Les néo-harkis : renégats, l’insolence en plus !
par Mokhbi Abdelouahab *
par Mokhbi Abdelouahab *
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Le dossier des harragas est un véritable crève-cœur pour la nation toute entière. Il occulte cependant une réalité bien amère. Celle de ces algériens, binationaux ou pas, dont les sempiternelles palabres consistent à vilipender l’Algérie dont ils profitent pourtant à plein pot. Non contents de piller le pays, ils s’en prennent à lui en le dénigrant avec des critiques acerbes qui, le plus souvent, ne sont fondées sur aucune analyse un tant soit peu cohérente. Ils débitent leurs sentences à coup de machettes. Ils font sciemment l’amalgame entre le pays et ceux qui le gouvernent. Lorsque excédés par leur critiques aussi confuses qu’outrancières, vous leur demandez ce qu’il conviendrait de faire, leur réponses évasives vous les dévoilent sous leur vrai jour. D’indécrottables fatalistes, incultes et incapables de donner du sens à leur propre vie. S’il n’y a pas lieu ici de faire le procès d’itinéraires individuels particuliers, il est légitime de dire l’exaspération que suscite en nous l’acrimonie affichée envers le pays par certains concitoyens qui empestent la forfaiture, la félonie et l’ingratitude. Vous avez beau exercé votre perspicacité, vous ne décèlerez pas le moindre relent de patriotisme chez eux. Ils vous font penser aux harkis durant la guerre de libération. Mais ils vous inspirent beaucoup moins d’indulgences. En comparaison, les harkis vous paraissent de pauvres bougres au destin terrible. Bien sûr, ils ont été les supplétifs de la soldatesque coloniale dans le déploiement de l’une des plus remarquables barbaries avec son cortège d’exactions criminelles contre leurs frères. La lâcheté, somme toute humaine comme celle d’autres collabos sous d’autres cieux, les rendait plus sensibles à des motivations bassement alimentaires, aux antipodes de préoccupations doctrinales. Ce sont histoires pitoyables de cette nature qui furent surprises par une embardée inéluctable de la grande histoire. Ils ne l’ont pas vu venir. Il furent piègés par leurs désolantes stratégies de survie et se sont retrouvés coincés du mauvais coté. Du coté de la puissance sanguinaire et de l’injustice aveugle. Aujourd’hui, bannis de leur pays d’origine et honnis par les leurs qu’ils avaient trahis, ils se sont retrouvés- sans reconnaissance, hormis les rattrapages de façade sous l’ère Chirac-, guettoïsés dans le pays sous la bannière duquel ils avaient combattu les leurs. Si seulement, ils pouvaient demander pardon, si seulement on voudrait le leur solliciter. Rien que pour leurs enfants et petits-enfants ne continuent pas à subir injustement et indéfiniment le traumatisme de l’infamie. Personnellement, je serais enclin à pardonner. En tout cas, cette repentance m’importerait plus que celle d’un Sarkozy. Il vient à Alger, nous braver. « Je ne viens pas m’excuser », nous a-t-il lancé avec impertinence.
Une autre espèce de harkis, autrement plus virulente que la première, prolifère à l’extérieur comme à l’intérieur du pays. Le vent en poupe, ses représentants s’enhardissent chaque jour davantage. Je ne sais qui de la France, de l’Algérie ou d’eux-mêmes, ils cherchent à leurrer mais ils déploient des trésors de mièvrerie pour être agréable à l’ancienne puissance coloniale en susurrant aux algériens de réintégrer corps et âmes son giron. Prudents, ils ne mettent jamais leurs œufs dans le même pays. Opportunistes, ils font allégeance au courant le plus rétrograde en France et évite minutieusement de se compromettre en n’esquissant pas la moindre velléité pour défendre l’histoire que l’on essaye de travestir, pour estomper la mémoire des crimes et des atrocités commises à l’encontre du peuple algérien durant 132 ans. Vils, ils recyclent tous les vieux poncifs et les clichés les plus éculés des occidentaux sur les arabes et sur l’Islam dans leur fol désir de séduire cette France, miroir aux alouettes sur lequel leurs rêves mesquins sont projetés.
