L’Algérie déjoue un scénario de faux-journalistes marocains dans les camps des réfugiés de Tindouf
Par Djamel Lalami / F.O.
Selon les informations en possession d’Echorouk, les deux journalistes sont des membres de l’association « Sahara marocaine ». L’un étant son honorable correspondant dans la ville de Kalmim, l’autre un agent du Makhzen. Les deux comparses se sont aventurés au profit de la cause marocaine dans le territoire algérien. Dès leur arrivée à Alger, les deux marocains se sont envolés vers Tindouf, afin de « fabriquer » des reportages portant atteinte à l'Algérie et concernant ses manquements aux droits de l'Homme, en réponse à ceux faits par Echorouk pendant le mois d’aout dans la ville imprenable –jusqu’alors- de Dakhla.[i]
* Aussitôt rentrés au Maroc, les deux journalistes qui s’étaient fait passer pour des touristes, se sont empressés de « dénoncer la pression psychologique subie en Algérie et les tortures dont ils furent l’objet », alors que la vérité est qu’ils étaient maintenus dans un hôtel et soumis à un questionnaire d’usage en pareilles circonstance, vu qu’ils usaient de subterfuges pour passer en Algérie, sans ordre de mission, ni accréditation dûment signée par les parties concernées.
* Selon les informations en possession d’Echorouk, les deux journalistes sont des membres de l’association « Sahara marocaine », l’un étant son correspondant dans la ville de Kalmim, l’autre un agent de l’administration, et qui se sont aventurés pour la "bonne cause" dans le territoire algérien. Dès leur arrivée à Alger, les deux marocains se sont envolés vers Tindouf, afin de « fabriquer » des reportages portant atteinte aux autorités algériennes en réponse à ceux faits par Echorouk pendant le mois d’aout dans la ville imprenable –jusqu’à alors- de Dakhla.
* L’un des deux faux-journalistes s’appelle Reda Toundji, agent des renseignements marocains, n’ayant ni peu, ni prou des relations avec la presse. Il est aussi le responsable de l’association « Sahara marocaine », et il est connu pour n’avoir jamais rédigé lui-même ses éditoriaux, qu’il remettait à un journaliste, ne faisant que signer de son nom, et moyennant une forte rémunération pour le « nègre » de service. Cet étrange personnage prétend avoir reçu une autorisation dûment signée par les autorités algériennes concernant son travail en Algérie, chose qui s’avéra être, après vérification, pure fabulation. Pour comprendre mieux ses mobiles, il faut savoir que c’est lui qui a rédigé le fameux communiqué contre Anouar Malek, le menaçant d’intenter contre lui des actions en justice. L’information trouva alors un large écho dans la presse marocaine, et on comprend mieux dès lors son action dans le territoire algérien. Il faut savoir aussi que c’est toujours lui qui a falsifié un document dans lequel il fait dire à Anouar Malek qu’il se lavait les mains de tout ce qu’Echorouk a écrit en son nom.
* Les reportages d’Anouar Malek à l’intérieur même de la ville "inexpugnable" de Dakhla, avaient fait mal à Rabat, et certains zélateurs avaient promis de rendre la pareille à l’Algérie, en s’introduisant à Tindouf pour arracher des témoignages qui ajouteraient foi aux accusations marocaines contre Alger. Les deux énergumènes pensaient s’introduire à Tindouf et « fabriquer » des entretiens et des reportages avec les réfugiés sahraouis dans les camps, mais leur stratagème fut vite percé, et les deux comparses se dévoilèrent au grand jour, avant d'être "manu militari" reconduit aux frontières.
* Des informations recoupées précisent que lorqu’Echorouk avait pu pénétrer à Dakhla, pour faire parler les Sahraouis sur place, lesquels se sont exprimés sur les oppressions qu’ils subissaient, des associations marocaines du genre « Sahara marocaine » avaient avaient été alors soumis à de grosses pressions de la part du Palais royal et de ses relais, qui leur reprochaient d’avoir invité Anouar Malek, lequel avait rédigé par la suite des reportages pour Echorouk. Suite à quoi l’éventualité de rendre "la monnaie de la pièce" germa dans la tête des zélateurs du Palais.
* L’objectif était de décrédibiliser Echorouk par le biais d’articles sur la situation des réfugiés sahraouis en Algérie, et aussi de se redorer le blason. Ainsi, le dénommé Réda Toundji se réuni avec son staff dans les tous premiers jours du mois de septembre et décida qu’on devait aller dans le cœur même de Tindouf, prendre des photos avec des réfugiés et prouver par là même le « scoop », qui devait de toute évidence être orienté résolument et absolument contre l’Algérie.
* Percés à jours, découverts par les autorités algériennes, les deux journalistes rentrèrent au Maroc bredouilles. Pour cacher son désarroi, Réda Toundji fit vite d’ameuter les organes de presse et les ONG, comme RSF, et se mit à dénoncer les manquements à la liberté de la presse, alors que la vérité était toute autre.
* Concernant le parcours tortueux de ce personnage, Echorouk avait déjà, en avril dernier, fait état de ses liens très forts avec le Makhzen, l’administration marocaine au service du Palais royal, et dénoncé ses accointances avec le chanteur kabyle Ferhat M’henni, au profit de qui il organise intercession et médiation avec le Makhzen, lui fourni de l’argent et les moyens afin de tenter de mettre en péril l’unité nationale. Ceux là n’étant que de simples marionnettes, il existe de toute évidence, un puissant lobby politique derrière tout cela…
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Par Djamel Lalami / F.O.
