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Nouvelles d'Algérie.

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1Nouvelles d'Algérie. Empty Nouvelles d'Algérie. Jeu 25 Nov - 23:45

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Congrès national de l’aéronautique à Oran

Bientôt un drone à usage environnemental "made in Algeria"


Un drone à usage environnemental sera bientôt construit à Oran, a-t-on appris auprès des organisateurs du premier congrès national de l'aéronautique ouvert hier à l'Université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (USTO). L'étude relative à cet appareil de navigation aérienne sans pilote humain a été élaborée par une équipe de chercheurs du Laboratoire d'aéronautique et des systèmes propulsifs de l'USTO. Le futur drone "made in algeria" pourra voler à une altitude de 7.000 mètres avec une autonomie de 36 heures, a indiqué M. Imine Bachir, directeur du Laboratoire de recherche et président du comité scientifique du congrès.


"Il s'agit d'un petit avion de 3 m d'envergure et 2,6 m de long, de type HALE (haute altitude, longue endurance) destiné à des applications civiles, notamment pour les missions de surveillance environnementale", a précisé ce responsable. Les multiples applications des drones ont été explicitées au congrès par M. Benallègue Abdelaziz, professeur et chercheur algérien membre du Laboratoire d'ingénierie des systèmes de Versailles (France). Dans sa communication intitulée "Les drones, un défi scientifique", il a rappelé la classification de ces types d'appareils en plusieurs familles, à savoir celles du type HALE, MALE (moyenne altitude), Tactiques (longue endurance), Mini-drones (faible endurance) et Micro-drones (très faible endurance).



S'agissant des applications civiles, le spécialiste a fait savoir qu'elles portent essentiellement sur la surveillance environnementale comme pour le contrôle de la pêche, les prévisions météorologiques, les mesures scientifiques et la cartographie. Les missions s'étendent également à la régulation du trafic routier grâce aux images transmises par la caméra (embarquée sous le drone) aux services compétents, a-t-il précisé, faisant état d'autres applications telles la lutte anti-terroriste, la surveillance des frontières, ou celles d'ordre ludique (jeux à télécommande). "Le défi scientifique de l'heure est de concevoir à moindre coût des engins volants sans pilote, capables de mener des missions de longue durée dans un large domaine de vol, et ce, quelles que soient les conditions météorologiques", a expliqué M. Benallègue en citant l'exemple du drone solaire "Helios" de type HALE. Un ingénieur algérien auprès de l'avionneur canadien Bombardier, M. Abdelkader Kherrat, est aussi présent à cette manifestation où il a animé une conférence sur "la certification des structures aéronautiques, de la conception préliminaire au service après-vente".Une dizaine d'universités du pays participent à ce congrès national de l'aéronautique aux côtés de l'Ecole militaire polytechnique (EMP, Alger), de l'Ecole supérieure de l'Air (ESA) de Tafraoui (Oran) et de l'Entreprise de construction aéronautique (ECA, Tafraoui).



Cette manifestation scientifique se poursuivra mardi par d'autres communications suivies d'une discussion visant la création d'une association nationale des cadres et chercheurs dans le domaine aéronautique.

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mercredi 24 novembre 2010 15:12:40

Tramway : Montage de 17 rames en Algérie

La valeur de l’assemblage des 17 tramways, que l’Algérie compte réaliser en partenariat, pourrait atteindre les 600 milliards (md) de dinars, a révélé hier le ministre des Transports, M. Amar Tou, soulignant l’importance de cette industrie locale dans la réduction de la facture d’importation des rames de tramways.

La valeur de l’assemblage des 17 tramways, que l’Algérie compte réaliser en partenariat, pourrait atteindre les 600 milliards (md) de dinars, a révélé hier le ministre des Transports, M. Amar Tou, soulignant l’importance de cette industrie locale dans la réduction de la facture d’importation des rames de tramways.

"La valeur de montage des 17 projets de tramways pourrait porter sur 400 à 500 mds de dinars et pourrait même aller au-delà des 600 mds de dinars, dont l’Algérie détiendra 51%", a déclaré M. Tou à la radio nationale.



En intégrant l’industrie du montage, l’Algérie gagnera en réduisant sa facture d’importation des kits de tramways et en créant un tissu industriel de sous-traitants, a-t-il indiqué, rappelant dans ce sens l’importance du partenariat conclu récemment entre les entreprises publiques algériennes Ferrovial et Métro d’Alger avec l’entreprise française Alstom pour l’assemblage des tramways à Annaba.


Sur ces 17 projets, trois sont en cours de réalisation (Alger, Oran et Constantine), six en phase d’attribution des études de détails et huit en cours d’étude de faisabilité, a ajouté le ministre.


Les six wilayas, dont les études de détails sont en cours d’attribution au niveau de la commission nationale de marchés sont Sétif, Ouargla, Annaba, Batna, Mostaganem, Sidi Bel-Abbès, a fait savoir le ministre.


La fin des travaux du premier tronçon du tramway d’Alger est annoncée pour décembre prochain et sera suivi par la phase de préparation de la mise en service qui est prévue pour mars 2011, selon le ministre. Par ailleurs, le ministre a rassuré que la mise en service du métro d’Alger interviendra en 2011, conformément à la date déjà annoncée par le Premier ministre M. Ahmed Ouyahia devant l'APN.


Sur ce point, il a tenu à préciser que le retard relevé par certains observateurs dans la réalisation du métro, n’est pas réel puisque le projet, lancé en 1981, était à l’arrêt jusqu'à son redémarrage effectif en mars 2006 avec la mise en vigueur du contrat de sa réalisation.


Le tronçon de 10 km du métro, déjà achevé a coûté 90 milliards de dinars (1,2 md de dollars), un montant bien inférieur au financement de 4,7 mds de dollars consenti par un des pays du Golfe pour la même distance et le même nombre de stations, a noté M. Tou. C
e coût indique, selon le ministre, que "le projet n’a pas connu de surcoûts et que son enveloppe financière a été bien gérée".

Quant au projet du métro d’Oran, son étude de détail est déjà lancée, et l’ouverture des offres est prévue pour le 10 décembre prochain, a-t-il dit.

Le ministre a par ailleurs, annoncé la création en 2011 d’autorités chargées d’organiser le transport public dans les villes pour mettre fin à l’anarchie régnante dans ce secteur.

2Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Jeu 25 Nov - 23:55

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Salon international de l’agriculture “Agro-Expo Filaha 2010” : La culture de l’innovation

La manifestation enregistre une forte participation des espagnols avec 27 exposants

Organisé du 22 au 25 novembre par la société Expovet en partenariat avec la Safex, le Salon international de l’agriculture (Agro Expo Filaha 2010) a été inauguré, hier, au niveau du Palais des expositions par le secrétaire général du ministère de l’Agriculture et du Développement rural, M. Sid Ahmed Ferroukhi en compagnie des cadres du secteur et des organisateurs du Salon.


Placé sous le haut patronage du ministre de l’Agriculture et du Développement rural, le Dr. Rachid Bénaïssa et coparrainé par les ministres des Ressources en eau et du Commerce, respectivement, MM. Abdelmalek Sellal et Mustapha Benbada, cette manifestation qui se déroule sous le signe du renouveau agricole et de l’innovation technologique s’inscrit dans le sillage du plan du renouveau de l’économie agricole et rurale (PREAR 2010-2014) initié par le MADR.

Le SG du MADR a relevé à l’occasion, le rôle de ce genre de rencontres dans la dynamique du secteur en matière de fédération des efforts des différents acteurs dans le cadre de l’objectif de la sécurité alimentaire. Aussi, M. Ferroukhi a rappelé que le secteur de l’agriculture relève du domaine privé et que, par conséquent, il reste ouvert aux investissements privés étrangers à la faveur de la nouvelle loi agricole.

A propos de la stratégie du secteur pour les cinq prochaines années (2010-2014), il précisera que le rôle de la tutelle se limitera dans l’accompagnement des différentes filières notamment celles versées dans les produits à large consommation citant la pomme de terre, les céréales et le lait. Le SG du MADR, insistera, par ailleurs, sur la nécessité de protéger les droits des agriculteurs et d’associer l’union des agriculteurs aux différents programmes de développement du secteur. Il a également souligné l’intérêt à améliorer les relations entre les professionnels de l’agriculture.

La notoriété de ce Salon qui lui a valu, en un laps de temps, de focaliser l’intérêt des opérateurs étrangers se traduit par le volume et la qualité de la participation étrangère soit 92 (75 en 2009) dont 27 espagnols sur un total de 176 exposants sachant que la France et la Chine interviennent en seconde et troisième position a déclaré, pour sa part, le président du groupe de réflexion « Filaha Innove » , le Dr. Amine Bensemmane.

La délégation ibérique qui est issue de la région de Murcie est accompagnée du ministre régional et entend exposer son savoir-faire dans différents domaines dont l’irrigation, la fertilisation, l’automatisation de systèmes et la machinerie. Par ailleurs, les entreprises françaises qui sont au nombre de huit, sont encadrées par l’agence « Ubifrance » et leur objectif est de trouver des partenaires (sociétés et institutions) algériennes dans les segments du stockage en chambres froides notamment.

Selon le Dr. Amine Bensemmane, l’objectif ciblé par le Salon consiste à cerner la problématique générale relative au secteur de l’agriculture à même de contribuer activement et efficacement à résoudre les difficultés rencontrées sur le terrain. Aussi, les organisateurs du Salon affirment que le Salon « Agro Expo » a l’ambition de drainer quelques 15.000 visiteurs professionnels et spécialistes du secteur agricole, de l’agro-industrie, du machinisme et de l’équipement agricole.

Il ya lieu de noter que des forums destinés aux professionnels sont prévus en marge du Salon. Il s’agit de « Fimag », forum interprofessionnel du machinisme et de l’équipement agricole, « Oléomed », forum interprofessionnel de l’oléiculture et « Phytoferti », forum professionnel incluant des conférences sur la fertilisation des sols et la mécanisation des techniques agricoles et enfin un dernier forum sur l’eau et l’agriculture ( Agri-Aqua) parrainé par le ministère des Ressources en eau, en collaboration avec l’Agence nationale des barrages et transferts et l’Office national de l’irrigation et du drainage.


D. Akila

3Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 13:17

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Ressources halieutiques : L'Algérie n'importera plus d'alevins


Les écloseries de Sétif et Sidi Bel-Abbès produiront 30 millions d'alevins par an.

