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Rapprochement marocain avec Israêl

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MJB
admin"SNP1975"
oranaisfier
7 participants

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oranaisfier

oranaisfier

Lahcène Daoudi, SG-adjoint du Parti pour la justice et le Développement,( PJD), accuse Maroc Télécoms d'avoir conclu des contrats avec des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile et demande à l'opérateur historique marocain d'annuler ces contrats qui portent notamment sur les services du roaming.

De son côté, Maroc Télécoms a répondu à ces accusations, légitimant ces contrats avec des entreprises israéliennes du fait de la forte présence de la communauté marocaine d'origine juive en Israël. Une polémique a commencé.

Mais c'est incroyable, c'est comme si c'était nouveau, le royaume à eu toujours des contacts tant commerciaux que politiques avec Israël, donc pourquoi cette nouvelle polémique ?

le Maroc reste l'un des partenaires les plus proches d'Israël, même aux plus forts moments des crises israélo-arabes. En 1994, dans l'euphorie des accords d'Oslo, Hassan II ordonne l'ouverture d'un bureau de liaison marocain à Tel-Aviv et d'un bureau de liaison israélien à Rabat.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Un parti dénonce: Polémique autour d'un rapprochement marocain avec Israêl
par Yazid Alilat

Une nouvelle polémique au Maroc sur ses relations avec l'entité sioniste semble prendre forme ces derniers jours avec les accusations d'un parti islamiste de l'opérateur historique de faire des affaires avec des entreprises israéliennes. Et d'encourager, dans la foulée, un nouveau rapprochement entre le Maroc et Israël.

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C'est en tout cas ce qu'affirme dans une véhémente protestation le Parti pour la Justice et le Développement (PJD, opposition), qui menace de porter cette affaire devant le parlement.

Lahcène Daoudi, n°2 du parti (SG-adjoint), accuse Maroc Télécoms d'avoir conclu des contrats avec des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile. Le secrétaire général adjoint du PJD demande à l'opérateur historique marocain «d'annuler ces contrats», qui portent notamment sur les services du roaming.

Le PJD, un des partis les plus ancrés dans l'électorat marocain avec l'association islamique El-Irchad Wal Ihsane de Cheikh Yacine, assigné à résidence dans sa demeure à Salé (près de Rabat), a menacé, par la voie de Lahcène Daoudi, de saisir le parlement pour une séance débat et annuler ces contrats. «Ces contrats (avec des entreprises israéliennes) ne sont qu'un encouragement gratuit au rapprochement avec Israël, et qui ne bénéficient qu'à l'entité sioniste», souligne le 2e homme fort du PJD. «Le Maroc (officiel) n'a pas de relations avec Israël, et le peuple marocain est contre tout rapprochement avec Israël», estime encore Lahcène Daoudi, relevant que «la politique de Maroc Télécoms (de travailler avec des entreprises israéliennes) va à contresens de la position officielle du Maroc et du peuple marocain». Pour le coordinateur du mouvement national de solidarité avec les peuples palestinien et irakien, Khaled Essefiani, «l'Etat marocain doit faire cesser cette mascarade. Il y a une autorité nationale, et le gouvernement doit faire appliquer ce principe, même si des entreprises étrangères ont des actions dans une entreprise marocaine», a-t-il dit, sans citer l'opérateur de téléphonie marocain.

De son côté, Maroc Télécoms a répondu à ces accusations, légitimant ces contrats avec des entreprises israéliennes du fait de la forte présence de la communauté marocaine d'origine juive en Israël, réfutant toute accusation de rapprochement ou de relations avec l'entité sioniste. Plus important opérateur de téléphonie au Maroc, le groupe de Abdeslam Ahizoune a réalisé au 1er semestre 2010 un chiffre d'affaires consolidé de 15,4 milliards de dirhams (1,4 milliard d'euros), soit une hausse de 6% par rapport à 2009. Détenu à 51% par le groupe multimédia français Vivendi Universal, Maroc Télécoms a réalisé un résultat net part (bénéfice) du groupe de 4,4 milliards de dirhams (environ 410 millions d'euros) en «retrait» de 4,1% par rapport à 2009.

Mais, malgré les démentis de Maroc Télécoms, implanté dans plusieurs pays africains francophones, le Maroc reste l'un des partenaires les plus proches d'Israël, même aux plus forts moments des crises israélo-arabes. Il y avait d'abord le défunt roi Hassan II qui utilisait la carte juive pour se mettre dans la peau d'un interlocuteur incontournable dans les négociations de paix entre Palestiniens et Israéliens. En 1994, dans l'euphorie des accords d'Oslo, Hassan II ordonne l'ouverture d'un bureau de liaison marocain à Tel-Aviv et d'un bureau de liaison israélien à Rabat.

Lobbying pour l'annexion du Sahara Occidental

Ce ne sont pas des ambassades, mais c'est tout comme, puisque l'aspect politique et commercial est prépondérant. Pour plusieurs observateurs, jusqu'en 1999, le roi du Maroc utilisait le conflit israélo-palestinien autant pour briller sur la scène internationale que pour ériger son pays en interlocuteur incontournable dans le processus de paix au Proche-Orient, profondément convaincu, semble-t-il, qu'une solution politique reste la seule issue. En mars 2005, la télévision publique israélienne affirme qu'un accord de principe est finalement conclu entre Mohammed VI et le vice-Premier ministre de l'époque, Shimon Pérès, à l'issue d'une rencontre lors de la commémoration du premier anniversaire des attentats de Madrid en Espagne. Et en 2007, le Maroc réitère non officiellement son désir de rétablir ses relations avec l'Etat hébreu. Selon certaines sources, cette offre reposerait sur un échange avec Israël en vue d'un fort lobbying israélien en faveur de la politique annexionniste marocaine du Sahara Occidental. Et si officiellement le Maroc n'a pas de relations diplomatiques «ouvertes» avec Israël, cela n'a jamais empêché des ministres de se rendre au royaume chérifien.

Les relations intimes entre le Maroc et Israël ne sont en fait un secret pour personne, au point que Mohammed VI a gardé dans son cabinet le conseiller politique de son père, André Azoulay, natif d'Essaouira et représentant des juifs du Maroc. Feinte ou réelle, l'inquiétude de l'opposition politique vis-à-vis d'une position ambiguë du gouvernement avec Israël a de quoi jeter le trouble au sein de l'électorat marocain. Et la polémique ne fait que commencer.

http://www.marocainsdalgerie.net

MJB



admin a écrit:Un parti dénonce: Polémique autour d'un rapprochement marocain avec Israêl
par Yazid Alilat

Une nouvelle polémique au Maroc sur ses relations avec l'entité sioniste semble prendre forme ces derniers jours avec les accusations d'un parti islamiste de l'opérateur historique de faire des affaires avec des entreprises israéliennes. Et d'encourager, dans la foulée, un nouveau rapprochement entre le Maroc et Israël.

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C'est en tout cas ce qu'affirme dans une véhémente protestation le Parti pour la Justice et le Développement (PJD, opposition), qui menace de porter cette affaire devant le parlement.

Lahcène Daoudi, n°2 du parti (SG-adjoint), accuse Maroc Télécoms d'avoir conclu des contrats avec des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile. Le secrétaire général adjoint du PJD demande à l'opérateur historique marocain «d'annuler ces contrats», qui portent notamment sur les services du roaming.

Le PJD, un des partis les plus ancrés dans l'électorat marocain avec l'association islamique El-Irchad Wal Ihsane de Cheikh Yacine, assigné à résidence dans sa demeure à Salé (près de Rabat), a menacé, par la voie de Lahcène Daoudi, de saisir le parlement pour une séance débat et annuler ces contrats. «Ces contrats (avec des entreprises israéliennes) ne sont qu'un encouragement gratuit au rapprochement avec Israël, et qui ne bénéficient qu'à l'entité sioniste», souligne le 2e homme fort du PJD. «Le Maroc (officiel) n'a pas de relations avec Israël, et le peuple marocain est contre tout rapprochement avec Israël», estime encore Lahcène Daoudi, relevant que «la politique de Maroc Télécoms (de travailler avec des entreprises israéliennes) va à contresens de la position officielle du Maroc et du peuple marocain». Pour le coordinateur du mouvement national de solidarité avec les peuples palestinien et irakien, Khaled Essefiani, «l'Etat marocain doit faire cesser cette mascarade. Il y a une autorité nationale, et le gouvernement doit faire appliquer ce principe, même si des entreprises étrangères ont des actions dans une entreprise marocaine», a-t-il dit, sans citer l'opérateur de téléphonie marocain.

De son côté, Maroc Télécoms a répondu à ces accusations, légitimant ces contrats avec des entreprises israéliennes du fait de la forte présence de la communauté marocaine d'origine juive en Israël, réfutant toute accusation de rapprochement ou de relations avec l'entité sioniste. Plus important opérateur de téléphonie au Maroc, le groupe de Abdeslam Ahizoune a réalisé au 1er semestre 2010 un chiffre d'affaires consolidé de 15,4 milliards de dirhams (1,4 milliard d'euros), soit une hausse de 6% par rapport à 2009. Détenu à 51% par le groupe multimédia français Vivendi Universal, Maroc Télécoms a réalisé un résultat net part (bénéfice) du groupe de 4,4 milliards de dirhams (environ 410 millions d'euros) en «retrait» de 4,1% par rapport à 2009.