De Matoub Lounès qui stigmatisa, sur Canal Plus, « [nos] cinq réunions quotidiennes et [notre] congrès hebdomadaire. » à Rachid Mimouni qui expliquait à PPDA sur TF1 « que chaque mosquée avait sa liste noire de personnes à éliminer » ont commis des dérapages incontrôlés révélateurs quant au sens qu’ils donnaient à leur combat. Aujourd’hui, on assiste avec Boualem Sansal dont l’atavisme le mène à faire l’amalgame entre nazisme et Islam, à une escalade. J’ai été heureux - de lire l’excellentissime article de Ali Bellakehal (Quiotidien d’Oran du 26 mai 2008) qui dénonce ex professo ces écrivaillons et ces intellectuels de pacotilles qui font de la trahison et de la vassalité la plus débile un véritable fond de commerce. Ils entendent gagner sur les deux tableaux ou sur les deux passeports. Ce sont les néo-harkis, je voudrais bien leur gâcher les vacances estivales !
Tout un chacun a croisé, un jour, ce genre de personnes. Elles sont si arrogantes que l’on devine très vite qu’elles ont un problème à régler avec elles-mêmes. Travaillés par d’inavouables remords notamment celui de s’être sucré sans vergogne sur le dos de leur pays, elles s’érigent en patriotes zélés donc forcément redoutables. Infatués de leurs toutes petites personnes mais n’ayant pas d’arguments à faire prévaloir, ils vous soûlent de paroles en pérorant des mérites indus qu’ils s’attribuent allègrement. Démunis de la moindre qualité qui accrocherait l’esprit le plus magnanime, ils ressassent inlassablement l’histoire mytho maniaque d’une vague saga familiale qu’il cherche à embellir désespérément. S’hab’ Kheïma K’bira ! Tôz ! Leur persévérance à tenter d’effacer les traces de l’ignominie qui entache souvent leur nom est sidérante. Cependant, à affabuler de façon aussi immodérée, ils réussissent la double prouesse de vous endurcir, à force de mettre votre patience à rude épreuve, et de repousser l’impudeur la plus outrancière aux confins de l’intolérable. Il est vrai qu’une fois les bornes dépassées, ils n’ont plus de limites à respecter. M. de Lapalisse n’aurait pas mieux dit ! Soit ! Un individu de cet acabit commencera par vous expliquer qu’il ne descend pas de m’importe qui. Evidemment, pas de la cuisse de Jupiter, seriez-vous tentés de penser, mais comme tous les mortels, d’un homme et d’une femme, pardi ! Lisant dans vos pensées, votre impudique interlocuteur vous décoche un sourire condescendant. Il s’attellera aussitôt à vous rappeler pour la énième fois que son père, déjà du temps de la France, c’était quelqu’un. Même si votre sagacité est en veilleuse, vous déduisez que là, il ne raconte pas n’importe quoi mais qu’il est en train de vous résumer sobrement le passé indigne de son géniteur. Le père fut donc un Algérien pas ordinaire que les bienveillantes sollicitudes de la puissance coloniale lui ont permis de prospérer. La compromission, hier comme aujourd’hui, est un bon fumier pour que s’érige d’insolentes fortunes. Les lignées lamentables finissent toujours par vouloir se muer en fabuleux destins. Mais biens mal acquis ne consolent jamais de la médiocrité d’une vie ! En les écoutants, l’idée, qu’un sort besogneux est plus enviable que celui que veut se donner un verbeux, s’impose à vous.
