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Une première au Sahara Marocain

4 participants

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moi même

moi même

Une délégation de sénateurs français en visite dans la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El-Hamra



- Une délégation de sénateurs français actuellement en visite dans le Royaume, s'est rendue mercredi soir à Laâyoune, pour une tournée de trois jours dans les provinces du sud du Maroc.



Au cours de cette tournée, les membres de la délégation française, conduite par le président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat, M. Christian Cambon, tiendront une série de rencontres avec des responsables, élus et notables des régions de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El Hamra et de Oued-Eddahab-Lagouira et visiteront une série de projets de développement local, notamment les ouvrages et installations hydriques.



A leur arrivée à l'aéroport Hassan I de Laâyoune, la délégation française, représentant différentes sensibilités politiques, a été accueillie par le wali de la région, gouverneur de la province de Laâyoune, M. Mohamed Jelmous, des élus et responsables locaux et des Chioukhs de tribus sahraouies.



Qualifiant "d'importante cette visite, qui intervient à l'invitation du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, M. Cambon a noté que "nous sommes venus pour s'informer des conditions de développement de cette région et prendre toute la mesure des investissements qui ont déjà été faits et de toutes les infrastructures qui ont été réalisés".

Dans une déclaration à la presse à l'aéroport de Laâyoune, il a noté que la visite est l'occasion pour les membres de la délégation pour réaffirmer "l'appui de la France et du Sénat aux efforts pour la recherche d'un processus qui apporte la paix, le développement et l'apaisement à la région, notamment à travers l'initiative d'autonomie marocaine qui nous semble être une bonne base de négociations".

M. Cambon a souligné que "pendant plusieurs années, aucune solution n'a été trouvée et aujourd'hui, grâce à l'initiative d'autonomie, il y a des bases concrètes d'une avancée sérieuse dans le processus de négociation".

M. Cambon a attiré par ailleurs l'attention sur "la situation d'insécurité qui prévaut dans la région du Sahel en raison des risques de terrorisme et de trafic de tout genre menaçant ces territoires sahélienne et qui inquiètent beaucoup la communauté internationale".

De son côté, le président du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, M. Abderrahim Atmoun, a souligné l'importance de la visite des sénateurs français dans les provinces du sud du Royaume, se félicitant par ailleurs de la position exprimée par les membres de la délégation française qui ont réitéré le soutien de leur pays à l'initiative marocaine d'autonomie.

Il a indiqué que cette visite permettra aux sénateurs français qui appartiennent aux groupes parlementaires de l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP-au pouvoir), du Parti Socialiste (PS-opposition de gauche) de l'union Centriste (UC) et du Rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE-libéral) de s'enquérir de près des efforts de développement consentis dans les provinces du sud dans différents secteurs.

MAP



Les Sahraouis tiraillés entre le Maroc et le Polisario


Cela ressemble à une partie de ping-pong au Sahara. En novembre 2009, Haminatou Haïdar, une militante sahraouie originaire d'el Aiun, dans l'ex-Sahara occidental, avait été empêchée par les autorités marocaines de rentrer chez elle, après une tournée en Europe où elle avait prôné le droit à l'autodétermination des Sahraouis. Une grève de la faim et la pression des pays amis du Maroc lui avaient permis de rentrer à son domicile.

Cette fois, c'est le camp adverse, le Front Polisario, qui fait montre d'intransigeance. La victime : Mustafa Selam Sidi Mouloud, 42 ans, inspecteur général de la police, un poste important au sein de la république arabe saharouie. Mustafa Selam vit à Tindouf, dans cette région du Sahara algérien qui abrite les camps du Front Polisario, depuis l'âge de 11 ans.

En avril, grâce à l'ONU, il peut se rendre à Smara, sa ville natale, du côté marocain du Sahara occidental, pour y retrouver son père, 80 ans. Sa femme et ses cinq enfants, dont un bébé né en juillet, sont restés à Tindouf. La semaine passée, alors qu'il décide de rentrer chez lui, des responsables sahraouis avertissent sa famille que s'il revient à Tindouf, il sera emprisonné.