Mais, malgré les démentis de Maroc Télécoms, implanté dans plusieurs pays africains francophones, le Maroc reste l'un des partenaires les plus proches d'Israël, même aux plus forts moments des crises israélo-arabes. Il y avait d'abord le défunt roi Hassan II qui utilisait la carte juive pour se mettre dans la peau d'un interlocuteur incontournable dans les négociations de paix entre Palestiniens et Israéliens. En 1994, dans l'euphorie des accords d'Oslo, Hassan II ordonne l'ouverture d'un bureau de liaison marocain à Tel-Aviv et d'un bureau de liaison israélien à Rabat.

Lobbying pour l'annexion du Sahara Occidental

Ce ne sont pas des ambassades, mais c'est tout comme, puisque l'aspect politique et commercial est prépondérant. Pour plusieurs observateurs, jusqu'en 1999, le roi du Maroc utilisait le conflit israélo-palestinien autant pour briller sur la scène internationale que pour ériger son pays en interlocuteur incontournable dans le processus de paix au Proche-Orient, profondément convaincu, semble-t-il, qu'une solution politique reste la seule issue. En mars 2005, la télévision publique israélienne affirme qu'un accord de principe est finalement conclu entre Mohammed VI et le vice-Premier ministre de l'époque, Shimon Pérès, à l'issue d'une rencontre lors de la commémoration du premier anniversaire des attentats de Madrid en Espagne. Et en 2007, le Maroc réitère non officiellement son désir de rétablir ses relations avec l'Etat hébreu. Selon certaines sources, cette offre reposerait sur un échange avec Israël en vue d'un fort lobbying israélien en faveur de la politique annexionniste marocaine du Sahara Occidental. Et si officiellement le Maroc n'a pas de relations diplomatiques «ouvertes» avec Israël, cela n'a jamais empêché des ministres de se rendre au royaume chérifien.

Les relations intimes entre le Maroc et Israël ne sont en fait un secret pour personne, au point que Mohammed VI a gardé dans son cabinet le conseiller politique de son père, André Azoulay, natif d'Essaouira et représentant des juifs du Maroc. Feinte ou réelle, l'inquiétude de l'opposition politique vis-à-vis d'une position ambiguë du gouvernement avec Israël a de quoi jeter le trouble au sein de l'électorat marocain. Et la polémique ne fait que commencer.
.Le PJD, un des partis les plus ancrés dans l'électorat marocain avec l'association islamique El-Irchad Wal Ihsane de Cheikh Yacine,
Le PJD ET ADL ( et non IRCHAD ) WAL IHSAN: n'ont rien de commun.
- le premier PJD est un parti politique.
- ADL WAL IHSAN: association à caractére "integriste" qui ne vote meme pas pour le PJD.

oranaisfier

oranaisfier

Monsieur MJB

le PJD n'est pas l'objet de ce topic, mais c'est l'information du contrat établi entre Maroc Télécoms et des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile. De toutes les façons, je l'ai déjà rappelé, le Maroc a eu toujours des contacts commerciaux et politiques avec Israël.

Le roi M6 et à l’occasion de la fête du Trône, a même décoré Yehuda Lancry, ancien ambassadeur et ancien député à la Knesset d’Israël, de l’ordre d’Officier du Wissam Al-Arch.

Par ailleurs, le Grand rabbin de Paris, David Messas, né à Meknès, a été élevé au rang de Grand Officier du Wissam alaouite. Il est le fils de l'ancien Grand rabbin du Maroc Chalom Messas.

Le souverain marocain a également décoré le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Khan (juif et grand défenseur du sionisme), du Grand Cordon du Wissam alaouite.



MJB



oranaisfier a écrit:Monsieur MJB

le PJD n'est pas l'objet de ce topic, mais c'est l'information du contrat établi entre Maroc Télécoms et des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile. De toutes les façons, je l'ai déjà rappelé, le Maroc a eu toujours des contacts commerciaux et politiques avec Israël.

Le roi M6 et à l’occasion de la fête du Trône, a même décoré Yehuda Lancry, ancien ambassadeur et ancien député à la Knesset d’Israël, de l’ordre d’Officier du Wissam Al-Arch.

Par ailleurs, le Grand rabbin de Paris, David Messas, né à Meknès, a été élevé au rang de Grand Officier du Wissam alaouite. Il est le fils de l'ancien Grand rabbin du Maroc Chalom Messas.

Le souverain marocain a également décoré le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Khan (juif et grand défenseur du sionisme), du Grand Cordon du Wissam alaouite.
Sans oublier que feu M V a decoré aussi feu houari boumedienne au palais royal à rabat pour l'arranger avec Capitaine ZOUBIR

Je m'excuse de cette intrusion mes amis. C'est l'admin
Pour nos amis qui ne connaissent pas le capitaine Zoubir. Je l'ai oriente à lire cette article:

