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Nouvelles d'Algérie.

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26Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mer 8 Déc - 23:42

Atavisme

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L'Algérie second fournisseur de gaz de l'Europe

L'Algérie entend renforcer son rôle comme le principal fournisseur de gaz vers l'Europe. Selon l'Institut italien du Commerce extérieur (ICE), l'Algérie qui est déjà le second fournisseur de l'Europe en gaz après la Russie entend renforcer ses positions sur le marché euroépen après la mise en service du Medgaz et du Galsi.

Selon les chiffres de l'ICE, "l'Algérie est l'un des principaux fournisseurs de gaz naturel vers l'Europe, et occupe la deuxième place après la Russie (41%) et avant la Norvège. En 2008, l'Algérie a exporté environ 65 milliards de mètres cubes de gaz, dont "plus de 97% pour l'Europe. "En plus de la canalisation de gaz Enrico Mattei, qui fonctionne depuis 1983 par une connexion sous-marine avec la Sicile via la Tunisie, et le gazoduc Pedro Duran Farrel, en cours d'exécution depuis 1996 avec une connexion sous-marine avec le sud de l'Espagne via le Maroc, l'Institut a fait savoir en outre que le projet Galsi, "qui reliera l'Algérie à l'Italie à travers la Sardaigne, "est dans une phase préparatoire pour sa réalisation".


Evoquant les potentialités de l'Algérie en matière de gaz, il a rappelé que le pays, "avec ses 4.455 milliards de mètres cubes de gaz naturel, détient aujourd'hui 2,4% des réserves mondiales". Avec ce potentiel, "l'Algérie est à la dixième place dans le monde et Sonatrach est la sixième plus grande entreprise au niveau mondial en termes de production de gaz naturel".

Aujourd'hui, l'entreprise Sonatrach est "le quatrième plus grand exportateur de gaz naturel liquéfié dans le monde et le cinquième pour le gaz naturel", a fait savoir l'Institut.


L'ICE a souligné que les exportations algériennes de gaz, à travers les gazoducs reliant l'Algérie et l'Europe, "ont totalisé 39 milliards de mètres cubes en 2008", ajoutant que "les quantités restantes, environ 26 milliards de mètres cubes, ont été transformées dans les complexes de Skikda et Arzew, et exportées sous forme de gaz naturel liquéfié par navires-citernes".


Ces prévisions rejoignent les propos tenus récemment par Sergueï Chmatko qui considère que "l'Algérie restera pour longtemps, avec la Russie et le Qatar, l'un des trois grands fournisseurs de gaz pour l'Europe". Notons que le système de transport par canalisation du tronçon algérien des gazoducs transméditerranéens vient d'être renforcé par l'apport d'un 3e gazoduc de 549 km qui permettra, d'augmenter la capacité de transport à près de 7 milliards de m3 par an.


Grâce à cette mise en service, la capacité des ouvrages "Enrico Mattei" atteindra les 33,7 milliards de m3 de gaz naturel par an. L'Algérie a consenti d'importants efforts afin d'accroître ses propres réserves en gaz naturel ainsi que les investissements entrepris pour le renforcement de sa commercialisation.
Deux gazoducs, Transmed et Enrico Mattei relient déjà le pays à l'Espagne et à l'Italie. Toutefois, un nouveau gazoduc de 200 kilomètres, le gazoduc Medgaz, reliant l'Algérie à l'Espagne, devrait être fonctionnel en 2011, et aura une capacité de huit milliards de m3 de gaz par an.


L'Italie, quant à elle, devrait assister au lancement des travaux d'un nouveau gazoduc, le Galsi, dont la capacité annuelle atteindra également les huit milliards de m3.

Samira G.



LG Global Challenger 12 étudiants algériens à l'assaut des institutions européennes



avec le concours de LG Algérie, initiateur de la formule Global Challenger, 12 étudiants auront l'opportunité d'aller poursuivre leurs cursus dans des pays qu'ils auront eux-mêmes choisis en fonction, bien entendu, des sujets qu'ils auront à traiter. Lancé exclusivement en faveur des étudiants universitaires algériens, Global Challenger a finalement abouti a la sélection des trois groupes constitués chacun de quatre étudiants.



Les trois groupes lauréats de ce concours ont été retenus après un examen minutieux des projets, objets de leur recherche, et dont l'intérêt ainsi que la valeur scientifique se sont révélés d'actualité et susceptible d'être classés au chapitre de travaux méritants et de portée innovante.


Ils devront se rendre pour des stages pratiques respectivement en France, en Hongrie et en Finlande. Les thèmes sélectionnés au terme d'un examen rigoureux par un jury composé de professeurs universitaires concernent l'" Intégration des réfugiés dans la société algérienne ", " Architecture et développement urbain dans la région Sud " et enfin " la télémédecine et son impact sur la qualité et le coût liés à la santé ". Ces trois projets de recherche ont été dégagé sur plus d'une trentaine d'autres soumis à l'appréciation du jury.


Il faut savoir que l'opération Global Challenger a suscité l'intérêt de plus de 18 000 étudiants qui ont manifesté leur curiosité et affiché leur ambition et ce tel qu'il ressort du nombre de visiteurs enregistrés sur le site de LG Global Challenger. Sur 300 demandes officiellement formulées, seulement 33 ont potentiellement présenté des sujets estimés porteurs de spécificités et de particularités certaines et en mesure d'être classés.



Au final, sur un lot de 132 personnes représentant 33 groupes, 12 personnes été représentant 3 groupes ont sélectionnés. Il faut savoir aussi que le groupe sud-coréen LG Electronics compte se déployer sur le marché en se hissant à le marque préférée et respectée du consommateur algérien.



LG Electronics Algérie compte ouvrir d'ici la fin de l'année 53 points de vente LG, entre franchisés et magasins. Ainsi, le leader de l'électroménager part à la reconquête du marché algérien sous son nouveau statut de succursale algérienne en renforçant sa présence sur le territoire national.


De nouveaux produits seront lancés, et ce simultanément à travers tout le pays, où la présence du groupe est recensée, révèle également ce responsable. Dans sa stratégie de rapprochement auprès du client, le groupe innove en offrant des services qui visent à le rassurer durant toutes les étapes de la transaction.

Klilya B.

27Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Jeu 9 Déc - 21:29

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Échanges commerciaux entre l’Algérie et les pays arabes : L’Egypte et la Tunisie, principaux partenaires

Les échanges commerciaux de l’Algérie avec les pays arabes occupent de près de 4% du volume global dont une moyenne de 50% avec les pays de l’UMA, c’est ce que révèle un rapport sur le commerce des pays arabes publié récemment par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur.

Ainsi, les importations globales de l’Algérie des pays arabes sont passées de 0,7 milliard de dollars en 2007 à 1,6 milliard en 2009. En contrepartie, notre pays n’a pu placer que pour 1,4 milliard de dollars de produits sur ces marchés. La balance commerciale de l’Algérie avec ces pays a enregistré durant l’année 2009 un solde négatif de 146 millions USD contre 1,3 milliard en 2008 et 0,3 milliard en 2007.

Les importations de médicaments en provenance des pays arabes représentent 9,8% des importations globales de médicaments de l’Algérie. Pour ce qui est de la nature des produits, on remarque parmi ce lot la prévalence des demi-produits comme le ciment, les engrais, les phosphates. Ceux-ci atteignent 42% de la facture globale.

Les biens de consommation non alimentaires tels les vêtements, le papier-carton, les produits de lessive atteignent 24% de ce montant alors que les biens d’équipement représentent 20%. Les échanges dans le domaine des produits alimentaires ne dépassent pas les 9%, selon le rapport. Pour les rédacteurs du rapport, la chute de l’excédent des échanges de l’Algérie en 2009 «n’est pas spécifique à cette zone mais plutôt à une tendance générale du commerce extérieur». En tout cas, la balance commerciale de notre pays est «fragilisée par la dépendance à la conjoncture internationale des matières premières, pour les hydrocarbures à l’export et pour les produits de base à l’import», ajoute-t-on. Cela dit, les importations algériennes ont augmenté de près de 43% se chiffrant à 1,6 milliard USD en 2009 contre 1,1 milliard en 2008.

Cette zone comble à hauteur de 4% nos achats. On peut estimer que le début d’application des mesures de facilitation du commerce dans le cadre de la zone arabe de libre-échange dans le monde arabe, a été le catalyseur qui a boosté les échanges. Cette convention a toutefois, en ce qui concerne l’Algérie, appelé des mesures de sauvegarde -comme le prévoient ses clauses- en suspendant, à titre temporaire, l’entrée sur son territoire, sans droits et taxes de plusieurs produits.

Pour ce qui est maintenant des exportations de l’Algérie vers ses partenaires arabes, celles-ci sont évaluées à 1,4 milliard USD dont 1,2 milliard d’hydrocarbures (92%). Les exportations hors hydrocarbures, en baisse, représentent une valeur de 130 millions USD contre 250 millions USD en 2008. L’Algérie exporte des demi-produits, des biens d’équipement, des produits bruts, de biens de consommation non alimentaires, des biens d’équipement.

Le premier volet représente 53%. Mais près de 60% du commerce hors hydrocarbures se fait avec les pays de l’UMA, le Maroc, la Libye et la Tunisie qui s’adjuge à lui seul 37% de ce montant. Il faut cependant noter que les exportations d’hydrocarbures vers les pays arabes ne représentent que 2,5% des exportations totales de l’Algérie.

L’Algérie compte l’Egypte, la Tunisie comme principaux partenaires avec 40,8 et 35% des échanges. Le Maroc, lui, intervient pour moins de 10% du total des exportations algériennes. Horizons



FRUIT D’UN PARTENARIAT ENTRE LE GROUPE SIM ET L’INSIM
Un institut supérieur de management voit le jour
09 Décembre 2010

Le représentant du recteur de l’université de Blida n’a pas manqué de louer les mérites du P-DG du groupe SIM pour le grand intérêt qu’il attache au savoir et à la connaissance.

Le groupe SIM poursuit son développement avec, entre autres, la diversification de ses activités. Hier a eu lieu, à l’hôtel militaire de Blida, une journée d’information au cours de laquelle a été annoncée officiellement, la création d’un Institut supérieur de management Himi (Higher International Management Insti-tute). Cet institut d’études supérieures vient s’ajouter aux établissements scolaires que compte déjà la filiale «enseignement» du groupe SIM.

Cette création a été rendue possible grâce à un partenariat avec l’Insim (l’Institut international supérieur de management) créé en 1994 et devenu leader de la formation privée en Algérie avec près 30.000 étudiants formés depuis sa création et 9000 autres actuellement en cours de formation. L’Institut Himi est, en réalité, opérationnel depuis la rentrée universitaire.

Il dispense des formations supérieures développées avec de grandes écoles internationales dont nous citerons l’Université du Québec à Montréal, l’Institut national français des techniques économiques et comptables, l’Ecole supérieure de gestion de Paris ou encore le Collège de Sherbrook au Canada.
La cérémonie s’est déroulée en présence d’une nombreuse assistance composée des autorités locales, de chefs d’entreprise, de cadres de différentes institutions ainsi que des journalistes accrédités.


