Les menaces de mort et les fatwas islamiques laissent nos politiciens indifférents
jeudi 31 janvier 2008 par Guillaume
La liberté d’opinion et d’expression en Europe est de plus en plus une peau de chagrin. L’autocensure augmente à fur et à mesure que les menaces de mort et les fatwas des islamistes se multiplient contre les écrivains, les professeurs, et même contre les parlementaires comme Geert Wilders et l’ex-parlementaire Ayaan Hirsi Ali qui a perdu son mandat à cause des pressions islamistes sur le gouvernement hollandais.
Les journalistes qui disent que Geert Wilders est « populiste », ou libéral radical, ou « libéral d’extrême droite », tentent de camoufler « le problème fondamental » auquel l’Europe est confrontée : les islamistes fanatiques nous laissent le choix entre se soumettre à la charia ou en subir les conséquences comme dans les pays musulmans.
C’est aussi le but du Conseil européen de la Fatwa qui veut instaurer la charia dans tous les pays européens.
N’en déplaise aux politiciens islamo-gauchistes PVDA et autres, Geert Wilders est le seul parlementaire néerlandais qui a le courage de tirer la « sonnette d’alarme » et est conscient que l’Europe est en train de signer sa perte fasse à une religion qui produit des fanatiques qui se servent du Coran, dont ils sont endoctrinés, pour justifier leurs actes abominables.
Les journalistes qui attaquent le parlementaire Geert Wilders en le qualifiant de « populiste », de radical, d’extrême droite, etc., se trompent de cible et d’ennemis et renforcent les fanatiques musulmans dans leur détermination à agir par la menace, qui semble la politique la plus appropriée pour faire taire toute critique l’islam. Il ne s’agit pas ici de savoir de quelle tendance politique est Geert Wilders, mais de savoir s’il a raison ou pas quant au contenu du Coran.
Ce qui est en cause, c’est la liberté d’opinion et d’expression, c’est la survie de la démocratie tout simplement en Europe. Mais quel journaliste néerlandais ose défendre la démocratie en s’attaquant non pas à Geert Wilders, mais aux islamistes qui le menacent de mort ? Quel journaliste oserait dénoncer le contenu criminogène du Coran ?
Geert Wilders dénonce l’islam au péril de sa vie, et cela mérite au moins du respect.
Les politiciens néerlandais savent que critiquer l’islam revient pratiquement à signer son arrêt de mort, et aucun autre ne veut prendre la défense du parlementaire audacieux.
On a vu les politiciens hollandais crier au scandale quand il a comparé le Coran au livre « Mein Kampf » dont la publication est interdite.
Mais le Coran qui incite à l’extermination de tous les non-musulmans est-il moins nocif que « Mein Kampf » ? La demande de Geert Wilders d’interdire la publication du Coran est-elle moins logique que l’interdiction de « Mein Kampf », alors que ce livre dit saint, ressasse inlassablement sa haine contre les non-musulmans et qu’il incite les fidèles à tuer les infidèles en le répétant pratiquement à chaque page ?
Peut-on inciter au meurtre dans un livre dit saint, sous prétexte que c’est un livre religieux, même s’il contient une idéologie criminelle ?
Critiquer l’islam, critiquer les religions est un droit constitutionnel dont jouit toute personne, qu’elle soit de gauche, de droite, d’extrême droite ou d’extrême gauche. Le droit d’expression appartient à tous les citoyens sans distinction.
Les réactions au film (court métrage) sur le Coran que le député Geert Wilders veut diffuser sont en soi des preuves irréfutables de ce que ce parlementaire entend démontrer. Les menaces de mort contre sa personne ne se comptent plus. Les islamistes veulent le tuer parce qu’en tant que parlementaire on lui dénie un droit constitutionnel fondamental : celui de critiquer l’islam dans son propre pays.
Les Pays-Bas seraient-ils déjà un pays musulman, soumis aux lois islamiques selon ces fanatiques ?
Le nombre de personnes menacées par les fanatiques musulmans ne fait que s’accroître en Europe, à un tel point que les politiciens ne s’en offusquent plus et trouvent normale cette atteinte à la liberté d’opinion.
La soumission tacite des politiciens s’est établie en Europe.
Ils préfèrent condamner ceux qui osent encore s’exprimer plutôt que de réagir contre ceux qui font des menaces de mort.
Au lieu de condamner ce fanatisme religieux (menaces de mort, fatwas, etc.), le gouvernement néerlandais prend plutôt parti pour les extrémistes religieux, en critiquant Geert Wilders qui ne serait qu’un fauteur de troubles.
Quiconque ose publiquement critiquer le Coran criminogène devient donc un fauteur de troubles. Ceux qui menacent de mort, qui lancent des fatwas ne seraient donc pas les coupables, ne seraient pas les vrais fauteurs de troubles, les vrais criminels qui détruisent nos libertés démocratiques... Ce raisonnement absurde doit plaire aux islamistes.