Le Capitaine Zoubir: l'un de nos héros trahis
Nour el Houda, décembre 2000

Le journal "Algérie Actualité" avait publié, à la fin des années quatre-vingts, un sondage qui révélait que soixante treize pour cent de nos lycées ignoraient qui étaient Ben Mhédi, les accords d'Evian, etc.
Pendant les "présidentielles" d'avril 1999 et précisément lors du show médiatique d'AEA. Bouteflika sur Algeria TV., Hamida, le journaliste d'El Khabar avait honoré sa profession en posant une question au candidat-monarque éphémère sur l'affaire du capitaine Zoubir. L'invité perd son sang froid et lance un défi à quiconque qui apporterait la preuve de l'implication du groupe de Oujda dans l'exécution du capitaine de la zone I de la wilaya V.
Bien que versés dans les événements qui sont à l'origine des plus belles pages de notre histoire contemporaine, nous ignorions complètement cette affaire. Aussi avions-nous attendu, la bouche sèche, ( bi riq ennachef) de voir au moins l'un de nos nombreux savants relever ce défi présidentiel. Après bientôt deux ans passés, à notre connaissance, personne ne l'a fait. Nous sommes convaincus que personne ne le fera.
A défaut d'une réponse de nos spécialistes, nous avons fait nos propres recherches qui se sont avérées fort fructueuses et qui lèvent une partie du voile sur l'un des multiples crimes commis par le groupe le plus influent et le plus scélérat de notre république bannière.
Le meilleur hommage que l'on puisse rendre à nos martyrs et à nos sincères combattants pour la libération de notre pays, c'est de rappeler succinctement, aux générations montantes, dans quelles condition, avec quels moyens et par déduction logique, comment ils tombaient au champ d'honneur.
Nous allons relater trois cas, l'un vécu, les deux autres nous ont été rapportés, de l'autre bout de notre vaste territoire national, par des témoins dignes de foi.
En hiver 1957, notre région avait fait l'objet d'un grand ratissage opéré par les forces coloniales appuyées par plusieurs types d'avions : bombardiers T6 et T28, des pipers (avions de renseignement) des hélicoptères de toutes sortes, de divers véhicules tout terrain et en nombre impressionnant, des milliers de soldats surarmés, surentraînés, abondamment nourri, chaudement vêtus, régulièrement relevés, encadrés par des polytechniciens, ont participé à cette opération dévastatrice.
Nous connaissions les moudjahidin du coin un par un. Ils étaient peu nombreux, démunis d'arme ou au mieux, ils étaient armés de fusils de chasse usagers, rafistolés à l'aide de fil de fer et de cordes en osier nain (doum) tressé. Leur principale force reposait sur l'indéfectible soutien des populations rurales, la parfaite connaissance du terrain et la rapidité de leurs jambes.
A la fin de ce grand matraquage à l'aide de munitions de tout calibre et de napalm qui avait duré quatre jours, deux djounoud au moins avaient survécu en se cachant sous les branchages au fond d'un oued. Nos deux héros qui étaient restés immobiles en plein hiver, avaient perdu l'usage de leurs jambes. C'est à l'aide de leurs mains et de leur fessier qu'ils ont pu s'approcher, à travers le maquis, du voisinage du douar le plus proche. Repérés par des bergers qui sont allés à leur rencontre, nos survivants lancent en chœur : "n'approchez pas, rana âaraya, nous sommes nus."
Les bergers sont allés leur procurer quelques oripeaux pour cacher leur nudité. Une fois habillés, nos vaillant combattants se sont montrés dans un état lamentable, leurs mains étaient en sang, leur derrière pelé, leurs pieds engourdis par le froid. Ils ne pouvaient ni marcher ni s'asseoir. Et pour toute arme ? Ils n'avaient que leurs deux mains meurtries, l'une devant l'autre derrière pour cacher leur pudeur.
Pour rompre leur jeûne de quatre jours et quatre nuits, les habitants du douar leur ont offert une galette d'orge, un bol d'huile d'olive et une cruche de petit lait de chèvre, menu ordinaire de nos fellahs sans terre.
Un officier colonial se souvient, trente ans après la guerre : " nous avons encerclé un groupe de quelques "fellagas" faiblement armés, nous leur avons demandé de se rendre les mains en l'air. Ils ont répondu par des tirs de fusils de chasse alors qu'ils n'avaient aucune chance de s'en sortir. Ils se sont battu avec une audace qui dépassait notre entendement. Les autorités militaires pensaient que ces gars étaient drogués. Elles ont ordonné une autopsie. Celle-ci avait révélé qu'ils n'avaient pas mangé depuis plusieurs jours et que leurs estomacs ne contenaient que quelques résidus de Kharoub..."
Un médecin légiste, ami de Ferhat Abbas, avait vécu un fait similaire dans la région de Batna. Ces :"gars (moudjahidin), dit-il, avaient le ventre vide, seulement quelques résidus de gland. Ils étaient légèrement vêtus alors que nous étions en plein hiver. Comment pouvaient-ils se battre dans de telles conditions, s'interroge le légiste ?" (1)
Oui, nos vaillants combattants forçaient l'admiration de leurs adversaires, cependant leurs maffieux dirigeants méprisent. Le capitaine Zoubir et ses frères se battaient, jusqu'à la fin de l'année 1959, dans la wilaya oranaise, dans les conditions et avec les moyens que nous venons de résumer. Ils étaient constamment exposés au matraquage terrestre, aérien et parfois même la marine coloniale participait aux combats ou au transport de troupes dans les régions côtières.
Les aides : financières, alimentaires et l'armement promis par les "frères" de Oujda ne leur arrivaient jamais. Les appels de détresse lancés par le capitaine de la zone I restaient sans réponses et sans effet.
Zoubir apprenait par la radio et par la presse que les réfugiés algériens au Maroc enduraient une grande famine : les nourrissons sans lait, les personnes âgées sans soin l'ensemble vivait, selon ces sources d'information, dans une misère indescriptible. Un représentant de l'I.R.O. ( organisation internationale des réfugiés) déclarait au journal le "Monde" : "... nous ne comprenons pas le dénuement de ces réfugiés, il cite le nombre d'articles et les quantités respectives de chaque produit qui leur ont été régulièrement livrés, il ajoute, nous leur avons même versé 200 dollars ( 150.000 francs de l'époque) par personne..." (2)
A priori ce type d'information s'apparente à une tentative d'intoxication. mais des rumeurs folles circulaient sur la cupidité des émirs de Oujda. Zoubir qui ne pouvait plus se battre par manque de moyen, décide de rentrer au Maroc pour vérifier ces rumeurs et pour demander des comptes à ceux qui le privaient de moyens : vêtement, arme... pour se batte honorablement et pour mourir dignement..
Le capitaine était conscient de la gravité de son geste et de la peine que lui et ses compagnons encouraient suite à la "désertion de leur poste." Il connaissait aussi la cruauté des planqués de Oujda. Il rentre au Maroc. Dès son arrivée il se rend au camps de réfugiés de Nzala qu'il trouve livré à la misère globale. Où passent les aides internationales, s'interroge Zoubir ? Elles sont détournées et vendues dans les souks, répondent les réfugiés destinataires.
Le capitaine se précipite aux souks où il découvre des sacs de semoule, de riz, de sucre, de lait, des cartons de médicament, de couverture, des ballots de vêtement, dans leurs emballages qui portaient encore les marques de l'lRO. et de la croix rouge internationale, qui s'y vendaient effectivement. Il demande des explications aux barons de Oujda qui se défendent comme ils peuvent :"... les revenus des ventes, disent ils, servent à armer, à habiller et à nourrir les moudjahidin qui se battent au front, à l'intérieur. C'est faux ! rétorque Zoubir, j'en viens ! les maquis sont livrés à eux-mêmes !
A sa grande stupéfaction, Zoubir apprenait que les caïds de Oujda vivaient comme les stars de Hollywood, ils se pavanaient à bord de voitures haut de gamme, ils s'habillaient chez les grands couturiers parisiens, ils se gavaient dans les restaurants les plus chics, ils dormaient dans les hôtels les plus huppés du royaume chérifien, ils entretenaient des prostituées de luxe, ils fumaient des cigares "don pérignon" de la célèbre marque davidov...
En termes fermes, Zoubir lance aux corrompus de Oujda :"... n'attendez pas de moi à ce que je sacrifie mes hommes pour des profiteurs de votre acabit." Les révolutionnaires de palace, selon les termes de Abane Ramdhan, rusent de toutes leurs fibres, ils invitent leur accusateur au dialogue. Zoubir savait que les étrangleurs de Abane Ramdhan et exploiteurs de la misère du peuple algérien ne connaissent qu'un seul langage, celui des armes ou donner des ordres de type: dez mâahoum, marche ou crève...
Zoubir et ses vingt fidèles compagnons qui avaient le soutien des réfugiés restent fermes sur leur position. Ils dénoncent les turpitudes des planqués de Oujda soutenus par le prince héritier des croyants, le futur despote du Maroc et l'une des plus grosse fortune politique du monde.
Boussouf mobilise ses milices surarmées, chaudement habillés, abondamment gavées, longuement reposées, pour éradiquer le "rebelle" et ses vingt compagnons démunis mais rompus aux combats du harcèlement. Zoubir et ses fidèles repoussent et tiennent à distance leurs assaillants pendant deux mois. Les multiples accrochages font des victimes dans les deux rangs. Des marocains sont tués par les miliciens de l'étrangleur de Abane Ramdhan, mais Boussouf attribue ces victimes à Zoubir et il court (dhrabni ou bka sbaqni ou chka) vers son ami, le futur Hassan II, pour lui présenter ses condoléances mais surtout pour lui demander main forte afin d' étouffer une révolte légitime. (op.cit.)
Le prince héritier et Boussouf partageaient les fruits du trabendo de l'aide des ONG extorquées aux réfugiés algériens. Zoubir et ses hommes constituaient leurs ennemis communs. Hassan zoudj, à la demande expresse de Boussouf, engage plusieurs colonnes armées pour mettre fin à l'admirable action de l'un des plus illustre de nos Robins des bois.
Après deux mois de résistance, à court de munitions, cernés de toute part, le vaillant capitaine et ses hommes se rendent aux forces royales qui lui ont promis l'amane. Mais le prince héritier n'avait pas tenu ses engagements, il avait livré les hommes de la zone I au camp de Khemisset où ils se sont fait immédiatement massacrés sous les yeux de Boussouf. Quant à Zoubir, il avait fait l'objet d'un simulacre de procès dont Houari Boumédienne, la référence de Bouteflika, avait les secrets. Il est condamné à mort et exécuté sur le champ à l'instar des colonels : Abane Ramdhan, Nouaoura, El Amouri, Aouachria, el Askri, du capitaine Lak Hel et des milliers d'autres héros qui restent inconnus de nos lycéens et ignorés de notre histoire contemporaine.
Dès l'indépendance acquise, les planqués de Gherdimaou et de Oujda, qui n'avaient pas accédé au pouvoir, Boussouf en tête, sont allés se mettre au vert, au large, en réserve de la république à Paris où ils ont opté pour la double nationalité et où ils étaient déjà propriétaires de palaces dans les quartiers les plus riches. Ils fréquentaient les mêmes boites de nuits que les stars de cinéma, ils prenaient leurs repas gargantuesques aux : Ritz, Crillon, Georges V et autres restaurants les plus chics de la capitale des "méchants colonialistes." Ils ne revenaient en Algérie que pour prendre une parcelle de pouvoir, à l'heure du partage de la manne pétrolière et gazière ou mort dans un cercueil.
En conclusion, nous faisons constater à nos générations montantes en général et à nos lycéens en particulier que nos confortables ressources constituent une authentique malédiction pour notre pays car elles excitent l'insatiable rapacité de nos illégitimes et vulgaires politiciens, qui s'achètent des armes pour renforcer leur maffieuse autorité, défendre leurs privilèges indus, augmentent notre misère pour obtenir notre docilité et pour réduire nos libertés individuelles et collectives.

Références bibliographiques :
(1) Ferhat Abbas, "l'Autopsie d'une guerre." éd. Garnier
(2) Jaquin, " La guerre secrète en Algérie." Olivier Orban.







algeria-watch en francais

MJB



MJB a écrit:
oranaisfier a écrit:Monsieur MJB

le PJD n'est pas l'objet de ce topic, mais c'est l'information du contrat établi entre Maroc Télécoms et des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile. De toutes les façons, je l'ai déjà rappelé, le Maroc a eu toujours des contacts commerciaux et politiques avec Israël.

Le roi M6 et à l’occasion de la fête du Trône, a même décoré Yehuda Lancry, ancien ambassadeur et ancien député à la Knesset d’Israël, de l’ordre d’Officier du Wissam Al-Arch.

Par ailleurs, le Grand rabbin de Paris, David Messas, né à Meknès, a été élevé au rang de Grand Officier du Wissam alaouite. Il est le fils de l'ancien Grand rabbin du Maroc Chalom Messas.

