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Algerie dans la presse algerienne_point de vue non marroki

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admin"SNP1975"
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Banque mondiale: L'Algérie parmi 14 pays investissant dans les projets d'énergies renouvelables à grande



Quatorze (14) pays à revenu intermédiaire dont l'Algérie ont élaboré des programmes pour rééquilibrer leurs sources d'énergie en investissant dans les projets d'énergies renouvelables à grande échelle, a indiqué lundi la Banque mondiale.



Avec l'appui du Fonds pour les technologies propres, ces pays en développement investissent dans les énergies renouvelables à grande échelle, notamment l'énergie solaire, éolienne ou géothermique, comme des sources fiables d'accès à l'énergie pour leurs populations, souligne la BM rappelant la tenue de la prochaine Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques qui se tiendra du 29 novembre au 10 décembre à Cancun (Mexique).



Outre l'Algérie, les pays ayant engagé ces programmes sont la Tunisie, Maroc, Afrique du Sud, Egypte, Jordanie, Turquie, Indonésie, Kazakhstan, Mexique, Philippines, Thaïlande, Ukraine et Vietnam, souligne la BM citant les résultats de la réunion du Comité du Fonds pour les technologies propres (FTC) tenue lundi à Washington.



Cette réunion a fait le point sur les bilans de réalisation d'une première série de ces projets d'énergies renouvelables engagés par ces pays pour un total de 2,4 milliards de dollars.



Concernant l'Algérie, les trois projets cités par ce Fonds sont les trois centrales solaires hybrides CSP (concentrating solar power) de Naama, Hassi R'mel et Meghair.



Il est à rappeler que la centrale de production d’énergie hybride, solaire et gaz de Hassi R’Mel près de Laghouat, qui devra être réceptionnée en janvier 2011, est un projet mené près d’un gisement de gaz naturel considéré comme le plus important en Algérie.







Mention speciale à l'Algerie, le Mexique....pays disposant d'energies fossiles




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Salon algéro-allemand sur l'environnement
Le deuxième Salon algéro-allemand sur l'environnement "EnviroAlgérie 2010", qui intègre un congrès et une bourse de coopération, se tiendra du 22 au 24 novembre à Alger, ont annoncé, lundidernier, les organisateurs dans un communiqué.

Ce Salon sera organisé par la coopération technique allemande (GTZ), en collaboration avec la Chambre algéro-allemande de commerce et d'industrie (AHK Algérie), sous le haut patronage du ministère algérien de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, et avec le soutien du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement.
Il a pour objectif de "donner des impulsions supplémentaires pour le renforcement des relations économiques existantes et en initier de nouvelles pour des coopérations à valeur ajoutée pour les deux pays" ainsi que "de relever des défis environnementaux", précise-t-on de même source. "La AHK Algérie et le GTZ apportent une contribution complémentaire, dans le cadre de leurs prérogatives et de leurs activités, pour l'approfondissement des coopérations et des relations économiques algéro-allemandes et pour donner l'opportunité aux entreprises et décideurs algériens d'accéder aux technologies et aux solutions allemandes du domaine de l'environnement", lit-on dans le communiqué.
Plus de 30 entreprises allemandes et 35 entreprises et institutions algériennes, actives dans le domaine de la gestion des déchets, des eaux, des énergies renouvelables et de l'efficience énergétique, exposeront leurs produits au Palais de la Culture d'Alger, sur une surface d'environ 1.500 m2.

Parmi les exposants se trouvent, également, des "leaders mondiaux" des différents domaines de la technologie de l'environnement.
"La participation en grand nombre des exposants souligne à nouveau l'intérêt des deux pays à intensifier leurs relations partenariales", soulignent encore les organisateurs.

Plusieurs entreprises allemandes sont, déjà, chargées de réaliser des projets en Algérie dans les domaines de l'environnement, en particulier dans le domaine des eaux usées, la gestion des déchets et des énergies renouvelables, relèvent-ils à propos de la coopération algéro-allemande en matière d'environnement.

Un congrès, qui sera organisé parallèlement au Salon sur le thème "Energies renouvelables et changement climatique", offrira aux entrepreneurs et aux experts allemands et algériens la possibilité d'échanger des informations sur les évolutions les plus récentes dans ces secteurs, d'émettre et de discuter des solutions et d'évaluer les potentiels qu'offre le marché algérien dans le cadre par exemple du Mécanisme pour un développement propre (MDP).

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Journée sur les opportunités d'investissements en Algérie à Londres LONDRES- Un journée consacrée à l'examen des opportunités d'investissements dans le marché algérien, sera organisée le 8 décembre prochain à Londres par la Middle East Association (MEA), a-t-on appris jeudi auprès de cet organisme. Cette journée aura lieu en prévision de la prochaine mission commerciale britannique qui se rendra en Algérie, du 22 au 25 janvier 2011, précise la même source. La MEA a élaboré un riche programme pour cette journée avec des communications telles que "la nouvelle loi d'investissement et les ramifications des affaires", "Aperçu sur l'Algérie à partir d'un point de vue éclairé" , "Pétrole, gaz et appels d'offres: Conseils sur les offres gagnantes" et "l'Algérie comme un partenaire commercial au fil des ans", qui seront assurées par des experts.