Je ne veux pas jeter l’opprobre sur toute richesse patiemment constituée. Je conçois que d’honnêtes récipiendaires de bienfaits célestes en ce bas monde peuvent légitimement arboré la satisfaction pour leur sort. Mais, généralement, ils sont si occupés à profiter de la vie et à rendre grâce au ciel qu’ils n’usent pas leur existence à justifier leur bonne fortune aux yeux de leurs semblables où à s’inventer une bonne étoile. Toujours est-il qu’à en croire Friedrich Engels, il n’est point d’enrichissement fulgurant qui ne soit suspect, surtout s’il est adossé à un pouvoir quel qu’il soit. Ainsi, le théoricien allemand et ami de Marx ne va pas par quatre chemins pour expliquer l’émergence du capitalisme primitif: le vol et le détournement. La chose serait tellement évidente que sa compréhension est à la portée d’un enfant. A l’appui de son affirmation, Engels verse cette adorable anecdote. Dans une classe du cycle primaire, l’instituteur demande aux élèves de remplir la traditionnelle fiche de renseignements. Il étonna qu’un des écoliers, l’esprit sans doute encore en vacances, écrive dans la case réservée à la profession du père le mot «riche». Amusé, il fit reprendre le môme en lui expliquant qu’une activité lucrative serait forcément à la base de l’enrichissement de son père. Imperturbable l’enfant répond :
- Non monsieur ! Il a hérité de mon grand-père !
- Soit, mais alors ce grand-père avait une profession ! Rétorqua le maître avec une certaine assurance.
- Non monsieur ! C’est l’arrière grand-père qui lui a légué sa fortune.
Un tantinet excédé mais s’efforçant de rester pédagogique, l’enseignant insista en faisant remarquer au charmant garçon qu’il doit bien existé dans son ascendance un arrière grand aïeul qui fit fortune en exerçant une profession. Acculé dans les cordes, l’enfant ne se départit pas de sa superbe. Sa parade fusa comme un uppercut décisif :
-
« Ce qu’on ne peut pas dire, il ne faut
surtout pas le taire, mais l’écrire. »
surtout pas le taire, mais l’écrire. »
[Jacques Derrida]
Le dossier des harragas est un véritable crève-cœur pour la nation toute entière. Il occulte cependant une réalité bien amère. Celle de ces algériens, binationaux ou pas, dont les sempiternelles palabres consistent à vilipender l’Algérie dont ils profitent pourtant à plein pot. Non contents de piller le pays, ils s’en prennent à lui en le dénigrant avec des critiques acerbes qui, le plus souvent, ne sont fondées sur aucune analyse un tant soit peu cohérente. Ils débitent leurs sentences à coup de machettes. Ils font sciemment l’amalgame entre le pays et ceux qui le gouvernent. Lorsque excédés par leur critiques aussi confuses qu’outrancières, vous leur demandez ce qu’il conviendrait de faire, leur réponses évasives vous les dévoilent sous leur vrai jour. D’indécrottables fatalistes, incultes et incapables de donner du sens à leur propre vie. S’il n’y a pas lieu ici de faire le procès d’itinéraires individuels particuliers, il est légitime de dire l’exaspération que suscite en nous l’acrimonie affichée envers le pays par certains concitoyens qui empestent la forfaiture, la félonie et l’ingratitude. Vous avez beau exercé votre perspicacité, vous ne décèlerez pas le moindre relent de patriotisme chez eux. Ils vous font penser aux harkis durant la guerre de libération. Mais ils vous inspirent beaucoup moins d’indulgences. En comparaison, les harkis vous paraissent de pauvres bougres au destin terrible. Bien sûr, ils ont été les supplétifs de la soldatesque coloniale dans le déploiement de l’une des plus remarquables barbaries avec son cortège d’exactions criminelles contre leurs frères. La lâcheté, somme toute humaine comme celle d’autres collabos sous d’autres cieux, les rendait plus sensibles à des motivations bassement alimentaires, aux antipodes de préoccupations doctrinales. Ce sont histoires pitoyables de cette nature qui furent surprises par une embardée inéluctable de la grande histoire. Ils ne l’ont pas vu venir. Il furent piègés par leurs désolantes stratégies de survie et se sont retrouvés coincés du mauvais coté. Du coté de la puissance sanguinaire et de l’injustice aveugle. Aujourd’hui, bannis de leur pays d’origine et honnis par les leurs qu’ils avaient trahis, ils se sont retrouvés- sans reconnaissance, hormis les rattrapages de façade sous l’ère Chirac-, guettoïsés dans le pays sous la bannière duquel ils avaient combattu les leurs. Si seulement, ils pouvaient demander pardon, si seulement on voudrait le leur solliciter. Rien que pour leurs enfants et petits-enfants ne continuent pas à subir injustement et indéfiniment le traumatisme de l’infamie. Personnellement, je serais enclin à pardonner. En tout cas, cette repentance m’importerait plus que celle d’un Sarkozy. Il vient à Alger, nous braver. « Je ne viens pas m’excuser », nous a-t-il lancé avec impertinence.
