Je ne suis pas à la recherche un article qui enfonce particulièrement l'Algerie; mais cet article fait mal pour un peuple qui merite autre chose:
Article: Le jour d'Algérie
Emeutes et incidents dans plusieurs régions du pays
La population se révolte contre la pauvreté et l’injustice
Un ras-le-bol généralisé a été ressenti par les citoyens qui ont fini par sortir dans la rue exprimer leur désarroi et leur désespoir qui ont atteint des degrés insoutenables.
10 Septembre 2008, Le jour d'Algérie
Les jeunes de la commune de Dergana à Alger, de Aïn El Bordj à Tissemssilt et de Blimour dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj ont envahi la rue, causant ainsi des émeutes qui auraient duré plusieurs jours et nuits.
Si les jeunes de Bordj Bou Arréridj se sont révoltés contre les pratiques de «hogra» suite à un incident qui a eu lieu il y a trois jours entre un gendarme et un citoyen de cette commune, les jeunes des deux autres localités sont sortis dans la rue pour réclamer le droit à la nourriture, voire même à une vie digne.
A Tissemssilt, les habitants ont saccagé le centre de distribution du couffin de ramadhan. Selon le compte rendu établi par un quotidien, cette action a eu lieu après le retard qu’avait connu l’opération de distribution des couffins dans cette localité.
Les citoyens se sont impatientés après avoir effectué des dizaines de va-et-vient sans pouvoir récupéré le couffin, très précieux en ce mois de ramadhan.
Le bilan a été lourd puisque le centre a été complètement détruit par les milliers de personnes démunies venues récupérer le couffin attendu depuis le début du mois.
C’est une première en Algérie. On n’a jamais assisté au cours des années précédentes à de telles scènes de dévastation et de destruction des biens de l’Etat pendant le mois sacré.
Le couffin du ramadhan n’a pas été distribué pendant des années dans plusieurs localités pour plusieurs raisons ayant trait au blocage ou autres, mais les citoyens n’ont jamais eu recours à la violence pour bénéficier de ce droit, quand bien même les autorités locales avaient promis de les distribuer aux familles nécessiteuses.
La presse avait même relaté des faits de détournement de ces biens à d’autres fins que celles pour lesquelles ils étaient prédestinés. Même dans ce genre de situation, la population n’a pas eu recours à la violence, préférant prendre son mal en patience. Le gagne-pain a été également derrière les événements tragiques qui se sont déroulés dans la localité de Dergana, dans l’est d’Alger.
Les jeunes qui occupaient une artère au niveau de la cité des 64 logements où ils vendaient différents articles, développant ainsi une intense activité commerciale illégale, sont sortis dans la rue pour contester la décision d’éradication de ce marché existant depuis 1982. Les troubles occasionnés ont fait d’importants dégâts matériels, des blessés légers et de nombreuses arrestations.
Ces jeunes se sont défendus de façon très violente mais ils ont réussi à préserver leur activité et leur seule ressource. La disparition de ce marché allait, en effet, allonger la liste des chômeurs.
Les autorités locales ont procédé à l’éradication de plusieurs marchés informels sans que la population ne manifeste sa colère. A Alger-Centre, les opérations ont été menées dans le calme ; l’alternative proposée par les autorités a permis d’éviter le pire. Ainsi, la population n’est plus en mesure de subir des décisions prises dans l’anarchie, faisant fi des principales préoccupations des citoyens.
Le recours aux émeutes semble prendre une proportion inquiétante à même de devenir incontrôlable. Elles se déclenchent, se propagent et s’aggravent à chaque fois que cela a trait à une préoccupation commune et un besoin nécessaire et primordial.
Admin
Le peuple algerien merite un regime politique qui soit gerer par des authentiques algeriens et non par ces planqués du clan d'Oujda .
Ce sont des marocains d'origines algeriennes natifs du Maroc qu'on appelaient les wastis ou 2 éme franciss.
Ils ont accaparé le pouvoir en 1962 pour distiller leur haine contre les algeriens d'origines marocaines.
Talal est un petit fils de ce clan. Ce n'est pas lui qui va nous culpabiliser pour ne pas ecrire des topics qui dennoncent l'echec de l'experience algerienne.
On essaye pour mettre en relief la veracité de l'echec de l'experience politique algerienne à travers la publication des articles tirés de la presse sans avoir recours à l'insulte du peuple algerien frére.
