Mohamed Moussaoui, un Marocain, prend la tête des institutions représentatives des musulmans de France
Malgré le boycott de la Grande mosquée de Paris dirigée par le Franco-algérien Dalil Boubaker, les élections destinées à renouveler les instances du (CFCM), le Conseil français du culte musulman ont eu lieu.
Les résultats de ce dimanche 8.6.2008 électoral ne laissent place à aucun doute. Le -- Rassemblement des musulmans de France (RMF) d’obédience marocaine a remporté 43, 24% des voix,
l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) dirigée par le duo franco-marocain, Fouad Alaoui et Lhaj Thami Brez a eu 30,23% des voix,
le Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF) 12,73%
et les divers 12,5%.
Dans cette opération, le taux de participation était de 81% en baisse de quatre points par rapport aux élections de 2005.
Cette victoire des Marocains pose crûment la question de la succession de Dalil Boubaker à la tête du CFCM. Il est vrai que tout en brandissant l’arme du boycott, le recteur de la Mosquée de Paris tentait en douce de négocier, une présidence honorifique. Echec sur toute la ligne et la page de Dalil Boubaker est tournée.
L’homme qui s’apprête vraisemblablement à succéder le 22 juin à Dalil Boubaker aura la lourde tâche de donner au CFCM ses véritables lettres de noblesse.
Malgré le boycott de la Grande mosquée de Paris dirigée par le Franco-algérien Dalil Boubaker, les élections destinées à renouveler les instances du (CFCM), le Conseil français du culte musulman ont eu lieu.
Les résultats de ce dimanche 8.6.2008 électoral ne laissent place à aucun doute. Le -- Rassemblement des musulmans de France (RMF) d’obédience marocaine a remporté 43, 24% des voix,
l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) dirigée par le duo franco-marocain, Fouad Alaoui et Lhaj Thami Brez a eu 30,23% des voix,
le Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF) 12,73%
et les divers 12,5%.
Dans cette opération, le taux de participation était de 81% en baisse de quatre points par rapport aux élections de 2005.
Cette victoire des Marocains pose crûment la question de la succession de Dalil Boubaker à la tête du CFCM. Il est vrai que tout en brandissant l’arme du boycott, le recteur de la Mosquée de Paris tentait en douce de négocier, une présidence honorifique. Echec sur toute la ligne et la page de Dalil Boubaker est tournée.
L’homme qui s’apprête vraisemblablement à succéder le 22 juin à Dalil Boubaker aura la lourde tâche de donner au CFCM ses véritables lettres de noblesse.