M.Abelkader Taïeb-Ezzraïmi, P-DG du groupe SIM, et le Dr Abdelhak Lamiri, P-DG du groupe Insim, se sont félicités, au cours de leurs allocutions, de la création de cette filiale, fruit d’un long travail en commun. «Je suis convaincu que parmi les causes qui peuvent mettre l’entreprise en situation de grande vulnérabilité, celle qui a un rapport direct est incontestablement liée à la ressource humaine.

Comme il est incontestable que l’insuffisance de qualification professionnelle ainsi que l’absence de mise à niveau et de formation continue des compétences est une source importante de dysfonctionnements et partant, de surcoûts», a notamment déclaré M.Ezzraïmi dans son intervention. «C’est pour répondre à cette préoccupation que le groupe SIM, fort de sa stratégie de développement et qui est déjà présent dans l’enseignement classique du primaire, moyen et secondaire, a décidé d’élargir son champ d’intervention à celui de la formation de haut niveau et plus spécialement, celle du manage-ment», a-t-il poursuivi. Son partenaire, le Dr Lamiri a, quant à lui, rappelé les performances réalisées par le groupe Insim qu’il dirige et qui compte pas moins d’une dizaine d’établissements à travers plusieurs wilayas du pays. Il a rappelé également que la première grande école a avoir été certifiée (ISO 9001) en Algérie, fut l’Insim.

Il n’a pas manqué de citer, non sans une certaine fierté, les prestigieuses universités internationales dont il s’est assuré le partenariat et dont nous avons cité quelques-unes plus haut. Autant de références qui ont été saluées par le représentant du recteur de l’université de Blida qui est intervenu pour signaler la collaboration qui existe entre son université et l’Insim.

Il n’a pas manqué non plus de louer les mérites du P-DG du groupe SIM pour le grand intérêt qu’il attache au savoir et à la connaissance. D’ailleurs, précisera-t-il, «nos relations avec le groupe SIM ont toujours été très étroites». Des chefs d’entreprise se sont relayés, à l’instar de M.Moula, P-DG du groupe Vénus, pour «saluer la création de cet institut qui vient à point nommé aider les entrepreneurs à disposer d’une réelle qualité de la ressource humaine qui est un facteur capital du développement».

Plus connu pour être leader de l’industrie agroalimentaire, le groupe SIM, avec ses nombreuses filiales, démontre par ses investissements dans l’enseignement et la santé publique (deux filiales à part entière), et surtout avec cette dernière création d’un institut d’études supérieures, qu’il est le parfait prototype de l’entreprise citoyenne.

Nabil BELBEY



Rencontre hier à Alger d’hommes d’affaires iraniens et algériens Les Iraniens misent sur des partenariats durables

Une délégation d’hommes d’affaires algériens est attendue à Téhéran au courant du 1er trimestre 2011.
Inscrite dans le cadre de la récente visite effectuée en Iran, les 20 et 21 novembre dernier par le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia à l'invitation du Premier vice-président iranien, M. Mohammed Redha Rahimi à l’effet de coprésider les travaux de la première session de la Grande Commission mixte algéro-iranienne de coopération, la rencontre d’affaires entre opérateurs algériens et iraniens organisée, hier, à l’hôtel Mercure sous l’égide de la CACI devait réaffirmer, ainsi, la volonté des deux parties à consolider les relations économiques et commerciales bilatérales.

Un objectif retenu dans l’agenda des hautes instances politiques des deux pays qui aspirent à une coopération soutenue et diversifiée d’autant plus que les échanges commerciaux entre les deux pays, évalués à 200 millions de dollars et la modeste présence des entreprises iraniennes sur le marché algérien, soit une vingtaine seulement «ne reflète pas le potentiel réel de nos capacités » fera savoir le directeur du commerce extérieur de la province de Téhéran, M. Hidayet Hatami.
Par conséquent, la présence, à Alger, des investisseurs iraniens se veut un catalyseur pour le partenariat entre les deux pays, les Iraniens étant «très intéressés et disposés à développer les relations commerciales et économiques avec l’Algérie» dira-t-il précisant que «les intérêts communs sont très importants »
Le ciment, l’agroalimentaire et les infrastructures sont les principaux créneaux qui intéressent les hommes d’affaires iraniens au regard des besoins et déficits enregistrés à ce niveau par notre pays.
L’Iran qui dispose de plus de 45 usines et une production en ciment supérieure à 75 millions de tonnes/an et 6 000 unités de production dans le domaine de l’agroalimentaire est disposé à investir dans ces secteurs a affirmé M. Hidayet Hatami.
A propos des mesures relatives à l’investissement contenues dans la LFC 2009 et qui stipulent que les investissements étrangers ne peuvent être réalisés que dans le cadre d’un partenariat dont l’actionnariat algérien représente 51% au moins du capital social, les 49% restant étant à l’actif de l’investisseur étranger, notre interlocuteur ne dissimulera pas les réserves de son pays qui espère «une concession» de la partie algérienne mais s’est avisé à confirmer le respect de cette décision. «Nous sommes obligés de tenir compte des lois algériennes car vos responsables savent mieux ce qui convient à leur pays», dira-t-il.
Concernant ce volet justement, le responsable de SAIPA-KHODRO, constructeur iranien d’automobiles intéressés par la construction d’une usine de montage de véhicules en Algérie a affirmé que le choix du partenaire algérien est toujours en instance, la question «étant du ressort du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements». Aussi, a-t-il ajouté que la partie iranienne qui se chargera du transfert de la technologie selon le cahier des charges « veut investir sur le long terme ».
L’Iran qui est le plus grand pays du Moyen-Orient avec 75 millions d’habitants, entretient des relations commerciales avec plusieurs pays pour un montant global estimé à 220 milliards de dollars.
C’est aussi, l’un des plus grands producteurs de ciment dans le monde et l’un des exportateurs potentiels de prestations d’ingénierie (4 milliards de dollars).
Des segments que les Iraniens veulent développer en Algérie. Pour rappel, plus de 40 mémorandums de coopération ont été signés entre les deux pays.
Il y a lieu de souligner également qu’une délégation d’opérateurs algériens est attendue à Téhéran au courant du premier trimestre 2011 pour une rencontre de confirmation des engagements bilatéraux.

D. Akila.

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Boumerdès - Prochaine distribution de 1554 logements



Il est prévu de réceptionner 800 logements au niveau de la commune de Boumerdès, dans le cadre du logement social après le recensement de 8 000 demandes de logement. Dans ce contexte, le premier adjoint au maire de cette commune a déclaré que cette autorité va distribuer 800 logements dans les prochains jours au niveau de la commune de Boumerdès, en plus des 554 logements sociaux et 200 logements afin d'éliminer l'habitat précaire. D'autre part, les autorités de la commune ont recensé 8 000 demandes de logement ce qui pose des problèmes notamment que le nombre des logements réalisés est nettement inférieur à la demande. Dans ce cadre, le même responsable a ajouté que cette wilaya a beaucoup souffert de ce dossier, notamment après le séisme de mai 2003 qui a dévoré tous les quotas de logements réalisés. D'autre part, le wali de cette wilaya a donné l'ordre de constituer des comités spéciaux au niveau de chaque daïra afin de faire une enquête sur les habitants des chalets et les classer par apport à leurs besoins et leurs droits au logement ; ces comités vont visiter les 15 sites au niveau de la wilaya, notamment dans la daïra de Boumerdès, afin de faire un classement des habitants des chalets qui vont bénéficier des logements. Le même responsable a déclaré que les travaux d'un projet de 200 logements au niveau du quartier Sahel seront entamés prochainement.


Omar B.



MQE


28Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Jeu 9 Déc - 22:12

Atavisme

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Colloque sur Enrico Mattei: Un Italien pas comme les autres

par Salah-Eddine K.

L'apport moral et matériel d'Enrico Mattei à la cause nationale a été au centre du colloque international qui s'est tenu hier à l'hôtel Aurassi. Organisé par l'ambassade d'Italie et le centre national des archives sous le haut patronage du président de la République, ce colloque qui a réuni plusieurs personnalités nationales, ministres et ex-chefs du gouvernement, anciens membres du Ministère algérien des liaisons générales (MALG), a été consacré au président de l'ENI (Ente Nazionale Idrocarburi) et sa contribution matérielle et morale à l'Algérie combattante (1954-1962).



Une page méconnue, selon Gianpaolo Cantini, ambassadeur d'Italie à Alger. Après la présentation des thèmes du colloque par Maria Battaglia, chargée culturelle au niveau de l'ambassade, c'est Daho Ould Kablia qui est intervenu. Membre du MALG, ce témoin des négociations et de la signature des accords d'Evian, a souligné dans son intervention l'apport de Mattei dans le dossier relatif à l'exploration et l'exploitation du pétrole du Sahara algérien. Un dossier qui était, selon lui, des plus compliqué pour la délégation algérienne dès lors que la France voulait «reconduire» ses intérêts pétroliers par le biais des lois qui régissaient alors l'exploitation de cette ressource.

Enrico Mattei dont les prises de positions favorables à l'indépendance de l'Algérie étaient connues avait prêté main-forte, selon Ould Kablia, pour ficeler ce dossier. En effet, selon l'actuel ministre de l'Intérieur, cela a été possible grâce à ses suggestions et conseils de professionnel et aussi pour ce que contenait sa vision anticipatrice. Ould Kablia soulignera les points sur lesquels il ne fallait pas céder lors de ces négociations.

Le dossier était tellement ficelé, selon cet intervenant, que les membres de la délégation algérienne avaient réponse à tout face aux négociateurs français pour que les intérêts pétroliers de l'Algérie soient préservés. L'enjeu des négociations était aussi «d'asseoir notre souveraineté sur nos richesses», a-t-il ajouté. Homme important et puissant, il traitera avec les pays du Moyen-Orient d'égal à égal, en acheteur de pétrole et s'attirera l'ire des grandes compagnies qui dominaient le secteur des hydrocarbures et où les producteurs de cette source d'énergie n'avaient droit qu'à des miettes.

Pas seulement. Enrico Mattei a pu faire basculer la classe politique italienne pour la mettre aux côtés de la cause algérienne et des relents de sympathie se sont créés à travers la péninsule. L'universitaire Bruna Bagnoto, spécialiste de Mattei et de la révolution algérienne, a souligné le tiraillement de l'Italie entre ses engagements atlantique et européen à cette époque et son engagement anticolonialiste en faveur de l'indépendance de l'Algérie dont, soulignera-t-il, l'apport de Mattei qui était un principal acteur. Mattei aurait, selon les services de renseignement français, fourni des armes aux combattants algériens.

Abdelmadjid Chikhi, directeur des archives nationales, soulignera dans son exposé l'importance des richesses nationales et les maintes tentatives de la France coloniale qui voulait isoler le Sahara du reste du pays pour garder une mainmise sur les richesses souterraines. Et pour évacuer ce dossier de la table des négociations.

