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La preuve de l'imposture du clan par un document historique

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admin"SNP1975"

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La preuve de l'imposture du clan d'Oujda par un document historique

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Dernière édition par Admin le Ven 7 Nov - 0:50, édité 12 fois

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admin"SNP1975"

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La régression constitutionnelle de Bouteflika dénoncée par ... Ferhat Abbas‏
De : Saad LOUNES
Envoyé : mer. 05/11/08 13:03
À :
Admin

Cette lettre de démission de Ferhat Abbas, écrite en 1963, prouve à quel point les clans de Bouteflika et des généraux entraînent l'Algérie dans une terrible régression.



LE SANG DES CHOUHADA TRAHI

Un homme politique doit respecter
un minimum de probité intellectuelle, sinon il tombe dans l'aventurisme. En quittant la présidence de l'Assemblée nationale, j'ai écrit une longue lettre aux députés, qui reste à mes yeux une profession de foi encore valable :

Alger, le 12 août 1963

Pourquoi je ne suis pas d'accord avec le projet de Constitution établi par le Gouvernement

Par Ferhat Abbas, Député de Sétif.



Donner une Constitution à la République est un acte d'une extrême importance. Il requiert notre réflexion, notre sagesse. Après l'héroïque combat pour l'indépendance, c'est un autre combat qui s'impose à nous. Le peuple tout entier et, en premier lieu, ses représentants doivent faire preuve de lucidité et de courage. La loi du silence que nous nous sommes imposée durant les sept années de luttes, parce que l'adversaire était au milieu de nous, n'a plus sa raison d'être. Le silence doit être rompu.

Avant d'engager l'avenir, celui du pays, celui de nos femmes et de nos enfants, chacun de nous doit prendre conscience de ses responsabilités pour mieux les assumer. Sinon, il renonce, par un lâche opportunisme, au devoir élémentaire de tout citoyen.



A un mois de la fin de notre mandat, ce projet vient à peine de parvenir à l'Assemblée. Par contre, par la presse, par la radio, par les conférences, dites des cadres, par des déclarations ministérielles, on tente de l'imposer au peuple.

Cette campagne est pour le moins singulière. Elle est d'autant plus anormale qu'elle tente de défendre un projet de Constitution qui ne règle aucun de nos grands problèmes. C'est pourquoi je me permets de m'élever ici solennellement contre de pareils procédés, de manifester mon désaccord et de donner les raisons de ce désaccord.



Procédure et droit

Sur le plan de la procédure et du droit, l'Assemblée nationale constituante et législative a été élue, sur proposition du F.L.N., avec mandat de doter le pays d'une Constitution démocratique et populaire, dans le délai d'un an.

Détentrice exclusive de la souveraineté nationale, elle est donc seule habilitée à connaître des lois dont elle a, concurremment avec le gouvernement, l'initiative. Ces lois, avant d'être disposées sur son bureau sous forme de projets ou de propositions ne sont rendus publics qu'après que l'Assemblée en soit officiellement saisie. Or, le gouvernement vient de violer cette règle fondamentale. Il a soumis à de prétendus cadres d'un parti qui, en fait, n'existe pas encore, un projet de Constitution sans que l'Assemblée en ait été informé. Faire approuver par des militants qui n'ont reçu aucun de cet ordre un texte fondamental relevant des attributions essentielles des députés, c'est créer la confusion et violer la loi.

Humilier une Assemblée souveraine, qui a toujours apporté sa collaboration loyale et son appui au gouvernement, est un geste extrêmement grave.

Le procédé relève de la mystification, de l'action psychologique. En tout état de cause, il laisse entrevoir le rôle que l'exécutif entend réserver au législatif. Avant même que la Constitution de type présidentiel n'ait été adoptée par l'Assemblée, avant qu'elle n'ait été soumise au référendum populaire, nous assistons à une action destinée à faire pression sur les Constituants et à mettre le peuple en condition. Il en résulte que l'Assemblée nationale est déjà dépouillée d'un pouvoir qu'elle détient, pourtant, du peuple souverain et du F.L.N.