Sa faute ? Avoir déclaré publiquement, alors qu'il était à Smara, donc sous contrôle marocain, que les Sahraouis devraient pouvoir décider s'ils préfèrent négocier avec le Maroc une plate-forme d'autonomie du Sahara. Une formule qui ressemble fort à la solution proposée par Rabat. Et qui tourne le dos au référendum d'autodétermination réclamé par le Front Polisario, l'Algérie et les Nations unies.

Mustafa Selam Sidi Mouloud, le Rguibat, s'est installé à Zouérate, au nord de la Mauritanie, d'où il tente d'avertir le monde entier sur son sort. Il affirme qu'il veut tenter de rentrer chez lui, à Tindouf, à 800 kilomètres de piste dans le désert, quoi qu'il lui en coûte. Il revendique aussi le droit des Sahraouis de Tindouf de pouvoir discuter de leur avenir. Quant aux Marocains, ils ne sont pas mécontents de rendre la monnaie de sa pièce au Front Polisario et de faire oublier l'affaire Aminatou Haidar. De part et d'autre, ce sont les Sahraouis qui en pâtissent.

Par Mireille Duteil Publié le 16/09/2010 à 21:12 Le Point.fr

Une  première au Sahara Marocain 162940-mustafa-une-jpg_64127
Mustafa Selam Sidi Mouloud s'est installé à Zouérate, au nord de la Mauritanie
Lire «Ceux qui dirigent aujourd’hui le Polisario ne sont pas de vrais sahraouis ! »

sur ce lien :
http://www.lesafriques.com/actualite/moustapha-ould-salma-l-homme-qui-fait-trembler-le-polisario-p.html?Itemid=89

MJB



moimeme a écrit:Une délégation de sénateurs français en visite dans la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El-Hamra



- Une délégation de sénateurs français actuellement en visite dans le Royaume, s'est rendue mercredi soir à Laâyoune, pour une tournée de trois jours dans les provinces du sud du Maroc.



Au cours de cette tournée, les membres de la délégation française, conduite par le président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat, M. Christian Cambon, tiendront une série de rencontres avec des responsables, élus et notables des régions de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El Hamra et de Oued-Eddahab-Lagouira et visiteront une série de projets de développement local, notamment les ouvrages et installations hydriques.



A leur arrivée à l'aéroport Hassan I de Laâyoune, la délégation française, représentant différentes sensibilités politiques, a été accueillie par le wali de la région, gouverneur de la province de Laâyoune, M. Mohamed Jelmous, des élus et responsables locaux et des Chioukhs de tribus sahraouies.



Qualifiant "d'importante cette visite, qui intervient à l'invitation du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, M. Cambon a noté que "nous sommes venus pour s'informer des conditions de développement de cette région et prendre toute la mesure des investissements qui ont déjà été faits et de toutes les infrastructures qui ont été réalisés".

Dans une déclaration à la presse à l'aéroport de Laâyoune, il a noté que la visite est l'occasion pour les membres de la délégation pour réaffirmer "l'appui de la France et du Sénat aux efforts pour la recherche d'un processus qui apporte la paix, le développement et l'apaisement à la région, notamment à travers l'initiative d'autonomie marocaine qui nous semble être une bonne base de négociations".

M. Cambon a souligné que "pendant plusieurs années, aucune solution n'a été trouvée et aujourd'hui, grâce à l'initiative d'autonomie, il y a des bases concrètes d'une avancée sérieuse dans le processus de négociation".

M. Cambon a attiré par ailleurs l'attention sur "la situation d'insécurité qui prévaut dans la région du Sahel en raison des risques de terrorisme et de trafic de tout genre menaçant ces territoires sahélienne et qui inquiètent beaucoup la communauté internationale".

De son côté, le président du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, M. Abderrahim Atmoun, a souligné l'importance de la visite des sénateurs français dans les provinces du sud du Royaume, se félicitant par ailleurs de la position exprimée par les membres de la délégation française qui ont réitéré le soutien de leur pays à l'initiative marocaine d'autonomie.

Il a indiqué que cette visite permettra aux sénateurs français qui appartiennent aux groupes parlementaires de l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP-au pouvoir), du Parti Socialiste (PS-opposition de gauche) de l'union Centriste (UC) et du Rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE-libéral) de s'enquérir de près des efforts de développement consentis dans les provinces du sud dans différents secteurs.