Le colloque s'est achevé par la projection du film «L'affaire Mattei» dont le réalisateur Francisco Rosi estime que la mort du président de l'ENI dans un accident d'avion le 27 octobre 1962 près de l'aéroport de Milan est suspecte. Rosi déclare à propos de cette personnalité pendant la préparation du film qui a décroché une Palme d'or au festival de Cannes en 1972 : «un aspect m'intéresse, c'est la lutte que Mattei a menée contre les grandes compagnies de pétrole américaines et l'intuition qu'il avait eue de se mettre du côté dans lequel allait l'histoire, c'est-à-dire du côté du tiers monde».

29Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 10 Déc - 0:13

IDRISSIDE

IDRISSIDE

كاريكاتير العدد 6201


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
10-12-2010

Selon le Journal Algérien "Alkhabar" du 09/12/2010

Sans Commentaires.

30Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 10 Déc - 0:29

Atavisme

Atavisme

IDRISSIDE a écrit:كاريكاتير العدد 6201


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10-12-2010

Selon le Journal Algérien "Alkhabar" du 09/12/2010

Sans Commentaires.

haha belle caricature qui s'applique aussi et surtout au régime féodal marocain qui vous suce le sang.
Tu vois chez nous la presse est libre, chez vous le desinateur se serait retrouvé chez les tortionnaires de votre maître Momo 6.

31Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 10 Déc - 0:30

Atavisme

Atavisme

Marroki, ne viens pas polluer mon post dédié aux nouvelles algériennes avec tes interventions marokiennes de bas étages chargées de haine.

32Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Ven 10 Déc - 23:54

Atavisme

Atavisme

1000 projets sanitaires inscrits au plan quinquennal 2010-2014

Le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, M. Djamel Ould Abbes a affirmé, jeudi à Alger, que le plan quinquennal 2010-2014 comprend près de 1000 projets sanitaires.

Dans une déclaration à la presse, en marge de la séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN), consacrée aux questions orales, M. Ould Abbes a indiqué que « le budget du secteur pour cette année est estimé à 3 milliards de dollars, occupant ainsi la quatrième place parmi les autres secteurs ». S’agissant des salaires des nouveaux médecins, le ministre a précisé que l’augmentation des salaires « est toujours en cours d’étude au niveau du gouvernement », soulignant la nécessité d’ »améliorer le salaire du médecin et de préserver sa dignité ».

APS


Ports de pêche Les investisseurs invités à s'impliquer dans le développement de 33 ports de pêche

Trente trois ports de pêche sont proposés au développement. Ces projets portent sur la réalisation d'ateliers de construction et de réparation navales, d'équipement de levage et de halage, la construction de stations d'avitaillement en carburant et lubrifiant, des halles à marée, des fabriques de glace, d'entrepôts frigorifiques, comptoirs de vente de matériels de pêche et de pièces de rechange ainsi qu'un cercle du pêcheur. Un avis d'appel à manifestation d'intérêt sera lancé lors de la 5e Manifestation pour l'investissement dans les activités des ports de pêche et de commerce halieutique (Minappech 5), prévue les 14 et 15 décembre à la Safex (Société algérienne des foires et exportations) par les Entreprises de gestion des ports et des abris de pêche (EGPP), relevant de la Société de gestion des participations de l'Etat des ports "Sogeports", croit on savoir. Ce projet entre dans le cadre d'un programme composé de trois projets (A-B-C), adossé à des schémas directeurs avalisés par les ministères des Transports, des Travaux publics, de la Pêche et des Ressources halieutiques en mars 2006.

à l'instar des précédentes éditions, Minappech 5 est un espace public devant permettre aux EGPP de présenter leurs offres d'investissements.

Il s'adresse à toute personne physique ou morale en mesure d'investir individuellement ou en groupe dans le domaine d'activités susvisées et disposant des capacités professionnelles requises. L'investisseur étranger est tenu de s'associer avec une entreprise publique ou privée, la majorité étant dans les deux cas détenue par la partie algérienne comme le prévoit la loi de finances 2009.

Les postulants devront faire part de leur volonté à soumissionner sous forme d'une lettre d'intention remise à l'EGPP lors de la Minappech 5, munis de documents justifiant de leurs expérience, moyens financiers et d'une situation fiscale en règle, explique encore la même source.


La 4e Minappech, tenue en mai 2009, a proposé aux opérateurs nationaux et internationaux près de 70 projets relatifs aux activités halieutiques.


Parmi les investisseurs soumissionnaires, plus de la moitié avaient participé au processus de sélection ayant donné lieu à la signature de contrats de concession pour 82 projets d'un montant global de près de 2,7 milliards de DA et prévoyant la création de plus de 1.200 emplois directs.

A titre de rappel, la création des EGPP en 2004 a donné naissance à 10 entreprises de gestion des ports de pêche, qui sont des filiales des entreprises portuaires et relevant du portefeuille de la SGP Ports.
Les dix EGPP existantes sont celles d'Alger, Oran, Béjaïa, Ghazaouet, Arzew, Mostaganem, Ténès, Jijel, Skikda et Annaba. Une étude relative à l'optimisation des capacités des installations et des équipements des ports de pêche a permis d'établir un schéma directeur des ports de pêche, avec une identification d'un nombre important d'opportunités d'investissements au profit du secteur privé national et étranger.

A.B



Dernière édition par Atavisme le Sam 11 Déc - 22:25, édité 1 fois

33Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Sam 11 Déc - 22:11

Atavisme

Atavisme

Gouvernance économique : le président Boutéflika ne cède rien

Le remaniement ministériel du printemps dernier a été interprété comme un affaiblissement du courant présidentiel dans l’exécutif. Six mois plus tard, c’est autour d’autres amis du président, d’être déstabilisés à la tête du FLN, le parti majoritaire. Il reste un grand levier de pouvoir pour le président Boutéflika : tous les dossiers économiques sont toujours sous sa coupe, les brûlants, comme les télécoms et l’énergie, encore plus. Et là, le président ne lâche rien.

« Qui décide à Alger de refuser de parler de Djezzy avec Vimpelcom ? » demande, très inquiet de Abu Dhabi, un gestionnaire de fonds d’investissement émirati. « Tout indique que c’est un dossier exclusivement géré à partir de la présidence de la république. La sortie de Naguib Sawiris d’Algérie est devenue une affaire personnelle de Abdelaziz Boutéflika » s’entend il répondre.

Un indice parmi tant d’autres, c’est de la présidence de la république qu’est venu, 24 heures avant l’annonce, le 03 octobre dernier, de la fusion acquisition de Vimpelcom avec OTH, l’ordre de stopper le processus d’évaluation de Djezzy, confié dans un premier temps au cabinet privé Hadj Ali. Et c’est également le président de la république qui a informé formellement ses homologues sud Africain et Russe en visite à Alger que MTN puis Vimpelcom devait en cas d’achat d’OTH concéder à l’Algérie son droit de préemption sur Djezzy.

Mais le sort de la l’opération algérienne de OTH n’est pas le seul dossier économique verrouillé au palais d’El Mouradia. Le départ de Chakib Khelil de la tête du ministère de l’énergie et des mines a paradoxalement fait remonter à la présidence des arbitrages qui habituellement demeuraient sous la coupe du ministre. Une autre affaire de droit de préemption, celle des actifs que BP veut céder en Algérie a été l’occasion de constater que le ministre de l’énergie et des mines, Youcef Yousfi, au discours minimaliste, ne parait pas avoir les mêmes « attributs » de souveraineté sur son secteur que son prédécesseur.

Le jugement de l’affaire Sonatrach, pourrait changer la donne s’il venait à montrer à nouveau en audience, comme cela a été déjà le cas durant l’instruction, que le ministre Chakib Khelil n’est pas étranger aux décisions de gestion pour lesquels est poursuivi le top management de la compagnie. La chambre d’accusation tarde à produire son ordonnance de renvoi.

Sur la défensive au FLN

L’évolution politique du printemps dernier qui a vu le départ de trois ministres Chakib Khelil (Energie), Nourredine Zerhouni (Interieur), Abdelhamid Temmar (Industrie, investissement), proches du président de la république, de leurs fonctions importantes pour la gouvernance économique n’a donc pas rééquilibré la répartition de la décision économique en Algérie. Elle est même encore plus concentrée au palais d’El Mouradia qu’auparavant. Sans doute une forme de réplique à la dilution, par ailleurs, de l’autorité présidentielle.

Ainsi, la scène politique algérienne est marquée depuis plusieurs semaines par une offensive au sein du FLN contre son secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, homme de confiance du président et ancien premier ministre. « L’approche d’échéances électorales pour les partis expliquent en partie ces affrontements pour contrôler l’appareil local et être en position éligible.
Visiblement, il n’y a pas que cela dans ce mouvement contre la direction du FLN actuelle. Le fait que par exemple un ministre comme El Hadi Khaldi (formation professionnelle), en soit, montre qu’il existe un calcul politique au-delà des batailles clientélistes locales » affirme un ancien député de la tendance Ali Benflis (ancien premier ministre) qui rappelle que le FLN est « le lieu ou se révèle l’investiture du président de la république, qui a été décidé au préalable par la haute hiérarchie de l’armée. C’est comme cela depuis 1978, et cela ne va pas changé cette fois ».

Séparé de ses ministres les plus emblématiques de son règne, sur la défensive au FLN, le président Boutéflika se fait fort de devenir encore plus incontournable dans les arbitrages économiques qui tiennent les acteurs en haleine. « Il faut juste qu’il comprenne qu’il ne pourra traiter de l’affaire Djezzy comme de BRC. Le contexte a changé » explique un expert des Télécoms. En 2006 le président Boutéflika avait tout simplement fait dissoudre Brown Roth and Condor (BRC), une joint venture entre Sonatrach et l’américain KBR leader mondial de l’EPC (clés en main) dans les grands équipements; après avoir fait racheter par Sonatrach la part des américains. BRC surfacturait parfois au quintuple à ses clients algériens dont Sonatrach et le ministère de la défense. Le procès attend toujours.



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EIIC veut lever 84 milliards de dinars à Alger pour Dounya Parc

C’est le gouvernement qui l’exige : le financement des investissements étrangers en Algérie doit recourir à des dinars auprès des banques algériennes. EIIC a approché les banques algériennes pour obtenir un crédit avoisinant les 840 millions d’Euros. C’est en partie à de la promotion immobilière de luxe très controversée sur le projet « écolo » de Dounya Parc qu’ira ce méga-financement qui étourdit déjà la place d’Alger.

Le promoteur émirati EIIC en charge de la réalisation de Dounya Parc, à l’entrée Ouest d’Alger (Grand Vent) a approché plusieurs banques algériennes en vue d’obtenir un crédit de 84 milliards de dinars (840 millions d’euros environ).
Le projet soumis à ces banques par EIIC repose sur la garantie d’une concession de 33 ans du terrain de 800 hectares. Les émiratis ont obtenu, après de longues négociations, de consacrer 130 hectares de ce projet à de la promotion immobilière afin « d’équilibrer financièrement leur investissement ».

