Je ne voulais jamais parler de cette expérience malheureuse que mon père a vécue.
Mais il est de mon devoir de crier certaines vérités pour que l'histoire n'oublie pas.
Cela se passe en 1949, mon père Marocain d'origine avait trouvé un travail dans ce qu'on appelait à l'époque Colom bechar.
Se révoltant devant les injustices faites aux Algériens, il avait pris la décision de rentrer dans la résistance pour que dit il le Maghreb se libère du joug du colonialisme et pour que le peuple algérien frère retrouve sa dignité.
Il fut dénoncé et les autorités Françaises lui ont demandé de quoi il se mêlait et qu'il avait 48 heures pour préparer ses affaires et rentrer chez lui au Maroc.
Il devait abandonner son épouse et ses deux enfants en bas âge car les français dans leur générosité humaine lui avait permis de laisser ses enfants et son épouse sur place, le temps qu'il s'installe au Maroc.
Mon père atterrit à Oujda et plus précisément dans un village frontalier avec l'Algérie, là il retrouvera tous les Algériens moudjahiddines que le Maroc avait accueilli.
Il restera longtemps avec ses Algériens dont il était si proche et continua sa lutte clandestine depuis le Maroc pour la libération du pays frère.
Retraité en 1975 dans la ville d’Oujda, il fut affronté à une terrible désillusion, il vit ce qu'il ne souhaitait jamais revivre, l'expulsion de ses frères Marocains du pays frère Algérien.
Sa première réaction était des flots de larmes continues.
Comment ce pays à qui il avait tout donné pouvait se comporter de la sorte avec ses frères Marocains.
Comment des dirigeants, ceux là mêmes qu'il avait connu à Oujda et qu'il avait aidé pouvaient agir de la sorte.
Les Français lui avaientt accordé 48 heures de répit, ils lui avaient permis de garder ses enfants sur place.
Aujourd'hui les dirigeants Algériens chassent sans ménagement.
Ceci mon père ne pouvait jamais l’admettre, il mourut quelque temps après avec cette amertume.Que dieu ai son âme, il demandera certainement des comptes à frère Boumediene...
Mais il est de mon devoir de crier certaines vérités pour que l'histoire n'oublie pas.
Cela se passe en 1949, mon père Marocain d'origine avait trouvé un travail dans ce qu'on appelait à l'époque Colom bechar.
Se révoltant devant les injustices faites aux Algériens, il avait pris la décision de rentrer dans la résistance pour que dit il le Maghreb se libère du joug du colonialisme et pour que le peuple algérien frère retrouve sa dignité.
Il fut dénoncé et les autorités Françaises lui ont demandé de quoi il se mêlait et qu'il avait 48 heures pour préparer ses affaires et rentrer chez lui au Maroc.
Il devait abandonner son épouse et ses deux enfants en bas âge car les français dans leur générosité humaine lui avait permis de laisser ses enfants et son épouse sur place, le temps qu'il s'installe au Maroc.
Mon père atterrit à Oujda et plus précisément dans un village frontalier avec l'Algérie, là il retrouvera tous les Algériens moudjahiddines que le Maroc avait accueilli.
Il restera longtemps avec ses Algériens dont il était si proche et continua sa lutte clandestine depuis le Maroc pour la libération du pays frère.
Retraité en 1975 dans la ville d’Oujda, il fut affronté à une terrible désillusion, il vit ce qu'il ne souhaitait jamais revivre, l'expulsion de ses frères Marocains du pays frère Algérien.
Sa première réaction était des flots de larmes continues.
Comment ce pays à qui il avait tout donné pouvait se comporter de la sorte avec ses frères Marocains.
Comment des dirigeants, ceux là mêmes qu'il avait connu à Oujda et qu'il avait aidé pouvaient agir de la sorte.
Les Français lui avaientt accordé 48 heures de répit, ils lui avaient permis de garder ses enfants sur place.
Aujourd'hui les dirigeants Algériens chassent sans ménagement.
Ceci mon père ne pouvait jamais l’admettre, il mourut quelque temps après avec cette amertume.Que dieu ai son âme, il demandera certainement des comptes à frère Boumediene...
Dernière édition par le Sam 10 Nov - 23:13, édité 1 fois