MAP



Les Sahraouis tiraillés entre le Maroc et le Polisario


Cela ressemble à une partie de ping-pong au Sahara. En novembre 2009, Haminatou Haïdar, une militante sahraouie originaire d'el Aiun, dans l'ex-Sahara occidental, avait été empêchée par les autorités marocaines de rentrer chez elle, après une tournée en Europe où elle avait prôné le droit à l'autodétermination des Sahraouis. Une grève de la faim et la pression des pays amis du Maroc lui avaient permis de rentrer à son domicile.

Cette fois, c'est le camp adverse, le Front Polisario, qui fait montre d'intransigeance. La victime : Mustafa Selam Sidi Mouloud, 42 ans, inspecteur général de la police, un poste important au sein de la république arabe saharouie. Mustafa Selam vit à Tindouf, dans cette région du Sahara algérien qui abrite les camps du Front Polisario, depuis l'âge de 11 ans.

En avril, grâce à l'ONU, il peut se rendre à Smara, sa ville natale, du côté marocain du Sahara occidental, pour y retrouver son père, 80 ans. Sa femme et ses cinq enfants, dont un bébé né en juillet, sont restés à Tindouf. La semaine passée, alors qu'il décide de rentrer chez lui, des responsables sahraouis avertissent sa famille que s'il revient à Tindouf, il sera emprisonné.

Sa faute ? Avoir déclaré publiquement, alors qu'il était à Smara, donc sous contrôle marocain, que les Sahraouis devraient pouvoir décider s'ils préfèrent négocier avec le Maroc une plate-forme d'autonomie du Sahara. Une formule qui ressemble fort à la solution proposée par Rabat. Et qui tourne le dos au référendum d'autodétermination réclamé par le Front Polisario, l'Algérie et les Nations unies.

Mustafa Selam Sidi Mouloud, le Rguibat, s'est installé à Zouérate, au nord de la Mauritanie, d'où il tente d'avertir le monde entier sur son sort. Il affirme qu'il veut tenter de rentrer chez lui, à Tindouf, à 800 kilomètres de piste dans le désert, quoi qu'il lui en coûte. Il revendique aussi le droit des Sahraouis de Tindouf de pouvoir discuter de leur avenir. Quant aux Marocains, ils ne sont pas mécontents de rendre la monnaie de sa pièce au Front Polisario et de faire oublier l'affaire Aminatou Haidar. De part et d'autre, ce sont les Sahraouis qui en pâtissent.

Par Mireille Duteil Publié le 16/09/2010 à 21:12 Le Point.fr

Une  première au Sahara Marocain 162940-mustafa-une-jpg_64127
Mustafa Selam Sidi Mouloud s'est installé à Zouérate, au nord de la Mauritanie
Lire «Ceux qui dirigent aujourd’hui le Polisario ne sont pas de vrais sahraouis ! »

sur ce lien :
http://www.lesafriques.com/actualite/moustapha-ould-salma-l-homme-qui-fait-trembler-le-polisario-p.html?Itemid=89
Il est trés bien placé et a toutes ses raisons pour le dire.

MJB



«Ceux qui dirigent aujourd’hui le Polisario ne sont pas de vrais sahraouis ! »
Le soleil se couche sur Zouérat, la prospère ville minière du Nord-Est mauritanien. Dans cette cité qui a vu naître le Polisario de Moustapha El Ouali dans les années 70, un homme s’apprête à défier le rideau de fer qui sépare les camps de Tindouf du reste du monde. Cet homme c’est Moustapha Ould Salma, inspecteur général de la Police du Polisario, en «rupture de ban » depuis le mois d’août dernier. L’entretien qu’il a accepté d’accorder à "Les Afriques" est réalisé quelques heures avant le grand voyage de 800 km, qui doit le mener vers les camps de Tindouf. Un voyage sur une piste rocailleuse et des chemins sinueux qui ne sera pas de tout repos.

