wazzen dar edmana
En effet, Ouazzane est une ville dans laquelle ont cohabité (pendant trois siècles) en toute harmonie trois communautés :
• Les juifs que Moulay Ettayeb ELOUAZZANI avait invité à s’installer dans sa ville pour y construire un mellah afin de donner naissance à un artisanat propre à Dar Dmana. Aujourd’hui Ouezzane est une ville artisanale par excellence grâce à la communauté juive Ouazzanie et à l’intelligence politique d’un homme hors paire.
• Les Jbalas (anciens Ghumara) furent chassés de Souss par des conditions climatiques exceptionnellement sévères, dont la nature exacte peu varier d’une version à l’autre : la plus répandue évoque un vent torride, sârqi d’une duré inhabituelle. ces Swasa s’en furent imploré l’intercession de Mulay Abd Salam Ben Mchich. Celui-ci leur répondit que, le fléau relevant de l’ordre divin, il n’avait sur lui aucun pouvoir. Aujourd’hui cette communauté représente la quasi-totalité de la population Ouazzanie et ce dû à l’exode rural et au délogement des juifs et des chorfas Ouazzanis de la ville.
• La grande famille des chorfas Ouazzanis : descendants de Moulay Abdellah Charif ELOUZZANI ELHASSANI fondateur de la ville d’Ouazzane et de sa confrérie.
Alliée du pouvoir sultanien. La confrérie Ouazzanie a assumé ce statut, d’abord, à l’intérieure du sultanat chérifien, en jouant le rôle de médiatrice et de propagatrice du pouvoir en place. Elle l’a assumé, ensuite, dans les jeux politiiques supra-sultaniens, en défendant la bourgoisie marocaine (étant elle-même une famille bourgeoise) dans le conflit de « classes » de la ville de Tlemcen, contre les militaires, les Couloughlis turcs, et en soutenant le pouvoir sultanien dans sa lutte d’influence contre le pouvoir turc, et pendant la résistance étatique de l’émir Abd el-Kader contre la France. Aujourd’hui la grande famille des chorfas Ouazzanis est présente à travers tout le royaume (Safi, Fès, Rabat, Tanger, Casablanca…) sous les nom de : ElOUAZZANI, ETTAYEBI, TOUHAMI, CHAHDI, ALOUZZANE, HAYDARA … ainsi que dans d’autres pays du Maghreb à l’exemple de la famille CHARIF ELOUZZANI en Algérie.
Hassan[center]
En effet, Ouazzane est une ville dans laquelle ont cohabité (pendant trois siècles) en toute harmonie trois communautés :
• Les juifs que Moulay Ettayeb ELOUAZZANI avait invité à s’installer dans sa ville pour y construire un mellah afin de donner naissance à un artisanat propre à Dar Dmana. Aujourd’hui Ouezzane est une ville artisanale par excellence grâce à la communauté juive Ouazzanie et à l’intelligence politique d’un homme hors paire.
• Les Jbalas (anciens Ghumara) furent chassés de Souss par des conditions climatiques exceptionnellement sévères, dont la nature exacte peu varier d’une version à l’autre : la plus répandue évoque un vent torride, sârqi d’une duré inhabituelle. ces Swasa s’en furent imploré l’intercession de Mulay Abd Salam Ben Mchich. Celui-ci leur répondit que, le fléau relevant de l’ordre divin, il n’avait sur lui aucun pouvoir. Aujourd’hui cette communauté représente la quasi-totalité de la population Ouazzanie et ce dû à l’exode rural et au délogement des juifs et des chorfas Ouazzanis de la ville.
• La grande famille des chorfas Ouazzanis : descendants de Moulay Abdellah Charif ELOUZZANI ELHASSANI fondateur de la ville d’Ouazzane et de sa confrérie.
Alliée du pouvoir sultanien. La confrérie Ouazzanie a assumé ce statut, d’abord, à l’intérieure du sultanat chérifien, en jouant le rôle de médiatrice et de propagatrice du pouvoir en place. Elle l’a assumé, ensuite, dans les jeux politiiques supra-sultaniens, en défendant la bourgoisie marocaine (étant elle-même une famille bourgeoise) dans le conflit de « classes » de la ville de Tlemcen, contre les militaires, les Couloughlis turcs, et en soutenant le pouvoir sultanien dans sa lutte d’influence contre le pouvoir turc, et pendant la résistance étatique de l’émir Abd el-Kader contre la France. Aujourd’hui la grande famille des chorfas Ouazzanis est présente à travers tout le royaume (Safi, Fès, Rabat, Tanger, Casablanca…) sous les nom de : ElOUAZZANI, ETTAYEBI, TOUHAMI, CHAHDI, ALOUZZANE, HAYDARA … ainsi que dans d’autres pays du Maghreb à l’exemple de la famille CHARIF ELOUZZANI en Algérie.
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