguer les disparus d’entre eux, et de dédommager ceux qui ont subi des dégâts.
5°) - L’ouverture du dossier des terres de citoyens algériens, qui ont été confisquées en 1973 en vertu de la loi des terres récupérées.
6°) –L’ouverture d’un débat sur la question des frontières entre les deux pays, et la création d'un comité des sages de ces deux pays afin d'étudier ces problèmes, avec la possibilité de recourir en accord entre les deux pays à la Cour de justice internationale allant dans le sens de des Etats du Qatar et de Bahreïn.
7°) –L’annulation des courses à s’armer de plus en plus, afin de dépenser ces budgets alloués au développement humain, et le développement des zones frontalières qui souffrent de la marginalisation et l'exclusion des deux États.
8°)-La non-ingérence dans les affaires intérieures des deux pays, et de laisser les deux peuples à se gouverner eux-mêmes pour choisir un système libre et démocratique.
9°) - s'abstenir d'abriter des groupes terroristes ou séparatistes, visant à déstabiliser les deux pays,et la paix des deux peuples.
Fait à Nador, le 24 Mars 2008
L’association pour la défense de marocains victimes de déplacement arbitraire de l'Algérie, qui suit de près et scrupuleusement toutes les attitudes positives émises, de temps à autres par les parties concernées, le Maroc et l'Algérie afin de mettre un dénouement heureux au conflit artificiel entre les deux peuples frères, pour faire tourner cette page du passé et se focaliser sur l'avenir. Et en se concevant sur les récentes déclarations faites par des responsables des deux pays, notre association s’exprime comme suit :
1°) - Revalorisation de l'initiative marocaine appelant à l'ouverture de la frontière entre les deux pays, dans l'intérêt des deux peuples frères
2°) -Se félicite des déclarations des responsables Algériens, appelant à la solution de toutes les questions en suspens entre les deux pays dans le cadre d'une solution globale à ces problèmes.
3°) –Demande au Maroc de répondre positivement aux propos de ces déclarations, et de l'acceptation par l'ouverture d'un dialogue avec l'Algérie afin de trouver une solution aux problèmes en suspens, qui sont perceptibles et ne nécessitent pas de laisser aller.
4°)- L’ouverture du dossier des Marocains expulsés d'Algérie, et de divulguer les disparus d’entre eux, et de dédommager ceux qui ont subi des dégâts.
5°) - L’ouverture du dossier des terres de citoyens algériens, qui ont été confisquées en 1973 en vertu de la loi des terres récupérées.
6°) –L’ouverture d’un débat sur la question des frontières entre les deux pays, et la création d'un comité des sages de ces deux pays afin d'étudier ces problèmes, avec la possibilité de recourir en accord entre les deux pays à la Cour de justice internationale allant dans le sens de des Etats du Qatar et de Bahreïn.
7°) –L’annulation des courses à s’armer de plus en plus, afin de dépenser ces budgets alloués au développement humain, et le développement des zones frontalières qui souffrent de la marginalisation et l'exclusion des deux États.
8°)-La non-ingérence dans les affaires intérieures des deux pays, et de laisser les deux peuples à se gouverner eux-mêmes pour choisir un système libre et démocratique.
9°) - s'abstenir d'abriter des groupes terroristes ou séparatistes, visant à déstabiliser les deux pays,et la paix des deux peuples.
Fait à Nador, le 24 Mars 2008