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Le peuple Algerien merite autre chose que ce regime

5 participants

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memoire54



Je ne suis pas à la recherche un article qui enfonce particulièrement l'Algerie; mais cet article fait mal pour un peuple qui merite autre chose:

Article: Le jour d'Algérie


Emeutes et incidents dans plusieurs régions du pays
La population se révolte contre la pauvreté et l’injustice
Un ras-le-bol généralisé a été ressenti par les citoyens qui ont fini par sortir dans la rue exprimer leur désarroi et leur désespoir qui ont atteint des degrés insoutenables.

10 Septembre 2008, Le jour d'Algérie
Les jeunes de la commune de Dergana à Alger, de Aïn El Bordj à Tissemssilt et de Blimour dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj ont envahi la rue, causant ainsi des émeutes qui auraient duré plusieurs jours et nuits.

Si les jeunes de Bordj Bou Arréridj se sont révoltés contre les pratiques de «hogra» suite à un incident qui a eu lieu il y a trois jours entre un gendarme et un citoyen de cette commune, les jeunes des deux autres localités sont sortis dans la rue pour réclamer le droit à la nourriture, voire même à une vie digne.

A Tissemssilt, les habitants ont saccagé le centre de distribution du couffin de ramadhan. Selon le compte rendu établi par un quotidien, cette action a eu lieu après le retard qu’avait connu l’opération de distribution des couffins dans cette localité.

Les citoyens se sont impatientés après avoir effectué des dizaines de va-et-vient sans pouvoir récupéré le couffin, très précieux en ce mois de ramadhan.

Le bilan a été lourd puisque le centre a été complètement détruit par les milliers de personnes démunies venues récupérer le couffin attendu depuis le début du mois.

C’est une première en Algérie. On n’a jamais assisté au cours des années précédentes à de telles scènes de dévastation et de destruction des biens de l’Etat pendant le mois sacré.

Le couffin du ramadhan n’a pas été distribué pendant des années dans plusieurs localités pour plusieurs raisons ayant trait au blocage ou autres, mais les citoyens n’ont jamais eu recours à la violence pour bénéficier de ce droit, quand bien même les autorités locales avaient promis de les distribuer aux familles nécessiteuses.

La presse avait même relaté des faits de détournement de ces biens à d’autres fins que celles pour lesquelles ils étaient prédestinés. Même dans ce genre de situation, la population n’a pas eu recours à la violence, préférant prendre son mal en patience. Le gagne-pain a été également derrière les événements tragiques qui se sont déroulés dans la localité de Dergana, dans l’est d’Alger.

Les jeunes qui occupaient une artère au niveau de la cité des 64 logements où ils vendaient différents articles, développant ainsi une intense activité commerciale illégale, sont sortis dans la rue pour contester la décision d’éradication de ce marché existant depuis 1982. Les troubles occasionnés ont fait d’importants dégâts matériels, des blessés légers et de nombreuses arrestations.

Ces jeunes se sont défendus de façon très violente mais ils ont réussi à préserver leur activité et leur seule ressource. La disparition de ce marché allait, en effet, allonger la liste des chômeurs.

Les autorités locales ont procédé à l’éradication de plusieurs marchés informels sans que la population ne manifeste sa colère. A Alger-Centre, les opérations ont été menées dans le calme ; l’alternative proposée par les autorités a permis d’éviter le pire. Ainsi, la population n’est plus en mesure de subir des décisions prises dans l’anarchie, faisant fi des principales préoccupations des citoyens.

Le recours aux émeutes semble prendre une proportion inquiétante à même de devenir incontrôlable. Elles se déclenchent, se propagent et s’aggravent à chaque fois que cela a trait à une préoccupation commune et un besoin nécessaire et primordial.

Admin

Le peuple algerien merite un regime politique qui soit gerer par des authentiques algeriens et non par ces planqués du clan d'Oujda .
Ce sont des marocains d'origines algeriennes natifs du Maroc qu'on appelaient les wastis ou 2 éme franciss.
Ils ont accaparé le pouvoir en 1962 pour distiller leur haine contre les algeriens d'origines marocaines.
Talal est un petit fils de ce clan. Ce n'est pas lui qui va nous culpabiliser pour ne pas ecrire des topics qui dennoncent l'echec de l'experience algerienne.

On essaye pour mettre en relief la veracité de l'echec de l'experience politique algerienne à travers la publication des articles tirés de la presse sans avoir recours à l'insulte du peuple algerien frére.

lurchar21

lurchar21

Une vie impossible a supporter. Meme pendant le soit disant mois sacre du Ramadan , le peuple ne cessent d'etre epuise et perge de leurs sous. Bientot le Ramadan sera que pour ceux qui ont les moyens de payer.