A la question de savoir si l'ère des importations d'alevins par l'Algérie était révolue, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, M. Abdallah Khanafou, qui était hier en visite dans la wilaya de Sétif et venait entre autres à procéder à l'inauguration de Zaïri dans la commune de Ouricia, ne manquait pas de répondre par l’affirmative soulignant à cet effet : « Lorsque nous avons inauguré l'écloserie de Sétif, j'ai effectivement souligné que l'objectif primordial était d'interrompre les importations d'alevins. Donc nous avons ces deux écloseries, celle de Sétif et celle de Sidi Bel-Abbès qui vont produire 30 millions d'alevins par an et peuvent suffire dans un premier temps, aux besoins des ensemencements que nous aurons à réaliser sur les différents plans d'eau, barrages, etc. Aussi et en attendant que les créneaux de l'aquaculture soit développés et atteignent leur vitesse de croisière, nous n'aurons pas recours à des importations, d'autant plus que nous avons d'autres projets d'aquaculture qui constituent un appoint à cette production d'alevins parce que disposant de leurs propres écloseries. Je cite à cet effet l’exemple des projets de Ouargla et du projet marin d’Azzefoun.


Une importante visite qui, si elle a permis au ministre accompagné du wali, du président de l'APW et autorités locales, de s'enquérir de la situation du secteur dont il a la charge, n'a pas été sans être marquée par des actions à la mesure des avancées que connaît le département de la pêche et des ressources halieutiques et la dynamique qui le caractérise ces dernières années.


Comment sinon apprécier à sa juste dimension stratégique, l'inauguration hier par le ministre de cette écloserie de poisson d'eau douce qui est dotée d'une capacité de 15 millions d’alevins et qui est destinée, au-delà de sa mission de structure de recherche et de démonstration au profit des chercheurs et universitaires, à produire des carpes argentées, grande bouche ou d'autres espèces de poisson. Une réalisation financée par le Fonds national de développement de la pêche et de l'aquaculture à l'effet de mettre fin aux opérations d'importation d’alevins et qui est dotée d'une retenue collinaire de 5 hectares et d'équipements de pointe auxquels vient s'ajouter un savoir-faire établi des différents cadres agissant à ce niveau. Auparavant le ministre se rendra à l’IFP de Sétif où il visitera une exposition consacrée à l'aquaculture et son produit et procédera à l'ouverture officielle d'une journée d'étude sur les résultats obtenus de la première opération de la reproduction artificielle de poisson d'eau douce en Algérie.

lntervenant à l'issue de cette rencontre qui regroupait des chercheurs, cadres du secteur et universitaires, le ministre soulignera l’importance que revêtent de telles initiatives, établissant de ce fait la situation qui prévaut actuellement en matière d'aquaculture dans notre pays et les actions qui sont destinées à impulser son développement, s'agissant de surcroît d'une activité économique durable, dont l'impact ne peut se traduire que par des effets positifs. M. Abdallah Khanafou qui parlera de l'existence de 450 espaces d’eau sur 5 régions, soulignera un taux de croissance de 8% relevé à travers le monde et la nécessité d'œuvrer davantage.

La production qui était de l'ordre de 300 tonnes en 2000 est montée à 3.000 tonnes en 2009. Il se penchera de ce fait sur les grands objectifs assignés au secteur au titre des différents programmes de développement et fera état, entre autres, de 10 projets en voie de réalisation, 7 fermes aquacoles pour la production d'eau douce et 8 projets d'aquaculture sur 8 wilayas, consacrant une large part à l’investissement dans ce secteur.

Une cérémonie à l'issue de laquelle seront honorés plusieurs cadres et chercheurs qui se sont distingués par des travaux allant dans le sens de la réalisation de ces grands objectifs.

F. Z.

4Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 14:08

MJB



Atavisme a écrit:Congrès national de l’aéronautique à Oran

Bientôt un drone à usage environnemental "made in Algeria"


Un drone à usage environnemental sera bientôt construit à Oran, a-t-on appris auprès des organisateurs du premier congrès national de l'aéronautique ouvert hier à l'Université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (USTO). L'étude relative à cet appareil de navigation aérienne sans pilote humain a été élaborée par une équipe de chercheurs du Laboratoire d'aéronautique et des systèmes propulsifs de l'USTO. Le futur drone "made in algeria" pourra voler à une altitude de 7.000 mètres avec une autonomie de 36 heures, a indiqué M. Imine Bachir, directeur du Laboratoire de recherche et président du comité scientifique du congrès.


"Il s'agit d'un petit avion de 3 m d'envergure et 2,6 m de long, de type HALE (haute altitude, longue endurance) destiné à des applications civiles, notamment pour les missions de surveillance environnementale", a précisé ce responsable. Les multiples applications des drones ont été explicitées au congrès par M. Benallègue Abdelaziz, professeur et chercheur algérien membre du Laboratoire d'ingénierie des systèmes de Versailles (France). Dans sa communication intitulée "Les drones, un défi scientifique", il a rappelé la classification de ces types d'appareils en plusieurs familles, à savoir celles du type HALE, MALE (moyenne altitude), Tactiques (longue endurance), Mini-drones (faible endurance) et Micro-drones (très faible endurance).



S'agissant des applications civiles, le spécialiste a fait savoir qu'elles portent essentiellement sur la surveillance environnementale comme pour le contrôle de la pêche, les prévisions météorologiques, les mesures scientifiques et la cartographie. Les missions s'étendent également à la régulation du trafic routier grâce aux images transmises par la caméra (embarquée sous le drone) aux services compétents, a-t-il précisé, faisant état d'autres applications telles la lutte anti-terroriste, la surveillance des frontières, ou celles d'ordre ludique (jeux à télécommande). "Le défi scientifique de l'heure est de concevoir à moindre coût des engins volants sans pilote, capables de mener des missions de longue durée dans un large domaine de vol, et ce, quelles que soient les conditions météorologiques", a expliqué M. Benallègue en citant l'exemple du drone solaire "Helios" de type HALE. Un ingénieur algérien auprès de l'avionneur canadien Bombardier, M. Abdelkader Kherrat, est aussi présent à cette manifestation où il a animé une conférence sur "la certification des structures aéronautiques, de la conception préliminaire au service après-vente".Une dizaine d'universités du pays participent à ce congrès national de l'aéronautique aux côtés de l'Ecole militaire polytechnique (EMP, Alger), de l'Ecole supérieure de l'Air (ESA) de Tafraoui (Oran) et de l'Entreprise de construction aéronautique (ECA, Tafraoui).



Cette manifestation scientifique se poursuivra mardi par d'autres communications suivies d'une discussion visant la création d'une association nationale des cadres et chercheurs dans le domaine aéronautique.

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mercredi 24 novembre 2010 15:12:40

Tramway : Montage de 17 rames en Algérie

La valeur de l’assemblage des 17 tramways, que l’Algérie compte réaliser en partenariat, pourrait atteindre les 600 milliards (md) de dinars, a révélé hier le ministre des Transports, M. Amar Tou, soulignant l’importance de cette industrie locale dans la réduction de la facture d’importation des rames de tramways.

La valeur de l’assemblage des 17 tramways, que l’Algérie compte réaliser en partenariat, pourrait atteindre les 600 milliards (md) de dinars, a révélé hier le ministre des Transports, M. Amar Tou, soulignant l’importance de cette industrie locale dans la réduction de la facture d’importation des rames de tramways.

"La valeur de montage des 17 projets de tramways pourrait porter sur 400 à 500 mds de dinars et pourrait même aller au-delà des 600 mds de dinars, dont l’Algérie détiendra 51%", a déclaré M. Tou à la radio nationale.



En intégrant l’industrie du montage, l’Algérie gagnera en réduisant sa facture d’importation des kits de tramways et en créant un tissu industriel de sous-traitants, a-t-il indiqué, rappelant dans ce sens l’importance du partenariat conclu récemment entre les entreprises publiques algériennes Ferrovial et Métro d’Alger avec l’entreprise française Alstom pour l’assemblage des tramways à Annaba.


Sur ces 17 projets, trois sont en cours de réalisation (Alger, Oran et Constantine), six en phase d’attribution des études de détails et huit en cours d’étude de faisabilité, a ajouté le ministre.


Les six wilayas, dont les études de détails sont en cours d’attribution au niveau de la commission nationale de marchés sont Sétif, Ouargla, Annaba, Batna, Mostaganem, Sidi Bel-Abbès, a fait savoir le ministre.


La fin des travaux du premier tronçon du tramway d’Alger est annoncée pour décembre prochain et sera suivi par la phase de préparation de la mise en service qui est prévue pour mars 2011, selon le ministre. Par ailleurs, le ministre a rassuré que la mise en service du métro d’Alger interviendra en 2011, conformément à la date déjà annoncée par le Premier ministre M. Ahmed Ouyahia devant l'APN.


Sur ce point, il a tenu à préciser que le retard relevé par certains observateurs dans la réalisation du métro, n’est pas réel puisque le projet, lancé en 1981, était à l’arrêt jusqu'à son redémarrage effectif en mars 2006 avec la mise en vigueur du contrat de sa réalisation.


Le tronçon de 10 km du métro, déjà achevé a coûté 90 milliards de dinars (1,2 md de dollars), un montant bien inférieur au financement de 4,7 mds de dollars consenti par un des pays du Golfe pour la même distance et le même nombre de stations, a noté M. Tou. C
e coût indique, selon le ministre, que "le projet n’a pas connu de surcoûts et que son enveloppe financière a été bien gérée".

Quant au projet du métro d’Oran, son étude de détail est déjà lancée, et l’ouverture des offres est prévue pour le 10 décembre prochain, a-t-il dit.

Le ministre a par ailleurs, annoncé la création en 2011 d’autorités chargées d’organiser le transport public dans les villes pour mettre fin à l’anarchie régnante dans ce secteur.
اش خاصك العريان لخواتم امولاي

5Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 23:07

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MJB a écrit:

اش خاصك العريان لخواتم امولاي
Ya marroki.....ma 3andek ma dakhlek......akhbar el Djazaïr ma yahamouch maltek.....ahtam bi termik.

6Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 23:09

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Jean Pierre Raffarin, hier, à Alger

La France entend “décrocher” le marché “Algérie”

"Nous sommes en début d'une démarche de bonne intelligence, de bonnes volonté. Nous avons des défis très importants à résoudre". C'est là la déclaration faite, hier, à Djenan el Mithak par Jean Pierre Raffarin, l'émissaire du président français, Nicolas Sarkozy, qui s'est réuni, à huis clos, avec son homologue algérien, M. Mohamed Benmeradi, ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion d'investissement.