Les néo-harkis arrivent
Une autre espèce de harkis, autrement plus virulente que la première, prolifère à l’extérieur comme à l’intérieur du pays. Le vent en poupe, ses représentants s’enhardissent chaque jour davantage. Je ne sais qui de la France, de l’Algérie ou d’eux-mêmes, ils cherchent à leurrer mais ils déploient des trésors de mièvrerie pour être agréable à l’ancienne puissance coloniale en susurrant aux algériens de réintégrer corps et âmes son giron. Prudents, ils ne mettent jamais leurs œufs dans le même pays. Opportunistes, ils font allégeance au courant le plus rétrograde en France et évite minutieusement de se compromettre en n’esquissant pas la moindre velléité pour défendre l’histoire que l’on essaye de travestir, pour estomper la mémoire des crimes et des atrocités commises à l’encontre du peuple algérien durant 132 ans. Vils, ils recyclent tous les vieux poncifs et les clichés les plus éculés des occidentaux sur les arabes et sur l’Islam dans leur fol désir de séduire cette France, miroir aux alouettes sur lequel leurs rêves mesquins sont projetés.
De Matoub Lounès qui stigmatisa, sur Canal Plus, « [nos] cinq réunions quotidiennes et [notre] congrès hebdomadaire. » à Rachid Mimouni qui expliquait à PPDA sur TF1 « que chaque mosquée avait sa liste noire de personnes à éliminer » ont commis des dérapages incontrôlés révélateurs quant au sens qu’ils donnaient à leur combat. Aujourd’hui, on assiste avec Boualem Sansal dont l’atavisme le mène à faire l’amalgame entre nazisme et Islam, à une escalade. J’ai été heureux - de lire l’excellentissime article de Ali Bellakehal (Quiotidien d’Oran du 26 mai 2008) qui dénonce ex professo ces écrivaillons et ces intellectuels de pacotilles qui font de la trahison et de la vassalité la plus débile un véritable fond de commerce. Ils entendent gagner sur les deux tableaux ou sur les deux passeports. Ce sont les néo-harkis, je voudrais bien leur gâcher les vacances estivales !