Qui a choisi ces prétendus cadres ? Selon quels critères ce choix a été fait ? Pourquoi ces militants et pas d'autres ? Cette cooptation dont bénéficient «certains amis» est pour le moins arbitraire. Elle aboutit à la formation de la «République des Camarades», contre laquelle tout Algérien a le devoir de s'élever.

Le F.L.N. ne doit pas être le parti d'une faction, mais celui du peuple – de tout le peuple – de la même manière qu'il l'a été durant la lutte armée.

Sinon il devient un sujet de division et ne peut faire qu'un travail fractionnel. Certains militants ont conservé la nostalgie des anciens partis et n'ont rien oublié. On les trouve dans la plus grande partie des postes de responsabilité. Ce retour aux divisions du passé est la négation même du F.L.N.

Le Parti devant être la «Conscience» et le «Guide» de la nation, sa formation doit être entourée de toutes les garanties. Elle doit être l'oeuvre du peuple, du peuple qui travaille, celui des champs, celui des entreprises, celui des marchands, celui des usines, celui des combattants.

Or, selon les informations qui me parviennent, les fédérations et les daïras sont, dans la proportion de 80%, impopulaires. Notre peuple les subit. Les cadres choisis sont en majeure partie des budgétivores et des profiteurs. Ils se désintéressent complètement du sort des masses. Pour imposer silence à ces dernières, ils les traitent par le mépris et font peser sur elles la menace. Ce sont de nouveaux caïds.

Nous ne sommes pas encore au stade d'un régime policier. Mais, si nous ne prenons pas garde, nous y arriverons à brève échéance.

Le F.L.N. en n'étant que parti unique, s'il n'est pas une organisation démocratique, appelée à rassembler toutes les énergies créatrices dont notre peuple est riche, ou bien s'il n'est pas marxiste-léniniste authentique, s'appuyant sur une dictature prolétarienne, que pourrait-il être ? On peut le prédire. Il sera condamné, par la nature des choses, à évoluer vers des structures fascistes.

Est-il pensable que les cadres actuels puissent contribuer au bien être de nos masses paysannes et à leur éducation socialiste ? L'affirmer serait un leurre.

Récemment, à Sétif, un responsable fédéral, dont le traitement, me dit-on, est de l'ordre de 100.000 francs par mois, et qui, depuis, a été révoqué, s'était attribué un appartement luxueux, une ferme de 200 hectares et l'exploitation d'un café restaurant. A de rares exceptions près, c'est de cette manière que se manifeste le militantisme des pionniers du «socialisme algérien».

Les mots sont impuissants à traduire l'amère réalité. A vouloir agir en dehors du peuple, on arrive à des résultats diamétralement opposés aux véritables objectifs socialistes et égalitaires.



Le régime présidentiel et le pouvoir personnel

La concentration des pouvoirs entre les mêmes mains relève d'une autre forme de délire. Le projet de Constitution fait du président de la République, en même temps que le chef de l'État, le chef du gouvernement et le chef du Parti.

Pratiquement il n'y a plus de démocratie. L'Assemblée est sous la dépendance d'un homme qui nomme les ministres et qui, par le truchement du Parti, choisit les membres de l'Assemblée nationale, après avoir été choisi lui-même par le Parti.

Le dialogue entre le législatif et l'exécutif, si fructueux pour le pays, devient un simple monologue. Le peuple est absent et n'est pas représenté. Ses représentants sont de simples figurants.

«La révolution se fait par le peuple et pour le peuple. Elle n'est ni l'oeuvre d'une seule personne, ni celle d'un seul individu. Elle se fera par le peuple et pour l'intérêt de tout le peuple» (sic)

Ce slogan officiel, affiché sur nos murs et repris par la radio, est une contrevérité. Il masque la réalité.

