Aprés le discours musclé du roi du Maroc sur l'ouverture des frontières algéro-marocaines.
Il récidive avec les violations des droits de l'homme à l'Ahmada(Tindouf).
Rabat, 10/12/08- le Roi Mohammed VI a dénoncé les souffrances et les humiliations dont pâtissent les Marocains séquestrés dans les camps de Tindouf, en violation flagrante des règles les plus élémentaires du droit international humanitaire.
Dans un message à l'occasion de la commémoration du 60-ème anniversaire de la Déclaration Universelle des droits de l'Homme, lu devant une réunion spéciale du Conseil Consultatif des Droits de l'Homme, tenue mercredi à Rabat, SM le Roi a souligné que le Maroc condamne l'instrumentalisation odieuse et grotesque dont la noble cause des droits de l'Homme fait l'objet de la part des adversaires de son intégrité territoriale.
Ces derniers espèrent ainsi se dérober à la responsabilité qui leur incombe de se montrer réceptifs aux efforts inlassables que la communauté internationale déploie pour parvenir, à travers des négociations substantielles empreintes de réalisme et d'esprit de consensus, à un règlement définitif du différend régional autour de la marocanité du Sahara, a précisé le Souverain.
"Quand bien même ils persisteront dans leur fourvoiement, - bien qu'ils soient parmi les négateurs les plus obstinés et les ennemis invétérés des droits de l'Homme, au vu des pratiques agressives auxquelles ils se livrent dans les camps de détention forcée, et de l'acharnement contre ces droits humains qu'ils cherchent à annihiler -, leurs manoeuvres désespérées ne pourront en aucune manière entamer Notre volonté inébranlable de préserver les libertés publiques, individuelles et collectives, sur toute l'étendue du territoire national, et Notre attachement à l'esprit d'ouverture constructive et au dialogue responsable", a dit le Souverain.
Après avoir réitéré Sa solidarité avec tous les fils expatriés des provinces du Sud, où qu'ils se trouvent, SM le Roi a indiqué que le Maroc ne ménagera aucun effort pour leur permettre d'exercer leur droit légitime au retour librement consenti et de vivre dans la dignité, aux côtés de leurs familles et des leurs, dont l'écrasante majorité est établie dans la mère patrie.
Pour mettre fin à ce différend artificiel qui entrave l'exercice, par les peuples du Maghreb, de leur droit au développement intégré, le Maroc a présenté une courageuse proposition d'autonomie, fondée essentiellement sur le respect des droits de l'Homme et l'épanouissement de l'individu, a rappelé SM le Roi, ajoutant que la communauté internationale et le système onusien ont été amenés, de ce fait, à qualifier cette proposition de sérieuse et de crédible, compte tenu de sa compatibilité avec les standards internationaux en la matière.
"En tout état de cause, Nous réaffirmons que le Maroc poursuivra sa marche irréversible sur la voie qu'il s'est tracée, celle de la démocratie et des droits humains, dans une patrie unifiée, solidaire et développée", a dit le Souverain.
Il récidive avec les violations des droits de l'homme à l'Ahmada(Tindouf).
Rabat, 10/12/08- le Roi Mohammed VI a dénoncé les souffrances et les humiliations dont pâtissent les Marocains séquestrés dans les camps de Tindouf, en violation flagrante des règles les plus élémentaires du droit international humanitaire.
Dans un message à l'occasion de la commémoration du 60-ème anniversaire de la Déclaration Universelle des droits de l'Homme, lu devant une réunion spéciale du Conseil Consultatif des Droits de l'Homme, tenue mercredi à Rabat, SM le Roi a souligné que le Maroc condamne l'instrumentalisation odieuse et grotesque dont la noble cause des droits de l'Homme fait l'objet de la part des adversaires de son intégrité territoriale.
Ces derniers espèrent ainsi se dérober à la responsabilité qui leur incombe de se montrer réceptifs aux efforts inlassables que la communauté internationale déploie pour parvenir, à travers des négociations substantielles empreintes de réalisme et d'esprit de consensus, à un règlement définitif du différend régional autour de la marocanité du Sahara, a précisé le Souverain.
"Quand bien même ils persisteront dans leur fourvoiement, - bien qu'ils soient parmi les négateurs les plus obstinés et les ennemis invétérés des droits de l'Homme, au vu des pratiques agressives auxquelles ils se livrent dans les camps de détention forcée, et de l'acharnement contre ces droits humains qu'ils cherchent à annihiler -, leurs manoeuvres désespérées ne pourront en aucune manière entamer Notre volonté inébranlable de préserver les libertés publiques, individuelles et collectives, sur toute l'étendue du territoire national, et Notre attachement à l'esprit d'ouverture constructive et au dialogue responsable", a dit le Souverain.
Après avoir réitéré Sa solidarité avec tous les fils expatriés des provinces du Sud, où qu'ils se trouvent, SM le Roi a indiqué que le Maroc ne ménagera aucun effort pour leur permettre d'exercer leur droit légitime au retour librement consenti et de vivre dans la dignité, aux côtés de leurs familles et des leurs, dont l'écrasante majorité est établie dans la mère patrie.
Pour mettre fin à ce différend artificiel qui entrave l'exercice, par les peuples du Maghreb, de leur droit au développement intégré, le Maroc a présenté une courageuse proposition d'autonomie, fondée essentiellement sur le respect des droits de l'Homme et l'épanouissement de l'individu, a rappelé SM le Roi, ajoutant que la communauté internationale et le système onusien ont été amenés, de ce fait, à qualifier cette proposition de sérieuse et de crédible, compte tenu de sa compatibilité avec les standards internationaux en la matière.
"En tout état de cause, Nous réaffirmons que le Maroc poursuivra sa marche irréversible sur la voie qu'il s'est tracée, celle de la démocratie et des droits humains, dans une patrie unifiée, solidaire et développée", a dit le Souverain.