Le souverain marocain a également décoré le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Khan (juif et grand défenseur du sionisme), du Grand Cordon du Wissam alaouite.
Sans oublier que feu M V a decoré aussi feu houari boumedienne au palais royal à rabat pour l'arranger avec Capitaine ZOUBIR

Je m'excuse de cette intrusion mes amis. C'est l'admin
Pour nos amis qui ne connaissent pas le capitaine Zoubir. Je l'ai oriente à lire cette article:

Le Capitaine Zoubir: l'un de nos héros trahis
Nour el Houda, décembre 2000

Le journal "Algérie Actualité" avait publié, à la fin des années quatre-vingts, un sondage qui révélait que soixante treize pour cent de nos lycées ignoraient qui étaient Ben Mhédi, les accords d'Evian, etc.
Pendant les "présidentielles" d'avril 1999 et précisément lors du show médiatique d'AEA. Bouteflika sur Algeria TV., Hamida, le journaliste d'El Khabar avait honoré sa profession en posant une question au candidat-monarque éphémère sur l'affaire du capitaine Zoubir. L'invité perd son sang froid et lance un défi à quiconque qui apporterait la preuve de l'implication du groupe de Oujda dans l'exécution du capitaine de la zone I de la wilaya V.
Bien que versés dans les événements qui sont à l'origine des plus belles pages de notre histoire contemporaine, nous ignorions complètement cette affaire. Aussi avions-nous attendu, la bouche sèche, ( bi riq ennachef) de voir au moins l'un de nos nombreux savants relever ce défi présidentiel. Après bientôt deux ans passés, à notre connaissance, personne ne l'a fait. Nous sommes convaincus que personne ne le fera.
A défaut d'une réponse de nos spécialistes, nous avons fait nos propres recherches qui se sont avérées fort fructueuses et qui lèvent une partie du voile sur l'un des multiples crimes commis par le groupe le plus influent et le plus scélérat de notre république bannière.
Le meilleur hommage que l'on puisse rendre à nos martyrs et à nos sincères combattants pour la libération de notre pays, c'est de rappeler succinctement, aux générations montantes, dans quelles condition, avec quels moyens et par déduction logique, comment ils tombaient au champ d'honneur.
Nous allons relater trois cas, l'un vécu, les deux autres nous ont été rapportés, de l'autre bout de notre vaste territoire national, par des témoins dignes de foi.
En hiver 1957, notre région avait fait l'objet d'un grand ratissage opéré par les forces coloniales appuyées par plusieurs types d'avions : bombardiers T6 et T28, des pipers (avions de renseignement) des hélicoptères de toutes sortes, de divers véhicules tout terrain et en nombre impressionnant, des milliers de soldats surarmés, surentraînés, abondamment nourri, chaudement vêtus, régulièrement relevés, encadrés par des polytechniciens, ont participé à cette opération dévastatrice.
Nous connaissions les moudjahidin du coin un par un. Ils étaient peu nombreux, démunis d'arme ou au mieux, ils étaient armés de fusils de chasse usagers, rafistolés à l'aide de fil de fer et de cordes en osier nain (doum) tressé. Leur principale force reposait sur l'indéfectible soutien des populations rurales, la parfaite connaissance du terrain et la rapidité de leurs jambes.
A la fin de ce grand matraquage à l'aide de munitions de tout calibre et de napalm qui avait duré quatre jours, deux djounoud au moins avaient survécu en se cachant sous les branchages au fond d'un oued. Nos deux héros qui étaient restés immobiles en plein hiver, avaient perdu l'usage de leurs jambes. C'est à l'aide de leurs mains et de leur fessier qu'ils ont pu s'approcher, à travers le maquis, du voisinage du douar le plus proche. Repérés par des bergers qui sont allés à leur rencontre, nos survivants lancent en chœur : "n'approchez pas, rana âaraya, nous sommes nus."
Les bergers sont allés leur procurer quelques oripeaux pour cacher leur nudité. Une fois habillés, nos vaillant combattants se sont montrés dans un état lamentable, leurs mains étaient en sang, leur derrière pelé, leurs pieds engourdis par le froid. Ils ne pouvaient ni marcher ni s'asseoir. Et pour toute arme ? Ils n'avaient que leurs deux mains meurtries, l'une devant l'autre derrière pour cacher leur pudeur.
Pour rompre leur jeûne de quatre jours et quatre nuits, les habitants du douar leur ont offert une galette d'orge, un bol d'huile d'olive et une cruche de petit lait de chèvre, menu ordinaire de nos fellahs sans terre.
Un officier colonial se souvient, trente ans après la guerre : " nous avons encerclé un groupe de quelques "fellagas" faiblement armés, nous leur avons demandé de se rendre les mains en l'air. Ils ont répondu par des tirs de fusils de chasse alors qu'ils n'avaient aucune chance de s'en sortir. Ils se sont battu avec une audace qui dépassait notre entendement. Les autorités militaires pensaient que ces gars étaient drogués. Elles ont ordonné une autopsie. Celle-ci avait révélé qu'ils n'avaient pas mangé depuis plusieurs jours et que leurs estomacs ne contenaient que quelques résidus de Kharoub..."
Un médecin légiste, ami de Ferhat Abbas, avait vécu un fait similaire dans la région de Batna. Ces :"gars (moudjahidin), dit-il, avaient le ventre vide, seulement quelques résidus de gland. Ils étaient légèrement vêtus alors que nous étions en plein hiver. Comment pouvaient-ils se battre dans de telles conditions, s'interroge le légiste ?" (1)
Oui, nos vaillants combattants forçaient l'admiration de leurs adversaires, cependant leurs maffieux dirigeants méprisent. Le capitaine Zoubir et ses frères se battaient, jusqu'à la fin de l'année 1959, dans la wilaya oranaise, dans les conditions et avec les moyens que nous venons de résumer. Ils étaient constamment exposés au matraquage terrestre, aérien et parfois même la marine coloniale participait aux combats ou au transport de troupes dans les régions côtières.
Les aides : financières, alimentaires et l'armement promis par les "frères" de Oujda ne leur arrivaient jamais. Les appels de détresse lancés par le capitaine de la zone I restaient sans réponses et sans effet.
Zoubir apprenait par la radio et par la presse que les réfugiés algériens au Maroc enduraient une grande famine : les nourrissons sans lait, les personnes âgées sans soin l'ensemble vivait, selon ces sources d'information, dans une misère indescriptible. Un représentant de l'I.R.O. ( organisation internationale des réfugiés) déclarait au journal le "Monde" : "... nous ne comprenons pas le dénuement de ces réfugiés, il cite le nombre d'articles et les quantités respectives de chaque produit qui leur ont été régulièrement livrés, il ajoute, nous leur avons même versé 200 dollars ( 150.000 francs de l'époque) par personne..." (2)
A priori ce type d'information s'apparente à une tentative d'intoxication. mais des rumeurs folles circulaient sur la cupidité des émirs de Oujda. Zoubir qui ne pouvait plus se battre par manque de moyen, décide de rentrer au Maroc pour vérifier ces rumeurs et pour demander des comptes à ceux qui le privaient de moyens : vêtement, arme... pour se batte honorablement et pour mourir dignement..
Le capitaine était conscient de la gravité de son geste et de la peine que lui et ses compagnons encouraient suite à la "désertion de leur poste." Il connaissait aussi la cruauté des planqués de Oujda. Il rentre au Maroc. Dès son arrivée il se rend au camps de réfugiés de Nzala qu'il trouve livré à la misère globale. Où passent les aides internationales, s'interroge Zoubir ? Elles sont détournées et vendues dans les souks, répondent les réfugiés destinataires.
Le capitaine se précipite aux souks où il découvre des sacs de semoule, de riz, de sucre, de lait, des cartons de médicament, de couverture, des ballots de vêtement, dans leurs emballages qui portaient encore les marques de l'lRO. et de la croix rouge internationale, qui s'y vendaient effectivement. Il demande des explications aux barons de Oujda qui se défendent comme ils peuvent :"... les revenus des ventes, disent ils, servent à armer, à habiller et à nourrir les moudjahidin qui se battent au front, à l'intérieur. C'est faux ! rétorque Zoubir, j'en viens ! les maquis sont livrés à eux-mêmes !
A sa grande stupéfaction, Zoubir apprenait que les caïds de Oujda vivaient comme les stars de Hollywood, ils se pavanaient à bord de voitures haut de gamme, ils s'habillaient chez les grands couturiers parisiens, ils se gavaient dans les restaurants les plus chics, ils dormaient dans les hôtels les plus huppés du royaume chérifien, ils entretenaient des prostituées de luxe, ils fumaient des cigares "don pérignon" de la célèbre marque davidov...
En termes fermes, Zoubir lance aux corrompus de Oujda :"... n'attendez pas de moi à ce que je sacrifie mes hommes pour des profiteurs de votre acabit." Les révolutionnaires de palace, selon les termes de Abane Ramdhan, rusent de toutes leurs fibres, ils invitent leur accusateur au dialogue. Zoubir savait que les étrangleurs de Abane Ramdhan et exploiteurs de la misère du peuple algérien ne connaissent qu'un seul langage, celui des armes ou donner des ordres de type: dez mâahoum, marche ou crève...
Zoubir et ses vingt fidèles compagnons qui avaient le soutien des réfugiés restent fermes sur leur position. Ils dénoncent les turpitudes des planqués de Oujda soutenus par le prince héritier des croyants, le futur despote du Maroc et l'une des plus grosse fortune politique du monde.
Boussouf mobilise ses milices surarmées, chaudement habillés, abondamment gavées, longuement reposées, pour éradiquer le "rebelle" et ses vingt compagnons démunis mais rompus aux combats du harcèlement. Zoubir et ses fidèles repoussent et tiennent à distance leurs assaillants pendant deux mois. Les multiples accrochages font des victimes dans les deux rangs. Des marocains sont tués par les miliciens de l'étrangleur de Abane Ramdhan, mais Boussouf attribue ces victimes à Zoubir et il court (dhrabni ou bka sbaqni ou chka) vers son ami, le futur Hassan II, pour lui présenter ses condoléances mais surtout pour lui demander main forte afin d' étouffer une révolte légitime. (op.cit.)
Le prince héritier et Boussouf partageaient les fruits du trabendo de l'aide des ONG extorquées aux réfugiés algériens. Zoubir et ses hommes constituaient leurs ennemis communs. Hassan zoudj, à la demande expresse de Boussouf, engage plusieurs colonnes armées pour mettre fin à l'admirable action de l'un des plus illustre de nos Robins des bois.
Après deux mois de résistance, à court de munitions, cernés de toute part, le vaillant capitaine et ses hommes se rendent aux forces royales qui lui ont promis l'amane. Mais le prince héritier n'avait pas tenu ses engagements, il avait livré les hommes de la zone I au camp de Khemisset où ils se sont fait immédiatement massacrés sous les yeux de Boussouf. Quant à Zoubir, il avait fait l'objet d'un simulacre de procès dont Houari Boumédienne, la référence de Bouteflika, avait les secrets. Il est condamné à mort et exécuté sur le champ à l'instar des colonels : Abane Ramdhan, Nouaoura, El Amouri, Aouachria, el Askri, du capitaine Lak Hel et des milliers d'autres héros qui restent inconnus de nos lycéens et ignorés de notre histoire contemporaine.
Dès l'indépendance acquise, les planqués de Gherdimaou et de Oujda, qui n'avaient pas accédé au pouvoir, Boussouf en tête, sont allés se mettre au vert, au large, en réserve de la république à Paris où ils ont opté pour la double nationalité et où ils étaient déjà propriétaires de palaces dans les quartiers les plus riches. Ils fréquentaient les mêmes boites de nuits que les stars de cinéma, ils prenaient leurs repas gargantuesques aux : Ritz, Crillon, Georges V et autres restaurants les plus chics de la capitale des "méchants colonialistes." Ils ne revenaient en Algérie que pour prendre une parcelle de pouvoir, à l'heure du partage de la manne pétrolière et gazière ou mort dans un cercueil.
En conclusion, nous faisons constater à nos générations montantes en général et à nos lycéens en particulier que nos confortables ressources constituent une authentique malédiction pour notre pays car elles excitent l'insatiable rapacité de nos illégitimes et vulgaires politiciens, qui s'achètent des armes pour renforcer leur maffieuse autorité, défendre leurs privilèges indus, augmentent notre misère pour obtenir notre docilité et pour réduire nos libertés individuelles et collectives.