Leur petitesse Atavique
Tout un chacun a croisé, un jour, ce genre de personnes. Elles sont si arrogantes que l’on devine très vite qu’elles ont un problème à régler avec elles-mêmes. Travaillés par d’inavouables remords notamment celui de s’être sucré sans vergogne sur le dos de leur pays, elles s’érigent en patriotes zélés donc forcément redoutables. Infatués de leurs toutes petites personnes mais n’ayant pas d’arguments à faire prévaloir, ils vous soûlent de paroles en pérorant des mérites indus qu’ils s’attribuent allègrement. Démunis de la moindre qualité qui accrocherait l’esprit le plus magnanime, ils ressassent inlassablement l’histoire mytho maniaque d’une vague saga familiale qu’il cherche à embellir désespérément. S’hab’ Kheïma K’bira ! Tôz ! Leur persévérance à tenter d’effacer les traces de l’ignominie qui entache souvent leur nom est sidérante. Cependant, à affabuler de façon aussi immodérée, ils réussissent la double prouesse de vous endurcir, à force de mettre votre patience à rude épreuve, et de repousser l’impudeur la plus outrancière aux confins de l’intolérable. Il est vrai qu’une fois les bornes dépassées, ils n’ont plus de limites à respecter. M. de Lapalisse n’aurait pas mieux dit ! Soit ! Un individu de cet acabit commencera par vous expliquer qu’il ne descend pas de m’importe qui. Evidemment, pas de la cuisse de Jupiter, seriez-vous tentés de penser, mais comme tous les mortels, d’un homme et d’une femme, pardi ! Lisant dans vos pensées, votre impudique interlocuteur vous décoche un sourire condescendant. Il s’attellera aussitôt à vous rappeler pour la énième fois que son père, déjà du temps de la France, c’était quelqu’un. Même si votre sagacité est en veilleuse, vous déduisez que là, il ne raconte pas n’importe quoi mais qu’il est en train de vous résumer sobrement le passé indigne de son géniteur. Le père fut donc un Algérien pas ordinaire que les bienveillantes sollicitudes de la puissance coloniale lui ont permis de prospérer. La compromission, hier comme aujourd’hui, est un bon fumier pour que s’érige d’insolentes fortunes. Les lignées lamentables finissent toujours par vouloir se muer en fabuleux destins. Mais biens mal acquis ne consolent jamais de la médiocrité d’une vie ! En les écoutants, l’idée, qu’un sort besogneux est plus enviable que celui que veut se donner un verbeux, s’impose à vous.
C’est Engels qui l’a dit !
Je ne veux pas jeter l’opprobre sur toute richesse patiemment constituée. Je conçois que d’honnêtes récipiendaires de bienfaits célestes en ce bas monde peuvent légitimement arboré la satisfaction pour leur sort. Mais, généralement, ils sont si occupés à profiter de la vie et à rendre grâce au ciel qu’ils n’usent pas leur existence à justifier leur bonne fortune aux yeux de leurs semblables où à s’inventer une bonne étoile. Toujours est-il qu’à en croire Friedrich Engels, il n’est point d’enrichissement fulgurant qui ne soit suspect, surtout s’il est adossé à un pouvoir quel qu’il soit. Ainsi, le théoricien allemand et ami de Marx ne va pas par quatre chemins pour expliquer l’émergence du capitalisme primitif: le vol et le détournement. La chose serait tellement évidente que sa compréhension est à la portée d’un enfant. A l’appui de son affirmation, Engels verse cette adorable anecdote. Dans une classe du cycle primaire, l’instituteur demande aux élèves de remplir la traditionnelle fiche de renseignements. Il étonna qu’un des écoliers, l’esprit sans doute encore en vacances, écrive dans la case réservée à la profession du père le mot «riche». Amusé, il fit reprendre le môme en lui expliquant qu’une activité lucrative serait forcément à la base de l’enrichissement de son père. Imperturbable l’enfant répond :
- Non monsieur ! Il a hérité de mon grand-père !
- Soit, mais alors ce grand-père avait une profession ! Rétorqua le maître avec une certaine assurance.
- Non monsieur ! C’est l’arrière grand-père qui lui a légué sa fortune.
Un tantinet excédé mais s’efforçant de rester pédagogique, l’enseignant insista en faisant remarquer au charmant garçon qu’il doit bien existé dans son ascendance un arrière grand aïeul qui fit fortune en exerçant une profession. Acculé dans les cordes, l’enfant ne se départit pas de sa superbe. Sa parade fusa comme un uppercut décisif :
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