De ces déclarations, ressort que la France espère développer son économie via celle algérienne qu'elle doit, cependant, aider à se développer. Paris manifeste beaucoup d'intérêt à Alger d'où peut provenir son salut économique et social en ces temps de vache maigre. Tel est le deal qui s'impose au-delà du gagnant- gagnant, que devrait permettre le partenariat entre l'Algérie et la France. Pour cela, l'Elysée a mobilisé un de ses fins connaisseurs du dossier Algérie.



En chargeant Jean Pierre Raffarin qui a qualifié les relations entre les deux pays de "bonnes et très positives basées sur le gagnant-gagnant", d'œuvrer à lever les boucliers freinant le développement des relations bilatérales et de veiller aux négociations, pour y avoir été ministre des PME, PMI et Premier ministre, la France entend "décrocher" le marché "Algérie". Beaucoup de sous sont là.



L'Algérie n'a jamais été à une telle apogée. L'importance de ce "démarchage" a même amené les deux parties à garder, jalousement secrets les sujets de discussion qui, bien frappée du sceau de la confidentialité cette réunion tenue à huis clos. Seuls quelques informations livrées " parcimonieusement " par les deux ministres ont permis de connaître la teneur de ce " conclave " qui a servi, en fait, à faire le bilan économique des deux pays, a permis le dégagement d'une douzaine de dossiers dont la moitié est en bonne voie, concernant, notamment, des projets relatifs à l'industrie, au commerce, et à celui des services.



Les deux ministres ont élaboré une feuille de route qui sera sanctionnée, à court terme, par une prochaine entrevue en attendant la tenue d'un forum à Alger, les 30 et 31 mai prochain. Parmi les axes majeurs l'on peut citer l'emploi, le souhait d'un développement de la valeur ajoutée et des infrastructures. L'émissaire français reconnaît que notre pays a fait "des efforts très importants" en matière d'investissements et relève que l'Algérie "veut développer des emplois, des emplois qui sont qualifiés".



Ce qui fera dire à l'envoyé de l'Elysée que " la France souhaite participer à ce développement comme elle souhaite développer son économie et un certain nombre de ses secteurs. Nous voulons participer plus fort encore". L'ancien Premier ministre et sénateur français a précisé être "en train de voir les PME PMI qui peuvent participer à ces échanges sur les six mois" et d'annoncer fièrement que " J'ai reçu beaucoup de demandes d'entreprises françaises qui veulent y prendre part".



De son côté, notre ministre de l'industrie, de la PME et de la Promotion de investissement, M.Benmeradi qui avait déclaré avoir eu "en charge de faire une évaluation de l'état de nos relations économiques et l'état de coopération entre l'Algérie et la France" affirme que "nous avons bon espoir d'aboutir dans les délais". Il ajoutera que " nous avons fait état d'une quasi feuille de route " en rappelant les points saillants sur lesquels a tenu la discussion notamment "le volume des relations commerciales " ainsi que de " la faiblesse des IDE des entreprises étrangères" promettant d'étudier les moyens " d'encourager ces investissements ".


Il répondra à propos des "tracasseries" relatives au transfert de dividendes par les entreprises étrangères que "pour nous ce n'est pas un problème" expliquant que "les entreprises opérant dans le cadre de la loi sont autorisées à effectuer des transferts de bénéfice" sans pour autant omettre de relever le cachet purement bancaire d'une telle procédure.



D'ailleurs, il ne nie pas ces " tracasseries " sur lesquelles il promet de se pencher avec "la Banque d'Algérie qui a la charge de ces questions". Mais cela n'est guère un handicap et relève des mécanismes qu'il faut à peine ajuster puisque l'essentiel c'est de mettre en route ce partenariat et le rendre effectif.


Azzedine Belferag

7Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 23:12

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Le dossier Renault débloqué - La S.N.V.I fournira le site de production



"Le constructeur automobile français, Renault demeure très intéressé par la construction de véhicules en Algérie ; il va s'impliquer davantage avec des investissements directs", a affirmé, hier, à Alger, le ministre de l'Industrie et de la promotion de l'Investissement, Mohamed Benmeradi.


"Cet accord d'investissement qui suscite de nombreux débats de la part des deux partenaires, n'a pas encore abouti, mais le principe retenu lors des discussions entre les deux parties est d'arriver à produire 75.000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles'', a-t-il déclaré à l'APS. Les discussions portent sur "la création durant la première étape, d'une usine de montage, à laquelle succédera, dans une seconde étape, la fabrication de véhicules avec un taux d'intégration de l'industrie nationale de 40% étalée sur quatre ans", a révélé le ministre.




Si un tel projet vient à se confirmer officiellement en Algérie, le site de construction sera celui de la zone industrielle de Rouïba et ce sera la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) qui détiendra une part majoritaire dans le capital de la nouvelle usine conformément à la réglementation algérienne en vigueur. (La loi algérienne sur l'investissement stipule la détention du partenaire national de 51% des parts dans le capital).


Dans le cas présent, la SNVI fournira le site et Renault, détenteur des 49 % restants, s'occupera du management. "Si les négociations aboutissent, l'usine sera implantée sur les sites de la SNVI'', a confirmé le ministre, qui a indiqué ensuite que " l'usine sera opérationnelle en Algérie d'ici 2012 ". Par ailleurs, le premier responsable du secteur de l'industrie en Algérie a souligné que la visite de M. Jean pierre Raffarin, l'envoyé spécial du président français à Alger " représente une occasion pour relancer les relations algéro-françaises et aboutir à une décision définitive sur le sujet de l'implantation de cette usine de montage tant attendue ".



Pour sa part, l'ancien Premier ministre français, Jean pierre Raffarin, arrivé, hier, à Alger, avait auparavant affirmé que le dossier d'une implantation d'une usine Renault en Algérie, avance au rythme souhaité . " Il y' a eu des contacts importants et Renault a redimensionné son projet et redéfini un certain nombre de caractéristiques ", a-t-il précisé.


Les discussions sur le dossier Renault se sont poursuivies lors de sa rencontre, hier, à Alger, avec le ministre de l'Industrie M. Benmeradi.


La visite de Jean pierre Raffarin en Algérie va sans doute redynamiser les relations entre l'Algérie et la France, notamment dans le secteur de l'industrie.


Nassim I.

8Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 23:15

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Manuel Valls, maire d'Evry (Région parisienne)



"L'Algérie et la France partagent les mêmes enjeux"



"Les relations algéro-francaise doivent être consolidées pour un partenariat stratégique", a déclaré, mardi, à Alger, le maire d'Every (Paris), M. Manuel Valls. S'exprimant lors d'une conférence au centre culturel français (CCF), il estimera que les deux pays "partagent ensemble les même enjeux, liés par l'histoire, l'énergie et l'émigration".


Le conférencier, accompagné de l'ambassadeur de France à Alger, a porté un regard positif sur l'Algérie, en avançant qu' avec une population dont la majorité est jeune, l'Algérie de demain peut aller de l'avant dans la coopération avec les pays de l'autre rive de la méditerrané dont la France.


Manuel Valls a souligné également, à quel point la France et l'Algérie ont un rôle important dans le dialogue grâce à leur positionnement géographique. "Une au Nord et l'autre au Sud, ce qui fait un équilibre pour mieux s'affirmer", a-t-il dit.


Interrogé sur l'identité nationale en France et l'interdiction de la burqa, le maire d'Evry répondra qu'un sentiment de méfiance à l'égard des émigrés musulmans règne partout dans le monde, en raison de ce qui ce passe actuellement dans ses pays musulmans. Pour lui "ce sentiment de méfiance peut être vu différemment, en se battant tous ensemble contre la discrimination tout en respectant chaque religion".



Citant en exemple sa ville où coexistent dans un espace commun une mosquée et une cathédrale. L'invité du CCF a cité sa ville comme exemple en indiquant qu' Evry est peuplé de nombreux franco-algériens ainsi que d'autre émigrés issus du Maghreb, du Mali. Ces enfants issus de l'émigration sur le plan politique, économique, et sociale, constituent un atout de plus pour la réussite de sa ville et aussi reconstruire des relations avec les pays dont ils sont originaire. Manuel Valls a fait savoir que lui-même est arrivé en France comme émigré. $


D'autre part, le conférencier a fait savoir que la ville d'Evry est connue pour son architecture moderne. Elle compte plusieurs entreprises, ainsi que de nombreuses PME et PMI, spécialisées dans la logistique et les services ce qui représente en moyenne 60 000 emplois. "Plusieurs infrastructures ont été réalisées également dans cette ville, telles que des conservatoires, des salles de cinéma, des universités et un pôle de recherche scientifique très réputé", a encore ajouté Manuel Valls.


Nassim I.

Bio Express

Manuel Valls, maire d'Evry et député de l'Essonne, est né à Barcelone (Espagne).
En 1997, le Premier ministre Lionel Jospin l'appelle à son cabinet, où il est chargé de la communication et de la presse. Animateur du courant "A

9Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 23:17

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Bouira : Réception de 4 000 logements ruraux avant la fin de l'année

Les logements à caractère rural ont connu une grande demande au niveau de la wilaya de Bouira à cause du retour des citoyens à leurs terres après la désertion causée par la décennie noire, aussi grâce aux projets de développement qui sont programmés au profit des zones rurales afin de les moderniser, à l'instar du raccordement aux réseaux d'électricité et d'eau potable y compris les logements ruraux. Dans ce cadre, il a été réceptionné 13 305 unités de logement au profit de cette wilaya dans le cadre du programme quinquennal 2005-2009, 2 545 logements cette année, selon la direction du logement et des équipements publics, qui a aussi prévu un quota de 4 000 unités de logements qui seront réceptionnés en fin d'année.

Le chef du service logement de la même direction a expliqué qu'il y a 6 921 logements en cours de construction, dont 4 769 attributaires ont bénéficié de la première tranche de la subvention accordée pour cette opération, et 2 152 ont bénéficié de la deuxième tranche de la même subvention.

En ce qui concerne le programme des logements ruraux relatif au programme quinquennal 2010-2011, la wilaya bénéficiera de 20 000 subventions pour la construction rurale. Il est aussi inscrit 6 000 subventions pour cette année. Selon le même responsable, la première tranche inscrite en mars 2010 contient 3 000 subventions, dont 1 209 décisions de bénéfice seront accordées avant la fin de l'année.