L’ex-ambassadrice de Malaisie aux Pays-Bas, Noor Farida Ariffin, annonce des émeutes « saintes » dans le monde si le film est projeté aux Pays-Bas. Les manifestations contre les caricatures danoises, qui ont engendré la mort de dizaines de personnes en Afghanistan, Libye, Nigeria et autres pays musulmans, ne seront qu’un « pique-nique » selon elle, comparé à ce qui se passera si ce film sort (Déclaration au Volkskrant).
Cette ex-ambassadrice donne au gouvernement hollandais le conseil de condamner en des termes très fermes ce film s’il sort parce qu’ainsi il sera peut-être possible de diminuer l’ampleur des émeutes qui suivront. En annonçant qu’il y aura des morts si le film est projeté, cette ex-ambassadrice tente un véritable chantage.
Le gouvernement devrait donc justifier les émeutes annoncées, par une déclaration publique, condamnant fermement la projection du film sur le Coran. La projection d’un film critique sur le Coran serait donc un acte condamnable, intolérable, inadmissible, justifiant des émeutes violentes par des fanatiques musulmans.
À travers les paroles de l’ex-ambassadrice de Malaisie, on doit donc comprendre qu’il vaut mieux ne jamais autoriser de critique sur l’islam, sinon l’Europe tout entière sera mise à feu et à sang.
Il n’y a donc pas pire sourd que celui qui ne voudrait pas se soumettre aux islamistes,
c’est le message de l’ex-ambassadrice, qui oublie que les Pays-Bas ne sont pas encore un pays musulman et que l’obligation religieuse du respect du Coran, de Mahomet, etc. ne concerne que les fidèles de cette religion. Elle rappelle aussi qu’il n’y a qu’un Coran et qu’il est immuable. Autrement dit, elle précise qu’il n’y a pas un Coran ou un islam à la sauce européenne, cela est une utopie.
Celui qui veut changer le Coran est un apostat.
Vous parlez d’« islamophobie », Mme l’ex-ambassadrice, c’est une tromperie parce que ce vocable ne veut rien dire d’autre que d’avoir peur de l’islam et l’islam est une idéologie et non pas une « race ».
La direction de NOVA qui voulait projeter le court métrage a abandonné cette idée, vu sa dangerosité, et se soumet comme il se doit aux menaces islamistes. Le ministre de la justice néerlandais examine la possibilité d’interdire le film. On ne prend donc pas de mesures contre les fanatiques musulmans qui menacent le parlementaire, mais on cherche à imposer l’omerta sur l’islam.
En Belgique, une manifestation contre l’islam fut également interdite, toujours dans le cadre de la même politique de soumission qui conduit à la suspension de nos droits fondamentaux.
La victoire des islamistes est déjà assurée,
les brebis politiques n’offrent plus aucune résistance. Quand des fanatiques musulmans manifestent à Bruxelles, même sans autorisation préalable, on ne bouge pas pour éviter le pire.
On préfère supprimer nos libertés plutôt que de s’attaquer à ceux qui les menacent.
On préfère aussi acheter les voix des musulmans contre la vente de nos libertés fondamentales, pour rester encore momentanément au pouvoir.
Geert Wilders veut démontrer que le Coran est un livre terrible et fasciste incitant les fidèles à commettre des violences à l’aide des textes criminogènes dont on les endoctrine.
Qui peut dire le contraire lorsqu’on sait que le Coran dit du début à la fin qu’il faut exterminer les non-musulmans ? Autrement dit, au moins 5 des 6,5 milliards d’êtres humains que compte notre planète.
Un rappel de quelques sourates criminogènes parmi d’autres prouve combien Geert Wilders a raison de réveiller les Européens sur le sort qui leur sera réservé par la charia introduite petit à petit en Europe.
Le Coran annonce d’une manière générale : Les infidèles sont vos ennemis déclarés (Sourate IV, 102).
Le Coran est clair, il divise le monde en un camp de fidèles musulmans et un camp d’infidèles composé de tous les non-musulmans.
Les insultes, multiples et variées, contre les mécréants, les impies, les incrédules, apparaissent partout dans le Coran, en voici quelques échantillons :
Les infidèles sont des méchants (Sourate II, 25, 26, 255, sourate VIII, 38, sourate LII, 47, Sourate LXXI, 29) des perfides (II, 26), des imposteurs (Sourate III, 54), des pervers (Sourate V, 75) les plus pervers de tous les êtres créés (Sourate XCVIII, 5) des menteurs (Sourate VI, 28, Sourate LI, 10) il n’y a pas animaux plus vils, sourds et muets (que les infidèles) (Sourate VIII, 22, 57), des criminels (Sourate X, 14, Sourate LV, 43, Sourate LXXVII, 46) des injustes (Sourate IX, et Sourate X, 53) des fourbes (Sourate LII, 46), des suppôts de Satan (Sourate IV, 78), etc.