Où en êtes-vous aujourd’hui avec votre projet de rejoindre les camps de réfugiés de Tindouf ?
Je suis en route avec deux amis. Dès demain (NDLR : aujourd’hui, 16 septembre 2010), j’entame mon trajet de 800 km qui doit me conduire de Zouératt à Tindouf. Je passerai la frontière mauritanienne à partir de Bir Moghrein. Ma mère m’attend à 50 km de l’autre côté de la frontière. Et nous nous retrouverons si le Polisario le veut bien. Tout ce que je veux c’est retrouver ma famille. J’ai écouté quelques dirigeants du Polisario me dire que je ne peux pas rentrer dans le camp. Le représentant du Polisario en France a dit à travers la chaîne El Arabia que je suis marocain.

Justement, êtes-vous un authentique Sahraoui ?
Je n’ai pas besoin de polémiquer là dessus. Je suis un sahraoui de la tribu Regueibat. Ma famille est de l’ex Sahara espagnol. Il faut dire que tous les authentiques sahraouis sont marginalisés par la direction actuelle du Polisario. Je prendrai en exemple le président de la RASD, Ould Abdel Aziz, dont le père est un marocain de Marrakech. Ou encore, le ministre de la défense dont toute la famille est de Tindouf. Nous avons des algériens et des mauritaniens qui occupent des postes de responsabilité. Les vrais sahraouis sont parqués dans les camps de réfugiés. Les 90% du haut commandement ne sont pas de vrais sahraouis.

[b]Pourquoi avez –vous choisi de parler maintenant. Qu’est-ce qui vous motive ? [/b]
Avant, je vivais dans les camps de réfugiés comme la majorité des sahraouis. Je n’ai jamais vu le Maroc. De 1979 à 2010, on nous a appris à reporter tous nos maux sur le Maroc. Mais quand j’ai visité le royaume pour rendre visite à mon père à Smara, j’ai pu mesurer l’évolution du Maroc. Le Maroc de 2010 n’est pas celui des années 70 ou 80. Le Maroc a évolué dans sa vision. La proposition d’autonomie est quelque chose de nouveau. Quant à ma prise de position, elle s’adresse d’abord au peuple sahraoui. Les sahraouis ne doivent pas attendre les algériens et les marocains terminer leur conflit pour régler leurs problèmes.

Etes-vous entrain de dire qu’il n’y a aucune responsabilité du Polisario ?
Le Polisario n’existe pas. Il y a deux pays qui se font face. Le Polisario exprime les intérêts algériens. Il ne peut pas exister sans le soutien de ce pays.

Ce plan d’autonomie peut-il être entériné par le Polisario sans l’aval de l’Algérie ?

L’Algérie a ses propres intérêts au Sahara. Nous, Sahraoui, devons sortir de l’agenda d’Algérie ou d’Espagne et prendre véritablement position pour nous même. L’autonomie du Sahara avec le Maroc est une solution viable. Je voulais m’en expliquer, mais le sujet n’intéresse pas les leaders Sahraouis parce que leurs familles ne sont pas concernées. Les leaders du Polisario qui sont là depuis 1973 ne sont pas Sahraouis pour la plupart. Comment peuvent-ils s’intéresser au sort du peuple Sahraoui. Comme je l’ai dit, la tribu du président Mohamed El Abdel Aziz et celle du ministre de la défense ne vivent pas au Sahara contrairement à la mienne.

Quelles sont les relations entre le Polisario et les ONG ?
Le Polisario c’est une organisation qui n’est pas membre de l’ONU. Donc il dispose d’une marge de manoeuvre élargie n’étant pas soumis aux règles des Etats.

Mais comment l’organisation finance-t-il son budget de fonctionnement ?

Vous parlez d’argent, c’est justement le point noir. Le budget ne se discute pas au parlement sahraoui qui est sensé le faire .

Au sein du Polisario, y-t-il une frange favorable au plan d’autonomie proposé par le Maroc ?
Certainement. La majorité des sahraouis sont des jeunes qui veulent le changement. Nous voulons changer la situation des sahraouis figée depuis les années 70. Ce n’est malheureusement pas la position des responsables sahraouis qui profitent de la misère de leur peuple.