La deuxième tranche, qui comprend aussi 3 000 subventions, a été inscrite en octobre 2010, et la préparation des listes des bénéficiaires sont en cours.

Dans ce cadre, ces programmes de logements ruraux ont donné un nouvel aspect aux zones rurales de la wilaya de Bouira.



Omar B.



Dernière édition par Atavisme le Ven 26 Nov - 23:29, édité 1 fois

10Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 26 Nov - 23:25

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Réunion mercredi à Tunis du comité algéro-tunisien de l'énergie

Alger - Le ministre de l'Energie et des Mines,Youcef Yousfi, participera à partir de mercredi à Tunis, à la réunion du "Comité bilatéral de coopération dans le domaine de l'énergie", a indiqué mardi un communiqué de son département ministériel.


Les travaux de cette réunion de deux jours, destinée à "l'évaluation des actions de coopération énergétique bilatérale réalisées depuis la précédente réunion tenue à Alger en juillet 2009", seront coprésidés par Yousfi et le ministre tunisien de l'Industrie, de l'Energie et des PME, Afif Chelbi.

Les deux parties examineront en particulier "les actions de coopération en matière d'exploration-production réalisées par la société mixte constituée à part égale (50/50%) entre Sonatrach et Etap (Entreprise tunisienne des activités pétrolières), d'interconnexions électriques ainsi que d'énergies nouvelles et renouvelables", a précisé le communiqué.

Le Comité se penchera également sur le projet d'approvisionnement de la Tunisie, notamment, des zones frontalières en gaz naturel algérien, selon le ministère, qui rappelle que l'Algérie approvisionne la Tunisie en GPL à travers deux contrats dont celui concernant les zones frontalières.

Cette réunion, précédée par celle des experts ce mardi, sera aussi l'occasion pour les deux parties de définir les actions de coopération future, ajoute le communiqué.

La coopération énergétique entre les deux pays maghrébins s'est renforcée dans les années 1970 avec le lancement du gazoduc Trans-méditerranéen (Transmed) qui relie l'Algérie à l'Italie via la tunisie.

Cet ouvrage a permis depuis sa mise en service en 1983 et jusqu'a fin 2008 le transit de plus de 450 milliards de m3 de gaz aux clients de Sonatrach en Tunisie et en Italie notamment.

Au cours de son séjour à Tunis, le ministre rencontrera des membres du gouvernement tunisien, selon la même source.

Les perspectives de coopération énergétique algéro-tunisiennes portent actuellement sur divers segments qui vont de l'interconnexion électrique à la distribution du GPL et du gaz naturel, et en perspective la possibilité de distribution d'autres produits énergétiques sur le marché tunisien.

En novembre 2008, les deux pays ont signé un accord pour doubler les quantités de GPL livrées à la Tunisie en les portant à près 300.000 tonnes/an.

Outre cet accord, il est également question pour le groupe pétrolier algérien Sonatrach de participer dans les facilités de stockage de GPL en Tunisie avec possibilité de développer à l'avenir un stockage terrien, qui servirait de base de stockage du produit, destiné aussi bien à couvrir des besoins de la Tunisie que ceux d'autres pays de la Méditerranée en la matière.

11Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Dim 28 Nov - 19:28

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Oran : Colloque sur les noms propres au Maghreb


Quelque 37 films et documentaires sont programmés pour être projetés à l'occasion de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011", a-t-on indiqué à la direction de wilaya de la culture.

Les travaux du Colloque sur "Le nom propre maghrébin de l’homme, de l’habitat, du relief et de l’eau", organisé du 21 au 23 novembre par le Haut Commissariat à l’Amazighité (HCA), se sont poursuivis hier à Oran. M. Mohand Tilmatine, de l’université de Cadix (Espagne), a abordé la question de "la politique linguistique et de la toponymie en Algérie" tout en rappelant que "la toponymie, expression du patrimoine immatériel, est liée à l’action de l’homme et reflète l’identité de son utilisateur". Le conférencier a appelé à "une prise en compte de la dimension amazighe des noms toponymiques en Algérie". Il a considéré que le pays dispose d’instituts spécialisés, de spécialistes dans ce domaine et d’études et projets conséquents "à même d’entreprendre ce travail de codification". L’intervention de ce chercheur a suscité un intéressant débat lorsqu’il a abordé la question de l’origine du nom de la ville d’Alger, indiquant que ce toponyme a été cité pour la première fois par le géographe arabe El Bakri. Cette appellation, a-t-il dit, était beaucoup plus en relation avec Ziri, le fondateur d’Alger, qu’avec le renvoi "el djazaïr" (îles) car, a-t-il expliqué, en langue arabe, le pluriel du mot île est "djouzour" et non "el djazaïr".
Le professeur Mohand Akli Haddadou, professeur en linguistique berbère à l’université de Tizi-Ouzou, a réfuté cette thèse en soulignant que c’est Ibn Hawqel, un autre géographe arabe, qui a été le premier à faire référence à "El djazaïr Bani Mezghana" bien avant El Bakri. Pour cet universitaire, le terme "djazaîr" est utilisé par les géographes arabes et musulmans pour désigner un espace maritime propre à une région. Les auteurs de l’époque parlaient de "djazaîr ech-cherq" pour désigner la région actuelle des Baléares.

Ahmed-Amine Dellaï, un chercheur au CRASC, spécialiste du Melhoun, a apporté "son grain de sel" en indiquant que les grands poètes et spécialistes de ce patrimoine oral désignant la région d’Alger sous le nom de "Bilad el djir" (le pays du gypse). Une piste susceptible d’intéresser d’éventuels chercheurs pour se pencher sur l’origine et le sens du nom d’Alger. La deuxième journée de cette rencontre, organisée en collaboration avec le CRASC, a été également marquée par une communication du chercheur français Hervé Guillorel du CNRS, qui a parlé de "l’hydronymie (nom des cours d’eau) et de la politique".

Le conférencier a relevé en substance "une hiérarchisation des enjeux dans la dénomination des lieux", estimant que "le changement de nom de la capitale d’un pays a une dimension plus importante que celui ayant trait à une nouvelle dénomination d’un bourg ou d’une commune".
Dans le domaine de l’hydronymie, il a cité plusieurs exemples faisant l’objet de polémiques pour des considérations historiques, culturelles ou géopolitiques.
Concernant la difficulté de cerner l’origine ou l’historique d’un nom, le conférencier a considéré que "lorsqu’on ne peut pas attribuer à une langue connue l’origine d’un nom, on ouvre la voie à toutes les formes d’inventions et de reconstitutions pouvant poser des problèmes".

12Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mer 1 Déc - 15:35

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5e forum d'affaires algéro-italien - Pour un partenariat gagnant-gagnant



Le 5e forum d'affaires algéro-italien a appelé, hier, à Alger à l'émergence d'un partenariat "gagnant-gagnant" entre les PME des deux pays. "Une fois que les conditions seront réunies pour promouvoir la création de sociétés mixtes algéro-italiennes, nos PME pourront participer à la diversification de l'économie algérienne", a assuré l'ambassadeur d'Italie en Algérie, Cantini Giampaolo. Le diplomate proposera "la mise en place de zones industrielles dédiées à ce genre de partenariat, d'instruments financiers incitatifs et l'application de conditions plus flexibles en termes de répartition de capital entre les PME des deux pays" car, a-t-il ajouté, "il ne faut pas traiter de façon égale les partenariats dans les grands projets énergétiques et des travaux publics et ceux entre PME".



Pour sa part, le coprésident du forum et président de la Chambre de commerce italo-arabe (CCIA), Sergio Marini, a appelé à "des facilitations réelles" en faveur des IDE (Investissements directs étrangers) en Algérie. Les PMI italiennes ont besoin, selon lui, de "transparence et de rapidité dans le traitement de leurs dossiers d'investissement et de partenariat, deux conditions qui ne sont pas toujours assurées en Algérie", a-t-il estimé en se félicitant tout de même de "l'excellent partenariat" que représente ''Eter Algérie'', une société mixte italo-algérienne de production de porcelaine.


Quant au secrétaire général de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), Mohamed Chami, il s'est réjoui de la qualité des échanges entre les deux pays puisque, explique-t-il, ''90% des exportations italiennes vers l'Algérie ne sont pas des produits finis mais constituent des intrants pour l'industrie algérienne". M. Chami a rassuré les opérateurs italiens quant au climat des affaires en Algérie en les invitant à "contribuer à un réel transfert de technologie et du savoir faire", d'autant que les PME italiennes sont des leaders mondiaux en la matière. Concernant les dizaine d'entrepreneurs italiens présents au forum, ces derniers ont tous exprimé leur désir de connaître les opportunités offertes par le marché algérien ainsi que les conditions d'investissement en Algérie. Ces sociétés activent, notamment, dans l'industrie de l'emboutissage (Akomag), machines pour l'usinage des tôles (Camu), porcelaine (Eter), construction (Monsud), consulting (Name), Ingénierie (Rigel Sistemi, Studio Mallandrino), machines pour l'extrusion du plastic (Tecnomatic), bagagerie (Valigeria Roncato) ou encore la culture des plantes d'extérieur (Vivai palandri).



En outre, il est à rappeler que les échanges commerciaux entre l'Algérie et l'Italie, composés essentiellement de gaz et de pétrole algériens et d'équipements industriels italiens, ont atteint les 6 milliards de dollars (Mds usd) durant les neuf premiers mois de 2010, selon la Caci. Affectés par la crise financière et économique mondiale, ces échanges étaient de 8,5 mds usd, en 2009, contre 20 mds usd en 2008 dont 16 mds usd d'exportations algériennes. L'Italie est le deuxième client de l'Algérie, qui lui vend 40% de son gaz naturel exporté. En dehors du secteur des hydrocarbures, les IDE italiens en Algérie restent insignifiants, selon des opérateurs.



N.I/APS

13Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mer 1 Déc - 15:37

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Refonte du tissu industriel public - Cap sur la reconstitution des groupes industriels



Dans l'objectif de ramener la part du secteur industriel dans le PIB, actuellement de 5 %, à hauteur de 10% en 2014, les pouvoirs publics se sont lancés dans la réorganisation des groupes industriels publics.