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Alstom et Ferrovial créent une usine d'assemblage


L'entreprise publique Ferrovial et le groupe français Alstom ont signé, ce dimanche, à Alger, en présence du ministre des Transports, Amar Tou, le contrat de partenariat pour la création d'une société mixte algéro française. Ce contrat devait être signé depuis quelques années déjà.



Il s'agit d'un engagement pour l'assemblage et la maintenance des rames de tramways en Algérie. Dans ce sens, le ministre des transports a fait savoir que " l'accord pour la création de cette société mixte, nous fait passer d'une situation de consommateur de technologies et d'équipements à une participation à des niveaux progressifs en matière de montage et de fabrication ".



Il a ajouté que " cette usine de montage verra la première rame sortir d'ici fin 2013. Dotée d'un capital de 2,1 milliards de dinars (23 millions d'euros), cette société sera détenue conjointement par l'Etat algérien et la société Alstom. La répartition du capital de la future entité se fera conformément aux dispositions de la nouvelle loi sur les investissements étrangers : 49% pour Alstom, 41% iront à Ferrovial et 10% à l'Entreprise du métro d'Alger (EMA).


Le montant de l'investissement et le nombre d'emplois qui seront créés, n'ont pas été dévoilé pour le moment. Ce qui est sûr, est que l'unité d'assemblage sera aménagée sur un site de fabrication déjà existant appartenant à Annaba. Les employés algériens seront formés pour assurer la maintenance de ce matériel, fabriqués en France par la société Alstom puis envoyés à Annaba pour l'assemblage.



Par ailleurs, Alstom est présente en Algérie depuis de nombreuses années, elle a pu grâce au programme de soutien à la relance économique, se hisser dans le marché algérien pour le développement des chemins de fer et des tramways.




Alstom devrait bénéficier d'une part importante des 20 milliards de dollars engagés par l'Etat algérien pour le secteur des transports dans le cadre du programme quinquennal 2010/2014. Celui-ci concerne, notamment, le développement du secteur ferroviaire national avec la réalisation de 10.400 kilomètres de rail, la réhabilitation de 3.500 autres km de voies ferrées et l'électrification graduelle de l'ensemble du réseau ferroviaire algérien.



Le groupe Alstom, en charge depuis 2006 de la réalisation du projet du tramway d'Alger, est également sollicité pour la réalisation de tramways dans dix régions du pays (Constantine, Oran, Sidi Bel abbès, Tlemcen,… ).



Concernant la stratégie de cette unité de montage, une exportation vers l'étranger, peut être envisagé du moment que le tramway assemblé en Algérie répondra aux normes internationales.

Nassim I.

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Culture
"Certifié Hallal" de Mahmoud Zemmouri En tournage à Biskra

Après une éclipse sans doute indépendante de sa volonté, Mahmoud Zemmouri renoue avec le cinéma grand public. Il l'a annoncé à maintes reprises mais ce n'est que depuis quelques temps qu'il se planche concrètement sur son chantier,



"Certifié Hallal ", un long métrage qui est en tournage dans la ville de Biskra. Franco-algérien, le film qui traite comme dans la plupart de ces œuvres du mariage traditionnel. Le casting est bien sûr fait, et le public retrouvera sans grande surprise des acteurs comme Chafia Boudraâ, Othmane Ariouat, Mustapha Laâribi, Hamza Foughali, Laïla Bakhti et la liste est encore longue, selon Zemmouri.



Si, il y a surprise car Othmane Ariouat, le Adel Imam algérien a longtemps refusé d'être associé dans les palataux de tournage, car vu son talent, il demande à être payé comme une star et il a sans doute raison. Ce n'est pas les propositions qui lui manquent, mais ce dédain qu'ont souvent les réalisateurs pour certains comédiens qui le rebute.



Les deux premiers rôles de "Certifié Hallal " seront attribués à Sarah Forestier, l'artiste qui a eu le César de la meilleure actrice. L'auteur de " 100% arabica " a même intégré dans ce nouveau film quelques acteurs qui ont campé des rôles dans le téléfilm " L'immeuble de hadj Lakhdar ", à l'instar d'Omar Tayri, Yacine Boudjamline. Cout du long métrage ; 40 millions de dinars.


Réalisateur algérien, Mahmoud Zemmouri est aussi comédien. Il commence sa carrière devant les caméras en 1979, dans " Que fait-on ce dimanche " de Lofti Essid. Il poursuit dans " Tchao Pantin ", puis " Pinot, simple flic", " La Smala ", " Nuit d'ivresse ", " L'Œil au beurre noir ", " La Thune " et " Blanc d'ébène ". Il mène parallèlement sa carrière de réalisateur, commencée en 1980 avec " Prends 10 000 balles et tires-toi ".

Où est le projet avec Spielberg ?
L'an dernier, le spécialiste de l'émigration, Mahmoud Zemmouri nous apprenait qu'il avait un chantier avec le cinéaste, Steven Spielberg. La rencontre Zemmouri, Spielberg semblait avoir mûrie car en, 2006, le réalisateur et comédien algérien qui vit depuis une quarantaine d'années en France a joué un petit rôle sous la direction de Steven Spielberg dans le film " Munich " " J'y ai interprété le rôle d'un Libanais, sauf que le film, en final, faisait trois heures. Steven Spielberg l'a réduit à 2h40.