Le Coran ne laisse planer aucun doute sur le sort à réserver aux impies, aux mécréants, en voici quelques exemples pour confirmer ce que Geert Wilders veut prouver par son court métrage :
Les infidèles : Quand vous rencontrerez ceux qui sont infidèles, frappez-les au col jusqu’à ce que vous réduisiez à merci. Alors serrez les liens (Sourate XLVII, 4). Incroyants : Ce sont vos ennemis. Évite-les. Que Dieu les extermine. Tuez-les partout où vous les trouverez et chassez-les d’où ils vous auront chassés. La tentation de l’idolâtrie est pire que le carnage à la guerre (Sourate II, verset 189). Extermine les méchants (Sourate LXXI, 29). Croyants ! Ne formez de liaisons intimes qu’entre vous : les infidèles ne manqueraient pas de vous corrompre, ils désirent votre perte. Leur haine perce dans leurs paroles ; mais ce que leurs cœurs recèlent est pire encore (Sourate III, 11). Afin d’éprouver les croyants et de détruire les infidèles (Sourate III, 135). Les infidèles sont vos ennemis déclarés (Sourate IV, 102). S’ils retournent à l’infidélité, saisissez-les et mettez-les à mort partout où vous les trouverez. Ne cherchez parmi eux ni protecteur ni ami (Sourate IV, 91), etc.
À lire ces sourates peut-on encore croire que l’incitation au « terrorisme », à la « violence », et au « meurtre » n’est pas une « constante » dans le saint Coran ? Ne lit-on pas sur des sites musulmans que le fanatique musulman n’existe pas, parce que ce n’est qu’un musulman qui se conforme au Coran ?
Aucun journal en Europe n’ose ouvrir une chronique pour y critiquer les religions qui font le malheur de tant d’êtres humains dans le monde. Aucune idéologie ne crée plus de troubles et de dissensions entre les peuples dans le monde que les religions. Aucune idéologie n’a provoqué autant de mort dans l’histoire que les religions qui divisent et séparent les hommes et font qu’ils s’entretuent pour des idéologies absurdes et des dieux mythiques.
Quel journal oserait publier les sourates criminogènes du Coran et en faire la critique ? Aucun. Les islamistes menaçaient même le gouvernement et le Parlement français pour tenter de leur faire « retirer » le projet sur les signes ostensibles philosophiques ou religieux à l’école. Cela n’a même pas suffi à réveiller nos politiciens sur le sort que l’islam réserve à l’Europe impie. Les attentats de Londres, de Madrid, etc. commis par des fanatiques musulmans qui brandissent le Coran n’a pas aidé nos politiciens à comprendre qu’islamisme et islam c’est la même chose, parce que l’idéologie criminogène trouve sa base dans le Coran même.
En Suède Nyamko Sabuni, ministre suédoise de l’Égalité et de l’Intégration a dû être protégée parce que menacée de mort. Elle avait osé critiquer l’islam. Combien de Salman Rushdie, de Nyamko Sabuni, de Ayaan Hirsi, Ali, de Théo Van Gogh, de Houellebecq, de Redeker, d’apostats de l’islam devront encore être menacés avant qu’on prenne des mesures ? En Belgique, les terroristes condamnés avec double nationalité, subissent une peine insuffisante et puis ils sont de nouveau libres. Aucun politicien ne veut leur enlever la nationalité belge dont ils abusent et les renvoyer dans le pays dont ils détiennent toujours la nationalité.
C’est la seule mesure logique contre ceux qui veulent détruire l’Europe, ses institutions et nos libertés fondamentales, mais les politiciens n’ont aucun courage pour agir avec efficacité contre le terrorisme.
« Riposte laïque » attire à juste titre l’attention sur la Charte islamique européenne qui vient d’être signée et qui stipule notamment : « Lorsque les lois en vigueur s’opposent aux pratiques et règles islamiques, les musulmans sont en droit de s’adresser aux autorités pour expliquer leurs points de vue et exprimer leurs besoins. »
Cette charte européenne islamique affirme donc clairement que les musulmans n’acceptent pas les lois européennes et qu’ils exigent l’introduction des règles islamiques. Autrement dit de la Charia. Cette charte n’aurait eu un sens que si elle mentionnait clairement que les musulmans entendent respecter entièrement les constitutions européennes, la C.E.D.H et les lois européennes sans restriction aucune. Une telle déclaration ne s’y trouve pas.
C’est tout le contraire qu’ils déclarent : leurs besoins sont les pratiques et les règles islamiques, autrement dit la charia, la loi divine, qui doit primer sur la loi humaine.
Pourquoi ont-ils alors quitté les pays musulmans paradisiaques où les lois islamiques, les lois divines sont appliquées pour venir s’installer dans des pays impies, dont ils contestent les lois humaines ?
Guillaume