Le business plan que les banques ont eu à étudier comporte notamment 5 hôtels de 500 chambres au total, une zone résidentielle de villas de luxe, un Aqua parc, et un terrain de golf. Dans le cahier des charges, le ministère de l’environnement impose la réalisation d’un parc à thèmes dédié à la diversité botanique et aux énergies propres. « Aucune banque algérienne n’a la couverture suffisante en fonds propres pour répondre seule à la demande de EIIC.
Le crédit sera sans doute pris en charge par un consortium de banque » a affirmé une source près de la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP), une des banques de la place démarchée par le fonds d’investissement émirati. Le recours au financement par les banques algériennes dans les projets d’investissement étrangers est une exigence du gouvernement algérien depuis fin 2008.
Dans le cas de Dounya Parc, un investissement qui tient en haleine l’ouest d’Alger depuis 5 ans, de sérieux obstacles existent devant l’engagement des partenaires bancaires. « Il va y avoir un problème dans le modèle économique d’EIIC. Comment vont-ils vendre du logement résidentiel de luxe sur un terrain en concession ? Les acquéreurs vont-ils accepter d’acheter très chers des résidences en sachant qu’ils n’auront jamais de titres domaniaux ? » explique un spécialiste dans le crédit immobilier.

De l’investissement spéculatif à 100% étranger

EIIC est passée à la phase du montage financier de son investissement alors qu’une autre incertitude pèse toujours sur les coûts du projet.

En effet, l’Etat a opéré à l’expropriation des terrains assiette de Dounya Parc au motif de « l’utilité publique ». Les familles expropriées ont bien relevé que le projet est devenu commercial et ne peut pas bénéficier des avantages légaux d’un équipement d’utilité sociale.

Une partie d’entre elles a engagé une procédure en justice pour que l’indemnisation soit alignée sur le prix du mètre carré du marché dans cette partie de la capitale. L’offre d’indemnisation de l’Etat a été rehaussée de 700 da le mètre carré à 14 000 dinars le m2, mais les experts situe à 100 000 dinars le prix de marché du m2 au Grand Vent.

La première maquette du projet immobilier d’EIIC incorporé à Dounya Parc comportait 13 000 logements de luxe. Elle a été rejetée par le ministère de l’environnement.

EIIC pourra, parallèlement au remboursement de son crédit algérien, réexporter la totalité des plus values réalisées sur les ventes dans la partie résidentielle de son projet, de même qu’il sera autorisé à rapatrier les dividendes de société d’exploitation du Parc.

Ce modèle est décrié par de nombreux économistes algériens qui estiment « illogique » d’autoriser les investissements de type spéculatif comme celui de EIIC à se faire à 100% par les étrangers alors que la partie des étrangers est limitée à 49% dans l’industrie et les services ou le savoir faire est décisif.

35Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Sam 11 Déc - 22:27

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Une créatrice d’entreprise met son énergie au service de la transformation économique d'Alger




L'article ci-après s'insère dans une série sur les délégués au Sommet présidentiel des 26 et 27 avril sur l'entrepreneuriat.

Par Phillip Kurata



Washington - La ville et capitale historique d'Afrique du Nord est en train de se métamorphoser en un centre d'affaires international dont la silhouette moderne rappelle celle de Dubaï. La femme responsable de cette transformation est Sonia Ziamni, qui espère que son esprit d'entreprise dynamique ouvrira, par un effet d'entraînement, des débouchés économiques à d'autres Algériennes.



« Je suis une femme et, dans mon pays, il est difficile de réussir dans un monde économique créé par les hommes pour les hommes. Mais cela n'a fait que renforcer ma détermination et ma volonté de réussir », déclare Mme Ziamni, qui gère Alger Médina, un projet de développement immobilier d'un milliard de dollars, dans la baie d'Alger.



Le président Obama l'a invitée à participer à Washington, les 26-27 avril, au Sommet des entrepreneurs - dont il est l'hôte - afin de mettre en évidence l'énergie que les femmes peuvent déployer pour peu qu'on leur en donne l'occasion. L'invitation du président fait précisément le jeu de Sonia Ziamni.



« J'ai l'ambition secrète de devenir chef d'entreprise avec le pouvoir réel d'apporter un changement », a-t-elle déclaré. « Quand j'aurai un pouvoir décisionnel, j'aurai la possibilité de mener des réformes et d'aider à éliminer les tabous contre les femmes, ce qui permettra de créer des richesses à mesure que les femmes deviendront partie intégrante de la population active. »



Sonia est le dernier enfant d'une famille algéroise de huit. Ses parents, originaires des montagnes de Kabylie, ont travaillé dur pendant des temps difficiles pour que leurs enfants puissent aller à l'université. Avec des diplômes en finance et en économie, Sonia Ziamni a travaillé pour différentes entreprises, notamment Air Algérie, l'association médicale l'Ordre des médecins, et Arabian General Engineering, une entreprise de construction, avant d'obtenir le poste de directrice du Projet Médina. Le projet prévoit la mise en valeur d'un centre d'affaires qui accueillera en Algérie les principales entreprises multinationales, des hôtels, des tours résidentielles, des galeries marchandes, des parcs de loisirs et des installations touristiques.



Emaar Properties PJSC, des Émirats arabes unis, a investi dans le Projet Médina : la société est en train de construire en mer une péninsule en forme de croissant parsemée d'îlots artificiels reliés par des ponts, à l'image de ce qu'elle a construit à Dubaï. Carrefour S.A., le premier détaillant européen, est en train de construire un hypermarché sur une grande surface.



Les Algérois pourront flâner sur une promenade de 20 km dotée d'installations de loisirs et culturelles. Le Projet Médina érigera une mosquée, qui sera la troisième du monde par sa taille une fois achevée. Les musées abriteront les vestiges du passé flamboyant d'Alger, notamment des expositions sur les pirates de Barbarie qui, du XVIe au XVIIIe siècle, écumèrent les côtes d'Espagne, du Portugal et d'Italie à la recherche de trésors et d'esclaves.



Bien que le président algérien Abdelaziz Bouteflika soit un grand partisan de la libéralisation économique, la réalisation du Projet Médina à été une initiative de longue haleine. Le projet a été amorcé dans les années 1980 mais a été abandonné en raison de la chute des cours du pétrole.



Le pays a ensuite été en proie à une guerre civile de longue durée qui a pris fin en 2002. Depuis la résurrection du projet il y a plusieurs années, Sonia Ziamni travaille d'arrache-pied pour en assurer la réalisation dans les délais prévus.



« La pire chose qui puisse arriver dans le développement immobilier, ce sont les retards. Les retards entraînent des pertes financières et cela compromet l'avenir de l'entreprise en même temps que des centaines d'emplois », a déclaré Mme Ziamni. « L'avenir de l'Algérie est entre les mains des sociétés privées, car elles seules ont la possibilité de créer des richesses. »

(Les articles du site «America.Gov» sont diffusés par le Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat. Site Internet : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

36Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Dim 12 Déc - 0:34

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Oran: 101 harraga interceptés

par Rachid Boutlélis [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
101 candidats à l'émigration clandestine ont défilé, jeudi et vendredi,devant le magistrat instructeur près le tribunal correctionnel d'Aïn El Turck.Ces harraga ont été interceptés par les gardes-côtes de la marine nationale, aucours de la seule matinée du mardi dernier, journée de la célébration de lafête religieuse de Mouharem. Nos sources indiquent que les gardes-côtes ontrepéré, tôt le matin du mardi, une quinzaine d'embarcations qui se dirigeaientmanifestement vers les côtes espagnoles.

Un record encore jamais égalé dans le pays, en termes de nombre decandidats à l'émigration clandestine interceptés au cours d'une seuleopération. Vraisemblablement, ils ont exploité ce jour férié, en espérant unebaisse de la vigilance, pour prendre la mer séparément sur des embarcations defortune, à partir de différentes plages, situées sur le territoire de la daïrad'Aïn El Turck.

Les harraga ont, notamment, mis à profit le retour du beau temps, quis'est manifesté ce jour là, avec une mer calme et une quasi-absence de vent,pour tenter la traversée dans le but évident de rallier les côtes de lapéninsule ibérique. Originaires de plusieurs villes du pays, dont la plupartdemeure dans les villages côtiers jalonnant le littoral ouest, de différentsâges et couches sociales et jouissant d'un niveau d'instruction allant del'école primaire au secondaire, ils ont avancé deux arguments pour justifierleur tentative. Le chômage et l'absence de véritables débouchés. Ces candidatsà l'émigration clandestine ont été ramenés au port d'Oran par les gardes-côtesavant d'être conduits par les éléments de la brigade de gendarmerie et de lasûreté de police conformément à la compétence territoriale du lieu du délit.

L'annonce faisant état de leur présentation devant le parquet, s'estrépandue comme une traînée de poudre parmi la population de la daïra d'Aïn ElTurck. Des grappes de personnes, parents et proches des harraga, se sontregroupées sur les abords du tribunal pour s'enquérir des résultats desauditions. Nombre d'entre eux espéraient que leurs siens bénéficieraient d'uneliberté provisoire en attendant leur comparution. Notons que le procès de ces101 harraga se tiendra lundi prochain devant ce même tribunal. Selon le nouveaucode de procédure pénale, les récidivistes encourent des peines de prisonferme.

Selon "Le Qoutidien d'Oran" du 11/11/2010

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37Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Dim 12 Déc - 17:09

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Ouverture des plis pour le projet de ferme éolienne d'Adrar

La Compagnie de l'Engineering de l'Electricité et du Gaz, CEEG, filiale du groupe Sonelgaz procèdera, lundi, à l'ouverture des plis des offres commerciales du projet de réalisation d'une ferme éolienne d'une puissance totale de 10 MW dans la région d'Adrar.
D'une superficie de 30 hectares, le site d'implantation de la ferme éolienne est situé au lieu dit Kabertene, à 73 km au nord de la ville d'Adrar. Le marché dont le contrat est de 24 millions d'euros a été attribué, en début 2010, à l'issue d'un appel d'offres de Sonelgaz, au constructeur français d'éoliennes Vergnet. Ce dernier constructeur s'est "désisté" pour des "raisons inhérentes au client" qui a enregistré la perte de 9,4 millions d'euros en 2009, contre un déficit de 7,2 millions euros en 2008, éprouverait des difficultés à réaliser ses engagements.
Il devrait exécuter des contrats dans l'éolien avec l'Ethiopie et le Nigeria avec qui il a signé un contrat en septembre 2009 pour l'installation, clés en mains, de 37 éoliennes. Le constructeur français aurait un carnet de commande en "très forte progression par rapport à 2008", une "charge" qui le rendrait incapable de réaliser, dans les temps prévus, le projet d'Adrar.
Vergnet avait fait une première fois, une offre plus compétitive que son concurrent allemand MAN Ferrostaal, pour un coût du kWh de 9.620 dinars (0,095 euros) contre 13,283 dinars/kWh pour le constructeur allemand. D'une capacité de 10 MW, la ferme devait être opérationnelle au bout de 23 mois, à partir de la date de la signature de l'accord, en janvier 2010.
Le projet de ferme éolienne s'inscrit dans une démarche visant à élargir la part des énergies renouvelables. Le but escompté, à travers la construction de la première ferme éolienne est de développer une technologie éolienne à tester le comportement de ce type d'équipements en milieu saharien, caractérisé par de fortes variations de températures et par des vents de sable pouvant influer sur leur fonctionnement. L'Algérie dispose de nombreux sites " Far Wind " avec l'existence de vents forts typiques à la région sud de l'Algérie.