Dans le cadre de cette réhabilitation, les pouvoirs publics ont engagé des études de reconfiguration des Sociétés de gestion des participations (SGP). "Dix dossiers ont été déjà examinés par le Conseil des participations de l'Etat (CPE)", a affirmé, hier, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, le directeur du développement industriel au ministère de l'Industrie et de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Ould Mohamedi. L'opération vise à ériger des groupes industriels capables de relever les nouveaux défis auxquels est confrontée l'économie nationale depuis son ouverture. "Un groupe s'est déjà constitué.



Il s'agit du groupe Ciment, lequel a été examiné par le CPE et accompagné par un ensemble de décisions en matière d'investissements en juillet 2009", a précisé l'invité de la rédaction de la chaîne III. Ceci dit, les segments du secteur de l'industrie, notamment ceux considérés comme stratégiques, subiront des restructurations en vertu desquelles les SGP devront prendre une nouvelle configuration. Cette dernière procurera aux SGP plus de pouvoir décisionnel et de regard sur la gestion de leur portefeuille d'entreprises.



Selon des indiscrétions, les pouvoirs publics veulent constituer des holdings dans le tissu industriel national. Cette action doit passer par des études approfondies qui donneraient lieu à des choix stratégiques des filières à rétablir en priorité.
Une fois ces dernières identifiées, des programmes d'assainissements seront lancés et des plans de financements octroyés. C'est le cas, d'ailleurs, du groupe des produits pharmaceutiques Saidal et de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) ou encore le groupe Ciment.




En effet, le Groupe industriel des ciments d'Algérie (Gica) a bénéficié d'un important financement de l'Etat pour son développement. Il a bénéficié d'un montant "de 140 milliards de dinars, dont la contribution du Fonds national de l'investissement (FNI) est à hauteur de 64 milliards de dinars, en octroyant des crédits avec des taux d'intérêt étudiés", a précisé le responsable du ministère de l'Industrie. M. Ould Mohammedi révélera, cependant, que le Gica n'est pas le seul groupe public à avoir bénéficié d'une aide du FNI.


Le groupe Saïdal a bénéficié d'un soutien financier du FNI estimé à 16 milliards de dinars. Air Algérie et Cosider sont également bénéficiaires du FNI qui est, selon notre orateur, un puissant outil des pouvoirs publics mis au service du développement de l'industrie dans le pays.



Le représentant du ministère de l'industrie avoue que les plans d'assainissement des groupes publics du secteur industriel sont approuvés graduellement selon la disponibilité des entreprises et la finalisation des études engagées. "Les entreprises qui sont prêtes on les passent en premier", a-t-il tranché, rappelant, toutefois que le ministère de l'Industrie gère 16 SGP. "C'est le portefeuille le plus important", a-t-il insisté. Par ailleurs, M. Ould Mohamedi, reconnaît que le secteur des industries manufacturières a connu un désinvestissement durant les trois dernières décennies.



Cela est marqué par une absence de politique de formation et par l'atomisation du secteur en microentreprises. Le secteur n'était pas, selon lui, suffisamment préparé à l'ouverture de l'économie nationale, ce qui a généré une perte du marché du grand public. "Ce secteur n'a survécu que grâce aux commandes des établissements administratifs et aux corps constitués", a-t-il avoué, soulignant que le potentiel existe. "Les équipements sont valables moyennant quelques petites actions", a-t-il précisé.



Yazid F.

14Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mer 1 Déc - 15:40

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La première conférence sur l'entrepreneuriat au Maghreb s'ouvre aujourd'hui



Le modèle américain en débat à Alger



Alger abrite, à partir de demain, la 1re conférence sur l'entrepreneuriat dans le Maghreb, organisée par l'ambassade des Etats-Unis. Une forte participation est attendue à ce rendez-vous économique, que ce soit au niveau maghrébin ou américain. L'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, David Pearce, est revenu longuement sur cette rencontre lors de son passage dans l'émission "Question d'actu" diffusée lundi sur canal Algérie de la Télévision algérienne. Pour lui, c'est d'abord une opportunité pour "échanger les expériences et aussi discuter des opportunités d'affaires dans la région du Maghreb ainsi que les difficultés que peuvent rencontrer les jeunes promoteurs".


Il s'agit, poursuit le diplomate américain, d'une étape qui vient après le discours du président américain sur le partenariat. Des projets qui commencent à prendre forme comme le programme de jumelage entre les universités américaines et algériennes grâce au partenariat noué entre l'université du Michigan, aux Etats-Unis, et l'université Mentouri de Constantine. L'occasion d'évoquer justement le rôle et la synergie que doit créer le monde des affaires et l'université. Présent sur le plateau, Smaïl Chikhoun, du conseil d'affaire algéro-américain, a beaucoup insisté sur cette relation "développer davantage pour asseoir un vrai partenariat entre l'entreprise et l'université".



Il estime, à ce propos, que les Etats-Unis sont un exemple dans la création des start-up surtout dans les régions de Californie et de Silicone Valley où les meilleurs étudiants sont recrutés par les entreprises qui financent en contre partie des programmes de ces universités. Des exemples à suivre et pourquoi pas aussi "faire appel aux Algériens installés à l'étranger".



En abordant ce volet, Smaïl Chikhoun a mis en avant la réussite des Algériens aux Etats-Unis, qui ont "commencé timidement mais au final ils détiennent aujourd'hui 1500 brevets d'invention à Silicone Valley". Pour sa part, Hamoud Benhamdine, du ministère de l'Industrie, a abordé le volet législatif que le ministère compte vulgariser lors de cette rencontre de deux jours à Alger.



Le financement des projets a été la question clé de ce débat et Sofiane Chaïb, entrepreneur, a soulevé les difficultés que rencontrent les promoteurs. Hamoud Benhamdine a ainsi précisé que toutes les banques sont "tenues de créer une branche d'investissement et suivre l'exemple de la Banque extérieure d'Algérie". Cette question sera, selon l'ambassadeur des Etats-Unis, au centre des discussions aujourd'hui entre les participants et précise au passage que tout investissement comprend des risques que la banque et l'opérateur doivent partager. David Pearce a souligné aussi que la promotion de l'entrepreneuriat n'est pas une chose facile et des efforts des gouvernements sont un plus pour l'encouragement de cette activité. Interrogé sur les relations bilatérales, l'ambassadeur des Etats-Unis a souligné que le partenariat entre les deux pays est "très fort et l'Algérie est le 4e partenaire des Etats-Unis dans la région".



Les échanges commerciaux ont atteint 12 milliards de dollars en 2009 avec une balance favorable pour l'Algérie qui a exporté pour 11 milliards de dollars de produits énergétiques. David Pearce a précisé qu'un travail est mené actuellement pour diversifier la coopération et ne pas se concentrer uniquement sur les hydrocarbures ajoutant que les entreprises américaines ne connaissent pas suffisamment le marché algérien. C'est pourquoi il est allé à leur rencontre dans son pays pour expliquer l'importance du programme quinquennal en Algérie et surtout l'amélioration de la situation sécuritaire.



Abdelghani M.

15Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Dim 5 Déc - 17:37

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50 hôtels classés entre deux et cinq étoiles depuis 2009





50 hôtels ont été classés entre deux et cinq étoiles dans le cadre de l’opération de classement du parc hotelier national, a fait savoir jeudi le ministre du tourisme et de l’artisanat, M. Smail Mimoune. En réponse à la question d’un député de l’Assemblée populaire nationale(APN) lors d’une session plenière consacrée aux questions orales, M. Mimounea indiqué que l’opération de classement qui a débuté en 2009 se poursuivait et qu’elle touchera les hôtels déclassés en raison de défaillances enregistrées en matière d’accueil et de prestations.



Il a souligné que sur 1200 hôtels que compte le parc hôtelier national-d’une capacité d’accueil de 93000 lits- 10 pc seulement répondaient au standard international. Pour ce qui est de la tarification des prestations hôtelières, onéreuse pour le citoyen qui opte pour l’étranger, le ministre a dit qu’une étude était en cours de réalisation avec l’entreprise de gestion hôtelière (Gestour) pour réviser les prix appliqués notamment dans le secteur public.



M. Mimoune qui a remis en cause l’application par ces hôtels des mêmes prix à longueur d’année, plutôt que les prix de saison, a rappelé que l’Etat avait décidé une réduction de la TVA sur les services liés aux activités de tourisme et d’hôtellerie de 17 à 7 pc ce qui permettra, selon lui, de baisser les tarifications des prestations en la matière.



En outre, a-t-il ajouté, l’exonération de la taxe sur l’activité professionnelle(TAP) pour le chiffre d’affaires en devises pour les services touristiques et hoteliers est de nature à contribuer à baisser les prix. Auparavant le ministre avait souligné que le secteur du tourisme était un secteur commercial dans lequel les prix restaient libres et que la concurrence était de nature à favoriser la réduction des prix.



Par ailleurs, M. Mimoune a présenté un aperçu de la situation du secteur, qui, a-t-il dit, fait l’objet de programmes structurels et de réhabilitation. L’analyse faite en 2008 a permis de cerner les carences du secteur du tourisme, a-t-il affirmé.



Parmi les carences enregistrées en matière de gestion touristique, M. Mimoune cite l’absence d’une définition précise du produit touristique algérien, une promotion insuffisante de la destination Algérie, le déficit en infrastructures hôtelières, une qualité de services ne répondant pas aux normes requises, et la sous-qualification des employés du secteur ».M. Mimoune a rappelé la stratégie de relance touristique à long terme qui s’articule autour de cinq points à savoir, le plan destination Algérie, le développement de pôles d’excellence touristiques, la promotion de l’offre touristique à travers l’outil technologique et le développement des ressources humaines, le développement du partenariat public et privé entre les secteur set le plan de financement touristique.



Il a souligné, dans ce sens, que le tourisme saharien a bénéficié de l’élargissement de ses capacités d’hébergement à travers la réalisation de 9 hôtels dans les Oasis et la Saoura d’un coût de 2 milliards de dollars. Pour ce qui est du tourisme médical, de détente et de bien-être, une étude globale a concerné 10 stations à caractère national.



Il s’agit, selon le ministre, de Hammam Salhine (Biskra), Hammam Zelfana (Ghardaïa), Hammam Boughrara (Tlemcen), Hammam Bouhnifia (Mascara), Hammam Rabi (Saïda), Hammam Bouhdjar (Tamanrasset, Hammam Righa (Aïn Defla), Hammam Guergour (Sétif) Hammam Debagh (Guelma) et Hammam Salihine (Khechela).

