Le general FRANCO est sorti de sa tombe avec un burnous, jellabah, des gonts et des babouches blancs comme la neige pour defendre les droits de l'homme au sahara et au rif.
Le Maroc ne laissera jamais piétiner ou bafouer l'honneur de ses citoyens" [/size[/size][/color]]
Madrid, 07/11/07 - Le Directeur Général des Etudes et de la Documentation (DGED), M. Mohamed Yassine Mansouri, a affirmé mercredi que "le Maroc ne laissera jamais piétiner ou bafouer l'honneur de ses citoyens", annonçant des poursuites judiciaires contre les associations ayant porté plainte contre des responsables marocains pour un prétendu génocide au Sahara.
"Sachez bien que le Maroc ne laissera jamais piétiner ou bafouer l'honneur de ses citoyens quels qu'ils soient. Mon pays, qui a eu le courage d'ouvrir une page de son histoire et de la lire au monde dans le cadre de sa marche inébranlable vers la consolidation de l'Etat de droit et de la démocratie, n'a de leçon à recevoir de personne", a souligné M. Mansouri, dans une déclaration à l'agence de presse espagnole Europa Press et à l'AFP.
Il a annoncé qu'il allait porter plainte contre ceux qui ont cité son nom en rapport avec un prétendu génocide au Sahara marocain.
"Mon nom a été cité et un tel préjudice, qui vise à porter atteinte à mon honneur et salir ma personne, ne peut être passé sous silence et doit être aujourd'hui dénoncé. Aussi, me réserverai-je le droit d'obtenir réparation du préjudice moral qui m'a été causé, en chargeant mes conseils d'introduire une action en dénonciation calomnieuse contre ces associations et personnes, à la solde dont on connaît l'origine et l'orientation, qui s'affairent maladroitement à manipuler l'histoire et la vérité", a-t-il affirmé.
M. Mansouri a indiqué qu'"en qualité de simple citoyen marocain", il entend exprimer son "indignation et amertume" à la suite de cette plainte déposée auprès de l'Audience Nationale, pour un prétendu crime de génocide perpétré au Sahara marocain.
"Moi, Mohamed Yassine Mansouri, je ne puis qu'éprouver mépris et ressentiment face à de telles accusations graves. Il est encore heureux que la justice espagnole se soit finalement aperçue que la plainte en question concernait aussi l'enfant âgé d'une douzaine d'années que j'étais dans les années 70", a-t-il affirmé.
Le responsable marocain, en déplacement en Espagne, a indiqué que sa visite dans ce pays s'inscrivait dans le cadre de l'accomplissement de ses responsabilités.
"Mon intention n'est pas ici de réagir aux récents développements qu'ont connus les relations des royaumes du Maroc et d'Espagne. Le Maroc a déjà fait connaître sa position à ce sujet, tant au niveau officiel que populaire et je n'ai donc nul besoin d'y revenir", a expliqué M. Mansouri.
"Je suis aujourd'hui en Espagne, au regard des responsabilités qui sont les miennes, pour poursuivre le travail et le combat que nous avons engagés ensemble pour préserver la sécurité et la stabilité de nos deux pays et celles de tout le pourtour méditerranéen, sincèrement convaincu que c'est notre destinée commune. Un tel travail et un tel combat ne sauraient souffrir d'aucune provocation, d'aucun malentendu ni d'aucune maladresse", a-t-il conclu.
MAP 08/11/2007.
Le Maroc ne laissera jamais piétiner ou bafouer l'honneur de ses citoyens" [/size[/size][/color]]
Madrid, 07/11/07 - Le Directeur Général des Etudes et de la Documentation (DGED), M. Mohamed Yassine Mansouri, a affirmé mercredi que "le Maroc ne laissera jamais piétiner ou bafouer l'honneur de ses citoyens", annonçant des poursuites judiciaires contre les associations ayant porté plainte contre des responsables marocains pour un prétendu génocide au Sahara.
"Sachez bien que le Maroc ne laissera jamais piétiner ou bafouer l'honneur de ses citoyens quels qu'ils soient. Mon pays, qui a eu le courage d'ouvrir une page de son histoire et de la lire au monde dans le cadre de sa marche inébranlable vers la consolidation de l'Etat de droit et de la démocratie, n'a de leçon à recevoir de personne", a souligné M. Mansouri, dans une déclaration à l'agence de presse espagnole Europa Press et à l'AFP.
Il a annoncé qu'il allait porter plainte contre ceux qui ont cité son nom en rapport avec un prétendu génocide au Sahara marocain.
"Mon nom a été cité et un tel préjudice, qui vise à porter atteinte à mon honneur et salir ma personne, ne peut être passé sous silence et doit être aujourd'hui dénoncé. Aussi, me réserverai-je le droit d'obtenir réparation du préjudice moral qui m'a été causé, en chargeant mes conseils d'introduire une action en dénonciation calomnieuse contre ces associations et personnes, à la solde dont on connaît l'origine et l'orientation, qui s'affairent maladroitement à manipuler l'histoire et la vérité", a-t-il affirmé.
M. Mansouri a indiqué qu'"en qualité de simple citoyen marocain", il entend exprimer son "indignation et amertume" à la suite de cette plainte déposée auprès de l'Audience Nationale, pour un prétendu crime de génocide perpétré au Sahara marocain.
"Moi, Mohamed Yassine Mansouri, je ne puis qu'éprouver mépris et ressentiment face à de telles accusations graves. Il est encore heureux que la justice espagnole se soit finalement aperçue que la plainte en question concernait aussi l'enfant âgé d'une douzaine d'années que j'étais dans les années 70", a-t-il affirmé.
Le responsable marocain, en déplacement en Espagne, a indiqué que sa visite dans ce pays s'inscrivait dans le cadre de l'accomplissement de ses responsabilités.
"Mon intention n'est pas ici de réagir aux récents développements qu'ont connus les relations des royaumes du Maroc et d'Espagne. Le Maroc a déjà fait connaître sa position à ce sujet, tant au niveau officiel que populaire et je n'ai donc nul besoin d'y revenir", a expliqué M. Mansouri.
"Je suis aujourd'hui en Espagne, au regard des responsabilités qui sont les miennes, pour poursuivre le travail et le combat que nous avons engagés ensemble pour préserver la sécurité et la stabilité de nos deux pays et celles de tout le pourtour méditerranéen, sincèrement convaincu que c'est notre destinée commune. Un tel travail et un tel combat ne sauraient souffrir d'aucune provocation, d'aucun malentendu ni d'aucune maladresse", a-t-il conclu.
MAP 08/11/2007.