La fermeture des frontières algéro-marocaines coupait l’Oriental d’un espace vital : Fès-Oran a été un axe commercial et convivial pendant des siècles. L’Algérie fait de la fermeture des frontières un socle de sa politique, justement parce qu’elle pensait asphyxier l’Oriental et entraver la marche du Maroc vers le développement et le décollage économique.
Le Maroc a fait face à cette situation. Grâce à la politique royale, l’Oriental devient l’un des pôles les plus dynamiques du pays. De manière stratégique, il ne dépend plus des voisins de l’Est. La Rocade méditerranéenne, le reliant au port de Tanger, l’a désenclavé.
Sous l’impulsion royale, plusieurs chantiers de projets structurants ont été mis en œuvre. L’Oriental enregistre des investissements colossaux dans des secteurs diversifiés : industrie, tourisme, mais aussi énergie, ce qui est une réponse à la politique de nos voisins.
Cette région est promise à un boom économique dans les années à venir. Le roi Mohammed VI, lui-même, imprime un rythme soutenu à tous les projets en cours. L’une des particularités de tous ces chantiers c’est leur dimension écologique. Dans la vision royale, le développement ne peut s’envisager sans le respect de l’environnement.
L’Oriental relié à l’autre façade méditerranéenne, tout en gardant son prolongement vers Fès et le reste du pays, c’est cette vision stratégique qui a primé. Les infrastructures de base ont été conçues selon cette vision. Ensuite les projets, dans le respect des atouts locaux, ont fleuri.
Les stations touristiques, la centrale thermique, les différents projets d’accompagnement constituent une rampe de lancement que les investisseurs de tout ordre ont bien saisie.
Il y a un indice qui ne trompe pas, celui des flux financiers. Pendant longtemps, les capitaux émigraient de l’Oriental vers l’intérieur, Fès et Casablanca en particulier. La tendance s’est inversée pour le plus grand bonheur d’une région qui a beaucoup souffert durant ces deux dernières décennies.
Dans quelques années, entre 3 et 4 ans, l’Oriental sera l’une des régions les plus riches, ou du moins l’une des plus dynamiques du Maroc. La politique algérienne aura, alors, totalement échoué.
Les richesses de l’Oriental
Karim rachad
Le schéma d'aménagement régional de l'Oriental a identifié plusieurs pôles de développement qu'il s'agit de valoriser et de transformer en pôles de compétences, voire de compétitivité. Oujda, capitale régionale, est appelée à devenir un pôle de compétences par le développement d'activités liées à l'économie du savoir et ce, à la faveur de son Université et du projet de Technopôle qui sera lancé prochainement. Nador, avec son port et sa côte donnant sur l'ensemble euro-méditerranéen, est déjà un pôle maritimo-industriel qu'il s'agit de renforcer. Berkane et ses zones irriguées doit être confirmée dans son rôle de pôle agro-industriel. Saïdia, qui fait partie de la Province de Berkane, est un nouveau pôle touristique avec le projet Méditerrania-Saïdia. Taourirt est appelé à être un pôle logistique avec la nouvelle voie ferrée Nador-Taourirt. Bouarfa et Figuig ont tous les atouts pour constituer un pôle éco-touristique et d'économie oasienne. L'initiative constitue une véritable rupture avec les approches de développement sectoriel et introduit une nouvelle vision de développement régional, fondée sur les grands projets structurants à fort impact économique et social permettant l'amélioration de la compétitivité territoriale.
La région dispose de ressources variées susceptibles de renforcer son attractivité. Des ressources humaines bien formées, grâce notamment à des structures de formation reconnues sur le plan national, voire international. L'Université Mohamed Ier d'Oujda, qui regroupe plusieurs formations de type académique classique, s'enrichit progressivement de nouvelles filières adaptées aux besoins de la Région (métiers du tourisme, nouvelles technologies, commerces et affaires, etc.). L'Université a été renforcée dans le cadre de l'Initiative Royale par la construction de la Faculté de médecine, qui a accueilli sa première promotion en octobre 2008, et celle du Centre hospitalo-universitaire. Au cours de l'année 2006-2007, l'Université Mohamed Ier a accueilli 23.000 étudiants.
D'autre part, la région est riche en capitaux, grâce notamment aux transferts des ressortissants marocains résidant à l'étranger. L'Oriental, avec près de 11% du volume national de dépôts bancaires, se place dans le peloton de tête des régions au niveau national, après la région du Grand Casablanca (36,4% du volume national) et celle de Rabat-Salé-Zemmour-Zaer (13,7% du volume national).
Par ailleurs, le programme de requalification urbaine, qui touche le réseau des principales villes de l'Oriental permettra à la région de rétablir un cadre de vie répondant aux normes internationales en matière d'animation touristique, culturelle et de qualité de vie pour les citoyens.
L’Oriental passe à la vitesse supérieure
Le Maroc a fait face à cette situation. Grâce à la politique royale, l’Oriental devient l’un des pôles les plus dynamiques du pays. De manière stratégique, il ne dépend plus des voisins de l’Est. La Rocade méditerranéenne, le reliant au port de Tanger, l’a désenclavé.
Sous l’impulsion royale, plusieurs chantiers de projets structurants ont été mis en œuvre. L’Oriental enregistre des investissements colossaux dans des secteurs diversifiés : industrie, tourisme, mais aussi énergie, ce qui est une réponse à la politique de nos voisins.
Cette région est promise à un boom économique dans les années à venir. Le roi Mohammed VI, lui-même, imprime un rythme soutenu à tous les projets en cours. L’une des particularités de tous ces chantiers c’est leur dimension écologique. Dans la vision royale, le développement ne peut s’envisager sans le respect de l’environnement.
L’Oriental relié à l’autre façade méditerranéenne, tout en gardant son prolongement vers Fès et le reste du pays, c’est cette vision stratégique qui a primé. Les infrastructures de base ont été conçues selon cette vision. Ensuite les projets, dans le respect des atouts locaux, ont fleuri.
Les stations touristiques, la centrale thermique, les différents projets d’accompagnement constituent une rampe de lancement que les investisseurs de tout ordre ont bien saisie.
Il y a un indice qui ne trompe pas, celui des flux financiers. Pendant longtemps, les capitaux émigraient de l’Oriental vers l’intérieur, Fès et Casablanca en particulier. La tendance s’est inversée pour le plus grand bonheur d’une région qui a beaucoup souffert durant ces deux dernières décennies.
Dans quelques années, entre 3 et 4 ans, l’Oriental sera l’une des régions les plus riches, ou du moins l’une des plus dynamiques du Maroc. La politique algérienne aura, alors, totalement échoué.
Les richesses de l’Oriental
Karim rachad
Le schéma d'aménagement régional de l'Oriental a identifié plusieurs pôles de développement qu'il s'agit de valoriser et de transformer en pôles de compétences, voire de compétitivité. Oujda, capitale régionale, est appelée à devenir un pôle de compétences par le développement d'activités liées à l'économie du savoir et ce, à la faveur de son Université et du projet de Technopôle qui sera lancé prochainement. Nador, avec son port et sa côte donnant sur l'ensemble euro-méditerranéen, est déjà un pôle maritimo-industriel qu'il s'agit de renforcer. Berkane et ses zones irriguées doit être confirmée dans son rôle de pôle agro-industriel. Saïdia, qui fait partie de la Province de Berkane, est un nouveau pôle touristique avec le projet Méditerrania-Saïdia. Taourirt est appelé à être un pôle logistique avec la nouvelle voie ferrée Nador-Taourirt. Bouarfa et Figuig ont tous les atouts pour constituer un pôle éco-touristique et d'économie oasienne. L'initiative constitue une véritable rupture avec les approches de développement sectoriel et introduit une nouvelle vision de développement régional, fondée sur les grands projets structurants à fort impact économique et social permettant l'amélioration de la compétitivité territoriale.
La région dispose de ressources variées susceptibles de renforcer son attractivité. Des ressources humaines bien formées, grâce notamment à des structures de formation reconnues sur le plan national, voire international. L'Université Mohamed Ier d'Oujda, qui regroupe plusieurs formations de type académique classique, s'enrichit progressivement de nouvelles filières adaptées aux besoins de la Région (métiers du tourisme, nouvelles technologies, commerces et affaires, etc.). L'Université a été renforcée dans le cadre de l'Initiative Royale par la construction de la Faculté de médecine, qui a accueilli sa première promotion en octobre 2008, et celle du Centre hospitalo-universitaire. Au cours de l'année 2006-2007, l'Université Mohamed Ier a accueilli 23.000 étudiants.
D'autre part, la région est riche en capitaux, grâce notamment aux transferts des ressortissants marocains résidant à l'étranger. L'Oriental, avec près de 11% du volume national de dépôts bancaires, se place dans le peloton de tête des régions au niveau national, après la région du Grand Casablanca (36,4% du volume national) et celle de Rabat-Salé-Zemmour-Zaer (13,7% du volume national).
Par ailleurs, le programme de requalification urbaine, qui touche le réseau des principales villes de l'Oriental permettra à la région de rétablir un cadre de vie répondant aux normes internationales en matière d'animation touristique, culturelle et de qualité de vie pour les citoyens.
L’Oriental passe à la vitesse supérieure