A propos du tourisme balnéaire, M. Mimoune a relevé « un déficit en matière de structures d’hébergement au niveau de 14 wilayas côtières » affirmant que les efforts se poursuivaient à l’effet d’améliorer cette situation. Toutefois, les capacités d’accueil ont enregistré une hausse de 22% en 2009, a-t-il ajouté.

Dans une déclaration à la presse en marge de cette session, M. Mimounea souligné la nécessité de développer l’industrie artisanale « comme moyen de développement touristique à même de drainer les touristes »relevant « des efforts consentis dans ce sens ces dernières années et qui méritent d’être encouragés notamment en matière de marketing ».

16Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Dim 5 Déc - 17:39

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Fonds de la Zakat - 3000 projets financés


Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, M. Bouabdallah Ghlamallah, a estimé hier sur les ondes la chaîne III de la Radio nationale que les ressources du Fonds de la zakat atteindrer un pic cette année. En effet, le ministre a fait savoir que les prévisions de ce fonds devant être collecté pour 2010 s'élève à 1 milliard de DA. Il a, dans ce même contexte, assuré que le fond de la zakat collecté est distribué intégralement aux familles nécessiteuses et aussi sous forme de crédits aux jeunes chômeurs désireux de fonder leurs propres entreprises.



L'invité de la Radio nationale a relevé que le nombre de projets réalisés grâce au fonds de la zakat s'élève à 3000 à travers le territoire national.Le fonds de la Zakat, instauré en 2003, œuvre au développement socioéconomique du pays, notamment en matière d'investissement et de lutte contre le chômage, à travers l'octroi de micro-crédits sans intérêt, aux milliers de jeunes diplômés chômeurs et des femmes au foyer.

En effet, 37.5% des dons collectés par le fonds sont distribués sous forme de crédits pour la création de PME. 3600 jeunes chômeurs ont bénéficié des crédits pour la création de projets de développement économique. La valeur de ces prêts est estimée à 575 millions de dinars.


Le plafond des crédits sans intérêts, attribués à des jeunes sans emploi par le fonds de la zakat pour le financement de petits projets, étant de 300 000 pourrait être revu à la hausse. Une directive est adressée aux commissions de wilayas en charge de la gestion de la zakat, de porter le montant du crédit alloué à 500 000 DA, si la manne financière dont dispose la commission peut le permettre. Concernant la période de remboursement des prêts, qui est de 5 années, celle-ci, aussi, peut être allongée à 7 ou 8 ans, si le promoteur est dans l'incapacité d'honorer ses engagements dans l'immédiat.
R.F.

17Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Dim 5 Déc - 23:28

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Comité exécutif de la FIFA : "C'est un défi unique en son genre pour moi", selon Mohamed Raouraoua

Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, a estimé hier que sa candidature aux élections du Comité exécutif de la Fédération internationale de football (FIFA), est un "défi" pour lui. "J'ai beaucoup réfléchi avant de déposer ma candidature, ça sera un défi unique en son genre pour moi. C'est historique pour l'Algérie qui sera représentée à travers ma personne au niveau de la plus grande instance de football au monde. Je souhaite que la réussite soit de mon côté inchallah pour le bien de mon pays," a indiqué M. Raouraoua à la radio nationale. Mohamed Raouraoua a déposé officiellement sa candidature mercredi dernier. Membre du comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) depuis janvier 2004, le patron de la FAF est membre dans plusieurs commissions de la CAF et de la FIFA. M. Raouraoua a expliqué que la suspension pour corruption du Nigérian Amos Adamu, membre du comité exécutif de la FIFA, et le soutien de la CAF, l'ont poussé pour se porter candidat. "Comme tout le monde le sait, l'Afrique du Nord est représentée au niveau du bureau exécutif par l'Egyptien Hani Abourida, mais la suspension d'Amos Adamu, qui représentait l'Afrique centrale, m'a incité à participer aux élections d'autant que j'ai reçu le soutien de l'instance africaine. Si Adamu n'avait pas été suspendu, je n'aurais jamais postulé", a-t-il ajouté. Pour espérer figurer au sein du bureau exécutif de la FIFA, Mohamed Raouraoua estime qu'il lui faudra réaliser un grand travail. "Je n'ai reçu aucune garantie pour décrocher une place au niveau du bureau exécutif. Un grand travail m'attend pour recueillir le maximum de voix lors des prochaines élections". La CAF procèdera le 23 février prochain à Khartoum (Soudan) au renouvellement de 2 des 4 postes représentant l'instance africaine au niveau du bureau exécutif de la FIFA. Parmi les autres candidats en lice pour les deux places à pourvoir au comité exécutif de la FIFA, figurent le Sud-Africain Danny Jordaan, le Ghanéen Kwesi Nyatekyi, l'ancien président de la Fédération nigériane de football, Ibrahima Galadima, ainsi que l'Ivoirien Jacques Anouma.



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18Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Dim 5 Déc - 23:33

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Voiture made in Algeria Du sur mesure pour le marché local !

Signe de l'aboutissement du développement industriel, la perspective de fabriquer une voiture 100 % made in Algeria a longtemps nourrit l'imaginaire de toute une nation. Dès la création des grands complexes de fabrication des engins industriels, l'objectif a été de tous temps d'arriver à la création de cette fameuse voiture. Un objectif qui a failli être concrétisé avec le projet "Fatia" du constructeur italien Fiat. Un projet qui, pourtant, ne se réalisera pas. Un échec cuisant qui a totalement remis en cause notre capacité à atteindre de telles ambitions. Echec après échec, la voiture algérienne est devenue au fil des ans le sujet phare de nombreuses blagues populaires. Mais, trêve de plaisanterie. L'échec qui nous a plongé dans un pessimisme certain, devrait plutôt nous pousser à en tirer les enseignements et à nous interroger sur les atouts et les inconvénients d'un projet de cette envergure. Une chose est certaine, l'Algérie est le marché le plus important de la région. Les prévisions tablent sur une capacité d'absorption de plus de 300 000 véhicules à moyen terme. D'ailleurs, notre pays a longtemps été considéré par les grands constructeurs automobiles comme un marché de distribution majeur dans le Maghreb. Or, les mesures prises dans le cadre de la LFC 2009 ayant pour objectif de réduire l'importation de véhicules, a changé la donne. Si pour le moment le crédit à la consommation a été supprimé, la perspective de rétablir ce dernier au profit du produit fabriqué localement pousse les constructeurs à s'adapter en conséquence. Renault, qui caracole au hit parade des plus gros vendeurs de voitures en Algérie semble l'avoir compris et a récemment annoncé son intention d'implanter une usine avec une capacité de production de 75 000 véhicules par an. Au-delà, de l'annonce qui a fait son effet sur le coup, et avec du recul, la première question qui s'impose met en avant la problématique de la rentabilité du projet et du prix de la voiture algérienne. Nombreux ceux qui affirmeront d'emblée qu'un investisseur sérieux ne peut s'engager dans un plan à long terme, sans que les questions de rentabilité ne soient aplanies.

Néanmoins, la question mérite d'être posée, d'autant plus que selon les économistes interrogés, une usine de montage automobile ne peut être rentable qu'avec une capacité de production supérieure à 400 000 véhicules /an. Aussi, la question des coûts se pose avec acuité lorsque l'on sait que l'usine de montage Renault ne tolère qu' un taux d'intégration de 40 %. Un taux logique au vu de la déstructuration du tissu industriel et de sous-traitance en place. Ce qui équivaut à prévoir un recours systématique à l'importation de pièces détachées. Chose qui aura à coup sûr un impact sur le prix de revient de cette Renault algérienne. Et par ricochet, se pose la problématique de la compétitivité du produit sur le plan régional. Si, aujourd'hui, la production de l'usine algérienne semble être destinée au marché local, il serait intéressant de se pencher sur les possibilités de viser le marché régional. Et c'est là que se posent les défis. Comparativement au projet marocain Tanger Med, l'Algérie souffre de lacunes. Il s'agit d'abord de l'absence d'un port en eaux profondes, infrastructure nécessaire pour la mise en place d'une telle industrie. Il y'a aussi la main-d'œuvre qu'il faut requalifier et, bien sûr, la mise en place d'un réseau de sous-traitants capable de fournir l'usine en équipements.
Isma B.



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Yasmina Khadra reçoit le prix « Campus de Cristal » 2010

L’écrivain algérien Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohammed Moulessehoul, a reçu jeudi en Belgique le prix « Campus de Cristal » 2010 de la Haute école de la Province de Liège, a-t-on appris vendredi auprès de cette institution. Cette distinction est décernée chaque année par cette prestigieuse école liégeoise à une personnalité du monde médiatique ou culturel.

Jeudi soir, l’auteur de « Ce que le jour doit à la nuit », a animé une rencontre publique au Palais des Congrès de Liège qui, à cette occasion, a enregistré une affluence record, soit quelque 1.700 personnes, selon les organisateurs qui affirment qu’aucun écrivain n’a réussi à attirer autant de monde en ce lieu. Sous le pseudonyme de Yasmina Khadra, l’écrivain au talent mondialement reconnu, affirme militer pour l’intelligence et le triomphe de l’humanisme. Il écrit des romans dans lesquels il présente, notamment, une analyse de la

société algérienne. »Morituri » le révèle au grand public. Suivront « Les Hirondelles de Kaboul », »L’Attentat » et « Les Sirènes de Bagdad », où il explore l’histoire contemporaine et l’affrontement meurtrier, incompréhensible à ses yeux, entre l’Orient et l’Occident.

Son roman « Ce que le jour doit à la nuit » obtint en 2008 le « Prix Roman France Télévisions », fut élu « Meilleur livre de l’année 2008″ et obtint en 2009 le « Prix des Lecteurs corses ». En 2010, il publie aux éditions Julliard « L’Olympe des infortunes » qui plonge le lecteur dans l’univers méconnu des sans-abri. »La littérature a le pouvoir de donner une cohérence au chaos, un sens à l’absurde, une dimension à l’indicible, elle est l’esthétique de la banalité, le garde-fou de la fatalité, elle restitue à la vie ce que l’indifférence lui confisque », a-t-il dit dans l’une de ses nombreuses interviews. Le prix « Campus de Cristal », décerné pour la première fois en 2002, a été imaginé par des étudiants en communication de la Haute école de la Province de Liège.



Dernière édition par Atavisme le Jeu 9 Déc - 22:09, édité 1 fois

20Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Lun 6 Déc - 17:35

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Gestion des risques majeurs en Algérie Les cerveaux établis aux USA à la rescousse



Les chercheurs algériens établis aux Etats-Unis d'Amérique seront impliqués dans la gestion des risques majeurs dans leurs pays d'origine, a annoncé, hier, Hafid Aourag, DG de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.