Références bibliographiques :
(1) Ferhat Abbas, "l'Autopsie d'une guerre." éd. Garnier
(2) Jaquin, " La guerre secrète en Algérie." Olivier Orban.
algeria-watch en francais
.
Vous avez bien fait M. l'administrateur d'avoir éclairé certains revolutionnaires des dernieres pluies sur ce grand hero PARTI AVEC SES SECRETS et à qui doivent lui rendent hommage toutes les differentes generations de toute la region du maghreb et du monde arabe.
Je vous remercie beaucoup de m'avoir epargné de mon frere oranaisfier de ses differentes questions pour eventuellement me dire qu'il n'a jamais existé comme notre CHOLET ( je rigole ).
NB: sur quoi, je ne suis pas d'accord, aprés les durs et grands accrochages entre FLN OUJDA et partsans de feu ZOUBIR sur presque toute la frontiere et particuliérement exactement entre BENI DRAR et AHFIR à SIDI HAZEM, les autorités marocaines se sont intertvenues et ont calmé l'affaire: les ordres ont été donné à la gendarmerie marocaine de recuperer feu BOUMED. et feu ZOUBIR afin de les separer de leurs partisans pour calmer les nerfs des deux freres ennemis.
Afin de sauvegarder la revolution et apres negociations sous le patronage des responsables marocains, Med V a decidé de les recevoir à Rabat.
Un commun accord a été trouvé: Boum. a été decoré par M V et Zoubir gardé au palais ou il a vecu librement jusqu'à sa mort longtemps aprés l'independance de l'algerie (ça reste tjrs à eclaircire).

oranaisfier

oranaisfier

Comme à son habitude, MJB veut tourner les gens en bourrique et comme à son habitude, tous topics proposés pour des commentaires sont a chaque fois "détournés" sur un autre sujet. J'ai aussi remarqué que par son complexe "d'historien" il voit a chaque "coin" de ce forum, des anti-marocains et m'attaque personnellement surtout pour ce Cholet (il en parle toujours) dont lui même ne connait pas, car incapable de nous informer sur cette personne qui d'après lui est connue des moudjahidine, des harkis, de la TV algérienne, tout ce qu'il sait de lui, c'est qu'il mange de la main gauche (je rigole). Encore un début de stupidité de sa part qui va encore gâcher un intéressant topic.

Et si, Mohamed V à décoré (ce qui m'étonne) Houari Boumedienne, ce dernier n'était ni juif, ni sioniste. MJB peut-il nous informer de quelle décoration à bénéficié Houari Boumedienne ?


Bonne journée à tous les Marocains et Algériens.

Atavisme

Atavisme

MJB a écrit:

algeria-watch en francais
Arrête de nous bombarder avec les articles de "algeria-watch"....c'est un site des services secrets du makhzen...sur le net il y'a 4 sites supposés être algeriens mais qui sont en réalité des sites marocains et appartiennent à 100% au maklhzen ennemi de l'Algerie.
El Djazair doit faire payer cher aux marocains leurs usurpations et falsifications de l'identité algérienne.


Réponse de l'admin

Ne porte pas seul l'étendard du nationalisme exacerbé . L'amour de la patrie est dans le coeur et non dans la langue.

Je t'invite à lire deux extraits de deux auteurs algériens authentiques sur le meme sujet.

...«Rouspéteur» né, Moussa ne pouvait rester longtemps insensible à leurs frustrations et leur angoisse L'arrestation de l'un d'eux, sa fuite éperdue pour échapper à un sort funeste, sa récupération auprès de Roi par Benkhadda, sa remise à Boumediène, suivies, quelques jours après, par son exécution devant un peloton de djounoud ébranlèrent bien des certitudes.

Le drame du capitaine Zoubir et son sacrifice suprême semèrent le doute et le désarroi au sein de la communauté de militants du FLN du Maroc et au sein des réfugiés frontaliers. Un fait était certain, Zoubir ne méritait pas le sort qui lui avait été fait par Boumediène.

C'est de cette époque certainement que date la désaffection de nombreux jeunes militants à l'égard de la chose militaire, de notre pays, de ses méthodes expéditives, de son manque de discernement et de son omnipotence. C'est de cette époque aussi que date le phénomène de rejet de la révolution par la violence, pour la violence et de la prise de pouvoir, plus tard, par les militaires.

Moussa, quant à lui, laissa tout tomber après la disparition de Zoubir pour se consacrer uniquement au grand combat de sa vie contre l'intolérance et contre ce qu'il appelait «l'obscurantisme politique des chefs militaires de l'ALN». Débatteur infatigable, cultivé, beau parleur incisif, gouailleur, Moussa savait convaincre les plus irréductibles et les plus méfiants.

J'avoue que je fus l'un d'eux. Je lui dois beaucoup. Il m'a ouvert les yeux et m'a aidé, tout particulièrement au début de l'indépendance, à démêler plus aisément l'imbroglio de la situation intérieure du pays et à m'éloigner de la scène. Je ne fus pas le seul à bénéficier de cet éveil politique précoce.

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...ouvrons cette page terrible de l’histoire de la guerre de Libération nationale. Attardons-nous sur les conditions d’exécution du capitaine Zoubir, de son vrai nom Tahar Hmaïdia, cet officier intrépide de la wilaya V qui fut accusé de sédition contre le commandement de sa wilaya. Jugé et condamné à mort par un tribunal militaire, il refusa, le jour de son exécution, de porter le bandeau des suppliciés. Bien mieux, se mettant face au peloton d’exécution composé de ses anciens subordonnés, il en prit le commandement pour ordonner le tir contre sa propre personne. Les balles n’ayant pas eu raison de sa vie, il rassembla ses dernières forces pour gronder ses subordonnés incapables de bien viser avant d’exiger le coup de grâce porté vers la tête et le cœur. C’est de cette bonne pâte que se forment les leaders politiques légitimes, des hommes d’exception...

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Bonne lecture

slaker75

slaker75

MJB a écrit:
oranaisfier a écrit:Monsieur MJB

le PJD n'est pas l'objet de ce topic, mais c'est l'information du contrat établi entre Maroc Télécoms et des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile. De toutes les façons, je l'ai déjà rappelé, le Maroc a eu toujours des contacts commerciaux et politiques avec Israël.

Le roi M6 et à l’occasion de la fête du Trône, a même décoré Yehuda Lancry, ancien ambassadeur et ancien député à la Knesset d’Israël, de l’ordre d’Officier du Wissam Al-Arch.

Par ailleurs, le Grand rabbin de Paris, David Messas, né à Meknès, a été élevé au rang de Grand Officier du Wissam alaouite. Il est le fils de l'ancien Grand rabbin du Maroc Chalom Messas.

