Algérie-Maroc


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Algérie-Maroc
Algérie-Maroc
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Algérie-Maroc

Forum de discussion entre Maghrébins, expulsés marocains d'algerie,algerie-maroc


-55%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer HD9200/90 Série 3000
49.99 € 109.99 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Dossier spécial Iran

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Dossier spécial Iran Empty Re: Dossier spécial Iran Ven 30 Jan - 19:21

admin"SNP1975"

admin
Admin

Dossier spécial Iran IRAN1


_________________
Visitez notre blog de mémoire:

 http://0z.fr/5tknP
http://www.marocainsdalgerie.net

2Dossier spécial Iran Empty Re: Dossier spécial Iran Ven 30 Jan - 19:24

admin"SNP1975"

admin
Admin

Dossier spécial Iran Autopromositeiran

nous vous invitons pour un voyage politique en Iran à l'occasion du trentenaire de la revolutoin a travers un dossier spécial de courrier international l'hebergeur de mon blog.


_________________
Visitez notre blog de mémoire:

 http://0z.fr/5tknP
http://www.marocainsdalgerie.net

3Dossier spécial Iran Empty Re: Dossier spécial Iran Ven 30 Jan - 19:30

admin"SNP1975"

admin
Admin

République ne peut rimer avec islamique
Dossier spécial Iran Espaceur
A quoi bon la tenue d’élections législatives le 14 mars ? se demande un site iranien installé en Allemagne. Car le pouvoir restera, quel que soit le résultat, aux mains des religieux.
Dossier spécial Iran Espaceur







Dossier spécial Iran I83595IranDossier spécial Iran Espaceur
Dossier spécial Iran EspaceurDossier spécial Iran Espaceur
Un gardien de la révolution vote à Téhéran, 14 mars 2008
AFP
Dossier spécial Iran Espaceur
Dossier spécial Iran EspaceurDossier spécial Iran Espaceur
Les réformateurs iraniens ont protesté à grands cris contre leur éviction des élections parlementaires [du 14 mars]. Mais cette contestation repose sur l’illusion que les élections sont un événement politique. Les élections ne sont qu’un marchandage entre les différentes factions conservatrices, avec d’un côté les radicaux, proches du président Mahmoud Ahmadinejad, et de l’autre les religieux “historiques”, qui s’inscrivent dans la lignée de ­l’ayatollah Khomeyni. Pour démonter leurs illusions, il suffit de poser une seule question : que se serait-il passé si tous les candidats réformateurs avaient été ­retenus et avaient remporté la majorité des sièges ? Cela n’aurait été rien d’autre qu’une répétition absurde et comique de l’Histoire, de ce qu’a subi l’avant-dernier Parlement à majorité réformatrice.

Les réformateurs qui ont encore des illusions ne veulent pas comprendre que les idéaux de la révolution sont morts. La dualité inhérente au concept de “république islamique” empêche l’évolution du régime. Les termes “république” et “islamique” s’opposent. La résolution de tous les problèmes de la société, de la façon de se vêtir jusqu’à des questions plus importantes comme l’apaisement des tensions internationales et le manque de liberté de la presse, ne peut avoir lieu tant que cet obstacle structurel demeure. Les réformateurs pensaient qu’en ayant le pouvoir politique, par le biais du Parlement et de la présidence, ils pourraient s’opposer au pouvoir religieux. Mais, dans le système iranien, les instances religieuses ont toujours le dessus. Néanmoins, le régime a besoin de cette légitimité octroyée par les urnes, c’est pour cela qu’il insiste afin que la participation soit importante. La notion de “république” oblige le pouvoir à recevoir régulièrement l’assentiment du peuple. Si le peuple ne l’approuve pas, le pouvoir se trouve en situation d’illégalité.


Les élections ont perdu de leur sens après celles de mai 1997 [qui ont vu la victoire du réformiste Mohammad Khatami à la présidentielle]. Devant l’incapacité des réformateurs à améliorer la situation du pays et à s’opposer aux instances religieuses, le peuple n’a plus été convaincu de l’intérêt de participer aux élections, et il a laissé la politique entre les mains des politiciens. Ainsi, le peuple est devenu apolitique.


Mais l’élection à venir n’est pas sans enjeu. Elle démontre qu’une faction des conservateurs a désormais la mainmise sur le pouvoir. Les candidats réformateurs n’ont pas été les seuls à être écartés. D’ardents défenseurs du système islamique ont été disqualifiés. A présent, être un héritier de la révolution, défendre la ligne de l’imam Khomeyni ou faire partie de sa famille proche ne sont plus des éléments qui protègent de la disqualification. La structure de la République islamique exige qu’une seule tendance soit au pouvoir, puisqu’au final une seule tendance prend les décisions. Le pouvoir exécutif n’a aucun besoin de pouvoir législatif. Quand le Parlement n’a pas de pouvoir, pourquoi s’inquiéter que l’élection soit libre ou pas ?


Dans ces conditions, on peut se poser la question : quelle est la représentativité de ce Parlement ? La véritable opposition se trouve dans les mouvements qui, malgré la répression, tentent de rester actifs. Et c’est sans doute de là que viendra le changement, pas de ces élections.
Dossier spécial Iran Espaceur

Akhbar-e Rooz

à suivre
Dossier spécial Iran Espaceur

http://www.marocainsdalgerie.net

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum