L’Algérie
déclarée «pays à risques politiques réels»
Un appel à la
prudence vient d’être lancé à l’adresse des compagnies pétrolières désireuses
d’investir en Algérie, cataloguée parmi les pays «à risques politiques réels».
L’Algérie est considérée parmi les pays «à risques politiques réels» pour les
compagnies pétrolières, compte tenu de plusieurs paramètres retenus par le
cabinet international Standard And Poor’S, dont la presse algérienne se fait
l’écho.
Cet
organisme, chargé de l’évaluation des risques en relation avec les activités
pétrolières, notamment en dehors de la zone OCDE (Organisation de coopération
et développement économique), relève que l’Algérie «fait partie des pays où les
compagnies pétrolières encourent des risques politiques», du fait notamment de
l’interférence des pouvoirs publics dans les relations partenariales dans le
secteur des hydrocarbures.
L’agence
de notation fait référence, entre autres, à la résiliation par l’Etat algérien
du contrat entre Sonatrach et les deux compagnies gazières espagnoles Repsol et
Gaz Natural pour la mise en exploitation du gisement gazier de Gasi Touil.
Pour ce cabinet, l’annulation des projets
programmés avec des sociétés étrangères ou leur appropriation sans autre forme
d’indemnisation «constitue des risques politiques qui menacent les sociétés
opérant en Algérie».
L’Algérie
est ainsi cataloguée parmi les pays où l’Etat intervient directement dans la
gestion des affaires économiques.
Dans son évaluation des risques liés à «la corruption et aux aléas politiques,
législatifs et fiscaux, l’Algérie est également mal classée parmi des pays
comme le Venezuela et l’Irak», selon le rapport en question, cité par le
journal «El Khabar». Concernant l’indice se rapportant aux aléas fiscaux,
Standard And Poor’s met notamment en cause la surtaxe imposée par l’Etat
algérien aux sociétés pétrolières sur les profits réalisés, dès lors que le
pétrole dépasse les 30 dollars, ce que le cabinet considère comme une «taxation
exorbitante».
MAP
déclarée «pays à risques politiques réels»
Un appel à la
prudence vient d’être lancé à l’adresse des compagnies pétrolières désireuses
d’investir en Algérie, cataloguée parmi les pays «à risques politiques réels».
L’Algérie est considérée parmi les pays «à risques politiques réels» pour les
compagnies pétrolières, compte tenu de plusieurs paramètres retenus par le
cabinet international Standard And Poor’S, dont la presse algérienne se fait
l’écho.
Cet
organisme, chargé de l’évaluation des risques en relation avec les activités
pétrolières, notamment en dehors de la zone OCDE (Organisation de coopération
et développement économique), relève que l’Algérie «fait partie des pays où les
compagnies pétrolières encourent des risques politiques», du fait notamment de
l’interférence des pouvoirs publics dans les relations partenariales dans le
secteur des hydrocarbures.
L’agence
de notation fait référence, entre autres, à la résiliation par l’Etat algérien
du contrat entre Sonatrach et les deux compagnies gazières espagnoles Repsol et
Gaz Natural pour la mise en exploitation du gisement gazier de Gasi Touil.
Pour ce cabinet, l’annulation des projets
programmés avec des sociétés étrangères ou leur appropriation sans autre forme
d’indemnisation «constitue des risques politiques qui menacent les sociétés
opérant en Algérie».
L’Algérie
est ainsi cataloguée parmi les pays où l’Etat intervient directement dans la
gestion des affaires économiques.
Dans son évaluation des risques liés à «la corruption et aux aléas politiques,
législatifs et fiscaux, l’Algérie est également mal classée parmi des pays
comme le Venezuela et l’Irak», selon le rapport en question, cité par le
journal «El Khabar». Concernant l’indice se rapportant aux aléas fiscaux,
Standard And Poor’s met notamment en cause la surtaxe imposée par l’Etat
algérien aux sociétés pétrolières sur les profits réalisés, dès lors que le
pétrole dépasse les 30 dollars, ce que le cabinet considère comme une «taxation
exorbitante».
MAP