Donc, je parais très peu dans le film. Mais j'ai passé quand même quinze jours avec Spielberg, à Malte. C'était vraiment extraordinaire ! Je n'en revenais pas en voyant les moyens que peuvent mettre les gens dans les films. Cinq cameramen, trois chefs opérateurs, une équipe de 180 personnes. J'ai ressenti à la fois un étonnement, une émotion terrible et un complexe par rapport aux moyens du film Munich (rires). Mais pour vous dire, il y a eu une espèce de feeling entre nous et il m'a dit : " Vous avez une tête tellement sympathique Mahmoud Zemmouri lors de la sortie de son dernier long métrage, " Beur, Blanc rouge". Cette collaboration et ce felling n'en sont pas restés là, puisque le cinéaste avait avoué vouloir lui envoyer son " prochain scénario sur la guerre d'Algérie ".



C'était chose faite, et l'an dernier à l'occasion de la projection à la salle El Mouggar et dans le cadre du ciné-club hebdomadaire de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI), de son film, " 100% arabica ", le cinéaste a annoncé qu'il préparait ce film sur la guerre d'Algérie avec Spielberg. Mais s'en est resté là. Une chose est sûre c'est que n'est pas la première fois que les cinéastes occidentaux s'intéressent à cette guerre puisque à ce sujet de nombreux films (souvent contestés) ont été montés. La guerre d'Algérie, un sujet intarissable, était surtout le thème de prédilection de nos cinéastes formés dans les pays de l'Est, mais ce que l'histoire du cinéma retient à ce jour, c'est incontestablement le film de Ponté Corvo, " La bataille d'Alger ". un film jugé aussi authentique qu'esthétique.



Le feuilleton de Mustapha Badie adapté du livre " La grande maison" de Mohamed Dib est également une œuvre qui traduit de façon puissante les événements sanglants de la période colonialiste. Né en 1946 à Boufarik et établi en France depuis 1968, Mahmoud Zemmouri s'est fait connaître avec "Prends dix mille balles et casse-toi" qui épinglait la loi Stoléru (octroi d'une aide au retour de 10 000 F pour tout travailleur immigré désireux de quitter la France) et abordait, avec un humour un rien provocateur, les réactions de jeunes gens nés en France au contact du pays de leurs parents. Depuis, Mahmoud Zemmouri a tenté deux autres films dans la même veine, avant d'adapter au cinéma, dans un registre plus grave, "L'Honneur de la tribu", le roman de Rachid Mimouni paru en 1989 aux éditions Robert Laffont. Dix ans après "100% Arabica", le premier film de Mahmoud Zemmouri a être entièrement tourné en France, "Beur, blanc rouge" l'a été pour moitié en Algérie.



Rebouh.H

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"L'Algérie pourrait être le Hub de la finance islamique en Méditerranée"



Le directeur d'Isla Invest, un bureau de consulting basé à Paris, Zoubeir Ben Terdeyet a indiqué récemment dans une interview, qu'il a accordé à econostrum.info que "l'Algérie pourrait être le Hub de la finance islamique en Méditerranée". Il a estimé dans ce sens que les banques islamiques n'ont pas de grandes parts de marché en Algérie , mais sont rentables. Il a aussi estimé que la réglementation algérienne n'est pas adaptée au développement de la finance islamique.



M. Ben Terdeyet a également déclaré qu'au niveau maghrébin la Tunisie a une petite longueur d'avance, mais l'Algérie a toutes les chances de devenir le Hub de la finance islamique en Méditerrané. " Elle part de zéro, elle a moins de remises en cause ou de problèmes ", a-t-il soutenu. Et d'ajouter qu' " un pays qui est vierge en termes de conception et de stratégie, c'est là qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud. Au lieu de placer son argent avec des taux de rendement négatifs, l'Algérie pourrait créer une place financière avec des rendements positifs ".


L'Algérie est devenue aujourd'hui une terre de prédilection au Maghreb pour les banques islamiques. La présence d'Al Baraka Banque, d'Al Salam Bank et les nombreuses demandes d'agréments sont là pour l'attester. Par ailleurs, certaines banques conventionnelles sont sur le point de franchir le pas avec la mise en place d'Islamic Windows. Les organisateurs estiment que le forum d'Alger aura se pencher sur toutes ces à questions. Selon les derniers chiffres rendus publics par Standard & Poors, les émissions de "sukuks" (obligations islamiques) ont atteint au premier semestre 2010, 13,7 milliards de dollars, soit presque deux fois plus qu'au premier semestre 2009 (7,1 milliards).




Standard & Poor's, dans sa dernière étude sur le sujet, voit une embellie sur le marché, même si le niveau reste loin de celui d'avant-crise, où des sukuks avaient été émis à près de 35 milliards de dollars en 2007. Les obligations souveraines ont représenté 75% du volume des émissions. Les institutions financières d'Asie et du Golfe retournent graduellement sur le marché.


