Fatima et sa compatriote Khadija Dahmouch, deux algériennes mariées comme d'autres 6 milles autres épouses qui vivent aux Maroc,jusqu'ici rien de spécial, mais en les écoutant ce jour de Mercredi raconter leurs vécu avec amertume, mais aussi avec beaucoup de tristesse et affliction, imprégnées de douleurs pesants provoqué par ce chagrin qui leur procure une souffrance inouie, on ne doit que constater encore une fois de plus l'énormité
des méfaits de ces gens qui prennent des décisions contre le cours
de la volonté de Bon Dieu.
Khadija Dahmouch qui habite avec son époux à Oujda, raconte aux envoyé de 2M qu'elle s'est mariée à un Marocain d'Oujda en 1962,et depuis lors elle réside à Oujda avec sa petite famille,et tout aller au mieux jusqu'au jour où "ils" (elle ne parle que d'ils) ont fermé Lhoudoud,depuies lors je ne pourrai pas aller voir les miens qui ne sont qu'à 80 Kms loin de chez moi à Tlemcen exactement ,si l'un des mes parents meurt je ne le vois pas et je ne peus pas lui demander qu'il me pardonne,et je n'arrive pas à lui faire des adieux comme nous le recommande notre religion,si quelqu'un de ma famille Yaqrah ou Yafrah je ne me rend compte que tardivement ,à la suite d'un coup de fil téléphonique ou une lettre , mais dernièrement je ne reçois presque rien d'eux, puisque ça n'à que trop durer et les gens se lassent de faire toujours la même chose...!!?,raconte Khadija avec des larmes sans arrêt aux yeux.
Et pour que ses ambitions puisssent se réaliser, voir ses désirs se concrètiser et apaiser ses douleurs ,"j'ai pris la décision de me rendre régulièrement à Zouj-Bghal en cachette sans que personne ne le sache,là où je recuille régulièrement en implorant Le Tout Puissant notre Bon Dieu pour qu'Il Fasse qu'un jour ces Lhoudoud s'ouvrent d'eux-même,pour que personne d'autre ne puisse nous priver d'aller rendre visite à nos familles là où ils sont,et qu'eux aussi viennent nous voir ici ,comme cela était une règle depuis toujours(...), et que les "jours" redeviennent ce qu'ils étaient toujours,puisque nous sommes tous Khawa...,chuchote-t-elle avec une voix brisée".
des méfaits de ces gens qui prennent des décisions contre le cours
de la volonté de Bon Dieu.
Khadija Dahmouch qui habite avec son époux à Oujda, raconte aux envoyé de 2M qu'elle s'est mariée à un Marocain d'Oujda en 1962,et depuis lors elle réside à Oujda avec sa petite famille,et tout aller au mieux jusqu'au jour où "ils" (elle ne parle que d'ils) ont fermé Lhoudoud,depuies lors je ne pourrai pas aller voir les miens qui ne sont qu'à 80 Kms loin de chez moi à Tlemcen exactement ,si l'un des mes parents meurt je ne le vois pas et je ne peus pas lui demander qu'il me pardonne,et je n'arrive pas à lui faire des adieux comme nous le recommande notre religion,si quelqu'un de ma famille Yaqrah ou Yafrah je ne me rend compte que tardivement ,à la suite d'un coup de fil téléphonique ou une lettre , mais dernièrement je ne reçois presque rien d'eux, puisque ça n'à que trop durer et les gens se lassent de faire toujours la même chose...!!?,raconte Khadija avec des larmes sans arrêt aux yeux.
Et pour que ses ambitions puisssent se réaliser, voir ses désirs se concrètiser et apaiser ses douleurs ,"j'ai pris la décision de me rendre régulièrement à Zouj-Bghal en cachette sans que personne ne le sache,là où je recuille régulièrement en implorant Le Tout Puissant notre Bon Dieu pour qu'Il Fasse qu'un jour ces Lhoudoud s'ouvrent d'eux-même,pour que personne d'autre ne puisse nous priver d'aller rendre visite à nos familles là où ils sont,et qu'eux aussi viennent nous voir ici ,comme cela était une règle depuis toujours(...), et que les "jours" redeviennent ce qu'ils étaient toujours,puisque nous sommes tous Khawa...,chuchote-t-elle avec une voix brisée".