Le groupe VERGNET devait assurer la conception, la production et l'installation de cette centrale composée de 10 éoliennes GEV HP de 1 MW. Ce retard a contraint le groupe Sonelgaz à résilier le contrat avec Vergnet, après que le deuxième appel d'offres s'avère "infructueux" et de procéder à un 3e appel d'offres pour la réalisation de ce projet, lancé par CEEG le 16 mars 2010.
L'ouverture des plis des offres techniques a eu lieu le 09 juin 2010 à l'issue de laquelle neuf (09) offres ont été déclarées recevables. L'examen et l'évaluation des offres techniques a permis de retenir quatre soumissionnaires, l'espagnole COMSA EMTE, le chinois Consortium CECIC/CGC, les français Vergnet et le Consortium CEGELEC SAS / CEGELEC SPA (Algérie).
La nouveauté dans le contenu du cahier des charges s'inscrit dans la logique de la préférence nationale puisqu'un critère de taille est exigé et imposant aux constructeurs retenus qui assureront les prestations d'études, de fabrication des équipements, les essais et mises en service, de confier en exclusivité la réalisation du génie civil, les travaux de montage et le transport aux entreprises algériennes.

Azzedine Belferag


6 milliards de dollars sur le trottoir

c’est le chiffre effarant qu’a révélé le ministre du Commerce, jeudi dernier à l’Assemblée nationale.

L’opération «coup de poing» de contrôle des commerçants de gros s’est soldée par la récupération d’une enveloppe de 60 milliards de dinars. Pas moins de 35.765 infractions portant sur la non-facturation de marchandises ont été relevées.

Plus de 2000 opérations de contrôle ont été menées auprès des commerçants de gros qui sont au nombre de 64.366.

Ce sont les chiffres avancés, jeudi dernier, par le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, en réponse à une question d’un député sur le commerce informel, lors de la séance de questions orales. «Nous avons pris des sanctions administratives et juridiques à l’encontre des commerçants concernés», a affirmé le ministre en soulignant qu’un registre national des contrevenants existe. Selon lui, une importante quantité de marchandises a été saisie.

Déterminé, M.Benbada promet d’aller jusqu’au bout pour assainir le secteur du commerce. Se référant toujours au bilan, le ministre a indiqué que 2131 commerçants exercent l’activité sans registre du commerce.

M.Benbada reconnaît que le contrôle du marché reste faible tout en expliquant que cela est dû au manque d’agents de contrôle. «Il y a plus de 1,3 million de commerçants qui sont contrôlés par 4500 agents», a-t-il justifié en précisant que 1500 agents ont été recrutés au courant de cette année. Pour rendre son action plus efficace, le ministre compte atteindre 7000 agents de contrôle durant ce quinquennat.

A propos des marchés informels, il a expliqué que l’éradication de ces marchés se poursuit en collaboration avec les collectivités locales. «Une commission interministérielle (Commerce et Intérieur), chargée d’éradiquer le commerce illicite a recensé 765 sites de commerces illicites à travers le territoire national», a fait savoir M.Benbada. Selon lui, plus de 70.000 commerçants opèrent sur ces sites.

Selon le ministre, cette commission est chargée d’élaborer une feuille de route pour mettre un terme à ce phénomène.

En parallèle, le département travaille sur la mise en place de commissions de l’urbanisme commercial, qui devra participer à intégrer les commerçants informels dans des marchés organisés, et ce, dans le cadre de l’agrandissement et de la mise à niveau des anciens marchés.

Il a rappelé que durant le programme quinquennal 2005-2009, l’Etat a déboursé quelque 6 milliards de DA dans la mise à niveau de 35 marchés de gros et 215 marchés de détail.

Une entité publique chargée de réaliser et de gérer les espaces et les infrastructures commerciales, sera opérationnelle dès l’année prochaine.

Selon le ministre, les statuts de cette entité, prévue par le Conseil des ministres en mai 2010, sont à une phase d’élaboration très avancée. Interrogé sur la Zone arabe de libre échange, le ministre a fait savoir que l’Algérie a émis des réserves sur son adhésion.

Cette convention négociée à Tripoli, a comporté certains dispositifs qui dépassaient le cadre commercial de cet accord, que l’Algérie a refusé de faire passer malgré le «forcing» exercé par d’autres pays membres de l’Union.

Au sujet de l’adhésion de l’Algérie à l’OMS, le ministre souhaite la programmation en 2011 du 11e round des négociations pour son accession à l’Organisation.

«Notre dossier d’adhésion est prêt. Nous avons répondu aux 96 questions de l’OMC il y a quelque mois et nous attendons la réaction de la commission chargée de l’adhésion de l’Algérie à cette organisation. Nous espérons obtenir la programmation du 11e round en 2011», a-t-il déclaré à la presse en marge de cette séance

L’EXPRESSION Nadia BENAKLI



Transport aérien Les compagnies françaises se disputent la destination Algérie

La destination Algérie aiguise l'appétit des compagnies aériennes . Boudé pendant une décennie, le marché algérien semble être aujourd'hui le fer de lance du redéploiement de plusieurs compagnies dans le bassin méditerranéen qui veulent disputer la destination au pavillon national.

Et ce sont les compagnies low coast qui disputent le plus de parts du marché Algérie-France à Air Algérie et Air France. L'Algérie représente une des 1ères communautés en France et les échanges économiques n'ont de cesse de se développer entre les 2 rives de la Méditerranée.

En plus du pavillon national, 3 compagnies que trois compagnies françaises desservent notre pays : Air France, Aigle Azur et Air Méditerranée. Aigle Azur, qui a pour marché principal le bassin Méditerranéen, entend consolider son réseau et ouvrir de nouvelles destinations vers l'Algérie. Créée en 1946 par Sylvain Floirat, Aigle Azur est la plus ancienne des compagnies françaises privées et bénéficie d'un vaste patrimoine historique.

Reprise en 2001 par le Groupe GoFast, présidé par Arezki Idjerouidene, elle dessert aujourd'hui de nombreuses destinations sur le pourtour du bassin méditerranéen : Algérie, Portugal, Mali, Maroc, Tunisie. François Hersen dirige la compagnie en qualité de président du directoire. Aigle azur a sensiblement renforcé son offre.
Les fréquences ont été augmentées aux départs de tous les aéroports desservis par la compagnie laquelle a augmenté ses capacités en sièges de 20% à 22% en moyenne. Deux nouvelles lignes ont d'ailleurs été inaugurées : Mulhouse-Oran et Tlemcen-Lille.

Aigle Azur a été la première compagnie à lancer des promotions sur la destination Algérie et dans les deux sens. Aujourd'hui, la compagnie couvre un total de 30 destinations dont l'Algérie. La destination Algérie offre 13 lignes au départ de la France. L'année passée, Aigle Azur a effectué 3185 vols entre l'Algérie et la France.

Néanmoins, la compagnie low coast Ai Méditerranée talonne de près Aigle Azur. Air Méditerranée, compagnie française créée en 1997, s'est spécialisée sur le créneau du vol loisirs vers le Bassin méditerranéen et l'Afrique notamment, et depuis l'été 2009, la compagnie s'est positionnée sur le marché des vols affinitaires vers l'Algérie et la Tunisie en ouvrant la ligne Paris/Oran en juillet 2009(avec 3 fréquences par semaine) et la ligne Paris/Tunis en décembre 2009 en partenariat avec Atlas Tours. Aussi, depuis le 28 juin dernier Air Méditerranée a lancé une destination vers Jijel au départ de Paris CDG et Mulhouse .Air Méditerranée s'est associée à Atlas Tours, spécialisée sur le trafic communautaire vers le Maghreb particulièrement.


Killya B.

38Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Lun 13 Déc - 13:05

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Le partenariat économique entre les Etats-Unis et l'Algérie a un ''avenir brillant'', a déclaré le secrétaire d'Etat adjoint américain à l'Economie, à l'Energie et aux Relations commerciales, M. José W. Fernandez, lors d'une conférence presse tenue jeudi au Département d'Etat américain.
Questionné par l'APS sur les perspectives de partenariat entre les deux pays après sa visite à Alger où s'était tenue la Conférence sur l'entreprenariat Maghreb-USA, le responsable américain a affirmé que ''l'avenir des relations économiques entre l'Algérie et les Etats-Unis est brillant de par les opportunités qui existent en Algérie'' à travers les différents secteurs dont les infrastructures.
En conséquence, a-t-il ajouté, ''je pense que d'un point de vue général, les opportunités économiques sont tout à fait brillantes''.
Dans son intervention liminaire dans laquelle il a présenté le bilan de la Conférence sur l'entrepreneuriat Maghreb-USA, le responsable américain a affirmé que la conférence d'Alger a été un ''véritable succès'' de par le consensus ''très réussi'' qui s'était dégagé pour un partenariat entre les Etats-Unis et le Maghreb.
''Basée sur le sommet présidentiel de l'entrepreneuriat organisé par le Président Barack Obama en avril dernier à Washington, la conférence d'Alger a permis de réunir des investisseurs venus des Etats-Unis et des représentants du gouvernement américain avec 350 participants de la région du Maghreb dont de jeunes entrepreneurs et dirigeants d'entreprises d'Afrique du Nord et de la diaspora de l'Afrique du Nord résident aux Etats-Unis'', a-t-il souligné.

La conférence d'Alger, a poursuivi M. Fernandez, ''a donné également une chance réelle pour un renforcement des capacités des jeunes entrepreneurs à travers des ateliers de formation des compétences et des possibilités de réseautique, et a également mis en relation les entrepreneurs'', ajoutant que ''ce fut merveilleux de voir ensemble les entrepreneurs maghrébins et américains parler d'affaires et échanger leurs cartes de visite''.
Abordant l'initiative ''Partenariat nord-africain pour les opportunités économiques'' (NAPEO) annoncée à Alger, M. Fernandez a souligné qu'elle entrait également en droite ligne avec le discours au monde musulman de Barack Obama prononcé en juin 2009 au Caire et s'appuie sur les efforts déjà engagés de par le passé par les Etats-Unis dans la région du Maghreb. Selon lui, le cadre de base de NAPEO est de ''renforcer le dialogue, la compréhension et une coopération plus étroite entre les pays à majorité musulmane et les Etats-Unis'' ajoutant que cette initiative a été développée en collaboration avec un large éventail de partenaires des secteurs public et privé, et en collaboration avec chacun des cinq pays du Maghreb (Algérie, Tunisie, Maroc, Libye et Mauritanie).
''Le but de NAPEO est de favoriser l'accroissement de l'engagement économique des Etats-Unis dans le Maghreb, et de l'ensemble des opportunités économiques et commerciales dans la région'', en misant notamment sur l'encouragement des start-up à travers la formation et un meilleur accès aux financements'', explique-t-il.
Concernant les déplacements qu'il a effectués en Tunisie, en Libye et au Maroc après la conférence d'Alger afin de s'entretenir sur cette initiative avec les représentants des gouvernements et des chefs d'entreprises de chacun de ces pays, M. Fernandez s'est dit ''satisfait du soutien qu'il avait reçu dans la région pour cette nouvelle initiative de la part des gouvernements et du secteur privé''.

