Contrôle des frontières terrestres : le système électronique opérationnel en Algérie
L’Algérie a entamé la mise en place d’un système de contrôle électronique, premier du genre en Afrique et inexistant même dans certains pays européens, qui permettra le contrôle des frontières terrestres algériennes, notamment Ouest avec le royaume marocain, Sud avec le Mali et le Niger et d’autres parties de passages vers la Libye.
Selon les informations en disposition d’Echorouk, le nouveau système consiste en des caméras de haute précision implantées le long des frontières et munies d’infrarouges, de radars et d’appareils de détections. Des données pointues sont ainsi transférées aux brigades des gardes-frontières.
L’Algérie a déjà installé une partie des équipements là où les activités de l’émigration clandestine et de la contrebande sont les plus importantes. Le système de contrôle électronique en voie de réalisation, évoqué précédemment par la revue El Djeich, est considéré comme un grand pas en avant en matière de lutte contre le fléau de la contrebande qui a déjà menacé la stabilité du pays d’autant plus que ses frontières terrestres ont déjà permis le passage de bandes de malfaiteurs et de groupes terroristes.
Le système de contrôle électronique est la troisième grande réalisation de la Gendarmerie Nationale, après l’institut national de criminologie et la base de données permettant l’établissement de portraits-robots, et viendra par conséquent renforcer le réseau unifié national d’informations et de télécommunications Runitel, en vigueur depuis une année au niveau de la première région militaire.
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L’Algérie a entamé la mise en place d’un système de contrôle électronique, premier du genre en Afrique et inexistant même dans certains pays européens, qui permettra le contrôle des frontières terrestres algériennes, notamment Ouest avec le royaume marocain, Sud avec le Mali et le Niger et d’autres parties de passages vers la Libye.
Selon les informations en disposition d’Echorouk, le nouveau système consiste en des caméras de haute précision implantées le long des frontières et munies d’infrarouges, de radars et d’appareils de détections. Des données pointues sont ainsi transférées aux brigades des gardes-frontières.
L’Algérie a déjà installé une partie des équipements là où les activités de l’émigration clandestine et de la contrebande sont les plus importantes. Le système de contrôle électronique en voie de réalisation, évoqué précédemment par la revue El Djeich, est considéré comme un grand pas en avant en matière de lutte contre le fléau de la contrebande qui a déjà menacé la stabilité du pays d’autant plus que ses frontières terrestres ont déjà permis le passage de bandes de malfaiteurs et de groupes terroristes.
Le système de contrôle électronique est la troisième grande réalisation de la Gendarmerie Nationale, après l’institut national de criminologie et la base de données permettant l’établissement de portraits-robots, et viendra par conséquent renforcer le réseau unifié national d’informations et de télécommunications Runitel, en vigueur depuis une année au niveau de la première région militaire.
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