Selon les informations en possession d’Echorouk, les deux journalistes sont des membres de l’association « Sahara marocaine ». L’un étant son honorable correspondant dans la ville de Kalmim, l’autre un agent du Makhzen. Les deux comparses se sont aventurés au profit de la cause marocaine dans le territoire algérien. Dès leur arrivée à Alger, les deux marocains se sont envolés vers Tindouf, afin de « fabriquer » des reportages portant atteinte à l'Algérie et concernant ses manquements aux droits de l'Homme, en réponse à ceux faits par Echorouk pendant le mois d’aout dans la ville imprenable –jusqu’alors- de Dakhla.[i]
* Aussitôt rentrés au Maroc, les deux journalistes qui s’étaient fait passer pour des touristes, se sont empressés de « dénoncer la pression psychologique subie en Algérie et les tortures dont ils furent l’objet », alors que la vérité est qu’ils étaient maintenus dans un hôtel et soumis à un questionnaire d’usage en pareilles circonstance, vu qu’ils usaient de subterfuges pour passer en Algérie, sans ordre de mission, ni accréditation dûment signée par les parties concernées.
* Selon les informations en possession d’Echorouk, les deux journalistes sont des membres de l’association « Sahara marocaine », l’un étant son correspondant dans la ville de Kalmim, l’autre un agent de l’administration, et qui se sont aventurés pour la "bonne cause" dans le territoire algérien. Dès leur arrivée à Alger, les deux marocains se sont envolés vers Tindouf, afin de « fabriquer » des reportages portant atteinte aux autorités algériennes en réponse à ceux faits par Echorouk pendant le mois d’aout dans la ville imprenable –jusqu’à alors- de Dakhla.
* L’un des deux faux-journalistes s’appelle Reda Toundji, agent des renseignements marocains, n’ayant ni peu, ni prou des relations avec la presse. Il est aussi le responsable de l’association « Sahara marocaine », et il est connu pour n’avoir jamais rédigé lui-même ses éditoriaux, qu’il remettait à un journaliste, ne faisant que signer de son nom, et moyennant une forte rémunération pour le « nègre » de service. Cet étrange personnage prétend avoir reçu une autorisation dûment signée par les autorités algériennes concernant son travail en Algérie, chose qui s’avéra être, après vérification, pure fabulation. Pour comprendre mieux ses mobiles, il faut savoir que c’est lui qui a rédigé le fameux communiqué contre Anouar Malek, le menaçant d’intenter contre lui des actions en justice. L’information trouva alors un large écho dans la presse marocaine, et on comprend mieux dès lors son action dans le territoire algérien. Il faut savoir aussi que c’est toujours lui qui a falsifié un document dans lequel il fait dire à Anouar Malek qu’il se lavait les mains de tout ce qu’Echorouk a écrit en son nom.
* Les reportages d’Anouar Malek à l’intérieur même de la ville "inexpugnable" de Dakhla, avaient fait mal à Rabat, et certains zélateurs avaient promis de rendre la pareille à l’Algérie, en s’introduisant à Tindouf pour arracher des témoignages qui ajouteraient foi aux accusations marocaines contre Alger. Les deux énergumènes pensaient s’introduire à Tindouf et « fabriquer » des entretiens et des reportages avec les réfugiés sahraouis dans les camps, mais leur stratagème fut vite percé, et les deux comparses se dévoilèrent au grand jour, avant d'être "manu militari" reconduit aux frontières.
* Des informations recoupées précisent que lorqu’Echorouk avait pu pénétrer à Dakhla, pour faire parler les Sahraouis sur place, lesquels se sont exprimés sur les oppressions qu’ils subissaient, des associations marocaines du genre « Sahara marocaine » avaient avaient été alors soumis à de grosses pressions de la part du Palais royal et de ses relais, qui leur reprochaient d’avoir invité Anouar Malek, lequel avait rédigé par la suite des reportages pour Echorouk. Suite à quoi l’éventualité de rendre "la monnaie de la pièce" germa dans la tête des zélateurs du Palais.
* L’objectif était de décrédibiliser Echorouk par le biais d’articles sur la situation des réfugiés sahraouis en Algérie, et aussi de se redorer le blason. Ainsi, le dénommé Réda Toundji se réuni avec son staff dans les tous premiers jours du mois de septembre et décida qu’on devait aller dans le cœur même de Tindouf, prendre des photos avec des réfugiés et prouver par là même le « scoop », qui devait de toute évidence être orienté résolument et absolument contre l’Algérie.
* Percés à jours, découverts par les autorités algériennes, les deux journalistes rentrèrent au Maroc bredouilles. Pour cacher son désarroi, Réda Toundji fit vite d’ameuter les organes de presse et les ONG, comme RSF, et se mit à dénoncer les manquements à la liberté de la presse, alors que la vérité était toute autre.
* Concernant le parcours tortueux de ce personnage, Echorouk avait déjà, en avril dernier, fait état de ses liens très forts avec le Makhzen, l’administration marocaine au service du Palais royal, et dénoncé ses accointances avec le chanteur kabyle Ferhat M’henni, au profit de qui il organise intercession et médiation avec le Makhzen, lui fourni de l’argent et les moyens afin de tenter de mettre en péril l’unité nationale. Ceux là n’étant que de simples marionnettes, il existe de toute évidence, un puissant lobby politique derrière tout cela…
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