En somme, s'est-il réjoui, que ce soit en Algérie ou dans chacun des autres pays maghrébins visités, ''je peux dire sans aucune réserve que la réaction globale a été très positive.
Et elle a été meilleure que ce que nous avons espéré'' du fait que cette initiative est perçue, désormais, dans les pays maghrébins comme un moyen contribuant à ''favoriser la croissance du secteur privé, la création d'emploi et l'esprit d'entreprise''.
Par ailleurs, il a fait savoir que NAPEO sera géré par l'Institut Aspen qui servira de secrétariat indépendant, comme il sera doté d'un comité de conseillers de chacun des pays, précisant qu'un comité consultatif régional sera mis en place en tant qu'organe directeur en collaboration avec l'Institut Aspen.
Créé en 1950 par l’industriel et mécène américain Walter Paepcke à Aspen dans le Colorado, l'Institut Aspen est un forum d’échanges et de réflexion entre des dirigeants appartenant à des univers culturels et professionnels différents et aide également les acteurs du monde économique, universitaire et associatif à mieux identifier les défis qu’ilsont à relever en recherchant ensemble les solutions.
Depuis 1978, l’Institut a son siège au domaine de Wye River (Maryland) devenu également un haut lieu de la politique internationale en abritant en 1991 la réunion préparatoire du sommet mondial de Rio sur l’environnement, et où plusieurs présidents américains ont tenu des rencontres avec leurs homologues étrangers. `
L’Institut dispose de six antennes à travers le monde respectivement à Berlin, Rome, Lyon, Bucarest, New-Delhi et Tokyo.

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41Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mar 14 Déc - 0:10

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التحقيق مع مدراء فنادق ومجمع الكترونيك كبير في فضيحة الخدمات الاجتماعية بأرسيلور

متورطون في اختلاس ما قيمته 70 مليار من أموال عمال مركب الحديد والصلب


2010.12.13



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 استدعاء المستفيدين من صفقات النقل بالمركب - فواتير مضخمة وأخرى خيالية تجر مدراء ومسير أمام قاضي التحقيق- الإستماع لممثلي العمال ومعلومات حول تورط نائب بالبرلمان في فضيحة نهب أموال العمال
استدعت الجهات القضائية الموكل لها مهام التحقيق في ملف فضيحة تسيير لجنة المشاركة، لما كان يعرف في وقت سابق بعملاق صناعة الحديد والصلب في الجزائر آرسيلور ميتال عنابة، عديد المدراء والمسؤولين على مستوى فنادق ومركبات سياحية موزعة عبر ولايات الوطن، وبصفة خاصة تلك المتواجدة بولاية قالمة، ناهيك عن مراكز إعادة التأهيل والعلاج بالمياه المعدنية، وكذا رؤساء إدارة مجموعة من المؤسسات المخصصة في توزيع التجهيزات الكهرومنزلية، والنقل، ممن تربطهم عقود مباشرة مع لجنة المشاركة، للبت في تفاصيل صفقات مشبوهة، مخالفة للتشريع وقانون الصفقات العمومية على حد السواء،


واستنادا إلى الجهة التي أوردت الخبر فإن تداعيات التحقيقات المعمقة التي تم خلالها الإستماع إلى جملة من إطارات المركب وممثلي عمال آرسيلور ميتال، وفي مقدمتهم الأمين العام لنقابة المؤسسة إسماعيل قوادرية، ممن حركوا الشكوى عبر ثلاث قضايا، بعد اكتشاف تجاوزات وتلاعبات تمت بالتواطؤ معه جهات مختلفة، من بينها جهات نافذة وعضو برلماني فضحت جملة من التعاملات خاصة تلك التي تم خلالها عقد صفقات بالتراضي، تضخيم فواتير وخلق أخرى وهمية، فاق إجمالي قيمتها المالية عتبة الـ 70 مليار سنتيم، حولت خلال الفترة الممتدة من 2001 إلى 2009، إلى حسابات أطراف نقابية وشخصيات نافذة ، وحسب ما حملته التحقيقات الأمنية وتقارير الخبرة المنجزة، لحصر الأموال المختلسة بينت تحويلات لأظرفة مالية معتبرة عبر مراحل زمنية متقطعة من بينها تحويل مبلغ 9 ملايير سنتيم لتنظيم رحلات استجمام لأبناء العمال بمبالغ خيالية خلال فترة زمنية وجيزة بالإضافة إلى صفقة مخيم طونقه بالقالة التابعة إلى مصالح إدارة ولاية الطارف، وكذا تخصيص مبلغ 500 مليون من خزينة اللجنة لتسديد شطر من المستحقات المالية العالقة لأحد لاعبي فريق اتحاد عنابة،


كما حملت تقارير الخبرة المودعة لدى الجهات القضائية في وقت سابق، والمنجزة من طرف خبراء الحسابات والمالي المعتمدين وجود تجاوزات في ملفات إبرام الصفقات الخاصة بالنقل واقتناء تجهيزات كهرومنزلية بأسعار مضخمة فاقت إجمالي قيمتها المالية عتبة 70 مليارا. خالد بن جديد

Selon le Journal Algérien "Akhir Saâ" du 13/12/2010

42Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mar 14 Déc - 13:38

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Projet de ferme éolienne à Adrar Cegelec décroche le marché




Le projet portant sur la réalisation d'une ferme éolienne à Adrar a été attribué au consortium algéro-français, Cegelec, à l'issue de la séance d'ouverture des plis tenue, hier, au Centre de formation de Sonelgaz à Alger.

Cegelec a été sélectionnée parmi 3 autres soumissionnaires, à savoir le Vergnet (France), Cecic-CGC (Chine) et l'espagnol Comsa. Cegelec a fait l'offre la moins disante d'un montant global de 2 219 685 593 dinars ( prés de 22 millions d'euros), comprenant la TVA et les droits de douanes.

L'offre de ce consortium, pour ce qui concerne le coût moyen de KWh, ajusté et actualisé, était de 7,257 dinars. Cecic-CGC vient en deuxième position avec une offre totale de 2 087 127 556 dinars. Le soumissionnaire chinois a proposé 7, 596 dinars le coût moyen du KWh. Le montant totale de l'offre de Comsa est estimé à 2 280 100 573 dinars. Ce même soumissionnaire a proposé 7,749 dinars le coût moyen du KWh. Vergnet, quant à lui, a fait l'offre la plus disante avec un montant total de 2 813 593 903 dinars. Le soumissionnaire français étaient également le plus cher en proposant un coût moyen de KWh ajusté et actualisé, estimé à 8.908 dinars. M. Arkab, P-DG de CEEG ( Compagnie de l'Engineering de l'électricité et du gaz, filiale du groupe Sonelgaz, a déclaré, à l'issue de la séance d'ouverture des plis, que l'offre de Cegelec fait gagner à son entreprise prés de 30 %, comparativement à celle de Vergnet qui avait décroché ce même marché, en janvier dernier. Une attribution qui a été annulée, rappelle-t-il, pour des raisons liées justement à la surévaluation des coûts.

Le P-DG de CEEG a précisé que la réalisation de la ferme éolienne d'Adrar, première du genre dans le pays, constitue "un grand pas" dans le passage de l'Algérie vers l'utilisation des énergies renouvelables. Selon ce même responsable, les experts de sa compagnie se sont assuré de la fiabilité de la technologie proposée par les 4 soumissionnaires retenus. Il a fait savoir, en ce sens, que la ferme d'Adrar sera construite conformément aux normes européennes. Le responsables a précisé, aussi, que sa compagnie a procédé à des vérifications auprès des constructeurs de turbines. Arkab a souligné, d'autre part, que sa compagnie a pris en considération dans l'attribution de ce marché public le taux de préférence national, estimé à 15%, pour ce qui concerne l'utilisation des équipements fabriqués en Algérie par les filiales de Sonelgaz ou par d'autres entreprises nationales, qu'elles soient publiques ou privées. Il a cité, entre autres équipements fabriqués localement, les charpentes, les câbles et les tableaux électriques. Il est à signaler, à cet effet, que les 4 soumissionnaires ont tous présenté les certificats d'origine des équipements made in Algeria.

Pour rappel, le site de cette ferme éolienne avait été fixée à Tindouf avant que les responsable de la CEEG ne jugent plus judicieux de le déplacer à Adrar. Selon les explications fournies par les experts de la compagnies, "Adrar offrait un potentiel éolien plus important que celui de Tindouf".

F. Djouadi

Le Dr H. Bensaad, expert en énergies renouvelables
"Il faut faire des tests avant de lancer le projet"
Les travaux de réalisation de la ferme éolienne d'Adrar, dotées de 10 aérogénérateurs, chacun d'une P= 1MW, ne devraient pas commencer avant de faire des tests sur 1 ou 2 aérogénérateurs de moindre puissance ( de 10 à 20 KW), prévient le Dr Bensaad, expert en énergies renouvelables.
Dans un courrier adressé, hier, à notre rédaction, l'expert a attiré l'attention de Sonelgaz et de l'opinion publique sur l'impératif de recourir à ces tests afin de se prémunir contre la dégradation des équipements installés en plein désert. Se voulant plus persuasif, l'expert s'est référé à l'expérience de l'Egypte qui a vu ses aérogénérateurs, implantés le long de la mer Rouge, complètement détériorés par les vents de sable. Les tests, a suggéré le Dr Bensaad, doivent durer une année pour s'assurer de la fiabilité et de la résistance des équipements.
F. D.

43Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Mar 14 Déc - 21:58

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L’Etat récupère l’Enafla

La régulation des produits agricoles de première nécessité par le propre circuit des services du ministère de l’Agriculture est désormais officiellement lancée, à la faveur de la récupération des moyens de stockage de la défunte Enafla (dissoute en 1997).


Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, s’est déplacé à Chlef et s’est rendu au complexe frigorifique de l’ex-Enafla à Haï Bensouna, où il a assisté au premier arrivage de pomme de terre destinée au stockage dans le cadre du programme national de régulation et d’approvisionnement des marchés en produits agricoles de large consommation.

Cette structure de 2800 m3 a fait l’objet d’une vaste opération de réhabilitation et d’équipement ayant nécessité une enveloppe de 8 milliards de centimes, financée sur le budget du ministère de l’Agriculture. Auparavant, Rachid Benaïssa avait inspecté l’autre complexe frigorifique de la même entreprise, situé à l’entrée est de la ville de Chlef.

Celui-ci a également été réhabilité et sera mis en service incessamment pour les besoins du même programme de régulation.

D’une capacité de stockage sous froid de 23 400 mètres cubes, cette infrastructure a subi des travaux identiques pour un coût de 19 milliards de centimes. Ces deux entrepôts frigorifiques, qui étaient à l’abandon depuis plus de dix ans, retrouvent ainsi leur usage initial, grâce à l’intervention de l’Etat. Ils seront désormais placés exploités par les Magasins de l’Ouest, organismes placés sous la coupe de la SGP Proda relevant du ministère de l’Agriculture et du Développement rural.