Finalement, quelle est la différence entre le Polisario historique de Moustapha El Ouali et celui de Abdel Aziz ?
La différence est très grande. En 34 ans, Mohamed Abdel Aziz n’a rien fait. Là aussi je dirai parce que El Ouali est un vrai sahraoui, sa famille y vit, contrairement à Abdel Aziz dont la famille est à Tindouf, une localité algérienne. Les habitants de Tindouf sont algériens.

Comment expliquez-vous le ralliement massif des jeunes sahraouis au Maroc ?
Ce que je peux en dire, c’est que ce n’est pas facile pour ceux qui vivent dans ces camps de réfugiés de franchir les différents obstacles des armes et des murs sans fenêtres. Les gens qui prennent des risques partent. Les autres restent dans les camps de réfugiés.

Avez-vous été influencé d’une manière ou d’une autre par le Maroc par exemple ?
Ma décision est personnelle. Le Maroc n’a rien à y voir. C’est mon projet. Demain, je vais entamer ce trajet. La distance est très longue. Je lance un appel à toutes les organisations internationales. Je demande aux médias de me soutenir dans cette entreprise pour rallier ma famille et mes enfants.

En tant que chef de la police et responsable des prisons, vous savez que vous risquez peut être la prison ?
En effet tout est possible. Ce que je veux c’est voir ma famille. Je veux que les sahraouis se libèrent, qu’il puisse réfléchir et décider de leurs destins eux-mêmes



http://www.lesafriques.com/actualite...article=261270



Dernière édition par MJB le Ven 17 Sep - 15:39, édité 1 fois (Raison : souligner les questions)

admin"SNP1975"

admin
Admin

moimeme a écrit:Une délégation de sénateurs français en visite dans la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El-Hamra



- Une délégation de sénateurs français actuellement en visite dans le Royaume, s'est rendue mercredi soir à Laâyoune, pour une tournée de trois jours dans les provinces du sud du Maroc.



Au cours de cette tournée, les membres de la délégation française, conduite par le président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat, M. Christian Cambon, tiendront une série de rencontres avec des responsables, élus et notables des régions de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El Hamra et de Oued-Eddahab-Lagouira et visiteront une série de projets de développement local, notamment les ouvrages et installations hydriques.



A leur arrivée à l'aéroport Hassan I de Laâyoune, la délégation française, représentant différentes sensibilités politiques, a été accueillie par le wali de la région, gouverneur de la province de Laâyoune, M. Mohamed Jelmous, des élus et responsables locaux et des Chioukhs de tribus sahraouies.



Qualifiant "d'importante cette visite, qui intervient à l'invitation du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, M. Cambon a noté que "nous sommes venus pour s'informer des conditions de développement de cette région et prendre toute la mesure des investissements qui ont déjà été faits et de toutes les infrastructures qui ont été réalisés".

Dans une déclaration à la presse à l'aéroport de Laâyoune, il a noté que la visite est l'occasion pour les membres de la délégation pour réaffirmer "l'appui de la France et du Sénat aux efforts pour la recherche d'un processus qui apporte la paix, le développement et l'apaisement à la région, notamment à travers l'initiative d'autonomie marocaine qui nous semble être une bonne base de négociations".

M. Cambon a souligné que "pendant plusieurs années, aucune solution n'a été trouvée et aujourd'hui, grâce à l'initiative d'autonomie, il y a des bases concrètes d'une avancée sérieuse dans le processus de négociation".

M. Cambon a attiré par ailleurs l'attention sur "la situation d'insécurité qui prévaut dans la région du Sahel en raison des risques de terrorisme et de trafic de tout genre menaçant ces territoires sahélienne et qui inquiètent beaucoup la communauté internationale".

De son côté, le président du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, M. Abderrahim Atmoun, a souligné l'importance de la visite des sénateurs français dans les provinces du sud du Royaume, se félicitant par ailleurs de la position exprimée par les membres de la délégation française qui ont réitéré le soutien de leur pays à l'initiative marocaine d'autonomie.

Il a indiqué que cette visite permettra aux sénateurs français qui appartiennent aux groupes parlementaires de l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP-au pouvoir), du Parti Socialiste (PS-opposition de gauche) de l'union Centriste (UC) et du Rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE-libéral) de s'enquérir de près des efforts de développement consentis dans les provinces du sud dans différents secteurs.