Le souverain marocain a également décoré le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Khan (juif et grand défenseur du sionisme), du Grand Cordon du Wissam alaouite.
Sans oublier que feu M V a decoré aussi feu houari boumedienne au palais royal à rabat pour l'arranger avec Capitaine ZOUBIR

Je m'excuse de cette intrusion mes amis. C'est l'admin
Pour nos amis qui ne connaissent pas le capitaine Zoubir. Je l'ai oriente à lire cette article:

Le Capitaine Zoubir: l'un de nos héros trahis
Nour el Houda, décembre 2000

Le journal "Algérie Actualité" avait publié, à la fin des années quatre-vingts, un sondage qui révélait que soixante treize pour cent de nos lycées ignoraient qui étaient Ben Mhédi, les accords d'Evian, etc.
Pendant les "présidentielles" d'avril 1999 et précisément lors du show médiatique d'AEA. Bouteflika sur Algeria TV., Hamida, le journaliste d'El Khabar avait honoré sa profession en posant une question au candidat-monarque éphémère sur l'affaire du capitaine Zoubir. L'invité perd son sang froid et lance un défi à quiconque qui apporterait la preuve de l'implication du groupe de Oujda dans l'exécution du capitaine de la zone I de la wilaya V.
Bien que versés dans les événements qui sont à l'origine des plus belles pages de notre histoire contemporaine, nous ignorions complètement cette affaire. Aussi avions-nous attendu, la bouche sèche, ( bi riq ennachef) de voir au moins l'un de nos nombreux savants relever ce défi présidentiel. Après bientôt deux ans passés, à notre connaissance, personne ne l'a fait. Nous sommes convaincus que personne ne le fera.
A défaut d'une réponse de nos spécialistes, nous avons fait nos propres recherches qui se sont avérées fort fructueuses et qui lèvent une partie du voile sur l'un des multiples crimes commis par le groupe le plus influent et le plus scélérat de notre république bannière.
Le meilleur hommage que l'on puisse rendre à nos martyrs et à nos sincères combattants pour la libération de notre pays, c'est de rappeler succinctement, aux générations montantes, dans quelles condition, avec quels moyens et par déduction logique, comment ils tombaient au champ d'honneur.
Nous allons relater trois cas, l'un vécu, les deux autres nous ont été rapportés, de l'autre bout de notre vaste territoire national, par des témoins dignes de foi.
En hiver 1957, notre région avait fait l'objet d'un grand ratissage opéré par les forces coloniales appuyées par plusieurs types d'avions : bombardiers T6 et T28, des pipers (avions de renseignement) des hélicoptères de toutes sortes, de divers véhicules tout terrain et en nombre impressionnant, des milliers de soldats surarmés, surentraînés, abondamment nourri, chaudement vêtus, régulièrement relevés, encadrés par des polytechniciens, ont participé à cette opération dévastatrice.
Nous connaissions les moudjahidin du coin un par un. Ils étaient peu nombreux, démunis d'arme ou au mieux, ils étaient armés de fusils de chasse usagers, rafistolés à l'aide de fil de fer et de cordes en osier nain (doum) tressé. Leur principale force reposait sur l'indéfectible soutien des populations rurales, la parfaite connaissance du terrain et la rapidité de leurs jambes.
A la fin de ce grand matraquage à l'aide de munitions de tout calibre et de napalm qui avait duré quatre jours, deux djounoud au moins avaient survécu en se cachant sous les branchages au fond d'un oued. Nos deux héros qui étaient restés immobiles en plein hiver, avaient perdu l'usage de leurs jambes. C'est à l'aide de leurs mains et de leur fessier qu'ils ont pu s'approcher, à travers le maquis, du voisinage du douar le plus proche. Repérés par des bergers qui sont allés à leur rencontre, nos survivants lancent en chœur : "n'approchez pas, rana âaraya, nous sommes nus."
Les bergers sont allés leur procurer quelques oripeaux pour cacher leur nudité. Une fois habillés, nos vaillant combattants se sont montrés dans un état lamentable, leurs mains étaient en sang, leur derrière pelé, leurs pieds engourdis par le froid. Ils ne pouvaient ni marcher ni s'asseoir. Et pour toute arme ? Ils n'avaient que leurs deux mains meurtries, l'une devant l'autre derrière pour cacher leur pudeur.
Pour rompre leur jeûne de quatre jours et quatre nuits, les habitants du douar leur ont offert une galette d'orge, un bol d'huile d'olive et une cruche de petit lait de chèvre, menu ordinaire de nos fellahs sans terre.
Un officier colonial se souvient, trente ans après la guerre : " nous avons encerclé un groupe de quelques "fellagas" faiblement armés, nous leur avons demandé de se rendre les mains en l'air. Ils ont répondu par des tirs de fusils de chasse alors qu'ils n'avaient aucune chance de s'en sortir. Ils se sont battu avec une audace qui dépassait notre entendement. Les autorités militaires pensaient que ces gars étaient drogués. Elles ont ordonné une autopsie. Celle-ci avait révélé qu'ils n'avaient pas mangé depuis plusieurs jours et que leurs estomacs ne contenaient que quelques résidus de Kharoub..."
Un médecin légiste, ami de Ferhat Abbas, avait vécu un fait similaire dans la région de Batna. Ces :"gars (moudjahidin), dit-il, avaient le ventre vide, seulement quelques résidus de gland. Ils étaient légèrement vêtus alors que nous étions en plein hiver. Comment pouvaient-ils se battre dans de telles conditions, s'interroge le légiste ?" (1)
Oui, nos vaillants combattants forçaient l'admiration de leurs adversaires, cependant leurs maffieux dirigeants méprisent. Le capitaine Zoubir et ses frères se battaient, jusqu'à la fin de l'année 1959, dans la wilaya oranaise, dans les conditions et avec les moyens que nous venons de résumer. Ils étaient constamment exposés au matraquage terrestre, aérien et parfois même la marine coloniale participait aux combats ou au transport de troupes dans les régions côtières.
Les aides : financières, alimentaires et l'armement promis par les "frères" de Oujda ne leur arrivaient jamais. Les appels de détresse lancés par le capitaine de la zone I restaient sans réponses et sans effet.
Zoubir apprenait par la radio et par la presse que les réfugiés algériens au Maroc enduraient une grande famine : les nourrissons sans lait, les personnes âgées sans soin l'ensemble vivait, selon ces sources d'information, dans une misère indescriptible. Un représentant de l'I.R.O. ( organisation internationale des réfugiés) déclarait au journal le "Monde" : "... nous ne comprenons pas le dénuement de ces réfugiés, il cite le nombre d'articles et les quantités respectives de chaque produit qui leur ont été régulièrement livrés, il ajoute, nous leur avons même versé 200 dollars ( 150.000 francs de l'époque) par personne..." (2)
A priori ce type d'information s'apparente à une tentative d'intoxication. mais des rumeurs folles circulaient sur la cupidité des émirs de Oujda. Zoubir qui ne pouvait plus se battre par manque de moyen, décide de rentrer au Maroc pour vérifier ces rumeurs et pour demander des comptes à ceux qui le privaient de moyens : vêtement, arme... pour se batte honorablement et pour mourir dignement..
Le capitaine était conscient de la gravité de son geste et de la peine que lui et ses compagnons encouraient suite à la "désertion de leur poste." Il connaissait aussi la cruauté des planqués de Oujda. Il rentre au Maroc. Dès son arrivée il se rend au camps de réfugiés de Nzala qu'il trouve livré à la misère globale. Où passent les aides internationales, s'interroge Zoubir ? Elles sont détournées et vendues dans les souks, répondent les réfugiés destinataires.
Le capitaine se précipite aux souks où il découvre des sacs de semoule, de riz, de sucre, de lait, des cartons de médicament, de couverture, des ballots de vêtement, dans leurs emballages qui portaient encore les marques de l'lRO. et de la croix rouge internationale, qui s'y vendaient effectivement. Il demande des explications aux barons de Oujda qui se défendent comme ils peuvent :"...
les revenus des ventes, disent ils, servent à armer, à habiller et à nourrir les moudjahidin qui se battent au front, à l'intérieur. C'est faux ! rétorque Zoubir, j'en viens ! les maquis sont livrés à eux-mêmes !
A sa grande stupéfaction, Zoubir apprenait que les caïds de Oujda vivaient comme les stars de Hollywood, ils se pavanaient à bord de voitures haut de gamme, ils s'habillaient chez les grands couturiers parisiens, ils se gavaient dans les restaurants les plus chics, ils dormaient dans les hôtels les plus huppés du royaume chérifien, ils entretenaient des prostituées de luxe, ils fumaient des cigares "don pérignon" de la célèbre marque davidov...
En termes fermes, Zoubir lance aux corrompus de Oujda :"... n'attendez pas de moi à ce que je sacrifie mes hommes pour des profiteurs de votre acabit." Les révolutionnaires de palace, selon les termes de Abane Ramdhan, rusent de toutes leurs fibres, ils invitent leur accusateur au dialogue. Zoubir savait que les étrangleurs de Abane Ramdhan et exploiteurs de la misère du peuple algérien ne connaissent qu'un seul langage, celui des armes ou donner des ordres de type: dez mâahoum, marche ou crève...
Zoubir et ses vingt fidèles compagnons qui avaient le soutien des réfugiés restent fermes sur leur position. Ils dénoncent les turpitudes des planqués de Oujda soutenus par le prince héritier des croyants, le futur despote du Maroc et l'une des plus grosse fortune politique du monde.
Boussouf mobilise ses milices surarmées, chaudement habillés, abondamment gavées, longuement reposées, pour éradiquer le "rebelle" et ses vingt compagnons démunis mais rompus aux combats du harcèlement. Zoubir et ses fidèles repoussent et tiennent à distance leurs assaillants pendant deux mois. Les multiples accrochages font des victimes dans les deux rangs. Des marocains sont tués par les miliciens de l'étrangleur de Abane Ramdhan, mais Boussouf attribue ces victimes à Zoubir et il court (dhrabni ou bka sbaqni ou chka) vers son ami, le futur Hassan II, pour lui présenter ses condoléances mais surtout pour lui demander main forte afin d' étouffer une révolte légitime. (op.cit.)
Le prince héritier et Boussouf partageaient les fruits du trabendo de l'aide des ONG extorquées aux réfugiés algériens. Zoubir et ses hommes constituaient leurs ennemis communs. Hassan zoudj, à la demande expresse de Boussouf, engage plusieurs colonnes armées pour mettre fin à l'admirable action de l'un des plus illustre de nos Robins des bois.
Après deux mois de résistance, à court de munitions, cernés de toute part, le vaillant capitaine et ses hommes se rendent aux forces royales qui lui ont promis l'amane. Mais le prince héritier n'avait pas tenu ses engagements, il avait livré les hommes de la zone I au camp de Khemisset où ils se sont fait immédiatement massacrés sous les yeux de Boussouf. Quant à Zoubir, il avait fait l'objet d'un simulacre de procès dont Houari Boumédienne, la référence de Bouteflika, avait les secrets. Il est condamné à mort et exécuté sur le champ à l'instar des colonels : Abane Ramdhan, Nouaoura, El Amouri, Aouachria, el Askri, du capitaine Lak Hel et des milliers d'autres héros qui restent inconnus de nos lycéens et ignorés de notre histoire contemporaine.
Dès l'indépendance acquise, les planqués de Gherdimaou et de Oujda, qui n'avaient pas accédé au pouvoir, Boussouf en tête, sont allés se mettre au vert, au large, en réserve de la république à Paris où ils ont opté pour la double nationalité et où ils étaient déjà propriétaires de palaces dans les quartiers les plus riches. Ils fréquentaient les mêmes boites de nuits que les stars de cinéma, ils prenaient leurs repas gargantuesques aux : Ritz, Crillon, Georges V et autres restaurants les plus chics de la capitale des "méchants colonialistes." Ils ne revenaient en Algérie que pour prendre une parcelle de pouvoir, à l'heure du partage de la manne pétrolière et gazière ou mort dans un cercueil.
En conclusion, nous faisons constater à nos générations montantes en général et à nos lycéens en particulier que nos confortables ressources constituent une authentique malédiction pour notre pays car elles excitent l'insatiable rapacité de nos illégitimes et vulgaires politiciens, qui s'achètent des armes pour renforcer leur maffieuse autorité, défendre leurs privilèges indus, augmentent notre misère pour obtenir notre docilité et pour réduire nos libertés individuelles et collectives.