Le Japon (au travers de Nomura Holdings) a lancé en juillet son premier sukuk pour 100 millions de dollars. S&P anticipe donc une croissance soutenue pour la deuxième partie de l'année, venant à la fois de la reprise des émetteurs historiques et de l'entrée en lice de nouveaux acteurs, notamment privés, "à supposer que la reprise économique se poursuive". Les clés de l'expansion du marché pour S&P résident donc dans la mise en place de procédures de défaillance, une standardisation de l'interprétation de la charia au niveau de la finance islamique, et une augmentation de la liquidité des sukuks en les intégrant sur les marchés réglementés. Il faut noter que la finance islamique, a bien résisté à la crise financière mondiale. La finance islamique brasse des flux de 840 milliards de dollars avec une croissance annuelle d'environ 15 %.
I.B.

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L'abbé Bérenguer Un grand militant de la liberté et de l'indépendance de l'Algérie



Chaque année, la date du 14 novembre ravive le souvenir d'un grand combattant de l'Algérie libre, l'Abbé Bérenguer. Quatorze années sont passées depuis sa disparition en 1996.

Paroissien, souvent rebelle contre l'église, cet homme de foi et de religion a laissé le souvenir ineffaçable d'un homme de conviction, juste et courageux qui, par son combat pour la liberté et l'indépendance de l'Algérie, a donné l'autre image de l'église, celle que les Algériens n'ont pas connue à travers les exemples fournis par le cardinal de Lavigerie, de Foulcaut, ces hussards qui, au nom de la foi chrétienne, étaient des porte-drapeaux de la colonisation. Homme de liberté, Alfred Bérenguer, né à Lourmel, fils d'émigrants espagnols originaires de Grenade, n'avait rien, ni lui ni sa famille, à voir avec les colons qui se distinguaient par leur arrogance et leur mépris face aux indigènes, car tels étaient à leurs yeux considérés les Algériens durant toute la longue nuit coloniale. Son père, ouvrier mécanicien installé un moment à Frenda, vivait à la limite de la survie avec sa famille qui comptait plusieurs enfants.

«Sa condition, me disait-il avec son ton amical légendaire, était celle, à peu près égale, sinon un peu mieux, d'une famille rurale algérienne». C'est son père qui choisit pour lui la carrière de religieux, prêtre ou vicaire, le poussant à y faire des études. Le jeune Alfred était très lié au milieu des fellahs, travailleurs de la terre, d'où son caractère un peu fruste et direct. Nommé curé de la paroisse à Montagnac (Remchi), il accomplissait sa tâche avec beaucoup d'humilité, affichant une image entièrement vouée à l'homme et à sa fidélité, réagissant sévèrement et souvent aussi contre les pratiques tendant à mélanger la foi et l'argent lors des baptêmes et autres cérémonies religieuses . Derrière cet homme de foi, se cachaient d'autres sentiments qui l'amenèrent à réagir contre l'injustice à l'égard des Algériens dont il partageait entièrement la vie. Cette image d'homme du peuple très proche des Algériens le rendit peu crédible à l'égard des colons.

A Tlemcen, où pendant des années il occupa le poste de professeur d'espagnol au lycée de garçons, il était plutôt dans son monde au contact de la population. Dans cette ville où il connaissait tout le monde, il a fini par compter au milieu de la bonne société. Il faisait partie de son élite arabo-française avec des fréquentations sérieuses avec les personnalités intellectuelles les plus en vue, telles Si Kaddour Naïmi, Cheikh Zerdoumi, Cheikh Mokhtar Haddam, Abderrahmane Mahdjoub... En dehors du lycée, ses meilleures relations étaient parmi les intellectuels français et algériens, dont nombreux étaient entachés de soupçons communistes et nationalistes et qui étaient, jugeait-il, plus fréquentables parce que leur engagement était porteur d'un idéal humaniste. Il connut l'écrivain algérien Mohammed Dib, les avocats Omar Boukli Hacène, fondateur plus tard du Croissant-Rouge algérien pendant la guerre de libération nationale, Djilali El-Hassar, Abdellah Hadj Slimane, Mohamed Méziane
… Il savourait les bons moments passés dans les discussions avec les érudits de la vieille cité tels Abdelkader Mahdad, membre-fondateur de l'UDMA avec Ferhat Abbas, le docteur Saâdane, Mohamed Gnanèche, un nationaliste de la première heure, Ahmed Triqui, Djelloul Benkalfate, Sid Ahmed Bouali… qui évoquaient avec lui , me disait-il, lors de rencontres dans des ateliers et des échoppes d'artisans, les grands moments de l'histoire de l'Algérie ou leurs expériences personnelles dans les mouvements corporatistes à caractère professionnel.

«Je me tranquillisais à l'idée de voir également la nouvelle génération des Algériens acquis aux idées de progrès, de civilisation et de libération des peuples dans le monde», me disait-il lors de nos discussions.

L'Abbé Alfred Berenguer ne pouvait outre mesure cacher son engagement en faveur du peuple algérien dont il appréciait les qualités humaines et souffrait intérieurement de ses frustrations à côté des privilèges dont bénéficiaient les colons. En 1955, l'assassinat du docteur Benaouda Benzerdjeb donna lieu à une grande révolte meurtrière qui secoua la ville pendant plusieurs jours, plongeant dans le désarroi les autorités coloniales de la cité. Celles-ci firent appel aux bons offices du curé Alfred Bérenguer et d'autres personnalités auprès de la population pour tenter de mettre fin aux émeutes. Son premier cri en faveur des Algériens fut l'article intitulé «Regards chrétiens sur l'Algérie», qu'il publia en 1956 dans la revue Simoun, paraissant à Oran, alors que la révolution était dans la rue. «J'appréhendais longtemps cette guerre et tout juste après la fin de la Seconde Guerre mondiale avec les évènements meurtriers de Sétif», me disait-il. Il accuse le pouvoir politique de n'avoir pas pris parti du règlement du problème algérien dès 1945.