Quant à notre jeunesse, elle sera condamnée à ne plus penser. Le régime fabriquera des robots, des opportunistes et des courtisans. Assurer le pain au peuple est, certes, un objectif primordial. Lui assurer cet autre pain qu'est la liberté de pensées et d'expression est également un bien précieux.

La jeunesse algérienne en sera privée. La nature même des pouvoirs multiples exercés par un seul homme aura pour conséquence inévitable le culte de la personnalité. Et celui qui n'applaudira pas «inconditionnellement» le «Maître» sera considéré comme un mauvais citoyen.

L'équilibre des pouvoirs n'existe pas. Aucun recours contre les abus d'autorité n'est prévu. Il y a bien une disposition du projet de la Constitution qui prévoit que l'Assemblée nationale peut voter une motion de censure et renverser le chef de l'État.

Cette disposition est un non-sens. D'abord il n'est pas souhaitable qu'un chef d'État soit renversé. Il laisserait un vide redoutable. Ensuite et surtout, n'ayant pas été investi par l'Assemblée, cette dernière ne peut le renverser. Cette disposition est donc de pure forme. Elle est une simple clause de style.

Nous jouons à «pile ou face» le sort du pays. Si le chef d'État est un homme sage, modeste et clairvoyant, nos libertés seront sauvegardées. S'il a l'étoffe d'un Batista, le pays vivra sous la terreur. Pourquoi donc nous placer, délibérément, dans cette dangereuse alternative ?

Autre inconvénient d'un tel régime : aucun Algérien ne peut, à lui seul, porter, à bout de bras, l'Algérie. Le fardeau est trop lourd. Il arrivera que le chef de l'État, qui est en même temps chef de gouvernement, ne pourra tout faire. Il se déchargera fatalement sur son entourage d'une partie de ses responsabilités. Des hommes non mandatés par le peuple, souvent des étrangers au pays, deviendront ainsi ses véritables dirigeants. Ils ne manqueront pas d'expérimenter, au détriment de l'intérêt national, les théories les plus fantaisistes.

Un tel régime finira par engendrer des activités subversives, des coups d'État et des complots. A vouloir un «régime fort» on ouvre la porte à la subversion et au désordre.



Un seul régime : la démocratie

La démocratie seule est salutaire. Elle ne signifie pas l'anarchie. Elle ne signifie pas un pouvoir faible. Elle signifie : le gouvernement du peuple par le peuple. Elle signifie un État hiérarchisé. Une bonne Constitution doit donner la parole au peuple. Elle doit permettre la libre discussion. Cette libre discussion, loin de nuire à la discipline nationale, permettra de révéler des cadres valables et enrichira les institutions de l'État. Un Etat «confisqué» est un État mort-né.

Un chef du gouvernement, investi par une Assemblée nationale souveraine et responsable devant elle, est la seule formule qui corresponde à notre devise «par le peuple et pour le peuple».

Il est indispensable que le chef du gouvernement soit contrôlé. Il est indispensable qu'il rende des comptes aux représentants de la nation. Si nous voulons éviter les aventures, il est vital et salutaire d'associer le peuple par sa majorité et par sa minorité aux affaires publiques.

Aux anciens peuples colonisés, nous devons donner l'exemple de la maturité politique et de la cohésion. Nous devons leur donner l'image d'un peuple majeur qui gère sainement et démocratiquement ses affaires. Avec la Constitution qui est proposée c'est toujours le provisoire qui dure, et aucun problème fondamental ne reçoit de solution valable.



Depuis l'indépendance le peuple n'a pas encore été une seule fois librement consulté. Il est temps de le faire participer à la vie publique. Il est temps qu'il retrouve son enthousiasme et sa foi. Ce peuple sait voter. Il l'a hautement prouvé. Il a surtout su résister, pendant sept ans, à l'une des plus grandes armées du monde. Il a acquis par son héroïsme le droit de choisir ses représentants et de se donner le gouvernement de son choix. Nous devons lui faire confiance. Et même s'il se trompait cette erreur serait moins grave de conséquences que le fait de le museler, et de lui imposer une camisole de force. Il a mérité mieux que cette suprême injure.