ORAN
La mercuriale s’affole
14 Septembre 2008 - Page : 3
Lu 163 fois



Le consommateur ne sait plus à quel saint se vouer.

A Oran, le premier constat qui saute aux yeux, est que les tarifs ont presque doublé. Aucune autorité n’arrive à réguler ce marché qui tend à dicter sa loi. Le marché des fruits et légumes, et viandes a bel et bien imposé sa loi. Les tarifs appliqués sont prohibitifs. Le mot d’ordre est déjà passé, il est sans appel.
Le consommateur ne sait plus à quel saint se vouer. Ainsi les prix des légumes, fruits, viandes, congelées ou fraîches et les desserts ont pris une courbe ascendante. Le tarif de la pomme de terre, qui variait entre 25 et 30 DA, a franchi ces derniers jours le seuil de 45 DA/kg. Idem pour la carotte, qui dans un passé récent, était vendue à 20 DA et a atteint les 30 DA/kg. Le haricot vert, les poids chiches, les lentilles, les pâtes, ont suivi le même cheminement.
Le ftour «spécial Ramadhan» est d’autant plus exigeant qu’il exige d’énormes dépenses et efforts. Choyer la cuisine en viande et s’offrir un repas complet est une affaire chèrement réalisable surtout lorsque la viande, congelée ou fraîche, doit être de la partie. La viande hachée est cédée à 800 DA/kg tandis que le bifteck et les steaks sont hors de portée des couches moyennes.
Ainsi, les bouchers d’Oran n’ont pas froid aux yeux en affichant les prix de leurs produits, qu’ils proposent en grande quantité. De paradoxe en paradoxe. Le marché des Aurès (ex-Bastille) constitue la meilleure destination des couches moyennes pour s’approvisionner en poissons.
Or, à ce niveau, les temps ont changé, depuis l’avènement du mois de la clémence. La sardine, le pageot, la bonite, la crevette, et tant d’autres espèces de poisson bleu, ont connu une hausse vertigineuse des prix. Ainsi, la sardine le poisson le plus souvent convoité, a grimpé, ces derniers jours, pour atteindre les 150 DA, voire 200 DA dans certains marchés. Même constat chez les vendeurs de viande blanche. Le poulet a repris ses ailes et ses plumes. Alors qu’il était cédé entre 150 et 180 DA/K au marché de référence, ex-Bastille, son prix s’est envolé, pendant ce mois, jusqu’à atteindre les 240 DA/kg au niveau du même marché.
Si le repas du ftour est agrémenté, pour les «chanceux» ou «friqués» de desserts variés, la table du «misérable des temps contemporains» se voit souvent tronquée de fromage, de poires, de raisins, des bananes, etc. Même la chamia, dessert traditionnel local à base de semoule et des cacahuètes, très sucré, a connu le même sort.
Si le consommateur mise sur la communion de ce mois de piété, les commerçants, eux, mettent le paquet aux fins de s’assurer le maximum de recettes. Une occasion à ne pas rater.
A la moindre occasion, à la moindre fête religieuse, la machine de la spéculation est actionnée comme par des mains invisibles. Malgré les déclarations «rassurantes» des pouvoirs publics, les prix des produits de large consommation ne cessent de grimper à Oran, surtout en ce mois de Ramadhan. Ainsi, varier la cuisine du Ramadhan est devenu une illusion sinon une aventure qui peut asséner un coup dur aux petits budgets.
La spéculation qui perdure échappe à tout contrôle. La demande qui est tellement forte est le seul argument qui tient debout pour expliquer cette hausse vertigineuse des prix des produits alimentaires.
Dire que le marché d’Oran est exceptionnel est une réalité indéniable. Ajouter à cela le marché informel, la situation n’en est que plus dure. Les commerçants continuent à dicter leurs lois et mettent, souvent, à l’index leurs fournisseurs et contestent leur propre culpabilité.

Wahib AÏT OUAKLI

MJB



lurchar21 a écrit:Une vie impossible a supporter. Meme pendant le soit disant mois sacre du Ramadan , le peuple ne cessent d'etre epuise et perge de leurs sous. Bientot le Ramadan sera que pour ceux qui ont les moyens de payer.

ORAN
La mercuriale s’affole
14 Septembre 2008 - Page : 3
Lu 163 fois

Le consommateur ne sait plus à quel saint se vouer.