«C'est un problème politique. Il fallait s'y attaquer dès 1945 et hardiment. Nous ne l'avons pas fait
On peut le regretter», écrivait-il dans cet article paru dans la revue Simoun, où l'écrivain Mohammed Dib avait signé une ou deux contributions. Rédigé dans la forme d'un pamphlet contre la colonisation, son courage lui fait écrire : « Les +hors-la-loi+ ne sont qu'une poignée, oui, mais tout un peuple est avec eux. Pourquoi nous leurrer nous-mêmes ? Les protestations de loyalisme plus ou moins provoquées, les communiqués optimistes auxquels leurs auteurs croient peu ou prou, l'apparente apathie des masses trompent ceux-là seulement qui veulent être trompés. Il ne s'agit pas ici de porter un jugement moral, d'approuver ou de blâmer, nous en sommes à regarder le réel. Cela me sera-t-il défendu parce que je suis prêtre ? Se tenir en l'air, assis sur les nuées, est une position fort incommode, impossible à garder longtemps. L'avion lui-même atterrit. Je regarde les faits, je constate que le cœur de l'Algérie musulmane bat à l'unisson de celui des +rebelles+ et je le dis. Il ne s'agit plus d'une révolte, d'une insurrection, comme telle ou telle flambée qui fut vite éteinte jadis. D'un bout du monde à l'autre, les peuples jusqu'ici colonisés secouent la tutelle occidentale et obéissent à un mythe, le mythe de l'émancipation, de la libération. L'hégémonie de l'Europe n'est plus acceptée : c'est comme ça !».

Sa position à l'égard de la lutte des Algériens confortera sa position dans les milieux nationalistes algériens, autant qu'elle le discrédita dans le milieu des colons qui manifestèrent à son égard une haine et proférèrent contre lui des menaces, rendant sa présence impossible. Malgré la pression morale et parfois les menaces dont il subissait profondément les effets, son engagement militant ne ralentira pas ses efforts sur le terrain pour prêcher le droit et la justice et aussi pour apporter, comme sur les montagnes de Cassino lors de la Première Guerre mondiale, en tant qu'aumônier, les secours aux blessés algériens réfugiés dans les montagnes de Fillaoussène. Son combat pour la dignité et la liberté humaines est un bel exemple à suivre, lui qui se résolut également à porter la voix du peuple algérien dans sa lutte, sous le couvert du Croissant-Rouge algérien, à travers tous les cieux, les arènes politiques, les forums, exploitant son sens parfait de la communication.

En Amérique latine où il fit entendre la voix de l'Algérie, il fut un grand ami de Che Guevara et de Fidel Castro, poursuivi jusque-là aussi par la propagande coloniale menée par André Malraux, le culpabilisant de citoyen français rebelle ou l'anathématisant, lui collant l'étiquette excommunicatoire, à cette époque, de curé communiste.

A l'indépendance, il sera député de la première constituante, puis conseiller, avant de se démarquer du pouvoir après le coup d'Etat de 1965. Son engagement sera à chaque fois de dénoncer les dictatures qui se chassaient l'une l'autre dans plusieurs pays, notamment en Afrique.

Dans ses derniers moments de repli à Tlemcen, il aura tout le temps d'écrire des articles sur l'histoire que je publiais dans le quotidien El Moudjahid, de participer à des rencontres d'amis, en relançant l'association «Dar Es Salam» pour l'amitié et le dialogue et participant au vaste mouvement associatif qui a mobilisé l'élite de la cité autour d'axes en faveur de la culture, de la protection du patrimoine
malheureusement défuntes aujourd'hui, dont notamment «Ahbab Tourath». Il laissa une bibliothèque très riche, ainsi que le manuscrit d'un livre qu'il acheva dans les années 1970 sur l'histoire de la ville de Béjaïa. Cette bibliothèque fut transférée après sa mort à la paroisse d'Oran.

Ses amis garderont toujours vivace sa participation très active à la première semaine culturelle de Tlemcen en 1966, animant plusieurs conférences aux côtés d'éminentes figures algériennes de l'histoire et de la littérature, dont Kateb Yacine, Mahfoud Keddache, Hachemi Tidjani, Mouloud Maameri


2011, «L'Année de la culture islamique à Tlemcen», lui sera sans doute reconnaissante d'un hommage mérité comme à un grand Algérien au grand cœur dans un pays qui ne peut se soustraire à inscrire son nom au panthéon des grands serviteurs de son indépendance.

par El-Hassar Benali

admin"SNP1975"

admin
Admin

Atavisme,

Tu ne veux pas arrêter de provoquer les marocains en les insultants avec ce qualificatif humiliant de marokki.


  1. إ ن لم تستحي فالصنع ما شئت

http://www.marocainsdalgerie.net

IDRISSIDE

IDRISSIDE

admin a écrit:Atavisme,

Tu ne veux pas arrêter de provoquer les marocains en les insultants avec ce qualificatif humiliant de marokki.