MAP










Les Sahraouis tiraillés entre le Maroc et le Polisario


Cela ressemble à une partie de ping-pong au Sahara. En novembre 2009, Haminatou Haïdar, une militante sahraouie originaire d'el Aiun, dans l'ex-Sahara occidental, avait été empêchée par les autorités marocaines de rentrer chez elle, après une tournée en Europe où elle avait prôné le droit à l'autodétermination des Sahraouis. Une grève de la faim et la pression des pays amis du Maroc lui avaient permis de rentrer à son domicile.

Cette fois, c'est le camp adverse, le Front Polisario, qui fait montre d'intransigeance. La victime : Mustafa Selam Sidi Mouloud, 42 ans, inspecteur général de la police, un poste important au sein de la république arabe saharouie. Mustafa Selam vit à Tindouf, dans cette région du Sahara algérien qui abrite les camps du Front Polisario, depuis l'âge de 11 ans.

En avril, grâce à l'ONU, il peut se rendre à Smara, sa ville natale, du côté marocain du Sahara occidental, pour y retrouver son père, 80 ans. Sa femme et ses cinq enfants, dont un bébé né en juillet, sont restés à Tindouf. La semaine passée, alors qu'il décide de rentrer chez lui, des responsables sahraouis avertissent sa famille que s'il revient à Tindouf, il sera emprisonné.

Sa faute ? Avoir déclaré publiquement, alors qu'il était à Smara, donc sous contrôle marocain, que les Sahraouis devraient pouvoir décider s'ils préfèrent négocier avec le Maroc une plate-forme d'autonomie du Sahara. Une formule qui ressemble fort à la solution proposée par Rabat. Et qui tourne le dos au référendum d'autodétermination réclamé par le Front Polisario, l'Algérie et les Nations unies.

Mustafa Selam Sidi Mouloud, le Rguibat, s'est installé à Zouérate, au nord de la Mauritanie, d'où il tente d'avertir le monde entier sur son sort. Il affirme qu'il veut tenter de rentrer chez lui, à Tindouf, à 800 kilomètres de piste dans le désert, quoi qu'il lui en coûte. Il revendique aussi le droit des Sahraouis de Tindouf de pouvoir discuter de leur avenir. Quant aux Marocains, ils ne sont pas mécontents de rendre la monnaie de sa pièce au Front Polisario et de faire oublier l'affaire Aminatou Haidar. De part et d'autre, ce sont les Sahraouis qui en pâtissent.

Par Mireille Duteil Publié le 16/09/2010 à 21:12 Le Point.fr


Mustafa Selam Sidi Mouloud s'est installé à Zouérate, au nord de la Mauritanie
Lire «Ceux qui dirigent aujourd’hui le Polisario ne sont pas de vrais sahraouis ! »

sur ce lien :
http://www.lesafriques.com/actualite/moustapha-ould-salma-l-homme-qui-fait-trembler-le-polisario-p.html?Itemid=89

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

Mon cher MJB ,

Ce billet est déjà posté sur ce lien ci-dessus.
Salutations

http://www.marocainsdalgerie.net

MJB



admin a écrit:Mon cher MJB ,

Ce billet est déjà posté sur ce lien ci-dessus.
Salutations
.
Je m'excuse, je ne le savais pas: je l'ai prise pour une autre intervention differente de celle ci.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Deux journalistes d'"Assahrae Al Ousbouiya" arrêtés par les services de sécurité algériens à Tindouf


Alger, 18/09/10- Deux journalistes de l'hebdomadaire marocain "Assahrae al Ousbouiya", arrivés vendredi en Algérie pour couvrir le retour vers les camps de Tindouf dans le sud ouest algérien de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, inspecteur général de la "police du polisario", ont été arrêtés samedi tôt dans la matinée par les services de sécurité à leur descente d'avion à Tindouf-ville, apprend-on auprès de la direction de la publication.