Ahmed Yechkour



Le nouveau Zidane n’a que 9 ans

Madin Koroghli, jeune footballeur franco-algérien, possède un sacré talent.
Attention phénomène ! A 9 ans à peine, Madin Koroghli, surdoué du dribble et du passement de jambes, est présenté comme le futur Zidane. Comme le légendaire meneur de jeu des Bleus, ce jeune franco-algérien est considéré comme un génie. Et, déjà, les plus grands clubs suivent de près l’évolution de ce gamin aux pieds d’or.

9 ans à peine et du talent plein les chaussettes : Madin Koroghli est déjà présenté comme le futur Zinédine Zidane. Ce jeune roubaisien d’orgine algérienne affole déjà les médias du monde entier : le gamin a été repéré grâce à une vidéo de ses exploits techniques alors qu’il n’avait que 6 ans. Postées sur YouTube, les images ont déjà été vues plus d’un million de fois.

Le jeune prodige, dont le record de jongles est établi à plus de 1300, a déjà eu les honneurs du Grand Journal de Canal+ ou de Téléfoot sur TF1. "Et on a refusé du monde, insiste Mohamed, son père, auprès de nos confrères de Nordway. Le 20 Heures de France 2, par exemple. Mais c’était affolant, il y avait des journalistes jusque devant l’école de Madin. Il aurait presque fallu un garde du corps, car d’autres l’attendaient au bout de la rue." Madin a même été invité à Hong Kong pour pour une soirée de gala. Tous frais payés par les organisateurs, comme pour cette exhibition aux Émirats arabes unis. "Pour une prestation de cinq minutes, à Dubaï, on est restés dix jours. Tous ensemble, on a ainsi pu découvrir tout ce qu’on voulait voir. Mais encore une fois, tout ça, c’est tant que Madin aime faire ça. Et seulement quand ça tombe pendant les vacances scolaires. Là, on vient de refuser un voyage aux États-Unis."

Just Fontaine comme conseiller

Mais les journalistes et les organisateurs d’exhibitions ne sont pas les seuls sur les rangs. Des cadors européens se seraient renseignés sur l’élève de CM1. Chelsea, le Real Madrid, Manchester United ou le Milan AC gardent en effet un oeil sur Madin, qui a su s’entourer. C’est Just Fontaine, le recordman des buts inscrits en une seule Coupe du monde, qui conseille gracieusement la famille : "J’ai entendu parler du gamin. Je les ai rencontrés et je leur ai proposé de les conseiller. Juste pour éviter les mauvaises personnes qui viendraient rôder autour de lui, affirme l’ancien international français à Nordway. Madin, il faut qu’il grandisse. Mais il est extrêmement doué. Je suis d’ailleurs en train de voir avec Arsenal pour trouver un accord pour la suite. Attention, pas maintenant ! Mais quand il sera plus âgé. Je suis persuadé qu’Arsène Wenger saura en tirer le meilleur parti."

Comme Zinédine Zidane, son idole, Madin pourrait avoir le choix quant à la sélection nationale pour laquelle il souhaitera jouer. Alors, la France ou l’Algérie ? "En fait, il répond selon l’interlocuteur..., avoue son père. Visiblement brillant balle au pied, le petit Madin est, pour l’heure, attaquant au LOSC, où il évolue avec les moins de 10 ans. Au sein de club lillois, on se méfie. "C’est un gamin qui sait tout faire avec un ballon. En plus, il a un sens du jeu intéressant, assure à Nordway Jean-Michel Vandamme, directeur du centre de formation de Lille avant d’émettre un bémol. On n’imagine pas l’impact mental qu’il peut y avoir dans le football. La capacité à faire les bons choix, à bien s’entourer est déterminante. C’est pour cela que la médiatisation à son âge peut être dangereuse, même si ses parents me paraissent des gens sérieux. Mais lui, comment vit-il cela à l’intérieur ? Et comment le vivra-t-il quand il se rendra vraiment compte de tout cela ?" Réponse dans une dizaine d’années.

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Algérie : un film de Ken Loach sur Zighoud Youcef

Le réalisateur britannique Ken Loach réalisera prochainement une production cinématographique sur la vie et le combat de Zighoud Youcef (1921-1956), héros du nationalisme algérien. Le producteur du film, Bachir Derras, a sollicité l’aide de l’écrivain et poète Rachid Boudjedra pour l‘écriture du scénario, écrit mardi El Watan. « On aura à insister, en premier lieu, sur la personnalité intimiste de Zighoud, sur sa vie, son parcours et par ricochet sur les événements du 20 Août 1955. On est actuellement à la phase de documentation. C’est un travail d’ébauche qui me permettra de mieux cerner le personnage et de retracer fidèlement cette période de l’histoire du pays », a précisé Rachid Boudjedra.

44Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Jeu 16 Déc - 0:24

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Développement du secteur de la pêche Une centaine de projets d'investissement dans les ports de pêche

Dans le cadre de la manifestation pour l'investissement dans les activités des ports de pêche de commerce halieutique (Minappech), pas moins de 100 opportunités d'investissement sont offertes aux opérateurs nationaux et étrangers", a indiqué, hier, le président du Groupement d'intérêt commun des Entreprises de gestion des ports de pêche (GIC-EGPP), M. Ouarab Kamel. S'exprimant en marge de cette manifestation, tenue à la Safex des Pins maritimes, M. Ouarab a expliqué que ces offres d'investissement sont axées sur les activités de construction et réparation navales et d'équipement de levage et halage ainsi que les activités d'entrepôts frigorifiques, fabriques de glaces, halles à marée. Les autres opportunités d'investissement offertes dans le secteur de la pêche, s'articulent autour de la fonction de l'approvisionnement.

Il s'agit des activités de comptoirs de vente de pièces de rechange, de matériels de pêche, et des stations d'avitaillement en carburants et lubrifiants. Se montrant confiant, le président du GIC-EGPP, estime que la centaine de projets mis en compétition durant la 5e édition de la Minappech et répartis sur les 33 ports de pêche que compte notre pays, devrait attirer plus d'investisseurs que lors des précédentes éditions. "Durant les quatre dernières éditions, nous avons conclu 81 contrats de projets pour un montant d'investissement de 2.6 milliards de Dinars", a révélé ce responsable, soulignant que le nombre d'emplois créés dépasse 1 200 emplois directs. "Un emploi direct créé dans le cadre de ces projets implique la création de 7 autres indirects" a-t-il précisé. Selon lui, , le taux d'avancement des projets lancés avoisinerait les 70 % et la part des investissements étrangers, a-t-il dit, "est de 5 %". Toutefois, ce responsable a révélé que la Société de gestion des participations des ports (SGP Ports) avait lancé une étude relative à l'optimisation des capacités des installations et des équipements des ports de pêche ce qui a permis l'établissement d'un schéma directeur des ports de pêche et par la même l'identification des opportunités d'investissements au profit des investisseurs privés nationaux et étrangers.

"Et c'est dans ce cadre qu'ont été proposées les opportunités d'affaires depuis la première édition de la Minappech en 2006", a rapelé M. Ouarab. Le plan de développement de la pêche s'articule, selon lui, sur l'organisation des espaces portuaires pour des activités de soutien à la production dans le but de d'équiper qualitativement les ports de pêches pour l'optimisation de leurs capacités et rationalisation de leur occupation.

Yazid F.

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2e festival national du théâtre Amazigh de Batna : Ambiance de fête[/size][/b]

Une ambiance de fête a marqué, vendredi soir au théâtre régional de Batna, l’ouverture de la 2e édition du festival culturel national du théâtre Amazighe.

Cette manifestation de dimension nationale, étrennée avec beaucoup de succès en 2009, est dédiée, cette année, à l’un des précurseurs du théâtre d’expression Amazighe, le dramaturge et poète Abdallah Mouhya, dit Muhend U Yehya (1950-2004), connu pour ses efforts à promouvoir le théâtre algérien et pour avoir adapté en Tamazight des œuvres de Molière, Samuel Beckett ou encore Luigi Pirandello.

La cérémonie d’ouverture de l’édition 2010 a également été caractérisée par un hommage à des figures du 4e art algérien ayant enrichi, sur les planches ou par le texte, le mouvement théâtral national, à l’image de Fouzia Aït El Hadj, de Tizi-Ouzou, Khaled Bouali et Mohamed Bouiche, de Batna, Fadila Assous, de Sidi Bel-Abbès, et Ahmed Khoudhi, d’Alger. Le public qui s’est déplacé nombreux au théâtre régional de Batna a pu apprécier, en ouverture, une chorégraphie intitulée Thit Zetfaouth qui a permis à de jeunes danseurs de donner en 5 tableaux, dans un décor superbe, un aperçu de la beauté et de la richesse du patrimoine artistique authentique de l’Algérie profonde.

Une chorégraphie kabyle figurant la cueillette des olives dans le Djurdjura, la danse Essaf, célèbre dans l’Ouest du pays, ainsi que Raqsat el houma (Alger), une fusion très applaudie entre le haouzi et le flamenco, ont été chaleureusement applaudies par l’assistance.

Le public des Aurès sera invité, 10 jours durant, à découvrir (ou à redécouvrir) des œuvres en Tamazight produites par les théâtres régionaux de Batna, de Tizi-Ouzou, de Bejaïa, d’Oum El Bouaghi, de Mascara et par d’autres troupes telles que la coopérative El Afsa de Tlemcen, la formation Sarkhat Er-Rok’h, de Tamanrasset, et d’autres groupes de Batna, Ghardaïa et Tlemcen. Huit prix sont mis en jeu pour récompenser la meilleure pièce, la meilleure mise en scène, le meilleur texte, la meilleure scénographie, la meilleure musique, en plus des prix d’interprétation féminine et masculine et un prix spécial du jury.

Le commissaire du festival, M. Mohamed Yahiaoui, a indiqué à l’APS, en marge de la cérémonie d’ouverture, que cette manifestation ambitionne de faire connaître et goûter au large public le théâtre d’expression Amazighe, d’encourager les expériences et les recherches dans ce domaine et de promouvoir le théâtre Amazigh en œuvrant à sa plus large diffusion. Plusieurs conférences-débats consacrées au théâtre d’expression Amazighe et à ses perspectives seront organisées en marge du 2e festival culturel national du théâtre Amazigh, selon M. Yahiaoui.

45Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Jeu 16 Déc - 22:09

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Premier Salon national de la poupée : Les coutumes à l'honneur



Le monde merveilleux de la poupée sera présenté sous toutes ses facettes à un large public à l'occasion de la tenue du «1er Salon national de la poupée traditions et coutumes» du 19 au 22 décembre courant. Cet évènement, présenté hier par le secrétaire général de la Direction de la jeunesse et des sports et des loisirs (DJSL), Mohamed Khemissi lors d'une conférence de presse animée au forum d'El Moudjahid, regroupera quelque 1000 participants des 48 wilayas du pays en plus des artistes et des représentants du mouvement associatif dans la salle omnisports d'El-Biar.
«L'objectif de cette rencontre est mettre en valeur nos traditions et nos coutumes en matière d'habillement, d'esthétique et de bijoux», souligne M. Khemissi. Toute une dynamique pourra donc s'enclencher suite à la tenue de ce salon de la poupée qui, d'après les organisateurs, vise «l'instauration d'un musée de la poupée, la création d'une revue spécialisée et peut-être l'organisation d'un salon maghrébin dans la perspective de la participation de l'Algérie au Salon international de la Turquie», signale le SG de la DJSL.
Lors de cette manifestation non commerciale, un espace sera consacré aux enfants. Des jeux, des ateliers pour la confection de la poupée, des projections et des contes seront au programme. Parmi les conteurs, un invité de marque, Angelo Mantini, un Italien parlant l'arabe et le français, «qui relatera les histoires universelles». Un cycle de conférences pour adultes est également au programme. Des prix sanctionneront trois concours au menu de ce salon. Il s'agit du prix de la meilleure poupée fabriquée manuellement, du prix de la meilleure présentatrice de poupée traditionnellement habillée alors que la troisième distinction gratifiera le meilleur stand.
Les visiteurs notamment les enfants qui seront en vacances d'hiver, sont conviés à ce rendez-vous inédit où ils pourront apprécier le travail effectué par des doigts de fée. Un avant-goût a été présenté, hier, avec la présentation de poupées en chiffon et d'autres habillées de costumes traditionnels.
La poupée, ce témoin des civilisations, est aussi un business. En 2000, la vente des poupées à travers l'Europe a rapporté 2 milliards de dollars. La seule Barbie est vendue à 1 milliard d'exemplaires annuellement dans le monde.




Souhila Habib Horizons

46Nouvelles d'Algérie. - Page 2 Empty Re: Nouvelles d'Algérie. Jeu 16 Déc - 22:09

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FMI : Modification de la quote-part de l'Algérie après une révision générale

La quote-part de l'Algérie au FMI a été modifiée dans le sillage de la révision générale des quotes-parts approuvée par le conseil d'administration du Fonds en novembre dernier, a indiqué hier à l'APS un porte-parole du FMI. Cette révision générale des quotes-parts du FMI, qui doit être mise en place d'ici octobre 2012, a entériné un doublement des contributions de cette institution financière internationale, qui passeront d'environ 238,4 milliards de DTS à environ 476,8 milliards de DTS (près de 755,7 milliards de dollars au taux de change actuel). Pour ce qui concerne l'Algérie, le montant de sa quote-part passera de 1,25 milliard de DTS (l'équivalent de 1,92 milliard de dollars) à 1,88 milliard de DTS (2,89 milliards de dollars), soit 0,41% de la totalité des quotes-parts du FMI, selon le même responsable.
Pour les autres pays maghrébins, la quote-part passera à 0,33% pour la Libye, à 0,11% pour la Tunisie et à 0,18% pour le Maroc. La formule de calcul des quotes-parts est une moyenne pondérée en fonction du PIB du pays (à 50%), du degré d'ouverture de l'économie (à 30%), des variations économiques (à 15%) et des réserves officielles de change (à 5%).
La quote-part d'un pays membre détermine le montant maximum de ressources financières qu'il s'engage à fournir au FMI et le nombre de voix qui lui est attribué, et détermine le montant de l'aide financière qu'il peut obtenir du FMI. Par exemple, dans le cadre des accords de confirmation et des accords élargis, chaque pays membre peut emprunter jusqu'à 200% de sa quote-part annuellement et 600% au total. Ces quotes-parts sont révisées régulièrement (généralement tous les cinq ans) afin de s'assurer qu'elles continuent de refléter l'évolution des poids relatifs des pays membres dans l'économie. C'est ainsi qu'en novembre dernier, le conseil d'administration de cette institution financière internationale a approuvé des propositions qui conduiront à une vaste réforme des quotes-parts et de la gouvernance du FMI. Dans le cadre de ces réformes, le conseil d'administration propose d'achever la 14e révision générale des quotes-parts en doublant les quotes-parts, pour les porter à environ 476,8 milliards de DTS et de procéder à une redistribution majeure des quotes-parts relatives entre les pays membres.
Il en résultera un transfert de plus de 6% des quotes-parts au profit des pays émergents et des pays en développement dynamiques et de plus de 6% des pays surreprésentés (pays de l'OCDE notamment) vers les pays sous-représentés, tout en protégeant les quotes-parts relatives des pays membres les plus pauvres et le nombre de voix qui leur est attribué.


Horizons
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Des experts africains aujourd'hui à Alger
Prévention et lutte contre le terrorisme



Le siège du Centre africain d'études et de recherche sur le terrorisme (Caert) abrite aujourd'hui et demain une importante rencontre d'experts des Etats membres de l'Union africaine pour examiner le projet de loi type sur la lutte contre le terrorisme. La question du versement de rançons qui a fait l'objet d'une proposition algérienne de sa criminalisation, qui s'inscrit en droite ligne de la résolution 1904 de l'ONU, soutenue du reste par les grandes puissances à l'instar des USA et de l'Angleterre, sera largement débattue au cours de ce conclave.

Après la rencontre en novembre à Dakar, du Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'UA, c'est au tour d'Alger d'abriter cette fois une rencontre d'experts pour finaliser le projet de loi type qui va servir de modèle aux pays africains en matière de lutte contre le terrorisme. Outre l'objectif de promouvoir la mise en œuvre,

au plan national, des instruments continentaux et internationaux sur la prévention et la lutte contre le terrorisme, cette loi, qui sera décortiquée aujourd'hui et demain au siège du Caert, permettra, d'après les récentes déclarations de Jean Ping, président de la commission africaine, de guider les Etats membres dans l'élaboration, le renforcement et/ou la mise à jour de leurs législations nationales. Nous avons également appris que la question du payement des rançons sera l'un des points nodaux de la loi sur lesquels se pencheront les experts africains.

L'Algérie avait, rappelons-le, lors de la deuxième revue par l'ONU de la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme tenue en septembre à New York, incité les Etats à respecter la résolution 1904 adoptée par l'ONU en décembre 2009, criminalisant le payement de rançons. Lors de leurs déplacements à Alger, les représentants US et britanniques notamment, ont soutenu l'idée algérienne. «L'Algérie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis sont parmi les quelques gouvernements qui refusent de payer des rançons pour les otages», avait déclaré le responsable US chargé de la lutte contre le terrorisme, Daniel Benjamin.

Le principal adjoint de l'assistant du secrétaire à la Défense, chargé des Affaires de sécurité internationale US, Joseph Mc Millan, a, quant à lui, déclaré à Alger que le gouvernement américain a une «position très claire» au sujet de la criminalisation de l'acte de paiement des rançons, expliquant qu'«aucune concession ne doit être faite» aux groupes terroristes. Selon lui, il faut à présent «relever le défi et amener la communauté internationale à approuver cette approche,

telle que proposée par l'Algérie». Par ailleurs, il convient de rappeler dans ce même cadre que l'Union africaine, par la voix de son commissaire à la paix et à la sécurité, Ramtane Lamamra, «apprécie les efforts consentis au niveau de la région du Sahel et les initiatives prises par l'Algérie au plan opérationnel».

Le même responsable, qui s'exprimait à Alger en marge de la célébration du 50e anniversaire de la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et peuples coloniaux, a affirmé que l'UA essaie d'aider d'autres pays africains en les amenant à entreprendre les mêmes démarches que celles initiées par l'Algérie avec les pays voisins, telles que le réseau opérationnel de Tamanrasset ou le Centre d'échange et d'exploitation du renseignement. «C'est la voie à suivre», a-t-il dit.


Le Temps d'Algérie

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Secteur des Mines Yousfi ouvre la chasse aux fraudeurs


" L'argent est à l'Etat et l'Etat doit percevoir ce qui lui revient " martèle Youcef Yousfi ! Ainsi donc, les pouvoirs publics reviennent à la raison et ont fini par réaliser " le rôle de père noël " que certains leur faisaient tenir. L'Etat veut désormais compter ses "billes" et exiger son dû, à commencer par ce que rapporte le secteur des mines. Le ministère de l'Energie et des Mines sort de sa léthargie et décide d'assainir le secteur minier. La tragédie vécue par plusieurs fronts miniers allant de la simple carrière de sable aux mines d'or en passant par les carrières de marbre, a failli être fatale pour le secteur qui n'a pas été épargné par les prédateurs. Le cas de l'exploitation sauvage et incontrôlée des carrières de sables et d'agrégats ainsi que celui du marbre ont coûté cher, particulièrement, sur le plan écologique. Cela a, d'ailleurs, été décrié par M. Youcef Yousfi qui déplore "la manière dont ont été exploitées certaines mines algériennes par des opérateurs étrangers ".
Le ministre qui annonce de nouvelles mesures pour le développement et l'assainissement du secteur minier ne s'est pas empêché de faire le triste constat et déclarer qu' "Ils font tout sauf exploiter correctement nos mines". Il reconnaîtra tacitement les erreurs commises dans le choix du partenaire étranger et ses attirants chants de sirène. Même s'il ne l'a pas dit ouvertement, tout indique qu'il s'agit surtout du cas de l'exploitation du gisement d'or d'Amessmessa, dans la wilaya de Tamanrasset par l'australien GMA. Ce dernier partenaire aurait opéré, par coup d'effet d'annonce et usé d'une forme de publicité mensongère, lui permettant de s'accaparer la plus importante mine d'or du pays ouvrant son capital social à une spéculation déloyale. M. Yousfi a instruit les DME présents à la rencontre, d'hier, à Alger, réunissant les 48 directeurs de l'énergie et des mines du pays, d'inspecter toutes les carrières et mines pour contrôler les conditions d'exploitation et s'assurer de l'application des mesures de sécurité. " Nous sommes décidés à aller jusqu'au bout dans cette affaire, nous sommes décidés à arrêter l'exploitation illicite des carrières et des sablières ", martèlera t il. M. Yousefi annonce par la même occasion que "son département allait engager une lutte contre les exploitants fraudeurs, qui donnent de fausses déclarations sur les volumes d'extraction des minerais et leurs prix".
Une guerre semble en cours d'être menée contre les contrevenants. Un grand bouleversement risque d'être opéré par le département de M. Yousefi qui affirme qu'il n'allait pas "se contenter de déclarations " et reste " déterminé à réviser le cahier des charges pour l'exploitation des mines", afin de rendre obligatoire les informations sur les volumes des extractions et leurs prix réels, tout en instruisant les DEM à les déterminer chaque année. Cette énième mésaventure instruit sur la permissivité des textes de loi régissant le secteur minier.
M. Yousfi reconnait le " retard considérable " accusé par le secteur des Mines et promet que l'effort de développement dans ce secteur "sera axé sur le renforcement des réserves nationales en minerais par l'application de méthodes modernes pour évaluer le potentiel géologique de l'Algérie".
Pour 2011, l'Etat a dégagé une enveloppe financière de 800 millions de dinars pour encourager la recherche minière, et compte modifier la loi y afférente pour lui permettre de contribuer à cette recherche. Les responsables du secteur se sont trouvés, assez souvent, dans l'expectative face à ce genre de questions, se contentant à peine de faire des constats. C'est la première fois où des mesures sont prises du tac au tac.


Azzedine Belferag

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