Ouyahia confirme le refus d'ouvrir les frontiéres et point barre.
Interrogé sur l’ouverture des frontières avec le Maroc, M.Ouyahia pense que cette question demande beaucoup de réflexion. «Il y a des problèmes qui existent entre les deux pays», a-t-il souligné avant d’ajouter: «Ce sont des causes qui ne peuvent pas être réglées par des revendications.» Autrement dit, ce n’est pas en multipliant les appels que la question des frontières sera réglée. Il y a lieu de rappeler que Rabat a sollicité, à plusieurs reprises, Alger l’invitant à lever les barrières au niveau des frontières.
Quant à la question du Sahara occidental, M.Ouyahia souhaite que le nouvel émissaire des Nations unies arrivera à trouver une solution basée sur le principe de l’autodétermination du peuple sahraoui.
Enfin et à propos de l’affaire du président soudanais qui occupe le devant de la scène internationale, le Premier ministre pense qu’il s’agit d’une question de justice et d’injustice. Alors que trois mois après le carnage de Ghaza, aucune condamnation n’a été prononcée contre Israël, M.Ouyahia déplore le fait que le président du Soudan soit condamné. Selon lui, la décision de la Cour pénale internationale porte atteinte à tous les pays africains.
L'Expression
Interrogé sur l’ouverture des frontières avec le Maroc, M.Ouyahia pense que cette question demande beaucoup de réflexion. «Il y a des problèmes qui existent entre les deux pays», a-t-il souligné avant d’ajouter: «Ce sont des causes qui ne peuvent pas être réglées par des revendications.» Autrement dit, ce n’est pas en multipliant les appels que la question des frontières sera réglée. Il y a lieu de rappeler que Rabat a sollicité, à plusieurs reprises, Alger l’invitant à lever les barrières au niveau des frontières.
Quant à la question du Sahara occidental, M.Ouyahia souhaite que le nouvel émissaire des Nations unies arrivera à trouver une solution basée sur le principe de l’autodétermination du peuple sahraoui.
Enfin et à propos de l’affaire du président soudanais qui occupe le devant de la scène internationale, le Premier ministre pense qu’il s’agit d’une question de justice et d’injustice. Alors que trois mois après le carnage de Ghaza, aucune condamnation n’a été prononcée contre Israël, M.Ouyahia déplore le fait que le président du Soudan soit condamné. Selon lui, la décision de la Cour pénale internationale porte atteinte à tous les pays africains.
L'Expression