Source : L'indépendance Confisquée de Ferhat Abbas

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FERHAT ABBAS

Né le 24 octobre 1899 à Douar Chemala aux environs de Tahir (Jijel), Ferhat Abbas est militant dans les rangs du Mouvement de la Jeunesse Algérienne, sous l'égide de l'Emir Khaled, le petit-fils de l'Emir Abdelkader.

Membre du Conseil National de la Révolution Algérienne (CNRA) et du Comité de Coordination et d'Exécution (CCE), il est Président du Gouvernement Provisoire (GPRA) entre septembre 1958 et août 1961.

Président de l'Assemblée Constituante en septembre 1962, il démissionne le 13 août 1963.

Le 3 juillet 1964, Ferhat Abbas est arrêté et mis en résidence surveillée, il est libéré en 1965.

Le 10 mars 1976, Ferhat Abbas fut placé en résidence surveillée dans sa demeure à Kouba suite à un appel au peuple. Cette surveillance fut levée après la mort de Houari Boumediene.

Ferhat Abbas fait paraître la suite de ses mémoires, Autopsie d'une guerre, en 1980.
Il est décoré le mardi 30 octobre 1984 de la médaille de résistant dans sa villa du quartier de Kouba à Alger au moment ou il publie l'Indépendance confisquée.

Décédé le 23 décembre 1985, Ferhat Abbas était titulaire d'un diplôme en pharmacie et auteur de plusieurs ouvrages sur la révolution algérienne.

Envoyé par Saad Lounés

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Document à lire

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admin"SNP1975"

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Histoire
AHMED BENCHERIF CROISE LE FER AVEC OMAR SAKHRI
« Un crime de guerre commis après la révolution resté
impuni depuis… 45ans ! »
La wilaya VI fut dissoute en 1958 par le CCE. Son territoire fut
alors divisé entre la wilaya I et la wilaya IV. En 1959 Chaabani et ses
hommes tendirent un traquenard à de valeureux moudjahidine et les
assassinèrent- ils s’agit de Tayeb Djoghlali, Si Khaled, Si El Mokhtar et
huit autres compagnons de la wilaya IV (que Dieu les accueille en Son
vaste Paradis).
Dans la région de Boussaâda, le capitaine Chaabani est entré en
dissidence jusqu’au cessez-le-feu. Après le cessez-le-feu, Houari
Boumediene, alors chef d’état-major, dépêcha Kantar Mohamed qu’il
élève au grade de commandant pour négocier avec le capitaine
Chaabani. En dépit de toute logique, il promit le grade de colonel pour
lui et le grade de commandant pour ses cinq adjoints après le retour à
la légalité et ceci dans le seul but de disposer de cinq voix en prévision
du congrès du C.N.R.A. Le capitaine Chaabani sauta sur l’occasion.
Tout au long de notre guerre de libération qui a été à l’origine
de l’indépendance de plusieurs peuples, le discours des responsables
civils et militaires était un discours de propagande de combat- y
compris les dénégations relatives à la responsabilité de certains
massacres (Mellouza).
Aujourd’hui, le peuple algérien a atteint une certaine maturité
qui lui donne le droit élémentaire d’accéder à la vérité. Toute la vérité.
Que ceux qui ont participé de près ou de loin de à l’histoire de notre
pays sachent qu’ils leurs incombe d’apporter leur témoignage sans
chercher ni à embellir ni à avilir, ni à escamoter les faits. C’est la
vérité qui grandit la lutte du peuple algérien pour son indépendance.
La reconnaissance du massacre de Mellouza est une déclaration
responsable d’un peuple responsable.
Un autre massacre a eu lieu après le cessez-le-feu à Charef
(Wilaya de Djelfa), où plus de 750 djounoud messalistes furent
égorgés, sur ordre de Chaabani, et ce après que l’aman leur fût
accordé devant plusieurs milliers de gens de la région. Il en fut de
même pour plusieurs centaines de civils de différentes régions de
l’ancienne préfecture du Titteri.
Ce crime de guerre a été un tabou que personne n’osait évoquer
pour ne pas porter atteinte à la Révolution, croyait-on. Cependant, la
justice divine a sanctionné le coupable de la même peine. En effet,
Chaabani entre en dissidence et prend le maquis dans les régions de
Boussaâda et Biskra avec ses compagnons (dont Omar Sakhri) suite à