  1. إ ن لم تستحي فالصنع ما شئت

Mon cher Ami, Aïd Moubarak Saïd

Le Terme Marokki est tout à fait d'usage chez un 2ème Francess ce qui veut dire Marocain et qui veut dire aussi Maghribi chez les Arabophones.

Tu sais après 130 ans de colonisation, on n'y peut rien, les dès sont jetés et le lavage de cerveaux fait par les colons a déjà donné ses fruits : un énergumène qui ne sait pas ce qui se passe chez lui (et ne peut donc y adhérer) et qui n'arrive pas à s'adapter à sa vie "actuelle" (française en l'occurrence) et c'est le 2ème Francess avec tous ses défauts.

و تمعن في ما قاله زهير بن أبي سلمى

ومن لم يصانع في أمور كثيرة
يضرس بأنياب ويوطاً بمنسم

ومن يجعل المعروف من دون عرضه
يفره ومن لا يتق الشتم يشتم

[b]ومن يجعل المعروف في غير أهله

يكن حمده ذماً عليه ويندم
[/b]

Atavisme

Atavisme

admin a écrit:Atavisme,

Tu ne veux pas arrêter de provoquer les marocains en les insultants avec ce qualificatif humiliant de marokki.


  1. إ ن لم تستحي فالصنع ما شئت



Marroki pour moi n'est pas une insulte.....marroki c'est marocain en arabe darija!!
les marrokis qui insultent les algeriens ils les appelent algéxxxxxx....voir xxxgerien!!

je pourrais faire comme eux mais c'est pas mon style

Le terme Marroki dénote et met l'accent sur la mentalité marocaine qui est une mentalité de haine et de mensonge à l'egard de El Djazaïr.

Revois de près ce que tes compatriotes marrokis haineux ecrivent sur El Djazaïr et tu me donneras raison.

oranaisfier

oranaisfier

Le mot Marokki vient du Français Marocain. En Algérie, Marokki n'a rien d'insultant, comme on peut appeler un Algérien: Djezairi. Le mot Maghrébi insinue le Maghrébin.

12Algerie dans la presse algerienne_point de vue non marroki  Empty marokki Ven 19 Nov - 21:38

AIDAMA

AIDAMA

Bonsoir oranaisfier!je ne résiste pas à l'envie de te reprendre sur le nom de "marokki".
D'abord, sais tu que vous êtes les seuls "arabes" au monde qui utilisez ce terme?
Il faut croire que tous les autres sont des incultes.
De plus le maroc en arabe se dit "maghreb" plus exactement:"el mamelakat el maghrebia". Donc aucun"marokki" à l'horizon.
Quelle importance que cela veuille dire aussi maghreb. Maghreb veut dire aussi "ouest".
Et puis, Koweit c'est le nom du pays et de la capitale et alors?

Je ne suis même pas sûr qu'à Alger, on utilise ce mot.
Cela vient des espanols qui on le sait étaient nombreux à Oran.
Et vous au lieu de vous arabiser une bonne fois pour toutes, car on sait que vous avez du mal! à part el darija qui est un mélange de français, d'espagnol et d'arabe plutôt algérien, vous préférez continuer d'utiliser le langage des anciens colons. On dirait qu'ils vous manquent!ils vous appelaient pourtant bougnoules etc.etc.

Arrête un peu oranaisfier et sois intelligent et mets toi enfin à l'arabe celui qui est compris par tous les arabes, le vrai, le seul, la langue du Coran enfin!!!!!!!!!

oranaisfier

oranaisfier

Mon cher AIDAMA

Je crois que j'ai été très clair, et si quelqu'un pense que Marokki est insultant, c'est que tout simplement un complexe de sa part. A Oran, il y a même des lieux où habitaient des Marocains, qu'on appelle toujours "Douar Marok".

Maintenant pour le mot "Bougnoule", je te rappelle que c'est les Allemands(occupants) en 1940/1945, qui l'ont utilisé pour les Français. Mais avant " Bougnoule" vienne de l'insulte parisienne anti auvergnat. Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement "Bougnat" pour dénigrer quelqu'un et ça a donné ensuite Bougnoule.

Ce mot a fini par désigner les nord africains, y compris les maghrébins et non pas uniquement les Algériens. En France, un basané est insulté bougnoule, sans lui demander s'il est Marocain, Algérien ou Tunisien.

Pour l'arabe, ne soit pas plus royaliste que le roi, et s'il te plait ne me fait pas croire que TOUS les Marocains savent lire et écrire. En Algérie, comme au Maroc toute l'administration publique est arabisée, et comme au Maroc et en Algérie, le Français reste la langue de travail pour certains secteurs (banques, tourisme ...)

Pour l'intelligence, je pense que nous le sommes tous les deux !

Comment peux-tu dire que les colons nous manque, en sachant que nous les avions combattus depuis...1830, sans quand soit sous protectorat.

C'est normal que le Saint Coran a été révélé en langue arabe, car il était destiné pour uniquement les Arabes

Salutations sincères!

admin"SNP1975"

admin
Admin

Chere AIDAMA,

Bon retour à notre Zaouïa Algéro-marocaine.