Références bibliographiques :
(1) Ferhat Abbas, "l'Autopsie d'une guerre." éd. Garnier
(2) Jaquin, " La guerre secrète en Algérie." Olivier Orban.







algeria-watch en francais

LES SBIRES DU POLIZBEL DE TINDOUF ONT BIEN APPRIS LA LECON !!!!

MJB



oranaisfier a écrit:Comme à son habitude, MJB veut tourner les gens en bourrique et comme à son habitude, tous topics proposés pour des commentaires sont a chaque fois "détournés" sur un autre sujet. J'ai aussi remarqué que par son complexe "d'historien" il voit a chaque "coin" de ce forum, des anti-marocains et m'attaque personnellement surtout pour ce Cholet (il en parle toujours) dont lui même ne connait pas, car incapable de nous informer sur cette personne qui d'après lui est connue des moudjahidine, des harkis, de la TV algérienne, tout ce qu'il sait de lui, c'est qu'il mange de la main gauche (je rigole). Encore un début de stupidité de sa part qui va encore gâcher un intéressant topic.

Et si, Mohamed V à décoré (ce qui m'étonne) Houari Boumedienne, ce dernier n'était ni juif, ni sioniste. MJB peut-il nous informer de quelle décoration à bénéficié Houari Boumedienne ?
Bonne journée à tous les Marocains et Algériens.
Pour t'éviter à M. oranais fier, je m'abstiendrai de répondre à tes messages pour la seule et unique raison: éviter certains problèmes à notre ZAOUIA et à ses lecteurs.
Ce que tu n'as pas compris, c'est que chacun à sa version sur toutes les choses dont dépendent les sources et combien elles sont nombreuses sachant qu'il y a une seule et unique vérité.
Ramadane karim

oranaisfier

oranaisfier

Cher MJB, Je m'abstiendrai aussi de te répondre, car je n'ai rien de nouveau de ta part, mais dis toi bien que j'aime bien les Marocains autant que Algériens qui se... respectent.

Concernant l'unique vérité dont tu parles, ça dépend de quelle coté elle est dite.

Sans aucune rancune et Saha Ftorok !

admin"SNP1975"

admin
Admin

Salam,

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Je vous propose un billet en arabe qui se rapproche de ce topic:
يهود المغرب ... مغاربة مثل غيرهم
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Traduction du titre : Les juifs marocains... sont marocains comme les autres citoyens



[b]الحمد لله أن بعض أصدقائنا لا يملكون حق رفع الجنسية المغربية عن كل من لا يروقهم من المواطنين. هكذا قلت في أعماقي وأنا أقرأ مؤخرا عن المستشار الملكي أندري أزولاي، الذي طالبه أحدهم بالاختيار بين أن يكون مغربيا أو إسرائيليا.

Pour lire ce sujet , je vous oriente vers ce lien en arabe:
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http://www.marocainsdalgerie.net

boumedienne

boumedienne

tout le monde arabe fait des affaires avec israel,meme l'algerie...tout les pays arabes sont des hypocrites...sans commentaire

oranaisfier

oranaisfier

boumedienne a écrit: tout le monde arabe fait des affaires avec israel,meme l'algerie...tout les pays arabes sont des hypocrites...sans commentaire

Non! Monsieur Boumedienne, arrêtez de prêcher du faux, l'Algérie, contrairement au Maroc, à l'Égypte et certains pays arabes, n'a aucun lien avec Israël, encore moins honorer des sionistes par des médailles et autres rangs.

Les pays arabes hypocrites dont vous parlez, on les connait

" Il est des hommes qui incarnent le mensonge à un degré tel, qu'ils commenceront à vous débiter un mensonge avec la certitude que vous n'en croirez pas un traître mot"-Alexandre Mercereau

boumedienne

boumedienne

oranaisfier a écrit:
boumedienne a écrit: tout le monde arabe fait des affaires avec israel,meme l'algerie...tout les pays arabes sont des hypocrites...sans commentaire

Non! Monsieur Boumedienne, arrêtez de prêcher du faux, l'Algérie, contrairement au Maroc, à l'Égypte et certains pays arabes, n'a aucun lien avec Israël, encore moins honorer des sionistes par des médailles et autres rangs.

Les pays arabes hypocrites dont vous parlez, on les connait

" Il est des hommes qui incarnent le mensonge à un degré tel, qu'ils commenceront à vous débiter un mensonge avec la certitude que vous n'en croirez pas un traître mot"-Alexandre Mercereau


ah bon ,j'aime mon pays ,mais je ne suis pas naive a ce point ..tiens sur ce sait tu que la satellite algeriens a eté monter avec du materiel israeliens..

boumedienne

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oranaisfier a écrit:
boumedienne a écrit: tout le monde arabe fait des affaires avec israel,meme l'algerie...tout les pays arabes sont des hypocrites...sans commentaire

Non! Monsieur Boumedienne, arrêtez de prêcher du faux, l'Algérie, contrairement au Maroc, à l'Égypte et certains pays arabes, n'a aucun lien avec Israël, encore moins honorer des sionistes par des médailles et autres rangs.

Les pays arabes hypocrites dont vous parlez, on les connait

" Il est des hommes qui incarnent le mensonge à un degré tel, qu'ils commenceront à vous débiter un mensonge avec la certitude que vous n'en croirez pas un traître mot"-Alexandre Mercereau

Toutefois le sujet met en tout cas visiblement mal à l'aise l'agence spatiale algérienne. Contacté par TSA, un responsable de l'ASA a eu beaucoup de mal à reconnaître qu'effectivement la plate-forme myriade d'où est issue Alsat-2A a été développée en partie avec les Israéliens. Il a d’abord évoqué une « erreur » dans les documents d’EADS avant de concéder que la plateforme Myriade a été développée avec le concours des Israéliens. Mais il a tenu à préciserque les Algériens n'avaient pas travaillé directement sur le dossier.

admin"SNP1975"

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Les Algériens consomment-ils de la datte israélienne ?



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Les Algériens consomment-ils de la datte israélienne provenant des terres volées aux Palestiniens ?
C'est ce que laissent entendre des associations de consommareurs algériennes qui ont contacté la rédaction et qui tirent la sonnette d'alarme.
Selon elles, comme chaque année, à la période de ramadhan, la plupart des grossistes algériens vendent des dattes israéliennes de type Medjoul et Deglet Nour, commercialisées sous les marques Jordan River, Jordan Plains, Bahri, King Salomon, Carmel, Khalahari, par palettes entières. Ces dattes seraient commercialisées par les sociétés israéliennes d’exportation, Agrexco et Hadiklaïm, qui auraient décidé de vendre des tonnes de dattes sur le marché mondial et notamment à l’Union Européenne, en ciblant particulièrement les populations musulmanes et la période du Ramadan.
Selon ces sources, ces dattes israéliennes proviendraient de palmiers qui poussent sur des terres volées aux Palestiniens, des colonies sauvagement construites notamment dans les Vallée du Jourdain, un «haut lieu d'exploitation d'ouvriers palestiniens, dont des enfants» selon certains militants des droits de l'homme et même syndicalistes israéliens.
L'argent tiré de la commercialisation de ces dattes aiderait à financer l’occupation de la Palestine, préviennent nos sources.
Il est de notoriété publique que des dattes israéliennes sont disponibles au Maroc et publiquement commercialisées. Ramadan oblige, ce sont les dattes d’Outre-Jourdain et elles ont la vedette. Ces dattes venues d'Israël entrent au Maroc via l'Europe, notamment l’Hexagone. Ace jour, le Maroc «officiel» continue en effet à nier toute relation avec l'Etat hébreu, y compris commerciale et ce depuis la fermeture du bureau de liaison israélien à Rabat le 23 octobre 2000 au lendemain de la Seconde Intifada. Et pourtant. Si l'on se fie aux derniers chiffres de The Israeli Export and International Cooperation Institute, pour
le premier trimestre 2006, près de 46 firmes israéliennes auraient exporté au Maroc pour un total de 2 millions de
dollars, soit une augmentation de 23,5% des exportations par rapport à la même période en 2005. Un autre rapport, émanant
lui de l'Organisme économique égyptien, fait état d'un volume d'échanges maroco-israélien de 5,9 millions de dollars en 2000, ce qui placerait le Maroc en troisième position parmi les pays arabes à commercer avec l'Etat hébreu après l'Egypte et la Jordanie
Ce fait, s'il venait à se confirmer, s'ajouterait au récent scandale révélé par TSA selon lequel de la graine de coton algérienne a été exportée en 2006 vers Israël, à partir de Annaba. La cargaison aurait pris la route d’Israël au lieu de l’Afghanistan la destination annoncée. Cette exportation douteuse a été suivie par le départ précipité d’Annaba des experts français et la dissolution, 18 mois après sa création, de Somicoton à l’origine de l’opération. Un départ que, quatre années après, l’associé algérien n’arrive pas à expliquer.
Tout cela indiquerait qu'entre l'Algérie et Israël, la normalisation se fait progressivement, par le commerce clandestin.