A Oran, le premier constat qui saute aux yeux, est que les tarifs ont presque doublé. Aucune autorité n’arrive à réguler ce marché qui tend à dicter sa loi. Le marché des fruits et légumes, et viandes a bel et bien imposé sa loi. Les tarifs appliqués sont prohibitifs. Le mot d’ordre est déjà passé, il est sans appel.
Le consommateur ne sait plus à quel saint se vouer. Ainsi les prix des légumes, fruits, viandes, congelées ou fraîches et les desserts ont pris une courbe ascendante. Le tarif de la pomme de terre, qui variait entre 25 et 30 DA, a franchi ces derniers jours le seuil de 45 DA/kg. Idem pour la carotte, qui dans un passé récent, était vendue à 20 DA et a atteint les 30 DA/kg. Le haricot vert, les poids chiches, les lentilles, les pâtes, ont suivi le même cheminement.
Le ftour «spécial Ramadhan» est d’autant plus exigeant qu’il exige d’énormes dépenses et efforts. Choyer la cuisine en viande et s’offrir un repas complet est une affaire chèrement réalisable surtout lorsque la viande, congelée ou fraîche, doit être de la partie. La viande hachée est cédée à 800 DA/kg tandis que le bifteck et les steaks sont hors de portée des couches moyennes.
Ainsi, les bouchers d’Oran n’ont pas froid aux yeux en affichant les prix de leurs produits, qu’ils proposent en grande quantité. De paradoxe en paradoxe. Le marché des Aurès (ex-Bastille) constitue la meilleure destination des couches moyennes pour s’approvisionner en poissons.
Or, à ce niveau, les temps ont changé, depuis l’avènement du mois de la clémence. La sardine, le pageot, la bonite, la crevette, et tant d’autres espèces de poisson bleu, ont connu une hausse vertigineuse des prix. Ainsi, la sardine le poisson le plus souvent convoité, a grimpé, ces derniers jours, pour atteindre les 150 DA, voire 200 DA dans certains marchés. Même constat chez les vendeurs de viande blanche. Le poulet a repris ses ailes et ses plumes. Alors qu’il était cédé entre 150 et 180 DA/K au marché de référence, ex-Bastille, son prix s’est envolé, pendant ce mois, jusqu’à atteindre les 240 DA/kg au niveau du même marché.
Si le repas du ftour est agrémenté, pour les «chanceux» ou «friqués» de desserts variés, la table du «misérable des temps contemporains» se voit souvent tronquée de fromage, de poires, de raisins, des bananes, etc. Même la chamia, dessert traditionnel local à base de semoule et des cacahuètes, très sucré, a connu le même sort.
Si le consommateur mise sur la communion de ce mois de piété, les commerçants, eux, mettent le paquet aux fins de s’assurer le maximum de recettes. Une occasion à ne pas rater.
A la moindre occasion, à la moindre fête religieuse, la machine de la spéculation est actionnée comme par des mains invisibles. Malgré les déclarations «rassurantes» des pouvoirs publics, les prix des produits de large consommation ne cessent de grimper à Oran, surtout en ce mois de Ramadhan. Ainsi, varier la cuisine du Ramadhan est devenu une illusion sinon une aventure qui peut asséner un coup dur aux petits budgets.
La spéculation qui perdure échappe à tout contrôle. La demande qui est tellement forte est le seul argument qui tient debout pour expliquer cette hausse vertigineuse des prix des produits alimentaires.
Dire que le marché d’Oran est exceptionnel est une réalité indéniable. Ajouter à cela le marché informel, la situation n’en est que plus dure. Les commerçants continuent à dicter leurs lois et mettent, souvent, à l’index leurs fournisseurs et contestent leur propre culpabilité.

Wahib AÏT OUAKLI
Certains sont capables de rouspeter et de crier sur les toits leur arrogance, leur mepris et leur ingratitude que lorsqu'il sagit du maroc et de son sahara mais ils ne sont pas capables et etre à la hauteur de le faire contre ceux qui ossoiffent, affament et deciment le peuple algerien

algerino51



tu veux des photos sur le maroc ???? tu veux des photos qui risquent de blesser ton amour propre??

si oui dis le moi

MJB



algerino51 a écrit:tu veux des photos sur le maroc ???? tu veux des photos qui risquent de blesser ton amour propre??

si oui dis le moi
.
tu veux des photos sur l'algerie????tu veux des photos qui risquentde blesser ton amour propre ou impropre??
Si oui dis le moi

admin"SNP1975"

admin
Admin

algerino51 a écrit:tu veux des photos sur le maroc ???? tu veux des photos qui risquent de blesser ton amour propre??

si oui dis le moi

Nous etions enfants en 1975 à la frontiére algero marocaine . Quand nos freres militaires algeriens ont osé nous faire souffrir toute notre vie en violant nos soeurs et en pratiquant des attouchements sur les parties intimes de nos meres pendant la fouille.
Et toi tu viens nous dire que ton amour propre a été blessé pour une photo ou un article de la presse algerienne publier sur le forum.
Alors voyons la roue tourne.

Nous etions marqué au fer rouge par ces viols et trahisons.

http://www.marocainsdalgerie.net

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