Tout d'abord , je te remercié d'avoir répondu à ma place. Ce que j'allais expliquer sur l'historique de ce qualificatif insultant de Marokki. Tu l'as fais comme si tu avais deviné mes pensées. On dirait que tu es comme moi . Une personne qui a vécu si longtemps en Algérie pour saisir ce que nos fréres algériens ne savent pas.
Marokki ne vient pas du français . C'est un surnom qui a été donné aux marocains d'Algérie par les colons espagnols afin de les ridiculiser. Comme vous le savez mieux que moi en ce qui concerne la haine des espagnols envers les marocains laquelle équivaut à la hargne des français aux algériens. Comme les marocains et les algériens étaient des vendangeurs chez les colons espagnols avant 1962 . Forcément nos fréres algériens à l'indépendance par vindicte à l'égard des marocains . Ils ont adopté ce qualificatif de Mrokki en imitant les anciens colons pour rabaisser le marocain.
En ma qualité d'algérien d'origine marocaine né et ayant vécu presque 50 ans en Algérie , je te confirme que Marokki veut dire bougnoules ou chtarbi chez certains fréres algériens à l'exemple d'Atavisme.
Pour te confirmer ce que je viens d'avancer. Je t'invite à lire ce petit texte en arabe et de visionner cette vidéo de Abdelkader afin de saisir le sens et la portée de ce mot humiliant.

Samir

إن طرد المغاربة من الجزائر هو بمثابة التطهير العرقي الدي قام به "فردناند" و "إيزابيلا"في حق المسلمين بعد سقوط دولة الإسلام في غرناطة فبوخروبة أحرقه الله في نار جهنم إستعمل نفس الأساليب التي استعملتها أسبانيا ضد المسلمين في تلك الفترة فبعد طرد المغاربة صبيحة عيد الأضحى في 1975 قام بالتعبئة الشعبية ضد المغاربة الباقين وأطلقوا عليهم أسم مروكي وهو إحتقار للنفس التي كرمها الله والكل يعلم أن هدا الإسم مشتق من أسم مورسكيين moriscos،وهي كلمة مصغرة كما أنها في الوقت ذاته احتقار لكلمة moro التي تعني مسلم. ومن وقتها اعتبرت الملكيةُ الاسبانية المورسكيين أعداء لها، ومن هنا بدأت حملات تنصير المسلمين الاسبانيين إجباريا، حيث قامت الملكية الاسبانية باستخدام اعنف الوسائل على مر التاريخ، كما ذكر ذلك بعض الاسبانيين. وعلى الرغم من أن إطلاق اسم Morisco على المغربي يعتبر لفظا ينتقص من قدره، إلا أن المؤرخين يرون أن هذا الاسم مناسباً لتمييز العرب أو المغاربة الذين بقوا في إسبانيا بعد سقوط غرناطة.
وزيادةً على كل هدا منع بوخروبة المغاربة من الحصول على الجنسية الجزائرية والتصعيب لكل من يتزوج جزائرية أو العمل في حين سمح لليهود بزيارة تلمسان و ندرومة في عام 1978. والكل يعلم أن الوحيد الدي كان يقوم بالفلاحة والزراعة في الجزائر هم المغاربة وأنها اندثرت مباشرةً بعد طردهم من هدا البلد. تماماً كالحضارة التي كانت قائمة في الأندلس واللتي أضأت البشرية بالخير والسلام ومن هنا إطلب من الله الواحد الأحد إن يعجل بسقوط هدا النضام المتصهين أمين.

A SUIVRE



Dernière édition par admin le Ven 19 Nov - 23:56, édité 2 fois

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16Algerie dans la presse algerienne_point de vue non marroki  Empty correction Sam 20 Nov - 0:03

AIDAMA

AIDAMA

cher admin..
Je ne suis pas d'accord avec toi. Les espagnols utilisaient simplement ce mot proche de l'espagnol et les Algériens ont suivi même après l'indépendance sans se poser de questions.
D'ailleurs, les espagnols n'étaient pas des colons, ils étaient pour la plupart ouvriers et avaient quasiment la même condition que les Arabes.
Les Français, rares en Algérie n'étaient là que pour récupérer les fruits du travail.
Enfin! peu importe, tout ça est du passé, il faut corriger les erreurs linguistiques, ce n'est pas de l'arabe, c'est tout!
al djazair, c'est de l'arabe, ça veut dire les îles mais marokki ça ne veut rien dire. Tous les noms arabes ont un sens. Enfin! ce n'est pas difficile à comprendre maintenant, s(il y en a qui veulent paraître incultes, libres à eux!

Atavisme

Atavisme

AIDAMA a écrit:Bonsoir oranaisfier!je ne résiste pas à l'envie de te reprendre sur le nom de "marokki".
D'abord, sais tu que vous êtes les seuls "arabes" au monde qui utilisez ce terme?
Il faut croire que tous les autres sont des incultes.
De plus le maroc en arabe se dit "maghreb" plus exactement:"el mamelakat el maghrebia". Donc aucun"marokki" à l'horizon.
Quelle importance que cela veuille dire aussi maghreb. Maghreb veut dire aussi "ouest".
Et puis, Koweit c'est le nom du pays et de la capitale et alors?