L.M.

http://www.marocainsdalgerie.net

oranaisfier

oranaisfier

Boumedienne continue son trouble fête, mais nous avons tous que l'Algérie n'a jamais donné à une promotion militaire le nom d'un israélien, n'a jamais désigné dans son gouvernement un Juif, n'a jamais décoré un Juif ou un sioniste et enfin n'a pas des conseillers israélien dans son armée.

Pour la datte israélienne, nous savons tous que l'Algérie est un grand pays producteur de dattes qui sont les meilleures dans le monde.

Cherchez autre chose !



MJB



admin a écrit:Les Algériens consomment-ils de la datte israélienne ?



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Les Algériens consomment-ils de la datte israélienne provenant des terres volées aux Palestiniens ?
C'est ce que laissent entendre des associations de consommareurs algériennes qui ont contacté la rédaction et qui tirent la sonnette d'alarme.
Selon elles, comme chaque année, à la période de ramadhan, la plupart des grossistes algériens vendent des dattes israéliennes de type Medjoul et Deglet Nour, commercialisées sous les marques Jordan River, Jordan Plains, Bahri, King Salomon, Carmel, Khalahari, par palettes entières. Ces dattes seraient commercialisées par les sociétés israéliennes d’exportation, Agrexco et Hadiklaïm, qui auraient décidé de vendre des tonnes de dattes sur le marché mondial et notamment à l’Union Européenne, en ciblant particulièrement les populations musulmanes et la période du Ramadan.
Selon ces sources, ces dattes israéliennes proviendraient de palmiers qui poussent sur des terres volées aux Palestiniens, des colonies sauvagement construites notamment dans les Vallée du Jourdain, un «haut lieu d'exploitation d'ouvriers palestiniens, dont des enfants» selon certains militants des droits de l'homme et même syndicalistes israéliens.
L'argent tiré de la commercialisation de ces dattes aiderait à financer l’occupation de la Palestine, préviennent nos sources.
Il est de notoriété publique que des dattes israéliennes sont disponibles au Maroc et publiquement commercialisées. Ramadan oblige, ce sont les dattes d’Outre-Jourdain et elles ont la vedette. Ces dattes venues d'Israël entrent au Maroc via l'Europe, notamment l’Hexagone. Ace jour, le Maroc «officiel» continue en effet à nier toute relation avec l'Etat hébreu, y compris commerciale et ce depuis la fermeture du bureau de liaison israélien à Rabat le 23 octobre 2000 au lendemain de la Seconde Intifada. Et pourtant. Si l'on se fie aux derniers chiffres de The Israeli Export and International Cooperation Institute, pour
le premier trimestre 2006, près de 46 firmes israéliennes auraient exporté au Maroc pour un total de 2 millions de
dollars, soit une augmentation de 23,5% des exportations par rapport à la même période en 2005. Un autre rapport, émanant
lui de l'Organisme économique égyptien, fait état d'un volume d'échanges maroco-israélien de 5,9 millions de dollars en 2000, ce qui placerait le Maroc en troisième position parmi les pays arabes à commercer avec l'Etat hébreu après l'Egypte et la Jordanie
Ce fait, s'il venait à se confirmer, s'ajouterait au récent scandale révélé par TSA selon lequel de la graine de coton algérienne a été exportée en 2006 vers Israël, à partir de Annaba. La cargaison aurait pris la route d’Israël au lieu de l’Afghanistan la destination annoncée. Cette exportation douteuse a été suivie par le départ précipité d’Annaba des experts français et la dissolution, 18 mois après sa création, de Somicoton à l’origine de l’opération. Un départ que, quatre années après, l’associé algérien n’arrive pas à expliquer.
Tout cela indiquerait qu'entre l'Algérie et Israël, la normalisation se fait progressivement, par le commerce clandestin.

L.M.
Je n'ai jamais vu M. L'adminis. ce paquet de dattes israelienes
C'est la premiére fois que je la decouvre par un journal algerien: heureusement qu'il n'a pas dit qu'elle est entrée à partir du Maroc et en contrebande.

moi même

moi même

oranaisfier a écrit:Boumedienne continue son trouble fête, mais nous avons tous que l'Algérie n'a jamais donné à une promotion militaire le nom d'un israélien, n'a jamais désigné dans son gouvernement un Juif, n'a jamais décoré un Juif ou un sioniste et enfin n'a pas des conseillers israélien dans son armée.

Pour la datte israélienne, nous savons tous que l'Algérie est un grand pays producteur de dattes qui sont les meilleures dans le monde.
Cherchez autre chose !
Tout ça est vrai, d'abord parce que l'algérie n'a pas permis même à ses premiers habitans qui sont les amazighs d'éxister,puisqu'elle est une proprieté privée du Hizb França,comment alors osera-t-elle à agir indépendemment,pour qu'elle ira jusqu'à "pratiquer" sa souveraineté,c'est de l'imaginaire ...!?.
Ensuite l'algérie l'orpheline n'est pas encore passée à la phase de la maturité et l'âge de la majorité légale,pour qu'elle doit prétendre à tout ce que font les grands pays,elle est toujours sous le controle de l'occident en général et mamma frança en particulier qui la considèrent leur soute à carburant,elle ne doit pas faire autre chose que de "contrecarrer" la bonne marche de ses voisins,tous ses voisins de la tunisie à la Mauritanie,excepté l'Empire Chérifien du Maroc ,et c'est ici où le bas la blesse

oranaisfier

oranaisfier

Pour moimeme,

qui compare la datte algérienne au ..., que du charabia

Plus stupide que cela, makeche, je répète, cherche autre chose, et ne te prend pas pour un historien

boumedienne

boumedienne

oranaisfier a écrit:Boumedienne continue son trouble fête, mais nous avons tous que l'Algérie n'a jamais donné à une promotion militaire le nom d'un israélien, n'a jamais désigné dans son gouvernement un Juif, n'a jamais décoré un Juif ou un sioniste et enfin n'a pas des conseillers israélien dans son armée.

Pour la datte israélienne, nous savons tous que l'Algérie est un grand pays producteur de dattes qui sont les meilleures dans le monde.

Cherchez autre chose !





subhnallah ..moi les troubles fetes!!!! non mais je n'aime pas les hypocrisie gouvernementales...car si l'algerie entretiens des rapport avec des israeliens...allons dans ce cas ouvrons le pays et facilitons ,l'investissement etranger..permettons au algerien d'avoir du travaille et arrettons de les enfermer dans des prisons a ciel ouvert ...l'independance c'etait pour tout le monde

le peuple algerien a le droit lui aussi de vivre dignement et d'etre epanouie dans sa vie.....ce sont toujours les memes qui en profite ...ça suffit!!!!

MJB



boumedienne a écrit:
oranaisfier a écrit:Boumedienne continue son trouble fête, mais nous avons tous que l'Algérie n'a jamais donné à une promotion militaire le nom d'un israélien, n'a jamais désigné dans son gouvernement un Juif, n'a jamais décoré un Juif ou un sioniste et enfin n'a pas des conseillers israélien dans son armée.

Pour la datte israélienne, nous savons tous que l'Algérie est un grand pays producteur de dattes qui sont les meilleures dans le monde.

Cherchez autre chose !





subhnallah ..moi les troubles fetes!!!! non mais je n'aime pas les hypocrisie gouvernementales...car si l'algerie entretiens des rapport avec des israeliens...allons dans ce cas ouvrons le pays et facilitons ,l'investissement etranger..permettons au algerien d'avoir du travaille et arrettons de les enfermer dans des prisons a ciel ouvert ...l'independance c'etait pour tout le monde

le peuple algerien a le droit lui aussi de vivre dignement et d'etre epanouie dans sa vie.....ce sont toujours les memes qui en profite ...ça suffit!!!!
ce sont toujours les memes qui en profite ...ça suffit!!!!
C'est trés bien dit! et c'est dans tout le monde sans exception aucune.
LE BON DIEU N'A PAS CREE L'ENFER POUR RIEN: IL SAIT QU'IL Y A DE TRES GRANDS CLIENTS ( pour l'enfer ) .

oranaisfier

oranaisfier

Dieu, a créé l'enfer aussi pour les diffamateurs qui s'y reconnaissent.

MJB



oranaisfier a écrit:Dieu, a créé l'enfer aussi pour les diffamateurs qui s'y reconnaissent.
Sans commentaires.

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