Les deux journalistes qui ont été arrêtés à 02H30, "ont été interrogés durant 3h30 au commissariat de l'aéroport par différents corps de sécurité avant d'être emmenés vers un hôtel où il leur a été signifié de ne pas le quitter jusqu'à nouvel ordre", a précisé la même source.
Les services de police algériens ont aussi confisqué les documents des journalistes, a ajouté la direction de l'hebdomadaire qui a exprimé son "étonnement face aux agissements des autorités algériennes.
La direction de la publication "dénonce cette énième entrave à la liberté de la presse en Algérie et exige de laisser les journalistes d'Assahrae al Ousbouiya accomplir leur mission dans les camps de Tindouf".


MAP

http://www.marocainsdalgerie.net

moi même

moi même

Les journalistes d'"Assahrae al Ousbouiya" toujours retenus dans un hôtel à Tindouf

Salam,

cette info est déjà traitée sur ce topic.
Bonne nuit

yaz



.Cherchez , cherchez nous , ya si les Marocains colons et vous allez voires si nous allons vous pendres au première poteaux venus..!.96 hr de gardes à vue , et nous allons vous les renvoyez vos espions du Makhzen..!.

moi même

moi même

moimeme a écrit:Les journalistes d'"Assahrae al Ousbouiya" toujours retenus dans un hôtel à Tindouf

Salam,

cette info est déjà traitée sur ce topic.
Bonne nuit
Merci pour ta diligence et surtout pour ta patience.
On te souhaites de beaux rêves, Si Abdel.

MJB



yaz a écrit:.Cherchez , cherchez nous , ya si les Marocains colons et vous allez voires si nous allons vous pendres au première poteaux venus..!.96 hr de gardes à vue , et nous allons vous les renvoyez vos espions du Makhzen..!.
.
TU ES NORMAL??????!!!!!!!!.

yaz



MJB a écrit:
yaz a écrit:.Cherchez , cherchez nous , ya si les Marocains colons et vous allez voires si nous allons vous pendres au première poteaux venus..!.96 hr de gardes à vue , et nous allons vous les renvoyez vos espions du Makhzen..!.
.
TU ES NORMAL??????!!!!!!!!.
.La question elle serait plutot , 'tu es serieux' ?..La réponse est OUI , car à force de nous cherchez des poux chez nous en Algérie , nous vous pendrons au premier poteau venus..!..ya si MJB , mon voisin le colon..!.

MJB



yaz a écrit:
MJB a écrit:
yaz a écrit:.Cherchez , cherchez nous , ya si les Marocains colons et vous allez voires si nous allons vous pendres au première poteaux venus..!.96 hr de gardes à vue , et nous allons vous les renvoyez vos espions du Makhzen..!.
.
TU ES NORMAL??????!!!!!!!!.
.La question elle serait plutot , 'tu es serieux' ?..La réponse est OUI , car à force de nous cherchez des poux chez nous en Algérie , nous vous pendrons au premier poteau venus..!..ya si MJB , mon voisin le colon..!.
.
QUI C'EST LE COLON????
TU as des moustaches en alfa et tu n'as pas peur de souffler le feu.
Normalement tu es BAZ et non YAZ!!!!!

yaz



MJB a écrit:
yaz a écrit:
MJB a écrit:
yaz a écrit:.Cherchez , cherchez nous , ya si les Marocains colons et vous allez voires si nous allons vous pendres au première poteaux venus..!.96 hr de gardes à vue , et nous allons vous les renvoyez vos espions du Makhzen..!.
.
TU ES NORMAL??????!!!!!!!!.
.La question elle serait plutot , 'tu es serieux' ?..La réponse est OUI , car à force de nous cherchez des poux chez nous en Algérie , nous vous pendrons au premier poteau venus..!..ya si MJB , mon voisin le colon..!.
.
QUI C'EST LE COLON????
TU as des moustaches en alfa et tu n'as pas peur de souffler le feu.
Normalement tu es BAZ et non YAZ!!!!!
.Tu n'as toujours pas et aucunes diplomatie voisin MJB , mais un jour ou l'autre inchallah ! , ce-là finira bien par vous perdre , Marocains et tres colons..!. Une  première au Sahara Marocain 659571 ..