Je ne suis même pas sûr qu'à Alger, on utilise ce mot.
Cela vient des espanols qui on le sait étaient nombreux à Oran.
Et vous au lieu de vous arabiser une bonne fois pour toutes, car on sait que vous avez du mal! à part el darija qui est un mélange de français, d'espagnol et d'arabe plutôt algérien, vous préférez continuer d'utiliser le langage des anciens colons. On dirait qu'ils vous manquent!ils vous appelaient pourtant bougnoules etc.etc.

Arrête un peu oranaisfier et sois intelligent et mets toi enfin à l'arabe celui qui est compris par tous les arabes, le vrai, le seul, la langue du Coran enfin!!!!!!!!!
QUEL DELIRE!!!!!.......ON EST DANS UN FORUM MAROCAIN.....Où DES MARROKIS S'ADONNENT AU LYNCHAGE JOYEUX DE L'ALGERIE EN UTILISANT LE FRANCAIS....ET TU VOUDRAIS QU'ON TE REPONDE EN ARABE????

Pour moi Marroki c'est quelqu'un qui est vis-avis de El Djazaïr:
- Un Ignare et un Inculte
- Un Haineux et un Jaloux
- Un usurpateur et un falsificateur
- Un produit et un rejeton de son système politique expansionniste et féodal anti-algérien.
Le jour où je croiserais un marroki qui soit avenant à l'egard de El Djazaïr et des algeriens, qui inspire confiance et respect.....ce jour-là je changerais d'avis.

Atavisme

Atavisme

Marroki vient de .....Maroc qui vient....Moruecos qui vient de....Morakech!!!!

donc Marroki = Morakchi

Atavisme

Atavisme

Dattes : Une récolte record de 6 millions de quintaux attendue



Une récolte de deux millions de quintaux est également attendue à El Oued d’ici la fin de l’année, ajoute la même source en précisant que cette région a produit à la mi-octobre 1,891 million de quintaux.

Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural s’attend à une bonne récolte de dattes cette année, rapporte notre confrère LeJeune Indépendant, dans son édition de jeudi dernier, en tablant sur une production record de plus de 6 millions de quintaux, toutes variétés confondues. Selon ce journal, cette bonne récolte est attendue dans la région de Biskra qui possède 4,1 millions de palmiers-dattiers, dont 2,5 millions de la célèbre variété Deglet Nour. Une récolte de deux millions de quintaux est également attendue à El Oued d’ici la fin de l’année, ajoute la même source en précisant que cette région a produit à la mi-octobre 1,891 million de quintaux. Pour rappel, l’année 2009 a vu une production de 5,861 millions de quintaux de dattes en Algérie.



Promotion de la datte : Biskra noyau dur de l’exportation


Des indicateurs "prometteurs" d’une intensification des exportations de dattes sont palpables grâce à la stratégie nationale de promotion des exportations hors hydrocarbures, ont indiqué jeudi dernier, des professionnels du secteur.

Des indicateurs "prometteurs" d’une intensification des exportations de dattes sont palpables grâce à la stratégie nationale de promotion des exportations hors hydrocarbures, ont indiqué jeudi dernier, des professionnels du secteur.
S’exprimant en marge de la célébration de la journée nationale de Vulgarisation agricole, ils ont relevé "l’excellente qualité" de la variété Deglet Nour", au potentiel concurrentiel certain, à même, selon eux, de permettre aux exportateurs de conquérir les marchés internationaux.
Les mêmes acteurs ont rappelé dans ce contexte que la formule du crédit R’FIG, élargie aux exportateurs de dattes, leur accorde l’avantage d’obtenir des crédits non rémunérés remboursables sur 18 mois.


A cela s’ajoute une série d’autres mesures incitatives dont le "couloir vert" prévoyant un accompagnement financier et des facilitations fiscales, douanières et administratives, en plus de la flexibilité du traitement des opérations d’exportation au niveau des ports et aéroports, a-t-on souligné.
Depuis le début de l’année en cours, 5.000 tonnes de dattes ont été exportées à partir de Biskra, avec une ‘’période de pic’’ en juin et juillet derniers pendant lesquels 4.000 tonnes ont été cédées à l’étranger.


La célébration de la journée nationale de Vulgarisation agricole a donné lieu, à Biskra, à une exposition sur les divers produits agricoles précoces et saisonniers de la wilaya des Ziban.

yaz



AIDAMA a écrit:cher admin..
Je ne suis pas d'accord avec toi. Les espagnols utilisaient simplement ce mot proche de l'espagnol et les Algériens ont suivi même après l'indépendance sans se poser de questions.
D'ailleurs, les espagnols n'étaient pas des colons, ils étaient pour la plupart ouvriers et avaient quasiment la même condition que les Arabes.
Les Français, rares en Algérie n'étaient là que pour récupérer les fruits du travail.
Enfin! peu importe, tout ça est du passé, il faut corriger les erreurs linguistiques, ce n'est pas de l'arabe, c'est tout!
al djazair, c'est de l'arabe, ça veut dire les îles mais marokki ça ne veut rien dire. Tous les noms arabes ont un sens. Enfin! ce n'est pas difficile à comprendre maintenant, s(il y en a qui veulent paraître incultes, libres à eux!

Aidama , quoi et que ce qu'ils vous arriveras dans la vie à vous les Marocains , ça sera toujours la faute aux Algériens , n'est pas !?..

.Meme votre nez dima dans le ruisseau ça sera toujours la faute à.........!

Vous faites pitiés..!