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suite à
un différend avec le président Ben Bella, il fut capturé par l’ANP et
présenté à la justice militaire.
Parmi ses compagnons, Hocine Sassi a été rapidement libéré en
raison de son jeune age et Sakhri Omar qui gérait les finances est
parti avec le magot sans être inquiété. Chaabani fut dégradé et rayé
des contrôles de l’ANP par décret présidentiel du 02/06/1964. le
tribunal présidé par Zertal l’a condamné à la peine capitale. Il fut
exécuté conformément au décret 64/201 du 07/07/1964.
Quant aux divagations de Omar Sakhri, devenu homme de main
de Abadou, que sait-il de la révolution ?
Les moudjahidine ne connaissent son nom que depuis
l’indépendance. Quel combat a-t-il mené ou à quel accrochage a-t-il
participé contre une troupe armée ?
Les seuls combats qu’il a engagés avec ses compagnons sont
contres les jeunes intellectuels algériens qui avaient rejoint l’ALN et
qu’ils les ont massacrés.
Maintenir indéfiniment au pouvoir la médiocrité, c’était leur
credo.
Omar Sakhri évoque imprudemment le traître Bellounis ! J’ai
raconté son itinéraire depuis les montagnes de Kabylie jusqu’au giron
du général Katz, dans mon livre " Parole de Baroudeur " Cependant, il
faut préciser que Bellounis a commis ses méfaits dans le térritoire de
l’ex wilaya VI et ce sont les commandos de la wilaya IV qui ont réussi
à noyauter son armée et ont fini par l’exécuter.
L’affaire du voile : (Cf déclaration de Sakhri Omar)
Que ceux qui ne me connaissent pas ou qui ne m’ont jamais
approché interrogent les djounoud de n’importe quelle région d’Algérie.
Ces djounoud confirmeront qu’il n’est pas du tout dans le caractère du
colonel Bencherif de se cacher derrière un voile.
Sakhri a inventé un tas de mensonges laissant entendre qu’il a
joué un rôle important en me proposant de rejoindre la wilaya VI/
C’est faux ! La rencontre Ben Bella – Khider - Sakhri - Bencherif ne
s’est passé que dans son imagination. En déclarant que le colonel
Benchérif était un bâton entre les mains de Boumediene pour frapper
l’âme de la Révolution, on se demande où se situe la Révolution et son
âme ?
Mais là où l’analyse historique frise le ridicule, c’est lorsque
Sakhri, reconnaissant que Bencherif, " alors commandant dans l’armée
française ", rejoint le maquis en 1957 et que " les grandes familles
avaient fait un investissement en envoyant leurs fils au maquis, en cas
de victoire de la Révolution ", c’est prêter ces familles, non pas une
vision claire à long terme, mais… de la prophétie !
Les voix des vrais moudjahidine deviennent inaudibles tant la
cacophonie de la pléthore des faux moudjahidine est omniprésente
pour éteindre toute revendication tendant à la restauration de la vérité.
Ainsi, les détracteurs sont soit des faux moudjahidine, soit des
irresponsables qui ont signés des attestations de complaisance et
craignent que la vérité ne leur éclate à la figure !
Article paru dans le journal Le Courrier d’Algérie du 29 avril 2007

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Document interessant

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En lisant ce document ci-dessus on peut dire que le fils de de DeGaule ne s'est pas trompé dans son livre DeGaule mon pére quand il a fait cette declaration lourde de conséquence:" On a injecté 140.000 Harkis au sein de l'armée de liberation algérienne en 1962."

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