MJB



yaz a écrit:
MJB a écrit:
yaz a écrit:
MJB a écrit:
yaz a écrit:.Cherchez , cherchez nous , ya si les Marocains colons et vous allez voires si nous allons vous pendres au première poteaux venus..!.96 hr de gardes à vue , et nous allons vous les renvoyez vos espions du Makhzen..!.
.
TU ES NORMAL??????!!!!!!!!.
.La question elle serait plutot , 'tu es serieux' ?..La réponse est OUI , car à force de nous cherchez des poux chez nous en Algérie , nous vous pendrons au premier poteau venus..!..ya si MJB , mon voisin le colon..!.
.
QUI C'EST LE COLON????
TU as des moustaches en alfa et tu n'as pas peur de souffler le feu.
Normalement tu es BAZ et non YAZ!!!!!
.Tu n'as toujours pas et aucunes diplomatie voisin MJB , mais un jour ou l'autre inchallah ! , ce-là finira bien par vous perdre , Marocains et tres colons..!. Une  première au Sahara Marocain 659571 ..
.
Par respect à mon ami oranais, je m'abstiens de répondre à ce que tu as écrits et surtout je cite:" Marocains et très colons..!. Une  première au Sahara Marocain 659571 ..".
MAIS SI TU COMMENCES BIEN TU AURAS TA REPONSE QUI NE CONCERNE QUE TA PERSONNE.

yaz



Rendez-vous donc , à Manhasset Etats Unis pour le V round (front le polisario--Maroc) , et si vous avez des principes voisin le colon Marocain du sahara occidental de la RASD , Mr MJB..!.

MJB



yaz a écrit:Rendez-vous donc , à Manhasset Etats Unis pour le V round (front le polisario--Maroc) , et si vous avez des principes voisin le colon Marocain du sahara occidental de la RASD , Mr MJB..!.
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Pour differencier entre le colon et le colonisateur à si YAZ, je te souhaite une bonne lecture pour savoir de quoi étaient capables tes gouvernants et leur responsabilité dans le conflit algero marocain:
source: http://www.reynier.com/ANTHRO/Afrique/Maghreb/Maroc_Afrique.html

Le 6 juillet 1961, un protocole d'accord entre le gouvernement du Maroc et le Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA) marque clairement les positions en présence : Rabat soutient le GPRA dans ses négociations avec la France sur la base du respect et de l'intégrité du territoire algérien ; le GPRA reconnaît le problème posé par la délimitation imposée arbitrairement par la France entre les deux pays et qui trouvera ultérieurement sa solution dans des négociations entre les deux gouvernement. Ce protocole précise dans son dernier paragraphe : « De ce fait, le Gouvernement provisoire de la république algérienne réaffirme que les accords qui pourront intervenir à la suite des négociations franco-algériennes ne sauraient être opposables au Maroc quant aux délimitations territoriales algéro-marocaines ». (11). Cela signifie que les dispositions qui seront prises entre la France et le GPRA, notamment dans les questions de délimitations frontalières ne pourront servir de base à un refus algérien quant aux revendications marocaines. Les deux gouvernements décident d'ailleurs la création d »'une commission algéro-marocaine pour procéder à l'étude et à la solution de ce problème dans un esprit de fraternité et d'unité maghrébine.
Mais le gouvernement de l'Algérie indépendante n'est pas disposée à reconnaître l'esprit de cet accord. En effet, en mars 1963, lors de sa visite officielle à Alger, le sultan Hassan II reçoit du président algérien Ahmed Ben Bella l'assurance que la question des frontières sera étudiée rapidement. Mais à son retour de nombreux marocains sont expulsés d'Algérie. La tension monte très rapidement et des affrontements ont lieu le ç octobre dans la région de Tindouf. Une guerre larvée commence.

yaz



.Voisin MJB , cela ne sert à riens de mettre de tiers personnes entre nous , et de plus que se soit , Pierre , Paul ou Jacque nos anciens colons..!.La guerre d'indépendance de mon pays l'Algérie , seul mes oncles qui l'ont vecus et sortis vivant qui me la raconte ; Et Seul leur paroles est de diamants pour moi..!...Riens à foutre de ton Reynier et qu'il m'en escuse..!..