"Des réseaux entre les membres de la communauté scientifique algérienne établie aux USA et leurs homologues algériens ont été mis en place en vue de trouver des mécanismes et des moyens de transférer les recherches et les technologies vers le pays et d'améliorer la situation, notamment dans les domaines de la gestion des risques majeurs et de la santé", a déclaré Aourag, à l'issue de la conférence sur le partenariat entre les communautés scientifiques algériennes aux USA et en Algérie, tenue à Alger.


Les participants à cette conférence, dont 20 experts algériens membres de la fondation algéro-américaine pour la technologie (AA-FEST), ont été trié sur le volet. Selon Aourag, "ils occupent des postes de responsabilité aux Etats-Unis et sont à même de décider dans leurs domaines respectifs".


Signalons, d'autre part, que les experts locaux ayant pris part à cette rencontre, ont abordé les difficultés qu'ils rencontrent dans le traitement des catastrophes naturelles à l'exemple des séismes, des inondations et des risques industriels. Les participants ont appelé, pour ce qui concerne la désertification, à faire bénéficier les jeunes chercheurs algériens d'un encadrement scientifique assuré par des experts américains. Les chercheurs locaux ont, également, réclamé l'amélioration de la qualité des brochures scientifiques publiées en Algérie dans le domaine de la géophysique, pour en faire des références en la matière. Dans le domaine médical, les chercheurs algériens ont mis l'index sur la nécessité du transfert des technologies de pointe utilisées aux USA en matière de prise en charge des cancéreux. Ils ont suggéré, en ce sens, la création d'un centre de recherche sur le cancer et d'un autre spécialisé dans les maladies infectieuses.
Il faut dire, enfin, que les déclaration des responsables du secteur de la recherche scientifique en Algérie n'ont pas cessé de parler de lendemains meilleurs dans l'objectif de convaincre la matière grise nationale de rester dans le pays. Mais, sur le terrain ce phénomène qui hypothèque l'avenir du pays perdure toujours. Selon des sources au fait de ce dossier, pas moins de 40 000 chercheurs ont fui l'Algérie entre 1996 et 2006. Depuis, les organismes de statistiques n'ont pas donné d'autres bilans sur les le nombre de chercheurs partis renforcer cette diaspora un peu spéciale.



L’Algérie offre une « occasion unique » aux Palestiniens pour s’unir

L’Algérie offre, à travers le Forum international de soutien aux détenus palestiniens, une « occasion unique » aux Palestiniens pour faire un pas vers l’unité, a souligné, dimanche à Alger, la présidente honoraire du Sénat de Belgique, Anne-Marie Lizin.

« En organisant ce forum, je pense que l’Algérie offre une occasion unique aux Palestiniens pour faire un pas vers l’unité et se pencher sur les problèmes qui leurs sont communs », a déclaré Mme Lizin à la presse, en marge des travaux du forum. Elle s’est interrogée, en outre, sur les raisons de la « réussite » du monde arabe à mobiliser l’opinion internationale autour des détenus de la prison de Guantanamo et son silence sur le dossier des détenus palestiniens dans les prisons d’Israël. « Il faut agir de la même manière pour dénoncer Israël sur la question des prisonniers palestiniens », a-t-elle estimé, ajoutant que « la même analyse appliquée dans le cas de Guantanamo est valable pour les prisons d’Israël ».


APS


21Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Lun 6 Déc - 23:10

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L'Algérie propose la création d'un conseil consultatif des communautés arabes à l'étranger

La Nouvelle République : 05 - 12 – 2010


Le secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères chargé de la communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah, a proposé samedi au Caire la création d'un conseil consultatif des communautés arabes à l'étranger. Sa création est «un premier pas susceptible de contribuer à la réalisation des objectifs escomptés», a déclaré M. Benatallah en marge des travaux de la première conférence des émigrés arabes. Il a affirmé son soutien à l'initiative du secrétariat général de la Ligue arabe pour la tenue de cette conférence qualifiée de «positive», ajoutant qu'après consultation avec les ministres concernés des pays du Maghreb arabe, il s'est avéré que «nous considérons cette conférence sous deux angles différents mais complémentaires». Cette initiative, a-t-il précisé, est destinée seulement à une élite de la communauté arabe à l'étranger qui ne représente, selon lui, que 1% ou moins de cette communauté. Concernant les deux points relatifs aux deux projets de création d'un conseil ministériel arabe de la communauté arabe à l'étranger et d'une banque de données y afférente, le secrétaire d'Etat a indiqué que l'Algérie estime nécessaire le lancement de l'évaluation de la situation actuelle des communautés arabes dans le monde comme première étape afin d'arriver à la formulation d'une vision future avant l'examen et la discussion de ces deux projets, «ce qui requiert de notre part, a-t-il poursuivi, une politique commune basée sur l'expérience propre à chaque pays». La proposition de l'Algérie, a-t-il poursuivi, ne vise pas seulement d'accorder l'intérêt à l'élite émigrée mais à tous les membres des communautés arabes résidant à l'étranger. L'Algérie, a encore indiqué M. Benatallah, œuvrera inlassablement à attirer la communauté arabe à l'étranger, notamment celle jouissant de l'expertise afin d'en bénéficier dans l'intérêt des pays arabes. Au plan maghrébin, M. Benatallah a déclaré qu'à l'issue des concertations avec les ministres concernés au Maghreb arabe, certaines initiatives ont été prises envers les communautés maghrébines à l'étranger au regard de la similitude de leurs problèmes et de leurs préoccupations dont la résidence, l'emploi et le logement avec l'ouverture d'un dialogue à cet effet. S'agissant de l'idée de création d'un «Maghreb arabe des communautés», le secrétaire d'Etat a dit avoir formulé cette proposition lors de sa visite aux pays du Maghreb arabe, et qui a été favorablement accueillie en raison de la similitude des défis auxquels font face les communautés maghrébines notamment en Europe où «près de 80% de leurs membres sont des personnes simples qui nécessitent une prise en charge et la protection de leur pays et de leur gouvernement». M. Benatallah avait relevé, lors des débats, que l'intérêt que l'Etat algérien accorde à sa communauté à l'étranger «n'est pas le fait de politiques conjoncturelles mais émane de sa profonde conviction que cette communauté est partie intégrante de la communauté nationale et son prolongement civilisationnel eu égard au rôle important qu'elle joue dans le processus de développement du pays et la consolidation de sa place à l'étranger».



Le président de la République en visite officielle en Allemagne
Pour une coopération algéro-allemande accrue

La Tribune : 06 - 12 - 2010

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, accompagné d'une importante délégation, se rendra demain en Allemagne pour une visite d'Etat. Il aura des entretiens avec la chancelière allemande Angela Merkel. Plusieurs dossiers seront au menu de cette visite. Ce déplacement en Allemagne vise à resserrer les relations bilatérales, à promouvoir le partenariat dans un ensemble de domaines. Un des domaines phare dans la coopération algéro-allemande reste l'énergie solaire. Les deux pays font du mieux qu'ils peuvent pour la développer davantage. Les opérateurs économiques algériens et allemands s'inscrivent dans la même logique, se montrant déterminés à mener à bien les projets communs de coopération énergétique, avec notamment la panoplie d'accords signés ces dernières années dans le solaire. Le marché algérien du renouvelable, ce sont d'énormes potentialités, le pays devant augmenter, dans les années à venir, considérablement la part des énergies propres dans la consommation d'énergie électrique. Et cela, les Allemands le savent. L'Algérie est en train de mettre en place toute la législation qui sous-tend le secteur des énergies renouvelables. Il lui manque cependant les équipements et l'Allemagne demeure une bonne adresse en la matière.

Seulement, il y a problème, l'Algérie ne veut plus acheter des équipements onéreux, sans transfert de technologie, sans formation au profit de techniciens algériens. Finis ainsi les contrats clés en main ! L'Algérie fait partie d'un groupe de quatorze pays ayant élaboré des projets d'énergies renouvelables à grande échelle, notamment les énergies solaire, éolienne ou géothermique, selon de récents bilans mis au point par la Banque mondiale. Cette institution multilatérale a évoqué trois grands projets : trois centrales solaires hybrides CSP (Concentrating Solar Power) de Naama, de Hassi R'mel et de Meghaïer. Il est attendu que la centrale de production d'énergie hybride, solaire et gaz, de Hassi R'mel, près de Laghouat, soit réceptionnée en janvier 2011. Le pays s'intéressait également à «Desertec», un projet grandiose dont la faisabilité a été démontrée. Les Allemands poussent à sa réalisation, mais les choses semblent grippées. «Desertec» a été imaginé par le réseau international TREC (Trans-Mediterranean Renewable Energy Coopération), créé en 2003 par le «Club de Rome». Il se donne comme projet l'accélération de la production d'électricité et d'eau dessalée à partir de centrales thermo-solaires et d'éoliennes, situées au Moyen-Orient et en Afrique du Nord et, à partir de 2020, le transport de cette électricité verte jusqu'en Europe.

La coopération algéro-allemande est portée par un certain nombre d'acteurs dont GTZ et la Chambre algéro-allemande de commerce et d'industrie (AHK Algérie). Cette dernière, dynamique, est de toutes les manifestations économiques et commerciales - ou presque - organisées en Algérie. AHK Algérie et GTZ apportent une contribution complémentaire dans le cadre de leurs prérogatives, impulsant le partenariat. Outre le renouvelable, les opérateurs allemands manifestent de l'intérêt pour l'environnement. Plusieurs entreprises sont, déjà, chargées de réaliser des projets en Algérie dans les domaines de l'environnement, en particulier dans ceux des eaux usées, de la gestion des déchets…

Les sociétés allemandes sont aussi implantées dans le secteur pétrolier, notamment dans le segment de la pétrochimie. Le domaine de l'automobile y est aussi présent. A retenir également dans la coopération algéro-allemande, une nette amélioration du volume des échanges entre les deux pays, même s'il évolue toujours à l'avantage des Allemands. Plus de 97% des exportations algériennes vers ce pays concernent le pétrole. Le reste est fait de produits chimiques et pétrochimiques, et, à un taux franchement très réduit, d'agroalimentaire. L'économie et la rigueur allemande ne sont pas à démontrer. L'Allemagne est depuis 2007 la quatrième puissance économique mondiale, derrière les Etats-Unis, la Chine et le Japon, et la première de l'Union européenne et d'Europe. Elle était le deuxième grand exportateur après les Etats-Unis. Elle est aujourd'hui le plus grand exportateur mondial de biens devant les Etats-Unis et la Chine.