Article: Le jour d'Algérie
Emeutes et incidents dans plusieurs régions du pays
La population se révolte contre la pauvreté et l’injustice
Un ras-le-bol généralisé a été ressenti par les citoyens qui ont fini par sortir dans la rue exprimer leur désarroi et leur désespoir qui ont atteint des degrés insoutenables.
10 Septembre 2008, Le jour d'Algérie
Les jeunes de la commune de Dergana à Alger, de Aïn El Bordj à Tissemssilt et de Blimour dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj ont envahi la rue, causant ainsi des émeutes qui auraient duré plusieurs jours et nuits.
Si les jeunes de Bordj Bou Arréridj se sont révoltés contre les pratiques de «hogra» suite à un incident qui a eu lieu il y a trois jours entre un gendarme et un citoyen de cette commune, les jeunes des deux autres localités sont sortis dans la rue pour réclamer le droit à la nourriture, voire même à une vie digne.
A Tissemssilt, les habitants ont saccagé le centre de distribution du couffin de ramadhan. Selon le compte rendu établi par un quotidien, cette action a eu lieu après le retard qu’avait connu l’opération de distribution des couffins dans cette localité.
Les citoyens se sont impatientés après avoir effectué des dizaines de va-et-vient sans pouvoir récupéré le couffin, très précieux en ce mois de ramadhan.
Le bilan a été lourd puisque le centre a été complètement détruit par les milliers de personnes démunies venues récupérer le couffin attendu depuis le début du mois.
C’est une première en Algérie. On n’a jamais assisté au cours des années précédentes à de telles scènes de dévastation et de destruction des biens de l’Etat pendant le mois sacré.
Le couffin du ramadhan n’a pas été distribué pendant des années dans plusieurs localités pour plusieurs raisons ayant trait au blocage ou autres, mais les citoyens n’ont jamais eu recours à la violence pour bénéficier de ce droit, quand bien même les autorités locales avaient promis de les distribuer aux familles nécessiteuses.
La presse avait même relaté des faits de détournement de ces biens à d’autres fins que celles pour lesquelles ils étaient prédestinés. Même dans ce genre de situation, la population n’a pas eu recours à la violence, préférant prendre son mal en patience. Le gagne-pain a été également derrière les événements tragiques qui se sont déroulés dans la localité de Dergana, dans l’est d’Alger.
Les jeunes qui occupaient une artère au niveau de la cité des 64 logements où ils vendaient différents articles, développant ainsi une intense activité commerciale illégale, sont sortis dans la rue pour contester la décision d’éradication de ce marché existant depuis 1982. Les troubles occasionnés ont fait d’importants dégâts matériels, des blessés légers et de nombreuses arrestations.
Ces jeunes se sont défendus de façon très violente mais ils ont réussi à préserver leur activité et leur seule ressource. La disparition de ce marché allait, en effet, allonger la liste des chômeurs.
Les autorités locales ont procédé à l’éradication de plusieurs marchés informels sans que la population ne manifeste sa colère. A Alger-Centre, les opérations ont été menées dans le calme ; l’alternative proposée par les autorités a permis d’éviter le pire. Ainsi, la population n’est plus en mesure de subir des décisions prises dans l’anarchie, faisant fi des principales préoccupations des citoyens.
Le recours aux émeutes semble prendre une proportion inquiétante à même de devenir incontrôlable. Elles se déclenchent, se propagent et s’aggravent à chaque fois que cela a trait à une préoccupation commune et un besoin nécessaire et primordial.
Admin
Le peuple algerien merite un regime politique qui soit gerer par des authentiques algeriens et non par ces planqués du clan d'Oujda .
Ce sont des marocains d'origines algeriennes natifs du Maroc qu'on appelaient les wastis ou 2 éme franciss.
Ils ont accaparé le pouvoir en 1962 pour distiller leur haine contre les algeriens d'origines marocaines.
Talal est un petit fils de ce clan. Ce n'est pas lui qui va nous culpabiliser pour ne pas ecrire des topics qui dennoncent l'echec de l'experience algerienne.
On essaye pour mettre en relief la veracité de l'echec de l'experience politique algerienne à travers la publication des articles tirés de la presse sans avoir recours à l'insulte du peuple algerien frére.