F. Djouadi

22Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Lun 6 Déc - 23:27

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Energie : Sonelgaz veut se lancer dans la production d'équipements électriques à forte valeur ajoutée
Horizons : 05 - 12 – 2010



Photo : Makine F. Le groupe Sonelgaz veut se lancer dans la production d'équipements électriques à forte valeurajouté, notamment des pièces de rechange pour turbines à gaz, a annoncé hier son PDG, Noureddine Bouterfa. M. Boutera a expliqué à la radio nationale que l'intégration d'Armel, entreprise spécialisée dans la réparation de gros moteurs électriques de moyenne tension, vise à développer à moyen terme des produits à forte valeur ajoutée telle les pièces de rechange pour turbines à gaz.
L'Algérie dispose actuellement d'environ 400 turbines à gaz pour la production d'électricité ce qui constitue un énorme patrimoine que les entreprises nationales doivent apprendre à entretenir. Sonelgaz qui compte actuellement 36 entreprises de métier envisage aussi d'intégrer l'Entreprise électrification d'Algérie (Al-Elec) dans l'objectif de créer un pôle de travaux de réseau électrique, notamment de transport, a fait savoir le dirigeant de Sonelgaz.
L'intégration d'Al-Elec vise aussi à récupérer le marché de réalisation de réseau électrique, dont 50% sont déjà détenus par des entreprises internationales. M. Bouterfa a revu à la hausse la production de la filiale Rouiba Eclairage, qui va produire dès 2012, des panneaux photovoltaïques d'une capacité de 100 MW au lieu de 50 MW, initialement prévus. Par ailleurs, M. Bouterfa a fait savoir que les créances de Sonelgaz s'élèvent à 40 milliards DA.

23Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mar 7 Déc - 13:32

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Le Président Bouteflika intransigeant
Droit de concession pour l'exploitation des terres agricoles du domaine privé de l'Etat

Ines Amroude Le Midi Libre : 06 - 12 - 2010



Le gouvernement a été chargé par le président de la République de veiller à ce qu'aucune partie dont la justice aura établi l'implication dans des détournements de terres agricoles de leur vocation, ne puisse désormais accéder à la jouissance du droit de concession.
Le gouvernement a été chargé par le président de la République de veiller à ce qu'aucune partie dont la justice aura établi l'implication dans des détournements de terres agricoles de leur vocation, ne puisse désormais accéder à la jouissance du droit de concession.

Le Conseil des ministres s'est réuni, hier, sous la présidence du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, avec au menu une panoplies de textes de loi adoptés. Ainsi, le Conseil des ministres, précise le communiqué sanctionnant la réunion, a d'abord examiné et approuvé un projet de loi portant organisation de la profession d'avocat. Fruit d'une concertation entre l'administration de la justice et l'Ordre national des avocats, ce texte a pour objet de promouvoir les droits des justiciables à travers une défense hautement qualifiée, dont la place et la considération seront définies et garanties par la loi. Un texte qui prévoit, entre autres, de garantir la qualité de la défense en conférant à l'avenir, après une période de transition, la latitude de délivrer le certificat d'aptitude à la profession d'avocat à une école nationale spécialisée dont l'accès sera organisé par voie de concours. De même, il fixe les conditions minimales d'ancienneté dans la profession qui seront exigées de l'avocat voulant plaider devant les cours et juridictions administratives, et davantage pour plaider près la Cour suprême et le Conseil d'Etat. Il énonce également un ensemble de dispositions transitoires devant accompagner la profession d'avocat de son organisation actuelle vers celle fixée par la nouvelle loi une fois adoptée par le Parlement. Pour le Chef de l'Etat, cette nouvelle organisation de la profession d'avocat «constitue une étape majeure nouvelle dans le cours de la réforme de la justice». Le Conseil des ministres a, ensuite, examiné et approuvé un projet de loi modifiant et complétant la loi relative aux assurances sociales. Ce texte a pour objet d'offrir des assises légales à l'amélioration des prestations, à la modernisation de la gestion et à la préservation des équilibres financiers au niveau des caisses de sécurité sociale.
Le projet de loi permet notamment d'élargir le champ des conventions que peuvent contracter les assurances sociales. Il permettra aussi aux caisses de sécurité sociale de concourir à la prise en charge des frais de déplacement de l'assuré à l'occasion de son transfert pour soins. La directive du président de la République qui est intervenu après l'adoption de ce texte était claire. Pour lui, «il n'est pas question que le gouvernement ménage ses effort en vue de la rationalisation et de la préservation du système national de sécurité sociale qui demeure la pierre angulaire de la garantie du droit de tous les citoyens à la santé et aux soins». Une communication sur un projet de décret fixant les modalités de mise en œuvre du droit de concession pour l'exploitation des terres agricoles du domaine privé de l'Etat a été également présentée lors de ce conseil. En effet, la loi du 15 août 2010, relative aux conditions et modalités d'exploitation des terres agricoles du domaine privé de l'Etat, a consacré le recours exclusif au régime de la concession, sauvegardant ainsi la propriété perpétuelle de l'Etat sur ce patrimoine foncier, tout en permettant aux exploitants agricoles d'en jouir en toute sécurité. La concession d'exploitation étant même recevable auprès des banques, pour l'accès au crédit. Dans son intervention à l'issue de la communication, le Président Bouteflika s'est montré ferme en instruisant le gouvernement à l'effet de maintenir le même degré d'attention à la réalisation de l'opération de délivrance des titres de concession aux exploitants agricoles concernés.



Il a dans le même sillage chargé le gouvernement et les organismes publics concernés de «veiller afin qu'aucune partie dont la justice aura établi l'implication dans des tentatives de cession, d'acquisition, ou de détournement des terres agricoles de leur vocation, ne puisse désormais accéder à la jouissance du droit à concession».





F. Djouadi

24Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mar 7 Déc - 20:53

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D'un montant de 100 000 dollars USD
La DGF obtient le 1er prix de la fondation AGFUND
La Direction générale des forêts (DGF) a obtenu le 1er Prix de la fondation saoudienne AGFUND (Arab Gulf Programme For United Nations Development Organisations), pour le Projet Emploi Rural (PER). La cérémonie de remise des prix s'est déroulée le 1er décembre 2010, à Kuala Lampour, en Malaisie, a indiqué, hier, un communiqué du ministère de l'Agriculture.
D'un montant de 100 000 dollars USD, ce prix d'encouragement a été décroché par la DGF en postulant pour le thème : " Introduction de nouvelles technologies pour augmenter la production des petits agriculteurs dans le cadre de projets individuels sous la forme participative ". Les 100 000 dollars de ce prix seront utilisés, précise la même source, pour financer des formations spécifiques au profit des cadres du secteur de l'agriculture ainsi que pour l'émulation de ces derniers dans la réalisation des meilleurs Projets de pProximité de développement rural iIntégrés (PPDRI).

25Nouvelles d'Algérie. Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mer 8 Déc - 23:40

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Ouverture aujourd'hui du Salon international du tourisme à Alger Signature de contrats de réalisation de 49 nouveaux projets

Le 11e Salon international du tourisme et des voyages qui ouvrira ses portes, aujourd'hui, au Palais des expositions des Pins Maritimes (Safex), réunira 250 exposants qui animeront cette manifestation de dimension mondiale et où on s'attendra à la signature de 49 contrats portant sur de nouveaux projets touristiques.


C'est d'ailleurs durant la journée d'ouverture, c'est-à-dire aujourd'hui, que la cérémonie de signature des contrats est prévue sous la présidence du ministre du Tourisme et de l'Artisanat, M. Smaïl Mimoune. Le ministre du Tourisme procédera donc aujourd'hui à l'ouverture de ce 11è salon du tourisme qui s'étalera jusqu'au 11 décembre prochain et qui est placé sous le thème du "Développement du tourisme interne et son impact sur la promotion du tourisme international".
Questions chiffres, le directeur de l'Office national du Tourisme (ONT), M. Ahmed Bouchefra indique que c'est à travers cette manifestation internationale que seront dévoilés les efforts et les progrès réalisés traduisant parfaitement la politique du secteur.


Questions chiffres en matière de contrats, un communiqué du Ministère du Tourisme et de l'Artisanat précise d'une part que "Les nouveaux projets touristiques, dont il s'agit, seront réalisés par des promoteurs nationaux " et d'autre part, leur " capacité est de l'ordre de 5178 lits devant générer 7 767 emplois " précise la même source.

Il est important de souligner que cette 11è édition du Salon international du tourisme (SITEV-2010) rentre dans le cadre de la mise en relation de l'ensemble des acteurs de la chaîne touristique, à l'effet de concourir à présenter un produit de haute qualité et accessible en l'expression d'une destination compétitive.


Il est donc ouvert, aussi bien pour les professionnels que pour le public, dans la perspective de vulgarisation des potentialités touristiques et également dans la ligne directrice de la sensibilisation des professionnels et opérateurs de tourisme du cadre d'amélioration de l'office touristique.

L'espace exposition est partagé en 2 zones : l'une consacrée la facilitation et le support communicatif, alors que la seconde zone est essentiellement consacrée à la présentation du tourisme algérien avec plein feux sur le Grand sud.
Un séminaire suivi d'un workshop (B to B), occupe également une bonne place en marge de ce SITEV 2010.


Ainsi, le ministre chargé du secteur et de celui de l'Artisanat, M. Mimoune, présidera demain, les travaux d'une rencontre internationale qui a pour thème : "Encouragement du tourisme interne". Cette rencontre sera animée aussi bien par des experts nationaux qu'internationaux et ce, en présence des représentants des institutions et organismes concernés par la thématique, telles que l'Organisation mondiale du tourisme et l'Organisation internationale du tourisme social.


Il est évident que des opérateurs, professionnels et acteurs dans le domaine du tourisme et citoyens avide de découvertes touristiques prendront également part à la rencontre.


Dès aujourd'hui, la promotion des produits touristiques dans une complémentarité des différents segments de la chaîne touristique, sera l'une des clés de la réussite de ce SITEV 2010. D'ailleurs celui-ci étant un rendez-vous annuel incontournable des professionnels du tourisme et des voyages, il constitue donc une véritable vitrine pour la valorisation des atouts du tourisme algérien.


Saïd Ben

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